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Auteur Abderraouf SASSI |
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Dossier ravageurs aubergine : Evaluation de produits biologiques sur aubergine contre acariens et pucerons (projet « Catapulte »)
Jérôme LAMBION, Auteur ; Abderraouf SASSI, Auteur ; Renaud BRIAS, AuteurL’aubergine est sensible à de nombreux ravageurs (pucerons, acariens, doryphores…). Ces derniers entraînent très fréquemment des pertes financières et des fins de culture précoces. Face aux insuffisances de la lutte biologique et au manque de références sur les produits utilisables en bio, deux produits (Eradicoat et NeemAzal) ont été testés par le GRAB dans le cadre du projet Catapulte (ce projet, financé par FranceAgriMer, vise à améliorer la protection biologique intégrée de l’aubergine). Un essai a ainsi été mis en place, sur la station expérimentale du GRAB, dans deux tunnels de 400 m2. Les acariens ont été les principaux ravageurs de l’essai. Les conditions particulièrement chaudes et sèches de l’été 2019 ont d’ailleurs entraîné une très forte augmentation de leur nombre, ce qui a conduit à un arrêt prématuré de l’essai. Ainsi, aucun des deux produits n’a montré une efficacité suffisante pour stopper l’attaque (efficacité de 30 % pour chacun d’entre eux). Dans ces conditions, il n’a pas non plus été possible de conclure sur leur efficacité à réguler les autres ravageurs (pucerons et doryphores).
Dossier spécial : Implantation de cultures dans des couverts végétaux d’automne couchés au rouleau faca : laitue et haricot
Hélène VEDIE, Auteur ; Abderraouf SASSI, Auteur ; Brieuc DESAINT, Auteur ; ET AL., AuteurEn maraîchage, les références sur les couverts végétaux (CV) sont encore peu nombreuses. Dans le cadre du projet COPREAU, le GRAB a mis en place un essai bio en plein champ afin d’obtenir des références en croisant deux facteurs : le type de couvert végétal x le mode de destruction du couvert. Trois modalités de CV ont été testées (Sol nu ; CV1 = Blé + Pois + Trèfle Incarnat ; CV2 = Orge + Féverole + Pois), ainsi que trois modalités de destruction (EV = Broyage du couvert et enfouissement par le travail du sol ; RF = Couchage du couvert au rouleau faca et travail du sol limité à la ligne de semis/plantation ; Paillage plastique). Deux cultures différentes ont ensuite été implantées : des laitues et des haricots. Un suivi du développement des couverts, de différentes caractéristiques du sol et du développement des cultures a pu être réalisé. Les deux types de CV se sont très bien développés (biomasse de plus de 11 tMS/ha), mais un déséquilibre a été observé dans leur composition avec une prédominance de blé dans le CV1 et de féverole dans le CV2. Concernant les modalités RF, le stade de couchage du CV2 a été bien choisi, alors qu’il a fallu trois passages de rouleau faca pour maîtriser le CV1. Pour la salade, les rendements semblent être affectés par le type de couvert : ils sont inférieurs pour les modalités CV1 (riches en blé). Le mode de destruction semble également influencer les rendements : la présence accrue de limaces pour les modalités RF engendre plus de déchets. Les rendements des haricots semblent être uniquement impactés par le mode de destruction des CV : les modalités RF ont un rendement inférieur et sont en retard d’une dizaine de jours. Globalement, la technique des couverts couchés engendre des pertes de rendement sur les deux cultures. Les résultats confirment aussi l’importance de tester la technique pour des couples « couvert-culture ».
