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Auteur Célia BORDEAUX |
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Laménagement et la valorisation de parcours à haute valeur protéique témoignage de Jérôme Caillé (79 Largeasse)
Célia BORDEAUX, AuteurEn 2011, Jérôme Caillé est passé en bio et a monté son premier poulailler (480 m²) avec le groupement Bodin Volailles. Ce groupement encourage les plantations sur le parcours, en fixant une prime sur le kilo vif vendu destinée aux éleveurs qui sengagent dans une démarche agroforestière (plantation de 1250 à 2000 arbres pour un bâtiment de 480 m²). Grâce à son expérience, Jérôme Caillé conseille sur les espèces à semer sur le parcours. Selon lui, il faut tout mettre en uvre pour que les volailles sortent delles-mêmes, en semant des mélanges despèces dont elles sont friandes, comme le trèfle. Pour gérer les sorties de trappes où pratiquement rien ne tient en raison du piétinement, Jérôme sème les restes de semences de ses cultures céréalières. Pour la mise en place du projet, Jérôme Caillé conseille danticiper au maximum limplantation des parcours, même avant le démarrage du chantier, notamment pour leffet ombragé des arbres et pour une meilleure implantation du parcours en herbe. Lentretien des parcours se fait au broyeur ou à la faucheuse en fonction des lots prévus et des attirances des volailles. Au niveau de la conduite, toutes les trappes sont ouvertes, de jour comme de nuit. Le parcours est entièrement grillagé et électrifié afin déviter lattaque de nuisibles comme les renards. Laliment bio coûtant très cher, lintérêt économique de l'accès aux parcours reste majeur.
Vinification en bio : pratiques et évolutions réglementaires
Célia BORDEAUX, AuteurLors de la dernière édition du SIVAL en janvier 2019, une conférence sur la vinification biologique et les fermentations indigènes a été organisée par la Chambre dAgriculture des Pays de la Loire. S. Becquet (ITAB) a commencé par présenter les résultats de lenquête nationale sur les pratiques nologiques en bio. Il en ressort que, en bio, le soufre est encore bien utilisé, même si 25 % des vignerons disent réaliser des cuvées sans SO2. La fermentation indigène est aussi largement employée(40 % lutilisent en fermentation spontanée et 17 % avec pieds de cuve). Au niveau réglementaire, de nouveaux intrants sont autorisés en bio : autolysats de levures, protéines de pommes de terre, chitosane dérivé dAspergillus niger, extraits protéiques levuriens et levures inactivées. Un encart présente lévolution de la réglementation en conventionnel depuis 2012 et la façon dont ces évolutions ont été évaluées par l'EGTOP (groupe d'experts européen pour la bio).
Élevages ovins : quelles difficultés lors du passage en bio ?
Célia BORDEAUX, AuteurDans le cadre du projet SECURIBIOV (Sécurisation des trajectoires de conversion en agriculture biologique des élevages ovins allaitants des Pays de la Loire), une enquête a été menée auprès douze éleveurs ovins bio de cette région, en conversion ou récemment installés en bio, dans le but d'identifier les principaux freins rencontrés. Après une description détaillée et technique des caractéristiques de ces exploitations, les conclusions de lenquête sont présentées. Il en ressort que, par rapport au passage en bio, les systèmes antérieurs étaient globalement « assez proches du bio » dans le sens où ils étaient majoritairement basés sur lherbe et qu'ils employaient peu de chimie. Le passage au bio a donc entraîné peu dévolution des pratiques, et celle-ci concerne principalement une réflexion sur la race (animaux plus rustiques) et une diversification de lassolement. Les freins identifiés portent principalement sur le manque de valorisation de lagneau bio en filière longue et, dans une moindre mesure, sur limpossibilité davoir recours aux inséminations artificielles et aux traitements hormonaux, ainsi que sur la question de lautonomie alimentaire qui est souvent reliée à la disponibilité des terres. Certaines problématiques liées à linstallation sont également ressorties : mauvaise évaluation du travail (quantité et pénibilité), manque de maîtrise technique, mauvaise évaluation du potentiel des terres. Un besoin en formation et en accompagnement technique s'est également fait sentir.
Vergers-maraîchers et microfermes maraîchères, des opportunités pour les porteurs de projets ?
