Détail de l'auteur
Auteur Fleur MOIROT |
Documents disponibles écrits par cet auteur (21)


![]()
![]()
Dossier thématique : « Rat » le bol des campagnols
Marie REDON, Auteur ; Chloé RANOUX, Auteur ; Fleur MOIROT, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier indique comment lutter contre les rongeurs ravageurs de cultures. C'est d'abord la taupe, redoutable travailleuse du sol, qui est présentée. Si elle n'attaque pas les végétaux (elle se nourrit de vers), les tunnels qu'elle creuse sont à l'origine de nombreux dégâts, notamment sur les prairies et lors des semis. De plus, les galeries de la taupe sont aussi le premier vecteur d'installation des campagnols terrestres (ou « rats taupiers »), qui les utilisent pour se répandre. Depuis les galeries souterraines, le campagnol terrestre (herbivore) s'attaque aux racines des plantes maraîchères et fourragères, particulièrement celles aux racines charnues et pivotantes telles que le pissenlit, les trèfles, les luzernes, la chicorée... Le campagnol des champs, herbivore aussi, récolte son alimentation au-dessus du sol (feuilles, graines) et est davantage problématique pour les cultures maraîchères. Pour finir, le mulot sylvestre est lui aussi problématique en maraîchage puisqu'il s'attaque aux planches de cultures, où il pourra se nourrir de graines juste plantées et de fruits et légumes sensibles. Des moyens de lutte mécanique (piégeage) sont détaillés (périodes, zones, types de piège) ; des moyens de lutte préventive sont aussi abordés (prédateurs naturels, travail du sol, rotations, répulsif...). Daniel Pieretti, arboriculteur bio en Haute-Loire, a mené des expérimentations avec du grillage : les techniques, le matériel, l'investissement financier et le temps de travail sont indiqués. Corinne Gaujour, productrice de petits fruits bio à Limoise (03), et Kévin Guerreiro, maraîcher bio à Venzelles (63), partagent leurs témoignages.
![]()
![]()
Des volailles dans les tunnels de framboisiers
Lucie AUBAILLY, Auteur ; Fleur MOIROT, AuteurEntre le nord de l'Ardèche et le sud de la Haute-Loire, un groupe de producteur.rice.s de petits fruits s'est constitué, afin de tester des solutions pour réguler les ravageurs et l'enherbement de leurs cultures. C'est ainsi que des poules ont été introduites sur les parcelles, après la récolte, pour éliminer les ravageurs réfugiés dans le sol. Les poules sont également revenues à la fin de l'hiver, jusqu'au stade de la floraison, ce qui a simplifié le désherbage manuel sur le rang, sans qu'elles ne s'attaquent aux pousses de l'année. Valérie Courbon, productrice de petits fruits bio à Mazet-Saint-Voy (43), fournit des conseils pour la conduite d'élevage de volailles sur les parcelles (périodes d'action, déplacements) et pour faire face aux prédateurs des poules.
![]()
![]()
Retour sur le voyage d'étude petits fruits bio Ardèche et Haute-Loire
Pauline BONHOMME, Auteur ; Fleur MOIROT, Auteur15 producteurs de petits fruits du Rhône, de la Loire et dAuvergne ont participé au voyage détude "Découvrir des techniques innovantes en petits fruits bio", organisé en Ardèche et en Haute-Loire par AgribioArdèche et lARDAB. Au GAEC de la Souche (Ardèche), Christophe Françès et Aurélien Grange, qui produisent des framboises, des fraises, des myrtilles et des groseilles bio à 1150 m d'altitude, ont partagé leur expérience de la culture des petits fruits. Au GAEC de la Châtaigneraie (Ardèche), Nadine et Christophe Hémar cultivent 1,5 ha de petits fruits et 6 ha de châtaignes. En 2021, en partenariat avec Terre & Humanisme, ils ont réalisé des essais sur le sol et la Litière Forestière Fermentée.
![]()
![]()
Agro-écologie : Les apiculteurs-rices se regroupent en région Auvergne-Rhône-Alpes !
Cloé MONTCHER, Auteur ; Fleur MOIROT, AuteurSuite à une dynamique forte des apiculteurs de Haute-Loire et dArdèche, les GAB de ces deux départements (à savoir Haute Loire BIO et Agri Bio Ardèche) ont, chacun, déposé une demande de GIEE. Lobjectif est que ces collectifs dapiculteurs soient reconnus par lÉtat. Ces producteurs vont ainsi sengager dans un projet de trois ans visant à modifier ou à consolider leurs pratiques pour mettre en uvre une transition agro-écologique, avec à la fois des objectifs économiques, environnementaux et sociaux. Dans un premier temps, des diagnostics agro-écologiques ont été réalisés chez chaque apiculteur, ce qui a permis deffectuer un état des lieux concernant le volet technique, le volet économique, les conditions de travail et les évolutions souhaitées. Plusieurs pistes de travail ont ainsi pu être définies : améliorer les conditions de travail et réduire la pénibilité, optimiser et limiter le nourrissement, mieux appréhender les problèmes sanitaires (varroa), travailler sur la sélection des souches pour obtenir des colonies adaptées Plusieurs travaux de groupes et des formations ont ainsi pu être mis en place, notamment autour du varroa, de la sélection génétique et de lenvironnement des ruchers (recensement d'emplacements, meilleure connaissance des plantes mellifères, liens entre apiculteurs et agriculteurs bio).
