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Auteur Florence LETAILLEUR |
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Actualité technique : Conférences Tech&Bio de la Drôme - 7 et 8 septembre 2011
Brigitte LAMBERT, Auteur ; Florence LETAILLEUR, AuteurCet article résume trois conférences présentées lors du salon professionnel Tech & Bio, qui a eu lieu les 7 et 8 septembre 2011, dans la Drôme. La première conférence porte sur la comparaison de systèmes labour/non labour/techniques culturales simplifiées en grandes cultures biologiques. Une vaste étude a été mise en place sur quatre sites, couplée à des observations chez des agriculteurs bio. L'article fait un point sur les premières conclusions concernant les effets sur la structure du sol, la matière organique et la vie du sol, ainsi que sur les adventices. La deuxième conférence portait sur la diversité des circuits de valorisation pour les légumes bio. Pour traiter cette thématique, Alexandre Caze présente le développement des « Bio Cabas » par la coopérative Norabio. Les Bio Cabas sont des paniers de fruits et légumes bio livrés chaque semaine dans des points relais. La deuxième intervention porte sur la filière longue légumes bio d'Agrial. Rémi Richard présente l'activité de la coopérative Agrial et sa filière légumes de la 1ère à la 5ème gamme. La troisième conférence portait sur les moyens de lutte en maraîchage bio. Plusieurs intervenants sont venus présenter successivement : l'utilisation de planches permanentes, les alternatives au soufre pour traiter l'oïdium et la protection de la culture de chou-fleur.
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Actualité technique : Sarthe : un essai système en grandes cultures bio
Florence LETAILLEUR, AuteurUn essai système en grandes cultures bio a été implanté, en avril 2020, dans une parcelle de Guy Blanche, un paysan-boulanger sarthois, en bio depuis plus de 25 ans. Cet essai a été mis en place suite à des réflexions menées par des agriculteurs du groupe 30 000 grandes cultures bio sarthois (dont fait partie Guy Blanche). Lobjectif de ce groupe est déchanger sur la gestion des adventices et le maintien de la fertilité des sols en AB. Ses membres souhaitent travailler sur des "essais systèmes" pour évaluer les effets de certaines pratiques à léchelle dune rotation. La conception de lessai installé chez Guy Blanche a débuté en 2018, avec lappui de Vincent Lefèvre (agri-chercheur). Deux ans de co-conception (incluant des chercheurs, des agriculteurs et des experts) ont été nécessaires pour mettre au point cette expérimentation. Quatre systèmes de cultures vont être testés : système céréalier pur (sans apport de matière organique animale), système effectuant des échanges avec des éleveurs et deux systèmes identiques aux précédents mais sans labour. Ils seront basés sur une même rotation de 9 ans (trois ans de luzerne, maïs, chanvre, blé, colza, triticale, orge brassicole) et vont devoir répondre à quatre principales attentes (gérer les adventices pour quelles nimpactent pas la culture, augmenter la fertilité du sol, obtenir des marges intéressantes et diminuer le temps de travail).
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Actualité technique : Séminaire AB et Agroécologie
Robin GUILHOU, Auteur ; Florence LETAILLEUR, Auteur ; Brigitte LAMBERT, AuteurLe 27 novembre 2016, un séminaire a été organisé à destination des enseignants et formateurs des Pays de la Loire, par la Chambre dAgriculture, autour de la question suivante : « Agriculture biologique, Agroécologie De quoi parle-t-on ? » Les 4 articles de ce dossier permettent de restituer la seconde partie des interventions liées à cette journée. Le premier article présente « Les grands principes de lagriculture écologiquement intensive » en se basant sur lintervention de Michel Griffon, président de lassociation internationale pour une Agriculture Écologiquement Intensive (AEI). Le deuxième article présente lintervention de Matthieu Calame, ingénieur agronome, directeur de la fondation Charles Leopold Mayer, sur le thème suivant : « Agro écologie, concepts et principes ». Le troisième article permet de « Comprendre différentes alternatives et situer la bio », thème traité lors de la table ronde n°1 regroupant M. Griffon, M. Calame, JM. Morin et F. Léger. Le dernier article se base sur la table ronde n°2 : « Comment produire mieux et autrement », regroupant un sociologue et des agriculteurs témoins.
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Actualité technique SIVAL 2014 : Conférence : quels résultats scientifiques pour la viticulture biodynamique ?
