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Auteur Agnès CATHALA |
Documents disponibles écrits par cet auteur (42)


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L'ambroisie progresse en Occitanie
Agnès CATHALA, AuteurL'ambroisie est une adventice au pollen très allergisant. Cette plante se propage très vite car elle est dotée dune forte capacité de multiplication et de survie. Il est donc nécessaire de la gérer dès son apparition et dans la durée. En Occitanie, sa présence devient préoccupante. Un projet de lutte contre lambroisie, financé par lAgence Régionale de Santé, a même été lancé en 2018. Il est piloté par la FREDON Occitanie et lUnion régionale des Centres permanents dinitiatives pour lenvironnement (CPIE). Cet article retrace linterview dAnne-Marie Ducasse-Cournac, la coordinatrice de ce projet à la FREDON Occitanie. Durant cette interview, elle liste les principales cultures à travers lesquelles lambroisie arrive à se répandre et explique ce que peuvent faire les agriculteurs pour limiter lapparition et la propagation de cette plante. Un guide de 12 pages, intitulé « Les ambroisies : un problème agricole et de santé publique qui ne fait que commencer : pourquoi faire de la lutte contre les ambroisie une priorité ? », est dailleurs disponible gratuitement en ligne. Il apporte, entre autres, des éléments de reconnaissance précoce des plants dambroisie, ainsi que des informations sur des leviers de lutte efficaces en grandes cultures.
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Approches complémentaires en santé animale ; L'acupuncture et le reiki pour le troupeau
Loan Pascale JÉRÔME, Auteur ; Agnès CATHALA, AuteurFace au développement des formations et des échanges de pratiques sur des approches complémentaires et alternatives en santé animale (ex. acupuncture, phytothérapie, homéopathie ), des questions se posent sur la diffusion de connaissances "non stabilisées" et sur le respect de la réglementation. Dans ce contexte, avec lappui de Trame et à linitiative de la FRGeda de Bourgogne-Franche-Comté, a été lancé le projet ACSA (Approches Complémentaires en Santé Animale), basé sur un large partenariat. Ce projet qui vise à favoriser linterconnaissance et le partage de visions, à réaliser un état des lieux des formations, des études, ou à mettre en place des collectifs déchanges entre éleveurs. Des enquêtes, menées dans ce cadre, ont montré que le premier gain des éleveurs formés à ces méthodes alternatives était le développement de compétences dobservation, danticipation, avec une approche globale de lanimal. Il existe notamment des demandes pour des pratiques sans usage de substances comme lostéopathie, lacupuncture ou le Reiki (soin basé sur léchange dénergie). Ainsi, en 2020, Trame et la FRGeda de Bourgogne-Franche-Comté ont organisé des visio-conférences sur ces deux dernières pratiques avec, à chaque fois, la présentation de la méthode par un praticien, des témoignages déleveurs formés et une phase déchanges. Ces éleveurs ont ainsi témoigné sur les difficultés rencontrées vis-à-vis du regard des autres, sur leurs doutes, mais aussi surtout sur leur enthousiasme à développer leur "boîte à outils" pour intervenir auprès des animaux, avec comme finalité le bien-être de ces derniers et le leur.
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Enseigner les systèmes alimentaires locaux et durables
Agnès CATHALA, AuteurDepuis 2018, la Bergerie nationale de Rambouillet pilote le projet EducLocalFOOD (2018-2021). Ce projet européen, financé par lagence Erasmus+, vise à professionnaliser et à accompagner les enseignants des lycées agricoles sur le thème des systèmes alimentaires locaux et durables. Lobjectif étant de développer des outils pédagogiques pour aider les formateurs à enseigner sur ce sujet. Il réunit quatre autres partenaires : lUniversité de Maribor (Slovénie), lUniversité de Lisbonne (Portugal), lUniversité des ressources naturelles et des sciences de la vie de Vienne (Autriche) et lObservatoire européen du paysage de lArc latin (Italie). Cet article retranscrit linterview de deux chargées de mission de la Bergerie nationale, Sarah Cohen (chargée du projet) et Marie-Laure Weber (référente coopération internationale). Elles apportent plus de précisions sur EducLocalFOOD et présentent quelques résultats.
