Détail de l'auteur
Auteur Jérôme GOUST |
Documents disponibles écrits par cet auteur (15)


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Bio-portrait : La ferme de Bodliguen
Jérôme GOUST, AuteurDominique Bourdon, paysan boulanger bio dans le Morbihan, à la Ferme de Bodliguen, a démarré son activité agricole avec un élevage de lapins en plein air en 2003. Aujourd'hui, la ferme dispose de 17 ha, partagés entre blé, colza, sarrasin, lentilles, seigle, mélange céréales-protéagineux. Il transforme ses céréales en farine et en pains. Un encart présente le moulin Astrié, que Dominique utilise pour moudre, notamment, le mélange froment-seigle destiné à la boulange.
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Bio-portrait : En Kanette, chez les pionniers de la bière fermière bio et paysanne ; Pourquoi produire du houblon Nature & Progrès ? ; Pourquoi et comment faire sa bière ?
Jérôme GOUST, Auteur ; Annie KERGOURLAY, Auteur ; Julien GUNTHER, AuteurDans cette série d'articles dédiés à la production de bière, le premier met à l'honneur Annick et Christian Garland, paysans-brasseurs dans le Sud du Tarn. Éleveurs caprins et producteurs de fromages de chèvre bio depuis 1979, le couple a ensuite complété sa production avec des céréales (orge, blé) qu'ils transformaient en farine. C'est au début des années 1990, après l'abandon de la fromagerie, qu'Annie et Christian ont créé leur première production de bière, d'abord avec du houblon sauvage. D'essai en essai, la production s'est développée et la ferme s'est agrandie pour faire place à de nouveaux bâtiments. Des outils ont été conçus maison pour répondre aux besoins de la chaîne de fabrication. Aujourd'hui co-gérée par leurs filles Julia et Flora, la ferme est autonome en houblon. La bière est commercialisée en bouteilles et en fûts sur les circuits courts de la région (vente directe, épiceries, cafés et restaurants, événements, etc.). L'article suivant traite de l'évolution de la culture de houblon et fournit des informations sur les propriétés médicinales de cette plante, ainsi que des éléments techniques pour la cultiver, de l'implantation à la récolte. Trois houblonniers bio avec la mention Nature & Progrès partagent leurs expériences : Johann Laskowski dans les Yvelines (78), Riquier Thévenin dans le Nord (59) et Antoine Floury en Bretagne. Pour finir, le troisième article présente le guide du brassage amateur, publié par Julien Gunther de la Brasserie Grenaille, en Meurthe-et-Moselle.
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Dossier : Alternatives agricoles
Jérôme GOUST, Auteur ; Pierre PEGUIN, Auteur ; Annie KERGOURLAY, Auteur ; ET AL., AuteurEn France, les initiatives pour une agriculture bio et paysanne fourmillent, comme l'insertion, la formation, l'installation, les circuits courts et l'aide à l'accès à la terre. Ce dossier de Nature & Progrès présente plusieurs alternatives, dans les articles suivants : - L'espace-test agricole ; - Optim'ism : l'action bio, positive et solidaire ; - Dans l'Aude, la force de l'union agroécologique et paysanne ; - Les abattoirs à la ferme ; - Les voies (et les voix) du collectif : Voie.X.
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Les vents sauvages
Jérôme GOUST, AuteurPhilippe Piard s'est installé, en 2006, en tant que paysan confiturier bio, à Alrance (12). 1,2 des 6 ha de son exploitation est consacré à la culture de petits fruits. Pour préparer le sol, Philippe réalise des andains de matières végétales (pailles, fougères, BRF) et de matières animales (fumier, crottin, laine). Après plusieurs mois, il les écarte pour installer les cultures. Pour la fertilisation, il utilise du fumier de vache bio. De mai à octobre, les cueillettes se succèdent : rhubarbe, fleurs de sureau, framboises, cassis, caseilles, groseilles, myrtilles, mûres sauvages, poires sauvages, pommes et châtaignes. Il transforme, de l'été jusqu'en janvier, les fruits issus de ses cultures, ainsi que des fruits sauvages, en confitures, sirops et jus de fruits, qu'il commercialise dans les magasins de l'Aveyron, au marché de Montredon et à Biocybèle. En parallèle, Philippe s'investit beaucoup au sein de Nature & Progrès, et plus particulièrement dans la campagne "Secrets toxiques".