Célia BORDEAUX, AuteurLors du Sival 2018, une conférence sest tenue sur la viabilité économique des fermes agroforestières, associant fruits et légumes, ainsi que des microfermes maraîchères. Les différentes étapes du projet CasDar SMART ont été présentées : le recensement des microfermes en France, puis lanalyse de leur fonctionnement afin de produire des outils daide à la réflexion à destination des agriculteurs. Ensuite, François Léger a exposé les résultats de la thèse de Kévin Morel portant sur la viabilité économique des microfermes. A partir dune première phase denquête et de construction de profils types de fermes, Kévin Morel a réalisé des scénarios basés sur un revenu minimal et un temps de travail maximal. Il résulte, des simulations effectuées, quaucun scénario ne permet une viabilité économique garantie à 100 % ; mais, en période de routine, les systèmes ont plus de 86 % de probabilité de pouvoir atteindre 600 de revenus avec un temps de travail annuel de 2500h. Enfin, le témoignage de Jérôme Dehondt, paysan bio, a clôturé la conférence. Jérôme est installé depuis 6 ans à Durtal. Sur les 12 ha de la ferme, inspirée des principes de la permaculture, 2,5 ha sont cultivés comme un jardin en agroforesterie.
Actualité technique : Séminaire AB et Agroécologie
Paulette HURIEL, Auteur ; Célia BORDEAUX, Auteur ; Elisabeth COCAUD, AuteurLe 27 novembre 2016, la Chambre dagriculture des Pays de la Loire a organisé un séminaire autour de la question suivante : « Agriculture biologique, Agroécologie De quoi parle-t-on ? », à destination des enseignants et formateurs. Ce dossier regroupe 4 articles. Le premier se base sur lintervention de François Léger et permet de définir lagroécologie. Le deuxième est le témoignage de Michel Réveillère, arboriculteur bio à Bouzillé, qui présente son parcours, les difficultés quil a rencontrées et les actions quil mène en faveur de la biodiversité. Le troisième est le témoignage dÉtienne Heulin, éleveur de chèvres bio à Marigné, qui présente lintérêt de la valorisation des haies dans lalimentation des chèvres. Enfin, le dernier article présente la caractérisation des agriculteurs dits « Agro-écologues », selon une étude menée par la sociologue Bertille Thareau.
Etat des lieux et perspectives de développement de filières pour l'alimentation avicole biologique
Célia BORDEAUX, AuteurLe 1er janvier 2018, le règlement européen de lagriculture biologique va imposer le passage à une alimentation 100% bio en élevage de monogastriques. En aviculture biologique, les éleveurs et les opérateurs sinquiètent des conséquences que cela va engendrer. Le projet de recherche CASDAR Avialim Bio a été conduit de 2011 à 2015. Ses objectifs étaient didentifier et de caractériser des matières premières biologiques riches en protéines d'un point de vue nutritionnel, susceptibles de représenter une alternative aux matières azotées dorigine conventionnelle (soja notamment), et de tester ces matières premières et des stratégies alimentaires innovantes en station expérimentale et en élevage avicole. Le tout afin de repérer les matières premières les plus prometteuses, et de lancer une réflexion sur la structuration de filières de production de ces matières. Six matières premières ont été étudiées : le concentré protéique de luzerne, lortie, le tourteau de sésame, le tourteau de chanvre, la crépidule et les larves dinsecte. Cet article présente les principaux résultats obtenus pour chacune de ces filières des matières premières étudiées.
Quelles solutions et outils techniques pour accompagner le passage à une alimentation 100 % biologique en élevage avicole ?
Célia BORDEAUX, Auteur ; Antoine ROINSARD, Auteur ; Fabrice MORINIERE, Auteur ; ET AL., AuteurLa fin des dérogations au règlement européen de lagriculture biologique (CEE 889/2008 article 43) imposera le passage à une alimentation 100 % Bio en élevage de monogastriques au 1er janvier 2018. Afin déviter laugmentation de lutilisation de tourteau de soja importé dans les aliments, la recherche de sources de protéines alternatives est nécessaire. Dans cet objectif, le projet Avialim Bio visait à : i) identifier et caractériser des matières premières potentiellement riches en protéines ; ii) tester leur incorporation dans des aliments complets en station expérimentale et en élevage ; iii) étudier les conditions du développement des filières de production de six matières premières prometteuses (concentré protéique de luzerne, tourteau de chanvre, tourteau de sésame, ortie séchée, larves dinsectes, et crépidule). Les résultats du projet ont permis de dégager plusieurs pistes complémentaires : la nécessité daméliorer la caractérisation nutritionnelle des matières premières et de leur variabilité, de diversifier les sources de protéines disponibles, de créer plusieurs filières de production de matières premières « nouvelles », et de développer en France des filières de production de matières premières classiques tracées et qualitatives.
Quelles sont les difficultés imaginées ou vécues lors du passage en agriculture biologique pour les éleveurs de chèvres ?