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Médias sociaux et transition agro-éc@logique
Agnès CATHALA, AuteurLe projet Casdar Agor@gri (2019-2022), piloté par lActa, avait pour objectif doptimiser lutilisation des médias sociaux pour le déploiement de lagroécologie. En mars 2021, Agreenium et lActa ont organisé un webinaire pour restituer les premiers résultats de ce projet. Magali Prost, enseignante-chercheuse à lUniversité de Bretagne Occidentale, a tout dabord présenté les résultats dune enquête menée auprès de 112 agriculteurs, qui avait pour objectif de mieux appréhender le profil des utilisateurs des médias sociaux, de savoir comment ils les utilisent et pourquoi. Globalement, les agriculteurs utilisent plusieurs médias sociaux, notamment des groupes de discussions privées (Facebook, WhatsApp). Les informations recherchées sont diverses, aussi bien en matière de contenu (échanges sur le métier, échanges techniques, évènements à venir ), que sur la forme (écrits, photos, vidéos). Benoit Chorro a effectué un retour dexpérience sur le groupe WhatsApp quil animait au sein dune coopérative céréalière. Ce groupe réunissait 150 personnes sur la thématique de la réduction des pesticides. Pour lanimer, Benoit Chorro prenait régulièrement des photos et des vidéos lorsquil allait voir des fermes ou faire des tours de plaine, afin de partager des innovations, des réussites, échecs Brice Thollet (stagiaire) a analysé les données de cette conversation WhatsApp. Il a montré que, selon lapproche utilisée pour animer le groupe, il était possible de faire réagir un nombre plus ou moins important de personnes engagées dans la communauté.
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Le pouvoir dans les collectifs en circuits courts
Agnès CATHALA, AuteurMarius Chevallier et Julien Dellier, tous deux chercheurs à l'Université de Limoges, ont mené, en 2020, une étude sur les pouvoirs informels au sein des circuits courts et locaux agroalimentaires en Limousin. Ils ont ainsi pu constater, grâce à la rencontre avec 17 collectifs (associations de producteurs, magasins, coopératives, SARL ou SAS), que la démocratie était un axe fort du fonctionnement de ces structures. D'autres valeurs semblent également faire consensus, comme la transparence et la communication, malgré d'inévitables facteurs d'inégalités liés aux types de produits vendus par chacun (valeur ajoutée, rareté...), au travail (disponibilité, compétences) ou aux caractéristiques sociales (aisance, réseau...).
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Provence-Alpes-Côte dAzur : Les GIEE de la filière élevage
Agnès CATHALA, AuteurDepuis 2015, 53 groupements dintérêt économique et environnemental (GIEE) ont été labellisés dans la région Provence-Alpes-Côte dAzur. Quinze dentre eux portent sur lélevage. Ils concernent toutes les productions : bovins, porcins, ovins, caprins, volailles et équins. Le 11 décembre 2020, la Chambre régionale dagriculture a organisé, avec la Maison Régionale de lElevage (MRE) et la DRAAF, une matinée de présentation des résultats de ces GIEE. Deux dentre eux concernent plus spécifiquement lélevage biologique. Dans le Vaucluse, lassociation Agribio 84 porte un GIEE qui regroupe quatre éleveurs de volailles de chair et deux éleveurs de poules pondeuses. Ensemble, ils recherchent de nouvelles races, notamment des races mixtes produisant assez dufs et permettant déviter le broyage des poussins mâles. Un essai est mené sur la race « Poule noire traditionnelle ». Dans le Var, le GIEE « Vers une autonomie alimentaire territoriale et biologique des élevages de volailles de Provence Verte » est porté par le GIE Epi de Blé, qui regroupe des éleveurs de volailles et des céréaliers bio, et il est accompagné par AgribioVar. Lobjectif est que les céréaliers fournissent les éleveurs en grains et que ces derniers les transforment en aliments pour poules.
