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Auteur Frédéric JACQUEMART |
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Expertise des OGM : L'évaluation tourne le dos à la science
La question des OGM reste enfermée dans des controverses conflictuelles qui masquent largement l'essentiel du problème, cette partie hors du champ de la technique mais qui conditionne le futur. Pour régler cette question technique, Inf'ogm a pris le parti d'éplucher quelques dossiers et de comparer les positions des experts lorsqu'ils sont en position de scientifiques et lorsqu'ils sont en position d'experts, pour montrer leurs contradictions. D'autant que l'Agence européenne de sécurité des aliments (AESA), interrogée pendant plusieurs années sur l'innocuité du maïs MON810, a finalement, selon l'auteur, répondu à côté de la question, admettant implicitement ses faiblesses. Ce document, rédigé par Frédéric Jacquemart, docteur en médecine, spécialiste de biologie médicale et docteur es sciences, et édité par Inf'OGM, se présente comme suit : - 1. Le maïs MON810, présentation ; - 2. Les conditions de l'évaluation ; - 3. Analyses statistiques ; - 4. L'affaire MON810 ; - 5. Evaluation allergologique ; - 6. Autres dossiers de demandes.
OGM : L'expertise européenne démasquée
Frédéric JACQUEMART, AuteurAvant leur autorisation par l'Union Européenne, les OGM sont "expertisés" par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA). Dernièrement, l'avis rendu par cette instance d'évaluation affirmant que le maïs MON810 est "aussi sain et nutritif qu'un maïs conventionnel" est remis en cause par plusieurs instances, notamment par le HCB (Haut Conseil des Biotechnologies) qui a été saisi sur ce point par l'Etat français.
Dossier : OGM, les risques !
Nelly PEGEAULT, Auteur ; Christian BERDOT, Auteur ; Frédéric JACQUEMART, Auteur ; ET AL.Ce dossier compte six articles issus notamment de scientifiques et de responsables d'ONG environnementales et présentant divers aspects liés à l'actualité des OGM. Le premier présente le sentiment de désinformation qu'a l'un des auteurs du dossier à l'égard de l'industrie des biotechnologies. Est notamment présenté le fait que, selon l'auteur, les pro-OGM cherchent à cantonner le débat sur le domaine scientifique tout en essayant de contrôler les sources et les études scientifiques. Un second article montre certaines pratiques dans les méthodologies de recherche mises en place par les pro-OGM qui, pour les auteurs de l'article, orienteraient les résultats. A titre d'exemple : les études d'impacts ne tiendraient pas compte des modifications de pratiques agricoles qu'induit l'utilisation des plantes OGM. Cet article souligne aussi la nécessité d'informer le citoyen lambda dans un langage compréhensible afin de restituer à ce dernier une capacité de choix face à l'augmentation de la technique et de la spécialisation, afin que l'avis du spécialiste ne soit pas le seul pris en compte. Ce point est aussi repris par ailleurs dans deux autres articles, l'un sur les processus de décisions en terme d'OGM au sein de la Communauté Européenne, l'autre sur le rôle potentiel des Conférences de citoyens comme moyen d'éviter les dérives technologiques. Deux derniers articles présentent certains aspects souvent très peu connus sur les OGM et, de façon plus générale, sur l'ensemble de l'industrie génétique. Ce dossier se conclut sur l'importance de l'implication du citoyen, notamment de l'agriculteur et du jardinier, dans la gestion et la conservation des semences, afin que ce patrimoine, gage de l'avenir alimentaire de l'homme, ne soit pas que du seul ressort d'organismes commerciaux.