Célia BORDEAUX, AuteurLa demande des laiteries et des consommateurs en lait bio de chèvre augmente, mais la collecte peine à se développer dans le Grand Ouest. Au sein du projet de recherche DevCap AB, mené dans les Pays de la Loire, une trentaine déleveurs caprins livreurs de lait en conventionnel, en conversion ou certifiés AB ont été enquêtés, afin didentifier les freins au passage en bio. Les inquiétudes exprimées par les éleveurs conventionnels ou récemment convertis sont notamment : - limpact sur la production ; - un foncier insuffisant ; - la maîtrise des charges ; - la marge disponible ; - des évolutions réglementaires ; - la filière (évolutions des prix, engagement des laiteries). Finalement, les points de convergence entre les inquiétudes projetées et la réalité des obstacles vécus par les éleveurs bio se situent principalement autour des freins techniques : - la maîtrise du parasitisme en lien avec la conduite au pâturage ; - lappropriation de compétences en grandes cultures pour produire suffisamment de matières premières de qualité et nourrir le cheptel ; - linsémination artificielle en AB (capacité à ne pas utiliser dhormone de synchronisation). Dans le contexte actuel, la question économique ne représenterait pas un problème. En conclusion, daprès les éleveurs bio, au-delà des questions techniques, la principale difficulté se trouve dans la nécessité de prendre des décisions avec une vision globale du système.
Stratégies et matières premières innovantes : essais alimentaires conduits en volaille de chair dans le grand ouest
Célia BORDEAUX, AuteurDès le 1er janvier 2018, lalimentation des monogastriques devra être 100 % bio. En aviculture, des inquiétudes existent quant à limpact de ce changement dalimentation sur les résultats technico-économiques, la qualité, etc. Les projets de recherche AVIALIM Bio et MONALIM Bio ont permis didentifier et de caractériser (en station expérimentale et en élevage avicole) des matières premières biologiques riches en protéines, comme alternative au « tout soja ». Ils ont également permis de tester des matières premières et des stratégies alimentaires innovantes. Cet article présente la méthodologie et les principaux résultats des essais conduits en poulets de chair. Dans les essais 1 et 2, un aliment concentré protéique de luzerne + protéagineux a été testé. Pour les essais 3 et 4, des formules atypiques avec incorporation réduite de soja au profit dune diversité de matières premières alternatives ont été expérimentées. Enfin, pour lessai 5, un aliment ortie + protéagineux a été proposé aux animaux. Les essais 1 et 2 sont à creuser en faisant évoluer les formulations des aliments. Pour les essais 3, 4 et 5, laliment est adapté du point de vue technique, mais est coûteux.
Témoignage de Vinh NGUYEN, formulateur chez Aliments Mercier
Célia BORDEAUX, AuteurCe témoignage de Vinh NGuyen, formulateur chez Aliments Mercier, permet de comprendre les contraintes quune alimentation 100% bio implique. Selon lui, le principal bémol vient de lapprovisionnement, qui ne pourrait actuellement pas se faire entièrement en France, et pose donc la question de la fiabilité des matières premières importées. Dun point de vue technique, cest réalisable, lentreprise commercialise déjà une gamme 100 % bio. Le passage en 100 % bio pourrait, pour un fabricant d'aliments, impacter structurellement les entreprises par la nécessité de disposer de plus de cellules de stockage. Lincorporation de matières premières innovantes (ortie, crépidule) semble possible dun point de vue technique, et intéressante pour le formulateur. Des essais seront conduits au Lycée Nature (85), dans le cadre du projet Secalibio, en collaboration avec Aliments Mercier, dans le but de trouver des formulations économisant les protéines sur la durée de lengraissement.
Valeur nutritionnelle des sources de protéines biologiques pour l'alimentation des volailles : résultat d'essais digestibilités
Hervé JUIN, Auteur ; Célia BORDEAUX, AuteurDans le cadre de deux projets de recherche sur lalimentation des volailles (CasDar Avialim Bio et Core Organic II ICOPP), la digestibilité de 37 matières premières a été mesurée in vivo sur des coqs et des poulets. Ces travaux ont notamment montré des valeurs différentes de celles des produits conventionnels et une variabilité élevée des résultats pour les tourteaux de soja et de tournesol.