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Le renouvellement : Un enjeu pour les collectifs agricoles
Agnès CATHALA, AuteurDans le cadre du projet Casdar Co-Agil, quatre collectifs agricoles (CUMA ou groupes de développement agricole) ont été étudiés et enquêtés en régions Auvergne-Rhône-Alpes et Bretagne. L'enjeu : identifier avec eux les nouveaux besoins de tels groupes et de leurs adhérents, ainsi que des pistes pour faciliter le renouvellement des générations au sein de la gouvernance de ces collectifs. Outre la difficulté à mobiliser les nouvelles générations, ces collectifs sont confrontés à des perceptions du métier et de l'engagement différentes d'une génération à l'autre. Les pistes d'actions qui ont pu être proposées à l'issue de ces travaux concernent la sensibilisation aux bénéfices du collectif, l'interconnaissance des besoins, la création ou le maintien de lieux de convivialité, la communication sur l'intérêt de l'engagement et les missions des responsables, ou encore l'accompagnement à la mise en place du salariat.
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Travaux et Innovations Hors-série juin 2021 : Collectifs en transition agroécologique : 30 outils d'animation
Muriel ASTIER, Auteur ; Agnès CATHALA, Auteur ; Elsa EBRARD, Auteur ; ET AL., AuteurGIEE, groupes 30 000, groupes DEPHY Fermes..., le projet agroécologique dans lequel le monde agricole est engagé a remis le collectif de travail entre agriculteurs au cur de lactualité, et les formes de collectifs se sont diversifiées. Aujourdhui, plusieurs caractéristiques propres à la transition agroécologique et aux dynamiques de changement impactent la façon danimer les groupes dagriculteurs. Cette situation conduit les animateurs à adopter une posture daccompagnateur bien différente de celle de lexpert ou du conseiller technique. Savoir poser le cadre de la coopération, favoriser linterconnaissance, définir un objectif commun, faciliter la production dintelligence collective, dynamiser les réunions, favoriser lautonomie du groupe, etc., figurent parmi les compétences de laccompagnateur de collectifs. Pour faciliter la professionnalisation des acteurs du développement agricole, ce hors-série de Travaux & Innovations propose une trentaine de méthodes et doutils danimation. Chaque article présente un objectif à atteindre vis-à-vis du collectif accompagné et une compétence à maîtriser pour lanimateur, avec : Une rubrique « Analyse » sur les enjeux liés à cette compétence dans le contexte de laccompagnement de ces collectifs en transition agroécologique ; La description de plusieurs « Méthodes » danimation sélectionnées pour leur efficacité et leur simplicité dusage ; Un encadré « Pour en savoir plus » qui renvoie à des articles plus détaillés de Travaux-et-Innovations pour approfondir et diversifier encore plus les méthodes danimation.
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Une conserverie mobile et solidaire
Agnès CATHALA, AuteurDepuis 2017, trois maisons de quartier, situées à Romans-sur-Isère (Drôme), ont mis en place une conserverie mobile afin de sensibiliser les habitants (en particulier ceux en situation de précarité) à léconomie locale et de les inciter à adopter une alimentation saine et locale, en transformant des fruits et légumes bio disqualifiés ou en surplus. Cette conserverie est installée dans un camion laboratoire qui comporte un atelier de nettoyage, un poste de transformation, avec un autoclave. Les recettes sont choisies en fonction des saisons et un animateur de la maison de quartier, ainsi quun cuisinier sont présents pour accompagner les habitants dans la transformation des produits. Diverses structures font appel à cette conserverie mobile pour des animations : une école, une mairie, un ESAT, une association Ce projet a vu le jour grâce à des subventions du programme européen Leader. Pour faire face à la diminution des subventions, une participation financière est maintenant demandée aux structures qui sollicitent la conserverie mobile et il est envisagé de réaliser du travail à façon pour les agriculteurs, mais le camion ne peut traiter que de petits volumes.
