Détail de l'auteur
Auteur Alain GRASTEAU |
Documents disponibles écrits par cet auteur (17)
Ajouter à la sélection Affiner la recherche
Bio Portrait
Alain GRASTEAU, AuteurLudivine Leprêtre est installée avec son mari sur une exploitation dans le Nord, depuis 2000. Elle a été élue au Conseil d'Administration de Biolait lors de l'Assemblée Générale 2012. Dans un entretien, L. Leprêtre évoque son parcours : elle s'installe d'abord comme conjoint collaborateur, à Boulogne-sur-Helpe, sur une ferme de 58 ha avec un quota de 241 000 l, 40 vaches laitières, en système tout herbe (mais pas encore en bio), puis elle devient chef d'exploitation avec la reprise d'une autre ferme à Floyon, le village voisin (sur les 42 hectares de cette nouvelle exploitation, 15 jouxtaient le site initial). En 2008, 32 hectares supplémentaires ont été repris, également bien placés, avec 200 000 litres à produire en plus (embauche d'un salarié). L. Leprêtre évoque aussi la crise du lait, sa participation aux actions de l'APLI (Association nationale des producteurs de lait indépendants). La conversion à la bio a démarré en mars 2010 et une première livraison à Biolait a eu lieu en octobre de la même année
Bio portrait
Alain GRASTEAU, AuteurBenoît Drouin est un adhérent de Biolait, dans la Sarthe. Il est également président, depuis juillet 2012, du Réseau Agriculture Durable (RAD). Il est aussi membre de la commission "bio" de l'INAO et administrateur des poulets de Loué. Dans un entretien, il présente son exploitation : 4,5 UTH sur une ferme qui s'étend sur 120 hectares, dont 40 hectares en cultures, 3 poulaillers de Loué en "bio" et 70 vaches (360 à 400 000 litres selon les années). Le quota est de 500 000 litres. Depuis 2010, 30 à 35 000 litres sont transformés à la ferme. Benoît Drouin présente son parcellaire, ses responsabilités extérieures à la ferme, son parcours et son installation en 2002. La conversion s'est faite en 2008.
Se convertir : Pourquoi, comment ?
Alain GRASTEAU, AuteurPour Alain Grasteau, éleveur bio, adhérent par ailleurs de l'association la Voix Biolactée (72), l'idée du passage au bio a démarré en 1999. Le GAEC mère/fils était en question et imposait des adaptations. Une réflexion s'est engagée sur l'évolution du système fourrager qui était basé sur le maïs ensilage (30 à 35 ha/an). Après la mise en place d'un séchage en grange, l'augmentation de la surface en herbe et plusieurs démarches administratives, Alain Grasteau a constitué un dossier MAE Conversion bio en 2007. Après avoir livré son lait bio à la laiterie jusque fin décembre 2009, Alain Grasteau est collecté par la SAS Biolait depuis janvier 2010. Par ailleurs, suite à la retraite de sa mère en 2008, le GAEC s'est maintenu avec l'arrivée d'un nouvel associé.