![]()
![]()
Nouvelles productions : La grenade en culture
Fleur MOIROT, AuteurAfin de répondre à une demande des producteurs en matière de diversification et dadaptation au changement climatique, Agri Bio Ardèche a organisé une visite chez Thomas Saleilles, un producteur bio, dans le Gard, qui cultive, en autres, 11 ha de grenades. Ce dernier a repris lexploitation familiale en 2000 et a commencé à planter des grenades en 2010. Aujourdhui, il possède de nombreuses variétés quil a, pour la plupart, ramenées lui-même de Turquie (ACCO, Provence, Wonderfull, Hermione, Seed less ). Les grenadiers commencent à donner des fruits dès la deuxième année et atteignent leur rendement maximal vers la septième année (30 kg/arbre, soit 20 t/ha). Cette culture demande peu dinterventions. La taille reste lopération la plus importante, afin que les grenadiers continuent à produire des fruits. Lirrigation nest pas obligatoire, mais elle garantit la production et le calibre des fruits et diminue le risque déclatement des grenades. La récolte de Thomas Saleilles est destinée à la vente de fruits (un premier ramassage est effectué pour les grenades en bouche) et à la production de jus de fruits (ces grenades font lobjet dun deuxième ramassage). Cet arboriculteur produit également des plants de grenadiers certifiés en AB, avec un grand choix variétal.
![]()
![]()
Produire des framboises par des techniques alternatives : Maîtrise des adventices et des agresseurs - L'expérience des agriculteurs biologiques d'Agribio Ardèche
La framboise est une production pérenne qui peut rester en place une dizaine dannées en agriculture biologique. Un des enjeux principaux est la maîtrise de lenherbement et des ravageurs. Cette synthèse fait un tour dhorizon des différentes stratégies adoptées par des producteurs ardéchois en agriculture biologique et donne des références technico-économiques liées aux systèmes décrits. Elle sappuie sur des résultats de fermes accompagnées par Agri Bio Ardèche dans le cadre du dispositif Ecophyto DEPHY Ferme débuté en 2016.
![]()
![]()
Le soin des plantes par les plantes : Retours dexpériences
Céline VENOT, Auteur ; Fleur MOIROT, Auteur ; Pauline BONHOMME, Auteur | ALISSAS (Bâtiment MDG, 593 Route des Blaches, 07 210, FRANCE) : AGRI BIO ARDÈCHE | 2019Ce livret a été rédigé par les associations Agri Bio Ardèche et ARDAB, avec la participation de lADABIO et dAgribiodrôme, dans le cadre du projet « Soins des plantes par les plantes » (2016-2019). Il a été élaboré à partir de témoignages de producteurs de fruits bio qui utilisent des préparations naturelles pour protéger leurs productions. Ce document est donc avant tout un recueil de savoir-faire. Il commence par détailler et par comparer les différents types de préparations naturelles : macérations, décoctions, infusions, purins, LFF (litières forestières fermentées), teintures mères et huiles essentielles. Pour chacune dentre elles, des informations sont apportées sur leur objectif, leur principe de fonctionnement, et leur protocole de fabrication. Ces informations sont complétées par des conseils de préparation et dutilisation donnés par des producteurs. Les questions concernant lapprovisionnement en plantes, lorganisation du travail, la durée de conservation des préparations et les précautions dusages sont également détaillées. Les principes actifs de quelques plantes (ortie, prêle, consoude, tanaisie et reine des prés) et leurs utilisations sont aussi présentés. Un focus est également réalisé sur la réglementation. Il permet notamment dapprofondir certaines notions comme les substances de base et les SNUB (substances naturelles à usage biostimulant). Enfin, les préparations pouvant être employées pour les principaux arbres fruitiers sont listées, ainsi que leur cible, leur dose et leur période dapplication.
![]()
![]()
Utilisation des plantes attractives / répulsives en arboriculture : "Les plantes à parfum, aromatiques et médicinales pour le verger : pourquoi ? comment ?"
