Cette étude met en évidence des différences entre le lait produit en mode biologique par rapport au conventionnel. En effet, en production bio, on observe une faiblesse des taux (TB - taux butyreux et TP - taux protéique), en particulier sur la période hivernale, on observe également une numération cellulaire plus élevée. Il ressort également de cette étude que les producteurs bio ont une meilleure maîtrise des spores butyriques, mais avec de fortes variations possibles selon les années. Cette étude met également en évidence des points de blocage au niveau des transformateurs concernant le développement de la filière, mais ces derniers ne sont pas liés directement à des aspects techniques, mais plutôt à des aspects stratégiques des transformateurs.