Screening de couverts végétaux pour une utilisation en couverts couchés
Hélène VEDIE, Auteur ; Abderraouf SASSI, Auteur ; Chloé ROCHAT, Auteur ; ET AL., Auteur | AVIGNON CEDEX 9 (Maison de la Bio - 255 Chemin de la Castelette, BP 11283, 84 911, FRANCE) : GRAB (Groupe de Recherche en Agriculture Biologique) | 2018L’implantation de cultures sous couvert présente de nombreux avantages. Dans ce domaine, contrairement aux grandes cultures, très peu de références sont disponibles en maraîchage. Dans le cadre du projet COPREAU (COuverts végétaux pour Préserver la Ressource en EAU), le GRAB a effectué une sélection de différents couverts végétaux destinés à une utilisation maraîchère. Il a pour cela évalué le développement, la « couchabilité » et le potentiel de repousses de huit couverts différents : avoine ; blé-maïs ; avoine-féverole ; seigle-pois ; féverole-trèfle incarnat ; avoine-pois-vesce-moutarde ; seigle-féverole-trèfle d’Alexandrie ; triticale-pois-phacélie. Ces couverts ont été semés le 27 mars 2018, à la volée, avec un enfouissement superficiel à l’aide d’une herse rotative et d’un rouleau. Ils se sont globalement bien développés même si les semis se sont avérés hétérogènes. Ils ont été couchés au rouleau Faca le 26 juin, puis broyés et enfouis le 4 septembre. Globalement, les différents couverts testés ont donné satisfaction avec des espèces et des doses adaptées. Le temps laissé à la réalisation de leur cycle de culture (trois mois, de fin mars à fin juin), est à la fois adéquat pour leur développement et correspond à une période d’interculture en maraîchage de plein champ (notamment pour les choux et les poireaux). Les biomasses obtenues sont par contre hétérogènes et la destruction aurait pu être anticipée pour certains couverts.
Aubergine en agriculture biologique (2017) : Comparaison de variétés et de techniques culturales en culture sous abris
Catherine MAZOLLIER, Auteur ; Abderraouf SASSI, Auteur ; Magalie PRUFER, AuteurEn 2017, le GRAB Avignon a fait des essais en aubergine biologique sous abri froid, culture très présente en Provence. Des variétés (greffées) hybrides F1 ou populations, disponibles en semences conventionnelles non traitées ou en semences biologiques (26 au total, dont 8 en semences biologiques), ont été évaluées par rapport à la variété témoin Black Pearl. En conditions de culture identiques, les variétés se distinguent par : - leur hauteur (induisant des fréquences de palissage différentes) ; - leur rendement total ; - le taux de 2ème choix (faible pour les variétés demi-longues). Parmi les demi-longues noires, Shakira assure le meilleur rendement (7,3 kg/m2 en 1er choix) grâce à un bon calibre (301 g). Z1533 est la plus intéressante des variétés demi-longues zébrées (rendement et fruit brillant). Parmi les longues noires (moins productives avec 4,2 kg/m2), ressortent les variétés E1694 et Flavine. Les longues blanches ne présentent pas d’intérêt (1,1 kg/m2 en 1er choix) et les variétés rondes présentent une moindre productivité mais de bonnes observations sur fruits. Un essai sur les techniques culturales, réalisé en parallèle sur la variété témoin, n’a pas induit de différences significatives dans les résultats obtenus. L’ensemble des résultats des essais devra être validé dans d’autres études.
Variétés de radis demi-long rouge à bout blanc en culture biologique de plein champ dans le Sud Est au printemps et à l’automne : 4 essais variétaux 2016
En maraîchage biologique, le radis est une culture stratégique car elle fournit des légumes à des périodes creuses de production. Avec des cycles courts, il faut savoir, du printemps à l’automne, semer la bonne variété parmi le large panel existant. C’est pourquoi le Grab d'Avignon a testé, en 2016, sur une exploitation, des variétés de type demi-long à bout blanc adaptées à la production biologique dans le Sud-Est. Pour chacune des quatre séries de semis (2 au printemps et 2 en automne), sont décrites, par variété, les qualités visuelles et l'homogénéité de la culture et sont calculés les indicateurs de productivité. Les résultats des essais classent les variétés en 4 groupes, des plus intéressantes aux moins intéressantes en matière de rendement, de calibre, de couleur... Les 4 variétés les plus intéressantes, toutes hybrides F1, sont : Mirabeau, Expo, Apache et Menric. Deux variétés populations figurent dans le 2ème lot (variétés assez intéressantes : Nelson et Pernot tipo). Les séries d’automne donnent en moyenne de meilleurs résultats. Le bilan agronomique, à l’issue des 4 séries, propose des valeurs de références moyennes sur les différents critères pouvant intéresser un producteur.
