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Auteur Jean-François GARNIER |
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Expérimentation participative : Semis d'une plante appât dans le maïs
Niels TRUBERT, Auteur ; Jean-François GARNIER, Auteur ; Anaëlle MACQUET, AuteurEn Ille-et-Vilaine, le CETA 35 (Centre d'études techniques agricoles) regroupe 50 CETA de 10 à 15 agriculteurs. En 2020 et 2021, une partie d'entre eux ont contribué à une expérimentation participative encadrée par le CETA 35. Le principe : confirmer des résultats obtenus en stations expérimentales à travers la mise en place d'essais aux protocoles simplifiés in situ, directement chez des agriculteurs. Outre le suivi et l'évaluation du protocole en question, les agriculteurs impliqués ont aussi été invités à évaluer la facilité de la mise en place, le coût et l'efficacité de la technique étudiée. Dans cet article, sont présentés les retours sur la mise en place d'une plante appât (le blé) dans du maïs, afin de limiter les dégâts de taupins et de corvidés (corbeaux, corneilles et choucas). Cet essai a concerné 28 parcelles en 2020 et 52 parcelles en 2021. Des médias sociaux - WhatsApp et l'application Amiculteurs - ont été utilisés pour faciliter les échanges et la remontée des données. Globalement, la mise en place d'une plante appât a permis de réduire les dégâts, à condition que la pression des ravageurs ne soit pas trop forte.
6 déc. 2011 : Colloque : "Désherbage Mécanique, Des Solutions À Partager" : Actes des conférences
Véronique ZAGANIACZ, Auteur ; Ludovic BONIN, Auteur ; Jean-François GARNIER, Auteur ; ET AL., Auteur | CESSON-SEVIGNÉ (FRAB, 12 Avenue des Peupliers, 35 510, FRANCE) : RÉSEAU GAB-FRAB BRETAGNE | 2011Ce document présente les actes des conférences du colloque "Désherbage Mécanique, Des Solutions À Partager" qui s'est tenu, le 6 décembre 2011, à Rennes (35). Ce colloque a été organisé dans le cadre du projet de recherche du CASDAR 2009-2011 "Optimiser et promouvoir le désherbage mécanique en grandes cultures et productions légumières", piloté par l'Itab (Institut technique de l'agriculture biologique) avec l'appui d'Arvalis-Institut du végétal, rassemblant les compétences de plus de 20 partenaires dans 7 régions différentes. Sont concernées l'agriculture en réduction d'herbicides et l'agriculture biologique. En plénière, ont été abordés plusieurs points : Evolution de la flore adventice en grandes cultures biologiques en Haute-Normandie ; Désherbage mécanique des céréales à paille : efficacité et impact sur le rendement ; Stratégies de désherbage chez des agriculteurs ligériens : témoignage de deux producteurs ; Evaluation économique de différents itinéraires de désherbage mécanique. 3 ateliers ont été organisés : - Atelier 1 : Désherbage des céréales biologiques : influence du désherbage mécanique sur les populations de mauvaises herbes ; Seuil de nuisibilité des adventices sur la betterave fourragère ; Comparaison de deux stratégies de préparation du sol avant semis ; Evaluation des techniques combinées ou mixtes pour le désherbage du tournesol et du soja ; - Atelier 2 : Evaluation de l'impact des actions de promotion des techniques de désherbage mécanique sur des territoires à enjeux eau ; Le désherbage alterné : comment introduire du désherbage mécanique dans les intinéraires classiques de désherbage ? ; Le désherbage mécanique, un outil de l'agriculture intégrée ; Pour des systèmes de cultures économes en herbicides ; - Atelier 3 : Méthode d'accompagnement des agriculteurs dans le choix de matériels de désherbage mécanique adaptés.
Grandes cultures biologiques sans élevage : Analyse technico-économique de rotations (Dossier - Références technico-économiques)
Jean-François GARNIER, Auteur ; Jean-Baptiste BONTE, Auteur 2011Dans le cadre du projet CAS DAR Rot AB, des "cas types" d'exploitations céréalières biologiques sans élevage ont été définis dans cinq régions aux conditions variées. Une première approche d'analyse multicritère à l'échelle de la rotation a été effectuée sur ces cas-types régionalisés. Leur rentabilité à la rotation est assurée, mais très dépendante des prix de vente. Plus que le type de rotation, c'est le contexte de production qui conditionne fortement la rentabilité économique (disponibilité en engrais organiques, choix possible de cultures et niveaux de rendement). Toutefois, l'aspect économique n'est pas le seul aspect à prendre en compte dans le choix d'une rotation et la durabilité du système passe aussi par la durabilité agronomique.
Dossier Agriculture biologique : 2. Coûts de production du blé bio : Zoom sur deux régions
Jean-François GARNIER, Auteur ; Philippe VIAUX, Auteur ; Pierre-Emilien ROUGEREn 2008, des exploitations de grandes cultures biologiques des Pays de la Loire et de Centre-Ile-de-France ont fait l'objet d'une étude technico-économique. Sur l'ensemble de la rotation, la rentabilité des exploitations est assurée. Trente agriculteurs ont été enquêtés dans deux régions : en Pays de la Loire et dans le Centre Ile-de-France (15 par région). Les exploitations céréalières sélectionnées, d'une surface moyenne d'environ 110 hectares et sans prairie pâturée, sont toutes déjà en agriculture biologique depuis plusieurs années. L'article revient sur différents points : coût de production du blé bio (plus faible en Pays de la Loire), coût de production des cultures en agriculture biologique (supérieur au conventionnel du fait de rendements plus faibles), marges AB à l'hectare équivalentes au conventionnel. Yves Vanhoecke, producteur de céréales bio dans l'Eure, relate son expérience dans un entretien (choix de l'agriculture biologique, adaptation de ses pratiques...).
Pays de la Loire et Centre Ile-de-France : Evaluation des coûts de production du blé bio
Jean-François GARNIER, AuteurEn 2008, une étude technico-économique a été réalisée auprès de céréaliers biologiques en Pays de la Loire et en Centre/Île de France. Les résultats montrent que, avec des prix élevés, et en tenant compte des engrais verts et des cultures non ou mal valorisées, la rentabilité des grandes cultures bio est assurée, bien que le coût de production des cultures en agriculture biologique soit supérieur au conventionnel du fait de rendements plus faibles. Ces rendements, très variables d'une année à l'autre sur certaines cultures, gagneraient à être régularisés par une meilleure maîtrise technique.