Détail de l'auteur
Auteur Sandra LEFRANÇOIS |
Documents disponibles écrits par cet auteur (12)


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« Les premières pommes de terre dès avril »
Sandra LEFRANÇOIS, AuteurPhilippe Bochereau, horticulteur dans le Maine-et-Loire, cultive, depuis 13 ans, des pommes de terre sous serre bioclimatique. Il effectue la plantation des tubercules en janvier, sous toile de paillage (polypropylène pour le moment), pour une récolte mi-avril. Dans cet entretien, il revient sur ses pratiques : il explique sa gestion de l'arrosage et de la température dans la serre, ainsi que ses techniques de couverture du sol, et présente les variétés qu'il cultive, en hiver et en saison.
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Le chou de printemps : Tentez le pointu
Sandra LEFRANÇOIS, AuteurSurnommé le « chou pointu », plus tendre et plus fin que les choux dhiver, le chou pommé de printemps est cultivé à contre-saison, arrivant ainsi à maturité pendant la période de soudure entre les légumes dhiver et ceux dété. Adapté aux climats pas trop rudes, il est préférable de le protéger des fortes gelées avec un voile dhivernage ou une cloche, ou en le cultivant sous serre. Le chou pointu échappe à la plupart des ravageurs habituels, mais il faudra le protéger des altises, limaces et escargots, pucerons et, également, des pigeons. Cet article fournit des informations sur les variétés cultivées dans les différents berceaux de culture, notamment dans les zones maraîchères parisiennes, normandes et méridionales. Amélie Leroy et Gaëlle Le Glaunec, maraîchères bio dans lEure, partagent leurs conseils de culture.
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Cultiver l'or végétal
Sandra LEFRANÇOIS, AuteurÉpice la plus chère au monde, le safran (Crocus sativa) a été cultivé en France pendant des siècles, jusqu'à ce que sa culture disparaisse vers la fin du 19ème siècle. Elle a, depuis, été relancée, et il est aussi possible de cultiver le safran dans son jardin, un peu partout en France, jusqu'à 1200 m d'altitude. Planté en été, le safran fleurit en septembre-octobre dès la chute des températures nocturnes. Autre singularité, le safran est stérile et ne se reproduit que par multiplication. Pour bien le cultiver, il est nécessaire de lui épargner les sols à l'humidité stagnante, soit en ajoutant du sable lors de la plantation, soit en le cultivant sur des planches surélevées. La récolte de la fleur de safran doit se faire le jour-même de son épanouissement. L'émondage des pistils se pratique ensuite manuellement avec de petits ciseaux. Cette opération délicate et non mécanisable contribue au prix de vente du safran. Myriam Duteil, safranière bio dans l'Eure, produit 1 kg de safran bio (200 000 fleurs) par an, sur 1,5 ha. Elle partage ses conseils de culture et ses préconisations pour vivre de cette production.
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La nature comestible
Sandra LEFRANÇOIS, AuteurMoins connues que le pissenlit ou l'ortie, de nombreuses plantes sauvages comestibles peuplent nos bords de chemins et nos jardins. Elles sont souvent riches en vitamines et minéraux et se prêtent à des recettes originales. Photos à l'appui, cet article permet de reconnaître : le lamier blanc (qui ressemble à l'ortie), la consoude, l'alliaire fleurie, l'ail des ours, le chénopode blanc, la cardamine hérissée, le plantain lacéolé... A condition de respecter des règles de prudence pour éviter les intoxications, ces plantes sauvages (on en dénombre environ 1 600 en France) ouvrent un large champ d'exploration de nouvelles saveurs. Consommées crues ou cuites, en salades, pestos, galettes salées ou biscuits, elles sont autant d'occasions de conjuguer alimentation et lien avec la nature.