Patate douce : les références du GRAB depuis 2012
De 2012 à 2015, le GRAB (Groupe de Recherche en Agriculture Biologique) a évalué plusieurs densités, variétés et origines de plants sous abris (2013 à 2015) et en plein champ (2012). Des comptes-rendus ont été réalisés et sont disponibles en ligne : - Essai 2012 : culture biologique de patate douce en plein champ : essai densité en culture ; - Essai 2013 : essai variétal de patate douce en culture biologique sous abris ; - Essai 2014 : essai variétal de patate douce en culture biologique sous abris ; - Essai 2015 : essai variétal de patate douce en culture biologique sous abris. Par ailleurs, une synthèse de ce travail ("La culture de la patate douce en agriculture biologique : itinéraire technique, choix variétal, problèmes sanitaires : l'expérience du GRAB de 2012 à 2015"), disponible également en ligne, a été présentée lors de la Rencontre Technique Légumes Bio en Languedoc-Roussillon, qui a eu lieu le 13 novembre 2015 à Bellegarde (30).
Petites courges plein champ : 3 années d'essais variétaux
De 2013 à 2015, le GRAB (Groupe de Recherche en Agriculture Biologique) a évalué 63 variétés de courges de petit calibre (Butternut, Sucrine du Berry, potimarron, patidou...), en culture biologique, sur sa station en Avignon. 3 comptes-rendus sont disponibles : - Essai variétal 2013 en petite courge en culture biologique de plein champ (Butternut - Potimarron et diversification) ; - Essai variétal 2014 en petite courge en culture biologique de plein champ (Butternut - Potimarron et petite musquée) ; - Essai variétal 2015 en petite courge en culture biologique de plein champ (Butternut - Sucrine du Berry et petite musquée). Deux bilans ont aussi été réalisés : - Bilan variétal 2013 - 2014 - 2015 en Butternut en culture biologique de plein champ ; - Bilan variétal 2013 et 2014 en potimarron orange en culture biologique de plein champ.
Vers un nouveau mode de gestion des couverts végétaux en maraîchage biologique : cultiver sur un couvert couché
Hélène VEDIE, Auteur ; Emmelie MOHRMANN, Auteur ; Abderraouf SASSI, AuteurLe GRAB conduit des recherchesDans le cadre du projet européen « SoilVeg1 », dont l’objectif principal est d’optimiser et de diffuser de nouvelles stratégies de gestion des couverts végétaux pour améliorer la qualité des sols et l’utilisation des ressources énergétiques en production de légumes biologiques. Les essais menés par le GRAB dans le cadre de ce projet ont débuté en 2015. Durant la saison 2015-2016, la technique a été évaluée en plein champ pour une culture de courge de printemps. Différents couverts ont été testés, et la technique de mulch de surface est comparée à une conduite classique des couverts en engrais verts. L’Atelier Paysan est le partenaire du GRAB pour l'aspect machinisme. Ce dossier présente les résultats obtenus.