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Un dictionnaire d'agro-écologie évolutif et participatif
Agnès CATHALA, AuteurVéronique Batifol-Garandel est chargée de veille stratégique et dingénierie de linformation pour le SAD (Sciences pour lAction et le Développement), un département de recherche de lInrae. Depuis 2016, elle développe un dictionnaire en ligne, nommé dicoAE, afin de définir les termes et les concepts liés à lagro-écologie (ex : agrobiodiversité, permaculture, biocontrôle ). Il fournit des définitions écrites et validées scientifiquement pour une centaine de mots. Il associe également à ces termes des références bibliographiques et des vidéos afin de faciliter la compréhension des définitions. Les définitions sont écrites par un ou des chercheurs, ou sont coécrites par un binôme détudiants avec laide dun chercheur (la rédaction dune définition est un excellent travail pédagogique car létudiant doit remobiliser les enseignements quil a reçus sur le domaine). Par ailleurs, les internautes peuvent déposer en ligne des commentaires sur les définitions afin de les faire évoluer.
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Les lavandiculteurs expérimentent de nouvelles pratiques
Agnès CATHALA, AuteurDans le Parc Naturel Régional du Verdon, le plateau de Valensole est recouvert de cultures de lavandin. Les rotations pratiquées sont trop courtes et trop peu diversifiées, ce qui entraîne une diminution de la résilience des agrosystèmes et détériore les sols. Le lavandin est également confronté à un problème de dépérissement. Face à ces constats, plusieurs partenaires se sont regroupés, en 2014, autour du projet Regain, pour accompagner les agriculteurs du plateau vers des pratiques plus durables. Ce projet sarticulait en cinq axes, dont un sur la qualité des sols (axe piloté par le Parc Naturel Régional du Verdon). Cest dans ce cadre quest né le réseau Sol de Regain (2017-2020). Ses objectifs sont de recréer du lien entre les agriculteurs du plateau et daméliorer la qualité des sols. Il regroupe actuellement 27 lavandiculteurs (sur les 200 du plateau), et une quarantaine de parcelles sont étudiées. En 2017 et 2019, des analyses de sols ont été effectuées afin de réaliser un état des lieux. De grandes disparités ont été observées. Des expérimentations de couverts entre les rangs de lavandin ont également été mises en place : par rapport à un sol nu, les marges sont moindres les premières années, mais les écarts diminuent ensuite car les maladies se développent moins. Enfin, plusieurs journées de restitution ont été organisées afin de réaliser des bilans et de favoriser les échanges.
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Magasins de producteurs : Des relations saines pour un collectif fort
Agnès CATHALA, AuteurLes magasins de producteurs présentent de nombreux atouts pour les agriculteurs. Néanmoins, en raison de leur gestion collective, ils demandent un fort investissement humain et peuvent parfois générer des tensions. En juin 2020, Trame a organisé une conférence téléphonique, intitulée « Des relations saines pour un collectif fort », afin dapporter des clés de compréhension sur les difficultés relationnelles ainsi que des pistes pour agir. Elle a été animée par Thierry Pons, de léquipe « Circuits courts » de Trame ; trois intervenants ont été conviés : Pascale Croc, une agricultrice impliquée dans onze magasins de producteurs en Charente-Maritime ; Guillaume Lheureux, un agriculteur associé dans un magasin de producteurs dans le Nord-Pas-de-Calais ; Jean-Louis Perrod, conseiller en management et formateur. A travers leurs témoignages, Pascale Croc et Guillaume Lheureux ont livré des exemples de situation pouvant conduire à des difficultés relationnelles : une mauvaise répartition des permanences, des disparités dans la répartition des tâches, des équipes différentes chaque jour Jean-Louis Perrod a réagi aux situations décrites en proposant des solutions qui permettent de favoriser lexpression du problème, dutiliser la communication non violente, de redéfinir des règles mieux adaptées, de construire une vision commune ou de se faire accompagner par une personne tierce.