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Dossier : Organiser son jardin
Rodolphe GROSLÉZIAT, Auteur ; Jean-Philippe BEAU-DOUËZY, Auteur ; Sandra LEFRANÇOIS, AuteurTrois articles composent ce dossier : - "Optimiser les productions de son jardin" : Après des années d'autonomie potagère, Rodolphe Grosléziat a vu la production de son jardin baisser. Il a dû réorganiser tout son espace pour tenir compte des arbres devenus grands, et qui avaient fini par capter la quasi-totalité de la pluie et du soleil. Il en a profité pour repenser complétement sa façon de jardiner, afin d'optimiser le temps qu'il peut y consacrer. Il décrit ses deux jardins (un pour le frais, un pour les réserves), ainsi que sa technique pour faire ses plants ; - "L'arbre au potager" : Jean-Philippe Beau-Douëzy a créé un jardin-forêt comestible. Il apporte ses conseils pour bien faire co-habiter arbres et légumes ; - "Petit, urbain, et hyper productif" : Sur une surface de moins de 40 m2 en pleine ville, Joseph Chauffrey réussit à être quasiment autonome en fruits et légumes pour deux personnes. Il expérimente avec succès les principes de la permaculture en ville et prouve qu'un petit jardin urbain n'est pas un handicap dans la recherche de l'autonomie alimentaire. Il partage son expérience et ses idées pour optimiser son jardin.
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Je démarre mon potager bio
Sandra LEFRANÇOIS, Auteur ; Jean-Paul THOREZ, Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2012
Pour démarrer son potager sans risque de déconvenue, le jardinier en herbe a besoin d'être bien guidé. Avant tout, il doit préparer sa terre, apprendre à la désherber ou à l'enrichir naturellement sans la polluer avec des herbicides ou des engrais chimiques. Il lui faut ensuite choisir parmi 20 légumes incontournables ceux qui lui conviendront le mieux en fonction de ses goûts et de la difficulté de leur culture. Ensuite, il doit les semer, les planter, les entretenir, les protéger en ayant les bons gestes et en mettant en uvre les savoir-faire jardiniers. Grâce à des "pas-à-pas" en photos, butter les pommes de terre, pincer les gourmands des tomates, habiller les plants de poireaux ou préparer un semis de mâche... n'auront désormais plus aucun secret pour l'apprenti jardinier. Et comme il s'agit de se nourrir sainement et de ne pas polluer les jardins, tous les conseils et les pratiques de jardinage indiqués sont 100 % bio !
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La magie des plantes tinctoriales
Sandra LEFRANÇOIS, Auteur ; Jean-Paul THOREZ, AuteurLes "vraies" tinctoriales se distinguent par la beauté et la solidité de la teinte obtenue, au lavage comme à la lumière. Une même plante peut offrir différentes couleurs. Pour préparer le tissu à recevoir la teinture, il faut "mordancer" les fibres avec des sels métalliques (alun, sulfate de fer ou parfois de cuivre). Les couleurs proviennent des composés chimiques d'une plante..., et changent selon l'emploi d'un sel ou d'un autre. Les flavonoïdes, responsables de teintes allant du jaune au orange, sont contenus dans des fleurs (illet et rose d'Inde, coréopsis, cosmos...), ainsi que dans des plantes potagères (artichaut et cardon). Les tanins, responsables des teintes beiges, brunes à noires, sont contenus dans le bois et les écorces d'arbres (chêne, châtaignier, bouleau ou noyer), mais aussi dans la tanaisie. Les quinones, responsables de la couleur rouge, apparaissent dans la rhubarbe (rhizome), la bourdaine (écorce) et le noyer ... L'indigo n'appartient qu'à une seule plante, le pastel des teinturiers. Les anthocyanes, qui se trouvent dans les baies violettes (cassis, myrtille ou sureau), et les fleurs pourpres à noires (rose trémière, dahlia...) donnent des couleurs allant du vert au rose, en passant par le bleu et le mauve. La "teinture à chaud", recette de base, permet de s'initier à la teinture végétale. Des encarts présentent la culture du pastel des teinturiers, et des indications pour teindre, selon un matériel donné.
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Dossier potager : Permaculture, la nature comme modèle ; La permaculture : mode d'emploi
QUATRE SAISONS DU JARDIN BIO (LES), Auteur ; Sandra LEFRANÇOIS, AuteurLe premier article (Permaculture : la nature comme modèle) présente la ferme bio du Bec-Hellouin de Perrine et Charles Hervé-Gruyer, dans l'Eure, une des seules fermes professionnelles en permaculture en France, et les pratiques qu'ils utilisent (culture sur buttes, associations de cultures, traction animale, approvisionnement en paniers de légumes...). Le deuxième article donne un mode d'emploi de la permaculture et se penche sur les principes qui la fondent.