Engrais verts d'hiver en maraîchage biologique sous abri : Mélanges de graminées et légumineuses en période froide
Hélène VEDIE, Auteur ; Edouard GUILLET, Auteur ; Abderraouf SASSI, AuteurDurant l'hiver 2015, le GRAB a mené des essais sous abri pour obtenir des références sur l'utilisation de mélanges graminées-légumineuses comme engrais verts. Les semis ont eu lieu le 8 janvier 2015 et la récolte début avril suivant. Diverses modalités ont été testées, basées sur des associations concernant quatre graminées (seigle, blé, avoine, RGI) et trois légumineuses (vesce, féverole, trèfle incarnat). Des mesures quantitatives sur la part de chaque espèce (dont les adventices) ont été faites à la récolte. Parmi les principaux résultats, on peut noter que les conditions froides, associées à une durée de culture courte (3 mois), ont été défavorables aux légumineuses (surtout au trèfle incarnat). Ces conditions sont à mettre en lien avec l'obtention de rendements plus faibles que ceux obtenus au cours de précédents essais d'automne. Si le seigle a été plus pénalisé par ces mêmes conditions que le RGI, il étouffe moins les légumineuses tout en limitant les adventices. L'avoine est bien adaptée aux températures froides mais est trop compétitive. Par contre, le blé a eu un développement plutôt lent, favorable aux adventices.
Programme INTERVABIO : des variétés de légumes pour l'AB
Chloé GASPARI, Auteur ; Abderraouf SASSI, AuteurPour répondre aux défis environnementaux et aux besoins d'une agriculture biologique diversifiée, il est nécessaire, pour les producteurs, d'avoir accès à des variétés adaptées à leurs terroirs. Dans ce contexte, le projet Intervabio (pour Interactions entre territoires et variétés en agriculture biologique), initié en 2014, a pour objet l'évaluation de variétés de tomates, poivrons et aubergines, conservées au Centre de Ressources Biologiques de l'Inra d'Avignon. Dans une démarche participative, les essais sont conduits chez des agriculteurs des quarts Nord-ouest, Sud-est et Sud-ouest de la France.
Culture biologique d'oignon bottes sous abris en Provence : Bilan des 2 essais variétaux 2012 et 2013
Catherine MAZOLLIER, Auteur ; Abderraouf SASSI, AuteurLa mise en place de cultures de diversification pourrait être une solution pour limiter les problèmes sanitaires en culture de salade biologique sous abri. Le GRAB s'est penché sur cette problématique en mettant en place deux essais variétaux d'oignons bottes, culture potentiellement intéressante dans ce contexte, en 2012 et 2013. Quatre variétés d'oignon blanc plat, cinq d'oignon blanc allongé, et quatre d'oignon rouge ont été évaluées. Ce dossier présente le dispositif expérimental mis en place, les conditions de culture et les observations réalisées. Celles-ci concernaient le développement végétatif, le stade de récolte et des critères agronomiques. En 2012, les variétés ont été semées à une densité de 150 graines/m², ce qui s'est avéré trop élevé et a entraîné des problèmes divers (grossissement lent des bulbes, étiolement du feuillage, développement de pourriture…). En 2013, une densité de semis de 80 graines/m² s'est avérée plus prometteuse en termes de gestion sanitaire, tout en permettant d'atteindre des rendements intéressants.
Essai 2013 : Diversification en culture biologique sous abri en Provence – Essais variétaux en chou : chou pointu, Pet Saï et Pack Choï
Catherine MAZOLLIER, Auteur ; Abderraouf SASSI, AuteurLa diversification des cultures par rapport aux salades cultivées en hiver sous abris, en Provence, est une piste pour lutter contre les maladies et ravageurs. Dans des essais de 2012-2013, trois choux (hybrides F1) sont comparés, à différentes dates de plantation. L'homogénéité, la hauteur et la fermeté de pomme, ainsi que les nécroses foliaires sont comparées. Le chou pointu d'automne Caraflex présente de faibles nécroses et n'éclate pas, mais c'est Cap Horn qui est le plus lourd (645g en moyenne) et combine bonne homogénéité et faible sensibilité aux nécroses (bordage). Pour la variété témoin Capricorn, une densité divisée par deux (3,5 au lieu de 7 choux par m2) augmente le poids sans compenser la perte de rendement globale. Les plantations de printemps (mai 2013) sont plus adaptées pour Capricorn : le rendement, l'homogénéité sont meilleurs, et on observe moins de bordage. Quant aux Pet Saï d'automne, Kaboko F1 donne de bons résultats en précocité, homogénéité, rendement. Les Pack Choï sont plus difficiles à cultiver, avec des risques de montaison pour les plantations de printemps (février à avril) et de dégâts du gel en plantation d'automne.