Valorisation de matières premières locales pour l'alimentation des poulets en agriculture biologique
Antoine ROINSARD, Auteur ; Célia BORDEAUX, Auteur ; Stanislas LUBAC, Auteur ; ET AL., AuteurLe passage à une alimentation 100 % biologique suscite de nombreuses interrogations au sein des filières avicoles et auprès des fabricants daliments biologiques. La formulation dun aliment 100 % biologique sans recours aux concentrés protéiques conventionnels actuellement autorisés à hauteur de 5 % pose divers problèmes : leur substitution par des matières premières (MPs) biologiques risque à court terme daugmenter la dépendance protéique des filières animales biologiques aux importations (essentiellement de tourteau de soja), et de générer des incertitudes techniques et économiques. Des projets de recherche (français et européens) se sont intéressés à cette thématique : cette synthèse en présente les principaux résultats. Une importante variabilité des valeurs nutritionnelles des matières premières biologiques, tourteaux doléagineux en particulier, a été mise en évidence dans des mesures de digestibilité, en lien notamment avec les procédés technologiques utilisés. Une meilleure connaissance de la valeur nutritionnelle des MPs biologiques est un élément clef de réussite du passage à une alimentation 100% biologique. En termes de formulation, des MPs de substitution sont prometteuses mais se heurtent à des manques de disponibilité (gluten de maïs bio ; tourteau de soja français tracé ; tourteau de sésame, etc ), à des prix prohibitifs (ortie, co-produits issus de la transformation de graines de chanvre, spiruline, etc .) et/ou à des verrous réglementaires (farines de poisson, larves dinsectes). Pour ces raisons, le passage à une alimentation 100 % biologique augmentera à court terme le recours au tourteau de soja (et les importations). Des surcoûts sont constatés dans les essais en lien avec un prix plus élevé de laliment et déventuelles augmentations dIndices de Consommation (IC). Des stratégies de formulation à plus faible niveau de protéines en finition peuvent permettre de les limiter. Améliorer la qualité et la disponibilité des matières premières locales, et mieux valoriser le parcours comme source de nutriments sont des pistes intéressantes, mais sur lesquelles des recherches complémentaires sont nécessaires.
AVIFAF : L'outil d'aide à la formulation pour les éleveurs avicoles
Célia BORDEAUX, Auteur ; Aude CHARMASSON, Auteur ; Elodie BETENCOURT, AuteurLoutil web AVIFAF, créé par la Chambre regionale dagriculture des Pays de la Loire, vise à accompagner les éleveurs dans leur réflexion technique sur lalimentation de leurs volailles de chair, poules pondeuses et autres cheptels avicoles, aussi bien dans une optique de circuits courts que de circuits longs. Cet outil peut notamment être utilisé par les éleveurs bio pour atteindre l'alimentation 100 % bio. Un éleveur de poulets de chair bio témoigne sur l'outil.
Actualité technique : Sival
Aurélien LIVET, Auteur ; Brigitte LAMBERT, Auteur ; Célia BORDEAUX, Auteur ; ET AL., AuteurA l'occasion des forums du Sival, le 15 janvier 2015, plusieurs conférences et visites étaient consacrées à l'agriculture biologique. Parmi ces conférences, deux sont résumées dans cet article : - la première a traité de l'utilisation d'extraits végétaux pour soigner les plantes, notamment les vignes ; - la seconde a rapporté des résultats d'essais récents sur la protection des cultures maraîchères bio. Pour cette dernière, les expérimentations présentées se sont penchées, entre autres, sur l'effet des associations culturales sur les acariens et pucerons noirs et sur l'attractivité des tunnels pour les auxiliaires. Les résumés de la seconde partie de cette conférence seront publiés dans le numéro 58 de Techni Bio. Deux exploitations bio ont, par ailleurs, ouvert leurs portes aux visiteurs du Sival : le Verger de la Hanère et le Jardin de l'Avenir, toutes deux dans le Maine-et-Loire.
Cahier technique : Alimentation des volailles en agriculture biologique
Célia BORDEAUX, Auteur ; Antoine ROINSARD, Auteur ; Hervé JUIN, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2015Ce cahier technique a été réalisé par l'ITAB, IBB, les Chambres d'agriculture des Pays de la Loire, l'INRA et l'ITAVI. Les productions avicoles biologiques connaissent une croissance importante depuis 2008. Parmi les nombreuses questions techniques qui se posent pour accompagner le développement de la filière, celle de l'alimentation est particulièrement prégnante. En effet, l'alimentation représente la part principale du coût de production (60 à 65 % d'après les références ITAVI) ; le passage à une alimentation 100 % AB, en 2018, pourrait encore augmenter ce coût alimentaire, en raison d'une plus grande difficulté à atteindre l'équilibre alimentaire et d'une moindre disponibilité de certaines matières premières riches en protéines. En outre, cet impératif réglementaire risque d'accentuer la dépendance de la filière française au tourteau de soja, majoritairement importé. Ainsi, cinq programmes de recherche se sont déroulés entre 2010 et 2015, et apportent des premières réponses à cet enjeu technique majeur. Ce cahier technique à destination des éleveurs et techniciens fait la synthèse des connaissances et des nouvelles informations acquises sur le sujet. Il est composé de huit parties : - Règlementation concernant l'alimentation des monogastriques en AB ; - Quelques rappels sur les mécanismes physiologiques ; - Besoin des animaux et recommandations ; - Généralités sur la conduite de l'alimentation ; - Valeur nutritionnelle des MPs et réflexions sur leur incorporation ; - Exemples de stratégies d'alimentation 100% AB et performances zootechniques attendues ; - Quels apports nutritionnels permis par le parcours? ; - La FAF (fabrication d'aliments à la ferme) en élevage avicole