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Les fraises aiment aussi l'ail et l'oignon
Sandra LEFRANÇOIS, AuteurL'article donne quatre raisons de pratiquer l'association de cultures au potager, assorties de la façon de procéder et d'exemples : - Raison n° 1 : gagner de l'espace et du temps (mieux utiliser l'espace en cultivant des plantes au cycle ou à l'architecture complémentaires, soit le cas de l'alliance des "trois surs", maïs, potiron et haricot ; plantation de cultures rapides entre des légumes à croissance lente) ; - Raison n° 2 : repousser les ravageurs (mélanger des végétaux brouille le système de repérage des phytophages ; associer des alliacées, de la carotte et de l'oignon permet de limiter les attaques de leurs ennemis respectifs) ; - Raison n° 3 : attirer les auxiliaires (les plantes compagnes ont pour autre fonction d'attirer les insectes auxiliaires du jardin que sont les pollinisateurs, mais aussi les prédateurs des ravageurs ; pour cela, deux familles botaniques arrivent en tête (les apiacées et les astéracées)) ; - Raison n° 4 : limiter les maladies (des plantes ont un effet nématicide : tagète, moutarde, souci, seigle... ; en ce qui concerne les maladies, les alliacées (ail, poireau...) possédent de véritables propriétés fongicides). Des précisions sont apportées sur certaines plantes à tenir à l'écart, sur les limites des associations, ainsi que sur la tagète.
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Un jardin sur le toit
Sandra LEFRANÇOIS, AuteurLe jardin de Serge Hauduc est aménagé sur la terrasse de son appartement, lui-même situé au dernier étage d'un immeuble en plein cur de Rouen (Normandie). Serge Hauduc n'a pas lésiné sur les moyens (la terrasse devait être apte à supporter le poids de la terre - poids autorisés de 450 kg/m²) : 5 tonnes de terre végétale, 32 bacs en teck issu de forêts écogérées. Parmi ses protégés, quelques buis (taillés en forme d'animaux), deux chênes et un châtaignier (taillés en bonsaï). Tout autour de la terrasse, des arbustes : photinia, oranger du Mexique, mahonia... Les plantes sont soumises à des conditions très difficiles : vent, froid, soleil, sécheresse, culture en bacs. L'entretien du jardin de Serge Hauduc couvre plusieurs aspects : système d'arrosage au goutte-à-goutte, limitation des besoins en eau (les bacs sont couverts d'un paillis de fèves de cacao intégré à l'automne), fertilisation apportée par un lombricomposteur (et complétée à l'automne par un apport de sang séché et de corne torréfiée), protection contre les insectes à l'aide de produits naturels... Sont évoqués, par ailleurs, le lombricomposteur de balcon et l'otiorhynque, ravageur des plantes en pots.
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Les Mille et un légumes de Beaumesnil
Sandra LEFRANÇOIS, AuteurPortrait d'un potager conservatoire, conduit suivant les techniques du jardinage biologique, en Normandie, où 500 légumes sont présentés au public au fil des saisons et où des variétés locales trouvent naturellement leur place. Présentation des diverses activités connexes de ce potager : maraîchage bio, vente de paniers de légumes bio et pédagogie sont au centre des préoccupations de Frédéric Lamblin, propriétaire et passionné.
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Plantes compagnes au potager bio : Le guide des cultures associées
Sandra LEFRANÇOIS, Auteur ; Jean-Paul THOREZ, Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2010
Le "compagnonnage" - ou "association" - des plantes fait partie du jardinage bio. Il est utilisé depuis l'Antiquité. Savoir associer les plantes permet de profiter des interactions naturelles qui s'installent entre elles et de protéger les cultures des maladies ou des nématodes, d'éloigner des ravageurs, d'attirer des pollinisateurs, d'éviter des carences, d'améliorer le sol, de mieux utiliser l'espace par des développements alternés, d'ombrager, de tuteurer... Ce livre invite donc à mélanger légumes, fleurs, aromatiques, arbustes..., à exploiter les principales associations de cultures : carotte et poireau, maïs, haricot et potiron, laitue et choux, par exemple. Il propose un répertoire de près de 300 plantes, pour lesquelles il indique les interactions favorables ou défavorables. A la lettre A, vous découvrirez l'absinthe, très utile auprès des choux, navets, carottes... mais mal tolérée par la tomate, le basilic, la sauge... ou, à la lettre Z, le zinnia, fleur active contre les nématodes de la tomate en culture intercalaire. Pour réaliser cet ouvrage, les auteurs ont fait le point sur l'état des connaissances scientifiques et ont enquêté auprès de jardiniers sur leurs savoir-faire et leurs observations en la matière.