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Les Baudry : Un couple millésimé
Jérôme GOUST, AuteurThierry Baudry s'est installé, en 1989, sur la ferme de Larchère (24), exploitation viticole familiale située au cur du vignoble de Bergerac. En agriculture biologique et avec la mention Nature & Progrès, le vignoble comptait alors 22 ha. Aujourd'hui, c'est sur 32 ha que Thierry cultive la vigne avec Muriel, son épouse, qui a conservé un mi-temps salarié à l'extérieur. Si les techniques de culture ont évolué depuis qu'il s'est installé, Thierry Baudry poursuit son travail dans le même esprit qu'au temps de son père, avec un grand respect de la terre. Il partage, dans cet article, la vie de sa ferme, rythmée par le travail de la vigne aux différentes saisons, jusqu'à la cueillette manuelle du raisin et la vinification. Il présente les vins de Bergerac, qui regroupent 7 AOC, et évoque l'impact du réchauffement climatique sur les cépages.
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Bio-portrait : Audrey et Lionel Labit
Jérôme GOUST, AuteurTous deux originaires de la vallée du Viaur, entre l'Aveyron et le Tarn, Audrey et Lionel Labit ont décidé, en 2018, de s'installer en élevage ovin lait bio, optant pour la race locale Lacaune. Cet article retrace leur parcours, de leurs études jusquà la conversion de la ferme des parents d'Audrey pour faciliter leur installation. Éleveur et transformateur, le couple est quasi-autonome. Les Labit ont la mention Nature & Progrès, plus exigeante que le label AB, et ont progressivement établi leur équilibre, en conjuguant leurs activités avec leur vie familiale, tout en restant impliqués dans les structures locales. Pour finir, un encart aborde le devenir des jeunes animaux.
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En Creuse, des vaches rustiques pour un environnement naturel
Jérôme GOUST, AuteurDevenir éleveurs dans un environnement naturel et avec des bêtes rustiques, c'est le souhait que Jean Lafaille et sa femme ont réalisé, en s'installant sur une ferme dans le nord de la Creuse, il y a près de vingt ans. Sensibles à la préservation de la nature et des races rustiques, les Lafaille ont évolué progressivement vers l'agriculture biologique, avant de découvrir et d'introduire, dans leur troupeau de vaches Limousines, la vache Bretonne Pie Noir, une race très rustique et de petit gabarit. Cet article traite de l'intégration de ces nouvelles bêtes, de race à faible effectif, au troupeau. Il apporte aussi des précisions sur la commercialisation de la viande. À l'approche de la retraite, les Lafaille envisagent de transmettre leur ferme. En complément, un premier encart présente l'association FERME (Fédération pour promouvoir les races domestiques menacées) ; un second encart raconte l'histoire de la vache Bretonne Pie Noir, aujourd'hui défendue par l'ASVBA (Association de Sauvegarde de la Vache Bretonne Ancienne).
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Lélevage paysan et le dérèglement climatique
Jérôme GOUST, AuteurSelon une étude de la FAO, lélevage produirait 18 % des émissions globales de GES, bien avant celles causées par le transport. Lauteur revient ici sur ces chiffres et rappelle que ces 18 % concernent toute la chaîne de production (déforestation, élevage, production et transport des aliments pour les animaux, transformation et stockage des denrées animales produites ). Il souligne la différence de taille entre lélevage paysan et lélevage intensif concernant cet impact et ne pense pas que les élevages de porcs et de volailles soient moins fautifs que les élevages de ruminants. Il rappelle que le pâturage des herbivores permet de maintenir des prairies (puits de carbone) et dentretenir des parcours, voire des haies ; ces différents éléments étant propices à la biodiversité. Selon lui, il faudrait redonner la priorité à un élevage paysan, bio et agroforestier pour que lélevage retrouve son rôle positif. Ceci ne serait possible que par un changement dalimentation et non par le véganisme (fausse solution pour lauteur).