Florence LETAILLEUR, AuteurA l'occasion du Sival 2014, 200 personnes ont suivi une conférence sur la viticulture biodynamique. Parmi les intervenants, Olivier Lecomte, vigneron dans le Layon (Maine-et-Loire), a présenté son vignoble, conduit en agriculture biologique depuis 1998 et en biodynamie depuis 2011. Anne Duval Chaboussou a présenté l'essai Biodynaviti, mené depuis 2011 par l'Association technique viticole du Maine-et-Loire (ATV 49). Ce projet doit étudier pendant cinq ans l'effet des préparations biodynamiques sur le fonctionnement de la vigne et sur la qualité des raisins. Georg Meissner, de l'Institut de recherche de Geisenheim (Allemagne), a présenté les essais comparatifs entre systèmes intégré, biologique et biodynamique.
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Agroforesterie : Retour sur la journée Innov'action 2013
Florence LETAILLEUR, AuteurLes Chambres d'agriculture des Pays de la Loire ont organisé, le 13 juin 2013, une journée Innov'action consacrée à l'agroforesterie. Ainsi, plus de 70 agriculteurs et techniciens se sont rendus en Charente-Maritime, sur l'exploitation de Claude Jollet, l'un des pionniers de ce type de système. Sur les 158 ha qu'il cultive, 55 ha sont conduits en agroforesterie, dont une partie en agriculture biologique. Noyers à fruits, noyers à bois et merisiers y côtoient céréales d'hiver et prairies. L'agriculteur a présenté les atouts et contraintes de son système agroforestier : utilisation de l'eau et des éléments minéraux présents en profondeur par les arbres et restitution des minéraux aux cultures associées, lutte contre l'érosion mais baisse des rendements après 20 ans de culture, en lien avec des densités de plantation des arbres trop importantes (70 à 100 arbres/ha). Aujourd'hui, les préconisations ne dépassent pas 40 à 50 arbres/ha. Selon Claude Jollet, cette erreur est liée à son statut de pionnier, et aux manques de références disponibles à l'époque de son installation.
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DinABio 2013 : Session Références et transmission des savoirs
Fanny CHRETIEN, Auteur ; Laetitia FOURRIÉ, Auteur ; Céline CRESSON, Auteur ; Florence LETAILLEUR, Auteur | PARIS Cedex 07 (147 Rue de l'Université, 75 338, FRANCE) : INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) | 2013L'acquisition et l'analyse de références, puis la transmission des savoirs sont deux thématiques qui interrogent aujourd'hui la recherche. On trouve, dans cette session du colloque DinABio 2013, plusieurs résumés de communications concernant l'acquisition, l'analyse, puis la diffusion de références et de connaissances. En région Wallone, un plan de recherche en agriculture biologique et autonomie protéique a été lancé, en s'appuyant sur une équipe de recherche transversale et pluridisciplinaire. Le projet RefAB, en France, a permis de construire une méthodologie commune de production de références en AB, qui s'appuie sur cinq propriétés : résilience, autonomie, diversité, équité, écologie. Dans le Massif Central, une analyse des résultats technico-économiques des systèmes d'élevage biologique a mis en évidence les principaux critères déterminants du bon fonctionnement et de l'évolution de ces systèmes. Ces références et acquis doivent ensuite être transmis et utilisés. Les principaux résultats d'une enquête sur le système d'information en agriculture biologique sont présentés. Les caractéristiques des connaissances que les agriculteurs mobilisent pour faire évoluer leur système sont analysées, tout comme les programmes d'expérimentations de 4 stations. Deux exemples illustrent l'importance des collaborations entre recherche et développement ou techniciens et agriculteurs. Enfin, la question de la transmission des savoirs est élargie à la transmission du métier d'agriculteur.
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Dossier Sival
Maëlle DEPRIESTER, Auteur ; Florence LETAILLEUR, Auteur ; Cécile SALPIN, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier retranscrit six interventions réalisées dans le cadre du Sival 2020. La première est consacrée à lintégration de couverts dans les rotations maraîchères et explique leurs avantages agronomiques, l'intérêt des couverts multi-espèces, leurs semis et leurs destruction. La deuxième intervention relate le témoignage de Cécile Lechat, productrice de petits fruits bio en Loire-Atlantique. Elle liste différents points à prendre en considération avant de choisir le lieu où sinstaller, puis évoque la commercialisation. Le troisième article porte sur les pommes bio : la demande se développe mais loffre doit se structurer par rapport à la distribution et à la restauration. Plusieurs professionnels ont échangé sur cette thématique lors dune table ronde organisée par les INTERBIO Bretagne, Centre et Pays de la Loire. Larticle suivant reprend une présentation dINTERBIO Pays de la Loire et effectue un point sur le marché de la bio en Europe à laide de données chiffrées (chiffre daffaires, consommation et surface). Le cinquième article apporte les conseils techniques de Maxime Chabalier (conseiller maraîchage en Vendée) pour limiter la perte de calibre des tomates bio après le 4ème bouquet. Enfin, le dernier article porte sur la conservation des potimarrons en bio. Il présente les résultats des travaux menés depuis cinq ans à la Station dExpérimentation de Bretagne Sud.
