Détail de l'auteur
Auteur Jörg SCHUMACHER |
Documents disponibles écrits par cet auteur


![]()
![]()
Amélioration du contrôle des normes sociales à l'étranger
Jörg SCHUMACHER, Auteur ; Gabriela STRAUB, AuteurLes consommateurs suisses sont de plus en plus critiques à l'égard de la durabilité sociale des denrées alimentaires importées. Or, certains produits Bourgeon (bio) importés proviennent de régions où cette durabilité sociale n'est pas assurée. Aussi, en collaboration avec des organisations labellisatrices d'autres pays importateurs, Bio Suisse entend améliorer la situation sur place et avoir des contrôles plus efficaces.
![]()
![]()
Exigences sociales : Qu'en est-il des contrôles ?
Jörg SCHUMACHER, Auteur ; Thomas PLISKA, Auteur ; Hans RAMSEIER, AuteurDans le domaine des exigences sociales et de l'équité commerciale en agriculture biologique, Bio Suisse n'a pas exclusivement suivi l'approche des contrôles et de la certification. Les partenaires commerciaux du Bourgeon participent régulièrement aux tables rondes du projet « Relations commerciales équitables ». Et tous les chefs d'exploitation doivent attester par écrit qu'ils offrent de bonnes conditions de travail à leurs employés... Neuf audits pilotes effectués en février, mars et juillet 2011, conjointement par Bio Suisse, bio.inspecta et BTA ont fourni à la fois des réponses et de nouvelles questions. Les résultats ont montré que des entreprises avaient des points faibles et des lacunes, sur un échantillon de 9 exploitations sur 5 500, représentant une palette qui va de l'horticulture à l'exploitation d'estivage en passant par la ferme en polyculture-élevage. Bio Suisse envisage donc de réviser l'autodéclaration de 2007 et de rédiger un règlement sur les exigences sociales. A partir d'exemples d'exploitations, l'article soulève certains points de contradiction : soumission ou non du salaire d'un employé à l'AVS (prévoyance vieillesse), compréhension des déductions salariales ; convention claire au sujet des heures supplémentaires d'employés ; familiarisation des employés avec la sécurité au travail dans les grandes exploitations, application de ces normes parfois lacunaire dans les exploitations n'ayant pas d'apprentis ; exigences à remplir aussi par les entreprises sous-traitantes Il est apparu que, suivant le degré de détail exigé, le contrôle des exigences sociales nécessite de grandes compétences et du temps. Cependant, il serait difficile de justifier une généralisation des contrôles approfondis à l'intérieur de la Suisse (différences entre exploitations, formation des contrôleurs, non relégation des préoccupations de l'agriculture biologique à l'arrière-plan).
![]()
![]()
La nouvelle réglementation de Bio Suisse
Jörg SCHUMACHER, AuteurEn Suisse, la densité de la réglementation à laquelle sont soumis les acteurs de l'agriculture biologique s'est fortement intensifiée ces dernières années. Bio Suisse a donc décidé de réviser la structure de ses directives, notamment pour en simplifier l'utilisation et la lisibilité, tâche confiée à différents groupes de travail. Dans un premier temps, ce sont les « Principes et objectifs » qui ont été restructurés dans le but de présenter l'essentiel de l'AB et de ses règles. Le travail sur les règlements, qui donnent l'application pratique des principes et objectifs, a été réalisé dans un second temps. Les rôles des différents organismes pouvant agir sur la réglementation sont également revus (Assemblée des délégués, organisations membres, Comité et Commissions de labellisation). Les nouveaux règlements devraient être promulgués à l'été 2012. Cette restructuration n'impactera pas la pratique agricole et les contrôles.
![]()
![]()
Ravageurs des stocks : Nouvelles possibilités avec EcO2
Jörg SCHUMACHER, Auteur ; Bettina LANDAU, Auteur ; Daniel FASSBIND, AuteurEn Suisse, les produits Bourgeon sont cultivés et stockés sans traitements chimiques de synthèse. Or, de nombreux produits Bourgeon doivent être stockés après la récolte, ce qui leur fait courir le risque d'être attaqués par des rongeurs et des insectes. Pour Bio Suisse, les entreprises situées en aval de l'agriculture doivent mettre en place, depuis 2005, un système intégré de lutte contre les ravageurs. Il existe, depuis quelques années, la possibilité de traiter les locaux et les silos, notamment de céréales biologiques, avec de l'air pauvre en oxygène sans devoir augmenter sa teneur en CO2. L'article aborde cette technique qui est utilisable en grand dans le stockage des denrées alimentaires sous le nom d'EcO2 et qui est utilisée aussi pour les produits conventionnels. Les désavantages de cette technologie sont sa consommation d'énergie et ses coûts d'investissement.