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Produire des semences pour restaurer les prairies naturelles
Agnès CATHALA, AuteurDepuis 2017, dans le Cantal, est mené un projet autour de la production de semences locales pour restaurer les prairies naturelles. En 2012, un agriculteur de lAubrac a commencé à faire des essais de collecte de graines naturelles avec une moissonneuse-batteuse, avec lappui du Conservatoire despaces naturels dAuvergne. Puis, avec linvestissement de la communauté de communes de St-Flour, cela est devenu un vrai projet, avec une expérimentation sur 3 ans, impliquant au total 7 agriculteurs, le Lycée agricole de St-Flour, ainsi que des chercheurs. Lobjectif est de pouvoir valoriser et protéger les prairies naturelles, ressources-clés pour lattractivité d'un territoire comme le Cantal. Pouvoir produire des semences prairiales locales présente plusieurs intérêts quand on ne peut pas laisser la végétation naturelle revenir delle-même. Ainsi, on peut restaurer des prairies dégradées, en lien avec des ravages de rats taupiers ou des sols appauvris en graines suite à des sécheresses ou à des fauches précoces répétées. Les emences prairiales locales permettent également d'implanter des prairies avec une flore locale, dans des rotations longues. Après 3 ans de travail, a été réalisé un recueil de savoirs, accessible en téléchargement, sur les techniques testées, par exemple autour de la récolte des graines, de leur conservation ou encore de leur utilisation. Ce travail se poursuit (2020 et 2021), via un nouveau partenariat intégrant 15 agriculteurs, pour poursuivre les explorations sur les récoltes ou le tri des graines.
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Provence-Alpes-Côte dAzur : Une plateforme web pour la R&D agricole
Agnès CATHALA, AuteurFin 2019, la Chambre régionale dagriculture de Provence-Alpes-Côte dAzur et ses partenaires ont lancé « rd.agriculture-paca.fr », une plateforme collaborative de recherche et développement agricole. Cet outil web a pour vocation de publier et de partager les résultats dexpérimentations réalisées dans la région. Cette plateforme sadresse aux agriculteurs, aux techniciens, aux conseillers, aux acteurs de lenseignement agricole et à toute personne intéressée par une thématique agricole. Elle regroupe plusieurs types de documents : articles, comptes-rendus, fiches techniques Il est possible de les consulter grâce à un moteur de recherche ou en utilisant l'une des différentes rubriques d'entrée proposées par filière, par thématique, par culture et par organisme dexpérimentation.
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Tiers veilleur : une nouvelle mission au service des projets
Agnès CATHALA, AuteurCet article retranscrit linterview de Sophie Bringuy. Cette médiatrice et facilitatrice de projets collectifs assure, depuis 2019, la mission de « tiers veilleur » pour le projet LabPSE - Laboratoire des paiements pour services environnementaux (un projet multipartenarial piloté par Trame). Sophie Bringuy a initialement suivi une formation au Collège des transitions sociétales et a ensuite développé une activité de personne « tierce », cest-à-dire une personne qui intervient pour accompagner des collectifs dans leurs projets (rôle de médiateur et de facilitateur). La présence dune telle personne (« tiers veilleur ») était imposée dans lappel à projets CO3 (CO-Construction des Connaissances pour la transition écologique et solidaire), dont le LabPSE a été lauréat. Les principaux avantages davoir un « tiers veilleur » sont de garantir la dimension participative des projets collectifs et de ne pas dévier des objectifs finaux. Dans cette interview, Sophie Bringuy explique plus amplement son rôle et lillustre par quelques exemples concrets.