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Les extraits végétaux : une solution d'avenir pour la protection du vignoble ?
Florence LETAILLEUR, AuteurLors de l'édition 2018 du Sival, une conférence consacrée à la protection des vignes par l'utilisation d'extraits végétaux a réuni près de 70 personnes. Ces extraits peuvent être, soit des produits fabriqués sur la ferme (tisane, infusion, décoction, extrait fermenté), soit des produits formulés (huiles essentielles). Les résultats de plusieurs projets de recherche sur le sujet, terminés ou en cours, et conduits en bio pour la plupart, ont été présentés. Certains des résultats obtenus sont encourageants, notamment dans l'objectif de réduire les doses de cuivre utilisées dans les vignobles mais, globalement, ils sont à renforcer ou à valider en plein champ.
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Focus sur le nouveau contrat « Grains de terroir bio »
Florence LETAILLEUR, AuteurDans l'objectif de fournir des céréales locales pour l'alimentation des volailles biologiques de Loué, un contrat quadripartite est mis en place entre le producteur, les organismes de collecte, les fabricants d'aliments et le groupement d'éleveurs CAFEL (qui gère les volailles de Loué) sur les départements suivants : Mayenne, Sarthe, Maine-et-Loire, leurs départements limitrophes, l'Eure et le Loiret. Le contrat est signé pour 5 ans et comporte un engagement sur les volumes et sur des prix planchers et plafonds. Les principales cultures recherchées sont le maïs et le blé, mais les mélanges céréaliers sont aussi acceptés (tricitale+pois) en bio ou deuxième année de conversion.
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Grandes cultures biologiques en Pays de la Loire : Références technico-économiques 2009
Marjorie BICHET, Auteur ; Stéphanie GUIBERT, Auteur ; Florence LETAILLEUR, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 02 (CAB - 9 Rue André Brouard, BP 70510, 49 105, FRANCE) : RESEAU BIO DES CHAMBRES D'AGRICULTURE DES PAYS DE LOIRE | 2010Depuis 2004, un réseau de 18 fermes de références grandes cultures a été constitué dans les Pays de la Loire. Les données récoltées permettent l'établissement de critères technico-économiques tels que le temps de travail, le nombre d'interventions, les rendements, les coûts de production Sur les 18 fermes suivies, 5 sont spécialisées en grandes cultures, les autres disposent d'ateliers de productions animales représentatives des systèmes présents dans les Pays de la Loire ; cependant, chacune de ces exploitations produit au minimum 20 ha de céréales et/ou protéagineux. Les types de cultures mises en place dépendent du système. Les rotations sont en général plus longues sur les exploitations ayant des surfaces fourragères, mais les prairies ne sont pas toujours inclues dans les rotations. Les débits de chantiers et nombre de passages sont peu variables. Le labour est très présent mais n'est pas systématique. Les rendements sont stables sur les 6 campagnes et les prix de vente se maintiennent. Le poste mécanisation constitue le poste de charge le plus important.
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Grandes cultures biologiques en Pays de la Loire : Système « Grandes cultures - Aviculture - Bovin viande » : Chiffres 2009
Marjorie BICHET, Auteur ; Stéphanie GUIBERT, Auteur ; Florence LETAILLEUR, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 02 (CAB - 9 Rue André Brouard, BP 70510, 49 105, FRANCE) : RESEAU BIO DES CHAMBRES D'AGRICULTURE DES PAYS DE LOIRE | 2010Depuis 2004, un réseau de 18 fermes de références grandes cultures a été constitué dans les Pays de la Loire. Les résultats présentés ici concernent le système « Grandes cultures-Aviculture-Bovin viande ». Ce type de système a en moyenne 46 UGB, 800 m² de volailles de chair et 47 ha de grandes cultures pour 93 ha de SAU. Une partie de la production céréalière est autoconsommée par les animaux et le reste est commercialisé. Plus de la moitié de la sole est dédiée aux prairies et jachères. Les cultures de triticale, mélanges céréales-protéagineux, maïs grain et blé représentent environ, chacun, 15 % de la surface en grandes cultures. La longueur des rotations varie de 6 à 9 ans. Elles intègrent la plupart du temps les prairies temporaires ou jachères. Le document donne les itinéraires techniques des principales cultures (blé, triticale, associations céréales/protéagineux, féverole d'hiver, maïs) : planning des principales interventions, rendements moyens, fertilisation et temps de travail. Il apparaît ainsi que le maïs est deux fois plus exigeant en temps que les cultures d'automne. Enfin, un tableau présente les coûts de production pour les différentes cultures.