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La patate douce
Jérôme GOUST, AuteurLes plus anciens restes archéologiques de la patate douce (Ipomoea batatas) ont été trouvés au Pérou, datés de 8 000 à 6 000 ans avant J-C, et des traces de cultures ont été identifiées ailleurs en Amérique du Sud, de 4 500 ans avant notre ère. La patate douce se serait ensuite répandue dans toutes les régions tropicales et subtropicales. Aujourd'hui, la Chine en est le principal producteur, mais on la trouve partout, et le réchauffement climatique pourrait être un des facteurs de son apparition dans les cultures potagères de nos régions. Des conseils pour bien la cultiver sont fournis. La principale utilisation de la patate douce est la consommation de sa racine tubéreuse, mais le feuillage prélevé avant la récolte s'avère aussi un fourrage de très bonne valeur nutritive.
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Le fenouil
Jérôme GOUST, AuteurLe fenouil sauvage, aromatique et médicinal, est présent presque toute l'année sur les tables italiennes. Ce bulbe renflé et charnu est proposé sous l'appellation de fenouil doux de Florence. Le fenouil condimentaire est plus facile à trouver sous forme de plants qu'à l'état de graines. Il peut se cultiver dans le sud comme plus au nord, en suivant quelques conseils. Eugène Rolland, ethnologue français du XIXème siècle, a relevé de nombreux proverbes et maximes mettant en scène le fenouil, en Gascogne, dans les Landes ou encore dans le Pas-de-Calais...
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La ferme, l'arbre et les bestiaux
Jérôme GOUST, AuteurLa disparition des haies, avec 85 000 km de haies rasées dans la seconde moitié du XXème siècle, fait oublier que les arbres constituaient, au commencement de l'élevage, la plus grande part de l'alimentation des troupeaux dans nos régions. Des recherches montrent que, vers - 4 500, les animaux se nourrissaient de feuilles de chêne, de frêne, de tilleul et de noisetier, que le sapin était utilisé comme litière ou comme fourrage, le gui en complément alimentaire, etc. Aujourd'hui, les menaces de sécheresse qui pèsent sur les éleveurs, les ruptures de pâture en fin d'été et la diminution des stocks de fourrages qui s'ensuit, orientent les réflexions vers un retour aux arbres fourragers. Ces derniers ont pour avantage d'être une source d'alimentation animale, les feuilles d'arbres étant de très grande qualité nutritive, de maintenir la biodiversité et de réguler la température. Cependant, le retour des arbres fourragers n'est pas facile à organiser dans les fermes, notamment parce que la gestion de l'arbre ne répond pas à un rythme annuel, comme le fourrage, mais se prévoit plutôt à l'échéance d'une dizaine d'années. Ce n'est donc pas la même temporalité et il ne va pas de soi d'intégrer cette nouvelle gestion du temps. Malgré tout, l'utilisation fourragère des arbres peut déjà se développer (3 axes sont identifiés) et des pistes apparaissent pour relancer cette pratique.
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Les fraisiers
Jérôme GOUST, AuteurLes variétés modernes de fraises sont les fruits d'un croisement, en 1740, d'une variété rapportée au XVIème siècle du Canada avec une seconde ramenée en 1713 du Chili par un officier de marine. En France, la fraise de Plougastel a permis à la Bretagne de se distinguer au début du XXème siècle, assurant près du quart de la production française. Focus sur cette plante, qui aime les sols riches en humus, un peu acides, bien drainés, et des expositions bien éclairées, et dont les fruits gourmands sont riches en vitamines C, en minéraux et oligo-éléments.