Essai 2013 : essai variétal de patate douce en culture biologique sous abris
Catherine MAZOLLIER, Auteur ; Abderraouf SASSI, AuteurLa patate douce, cultivable dans le Sud-est de la France, peut être une culture de diversification intéressante dans les rotations. Après une première année d'essai de cette culture en plein champ, le GRAB a réitéré l'expérience sous abris en 2013. L'objectif : comparer différentes variétés, qu'elles soient déjà disponibles ou non en AB. Dans cet article, les conditions de culture sont présentées (itinéraire technique, climat…), de même que les principaux résultats obtenus. La variété Magliano (Voltz), qui présentait pourtant les plants les moins vigoureux à la plantation, a donné l'un des meilleurs rendements commercialisables : 2,88 kg/m². Globalement, les rendements commercialisables se sont échelonnés de 1,14 à 3,01 kg/m², avec des tubercules pesant de 305 à 487 g (sans considérer les tubercules non-commercialisables). La culture sous abris a permis, d'une part, de réduire les dégâts de taupins et de campagnols (10 % de pertes contre 40 % en plein champ) et, d'autre part, d'accélérer la croissance de la culture et d'obtenir de meilleurs rendements. Un essai similaire en 2014 devrait permettre de valider ces résultats.
Essai variétal en tomate « ancienne » en culture biologique greffée sous abris
Catherine MAZOLLIER, Auteur ; Abderraouf SASSI, Auteur ; Martin FILATRE, Auteur ; ET AL., AuteurLa station expérimentale du GRAB a mené en 2013 des essais variétaux sur tomates greffées sous abris, en agriculture biologique. Des variétés anciennes ont été étudiées : Cœur de Bœuf rouge, Noire de Crimée et fruits ronds jaunes ou oranges. Après une description de l'essai mis en place, les principaux résultats (agronomiques, appréciation visuelle, qualité gustative) sont présentés. Le rendement commercial moyen est de 9,76 kg/m² et le rendement 1er choix moyen de 8,84 kg/m², avec une productivité maximale pour les variétés Cœur de Bœuf (rendement 1er choix moyen de 10,78 kg/m²). Le taux moyen de 2ème choix est de 9 % et le taux de déchets est de 3,2 fruits/m². Par ailleurs, le poids moyen des fruits est très élevé (271 g). Les notes moyennes d'aspect et de qualité gustative sont relativement proches entre les différentes variétés testées, avec des moyennes respectives de 7,5 pour l'aspect et de 6,7 pour la qualité gustative.
Dossier : Comparaison de différents engrais verts pour la pratique de la biodésinfection en maraîchage biologique sous abri
Hélène VEDIE, Auteur ; Christelle MADANI AÏSSA, Auteur ; Abderraouf SASSI, AuteurLa biodésinfection des sols consiste à enfouir de la biomasse végétale fraîche et broyée d'une culture d'engrais vert dit assainissant, associé à un bâchage par film plastique en période estivale (la solarisation). Les plantes assainissantes les plus étudiées aujourd'hui sont les Brassicacées et les Alliacées car elles libèrent des molécules toxiques pour certains agents de maladies cryptogamiques. La station expérimentale du GRAB conduit des essais sur l'utilisation de Brassicacées, en particulier la moutarde brune, en engrais verts pour la biodésinfection avant la mise en culture de salades. Dans ce dossier, les conditions de culture et le protocole des essais sont présentés, tout comme les résultats concernant les engrais verts mis en place (moutardes brunes, sorgho, roquette), la solarisation et la culture de salade. La solarisation a montré un bon niveau d'efficacité qui n'a pas permis de différencier l'effet sanitaire des engrais verts testés.