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Grandes cultures biologiques en Pays de la Loire : Système « Grandes cultures - Lait » : Chiffres 2009
Marjorie BICHET, Auteur ; Stéphanie GUIBERT, Auteur ; Florence LETAILLEUR, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 02 (CAB - 9 Rue André Brouard, BP 70510, 49 105, FRANCE) : RESEAU BIO DES CHAMBRES D'AGRICULTURE DES PAYS DE LOIRE | 2010Depuis 2004, un réseau de 18 fermes de références grandes cultures a été constitué dans les Pays de la Loire. Les résultats présentés ici concernent le système « Grandes culturesLait ». Le document rappelle tout d'abord les caractéristiques de ce système (UTH, UGB, SAU ), puis donne les itinéraires techniques des principales cultures (blé, triticale, féverole, maïs, association de céréales/protéagineux) : rotation, planning des principales interventions, rendements moyens et temps de travail. Il apparaît ainsi que le maïs est deux fois plus exigeant en temps que les cultures d'automne. Enfin, un tableau présente les coûts de production pour les différentes cultures.
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Grandes cultures biologiques en Pays de la Loire : Système spécialisé « Grandes cultures » : Chiffres 2009
Marjorie BICHET, Auteur ; Stéphanie GUIBERT, Auteur ; Florence LETAILLEUR, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 02 (CAB - 9 Rue André Brouard, BP 70510, 49 105, FRANCE) : RESEAU BIO DES CHAMBRES D'AGRICULTURE DES PAYS DE LOIRE | 2010Depuis 2004, un réseau de 18 fermes de références grandes cultures a été constitué dans les Pays de la Loire. Les résultats présentés ici concernent le système spécialisé « Grandes cultures ». Ce type de système ne dispose pas de surface en herbe valorisée par les animaux. Les rotations y sont assez courtes (4, 5 ans), les terres ont de bons potentiels et les cultures de blé et de maïs ont une place prépondérante dans l'assolement (29 % et 25 % de la surface totale de l'assolement). Le document donne les itinéraires techniques des principales cultures (blé, féverole d'hiver, maïs, tournesol) : planning des principales interventions, rendements moyens, fertilisation et temps de travail. Il apparaît ainsi que le maïs est deux fois plus exigeant en temps que les cultures d'automne. Enfin, un tableau présente les coûts de production pour les différentes cultures.
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Lutte biologique contre les ravageurs des légumes : quoi de neuf ?
Florence LETAILLEUR, AuteurLe 18 janvier 2017, une conférence sur la thématique de la lutte biologique contre les ravageurs des légumes a été organisée par la CAB des Pays de la Loire, lors du SIVAL, dans le cadre de la restitution du programme régional dessais AGREABLE. Les luttes contre les ravageurs abordées sont : lutte contre la mineuse de la carotte avec des haies et bandes enherbées comme apport de biodiversité fonctionnelle, et des barrières de chanvre ; lutte contre les altises ; Luc Lacombe, en bio en Loire-Atlantique, témoigne sur ses pratiques (bassinage combiné à un encollage lors des passages de herse) ; lutte contre les pucerons des cucurbitacées ; les plantes relais sont efficaces, les huiles essentielles présentent des résultats peu concluants et lassociation concombre tomate semble donner de bons résultats. En fin de présentation, des questions autour de la lutte contre le taupin de la pomme de terre et de la conservation des courgettes ont été posées. Les actions sont : le tourteau de ricin à la plantation et au buttage contre le taupin, ainsi que la santé de la culture pendant la végétation ; les conditions de récolte, la ventilation et lhygrométrie pour la conservation des courgettes. Pour finir, le programme FERTIPRO est évoqué.
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Le marché de la viande bovine biologique : un marché en expansion
Florence LETAILLEUR, Auteur21,7 % du cheptel allaitant biologique français se trouve en région Pays de la Loire, mais le marché de la viande biologique est aussi fortement alimenté par les animaux laitiers. Les deux principales filières sont l'Unebio et la Socopa-Charal-Bigard, tandis que la vente directe permet de valoriser 22 % du cheptel allaitant.