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Arbres fourragers : De l'élevage paysan au respect de l'environnement
Pendant des millénaires, les feuilles d'arbres ont constitué la base de l'alimentation du bétail. La mécanisation de la récolte d'herbe a peu à peu fait disparaître cette pratique, qui a résisté jusqu'au milieu du XXème siècle pour le fourrage d'appoint. L'augmentation des périodes de sécheresse menace aujourd'hui les éleveurs qui, en fin d'été, se trouvent en rupture de pâtures et soit laissent surpâturer certaines prairies, soit doivent entamer prématurément leurs stocks fourragers... Les arbres fourragers représentent une solution à ce problème tout en contribuant à la biodiversité et en fournissant des produits pour d'autres usages : bois de chauffage, BRF, fagots, manches... Jérôme Goust nous explique les arbres, leur fonctionnement et leur valeur fourragère, et raconte l'histoire des arbres fourragers depuis le Néolithique. En s'appuyant sur l'exemple d'agriculteurs qui pratiquent encore cette technique, il présente ce qui peut être fait dès aujourd'hui, les recherches menées par l'INRA, les améliorations techniques qui pourraient redonner toute leur place aux fourrages arborés. Enfin, des fiches présentent plusieurs dizaines d'arbres dont les feuilles peuvent nourrir le bétail. C'est sur le terrain que ce livre s'est construit, au contact d'agriculteurs continuant à utiliser les arbres fourragers et de chercheurs s'attachant à actualiser ces pratiques. Écologiste depuis quarante-cinq ans, agriculteur biologique de 1977 à 1995, responsable de Nature et Progrès pendant des années, Jérôme Goust a toujours agi pour une agriculture biologique, paysanne, permettant une meilleure autonomie des producteurs.
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Le plaisir de faire ses plants bio
Faire ses plants de légumes, de fleurs, d'arbustes... un plaisir supplémentaire pour les jardiniers. Avec des techniques simples, un minimum de matériel, produire ses plants présente de multiples avantages : éviter les aléas de la météo printanière, entretien et désherbage limités, multiplication de variétés rares... plaisir de partager avec ses amis. Après "Le plaisir de faire ses graines", Jérôme Goust permet ainsi de compléter les plaisirs du jardinage tout en contribuant à un jardinage respectueux de la biodiversité. Au sommaire : Partie 1 - du semis à la plante (La graine et la germination ; Les lieux ; Les récipients et matériels ; Les substrats ; Les différents modes de multiplication ; Précautions et erreurs) ; Partie 2 - la multiplication végétative ; Partie 3 - Caractéristiques par famille (Apiacées ; Astéracées ; Borraginacées ; Brassicacées ; Chénopodiacées ; Cucurbitacées ; Graminées ; Grossulariacées ; Iridacées ; Lamiacées ; Lauracées ; Légumineuses ; Liliacées ; Papavéracées ; Polygonacées ; Rosacées ; Solanacées ; Tropéolacées ; Valérianacées ; Verbénacées ; Violacées).
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Du solaire pour tous
Chaque jour, le Soleil couvre notre planète d'une énergie dont nos foyers peuvent bénéficier gratuitement. Rendre cette ressource accessible à tous, tel est le pari réussi de cet ouvrage pratique, utile à quiconque se soucie de faire des économies d'énergie. Quelles sont les surfaces bien ensoleillées à partir desquelles capter simplement l'énergie solaire ? Quelle quantité d'énergie puis-je récupérer le plus aisément ? Quels dispositifs complémentaires mettre en oeuvre pour couvrir l'ensemble de mes besoins ? A travers un questionnement simple, logique et rigoureux, optimisez l'apport en énergie solaire de votre bâtiment. Schémas explicatifs, descriptions détaillées, ce livre est un outil utile pour guider vos premiers pas dans l'habitat solaire, écologique et économique.