Fleur MOIROT, Auteur ; Brice LEMAIRE, AuteurLes « Café agro » sont des lieux déchanges créés dans le cadre du projet ALTO, qui vise à développer de nouveaux systèmes de production de fruits à bas intrants. Le 12 février 2019, en présence de Tarek Dardouri (INRA) et de Guillaume Frémondière (Iteipmai), le sujet abordé était : lusage des PPAM (Plantes à parfum, aromatiques et médicinales) dans les vergers. Les PPAM, associées aux arbres fruitiers, peuvent jouer différents rôles : - attractifs pour les auxiliaires et les pollinisateurs (source de nectar, pollen et habitat) ; - répulsifs pour certains ravageurs (masquage des volatiles émis par larbre fruitier, répulsion directe par lodeur, effet sur le comportement du ravageur et sur sa fécondité) ; - production secondaire ; - gestion des adventices, etc. Pour que la répulsion soit efficace, Guillaume Frémondière insiste sur limportance du choix de la variété (et non seulement de lespèce) et des pratiques culturales (niveau dirrigation, association d'espèces, etc.) pour favoriser les émissions volatiles et accorder la lutte au cycle du ravageur. Ces émissions doivent être à proximité des arbres mais des questions se posent sur une éventuelle concurrence entre les PPAM et les arbres fruitiers, sur la mécanisation et sur le pilotage des arbres fruitiers qui ne doit pas pénaliser les PPAM. Des témoignages dagriculteurs et dexpérimentateurs accréditent lutilisation des PPAM en répulsif et un tableau synthétique résume les effets de différentes plantes aromatiques sur différents ravageurs et auxiliaires.
![]()
![]()
Des pistes pour la réduction et la substitution du cuivre en viticulture
Fleur MOIROT, Auteur ; Arnaud FURET, Auteur ; Julia WRIGHT, AuteurCet article propose une synthèse des résultats de différents essais visant à tester d'éventuelles alternatives au cuivre en viticulture bio. Un tableau synthétique permet de connaître les intérêts et les limites de chacune de ces préparations ou pratiques innovantes (polyphénols issus de sarments de vigne, phosphanate de potassium et de dissodium, cépages résistants, rayonnement UV, absinthe/armoise/menthe poivrée/saule blanc, bourdaine, prêle des champs, Prév B2, huile essentielle de tee trea, fructose, lithothamne, vinaigre, chitosan, Trichoderma harzianum). A noter que, parmi les alternatives à base dextraits végétaux, la modalité la plus efficace reste celle où le traitement est associé à une dose réduite de cuivre (100 à 150 g/ha). Les alternatives les plus utilisées par les vignerons restent la décoction de prêle, le vinaigre, le fructose combiné à de lhydroxyde de cuivre, et la décoction de bourdaine (qui nest cependant pas autorisée actuellement).
![]()
![]()
Les secrets d'un verger en permaculture
Fleur MOIROT, Auteur ; Céline VENOT, AuteurUne conférence sest tenue sur les vergers en permaculture à lINRA de Gotheron (Drôme), en novembre 2018. Stefan Sobkowiak, biologiste et arboriculteur québécois, est venu présenter les quatre grands principes de son verger en permaculture : 1/ respecter le trio N-Fr-Fr, soit un arbre fixateur dazote (Févier dAmérique, Olivier de bohème) pour deux arbres fruitiers sans jamais que des arbres de la même espèce ne se touchent ; 2/ cultiver des strates autour des arbres plantés (arbustive, vivace, grimpante) ; 3/ aménager le verger en allées par période de maturité pour faciliter la tâche au consommateur (vente directe) ; 4/ diversifier les espèces et les variétés. LINRA de Gotheron a aussi présenté le projet ALTO « verger zéro phyto ». La conception de ce verger expérimental devait répondre aux trois besoins suivants : gérer les bio-agresseurs, partager des ressources entre les arbres et pouvoir circuler aisément dans le système. Ce verger compte de nombreuses espèces et est implanté en cercle avec de nombreux éléments favorisant la biodiversité (ex : mare). Le GRAB a également exposé les résultats du projet SMART (Systèmes Maraîchers en Agroforesterie : création de Références Techniques et économiques) sur la biodiversité, sur les interactions entre les arbres et les cultures, ainsi que sur la faisabilité économique. Enfin, lOasis SérendiP a expliqué son système de production : cette exploitation de 6 ha sur terres très sableuses est conduite en permaculture. La nature des sols fait que la thématique de leau est le fil conducteur de ce système.
![]()
![]()
Des pleurotes dans nos moulinages et des shiitakes sur nos terrasses ?
Fleur MOIROT, AuteurLa production de champignons de consommation est abordée dans cet article. - Formation : Christophe Bounoville, producteur de champignons bio dans lYonne. Christophe Bounoville a présenté, lors d'une formation en Ardèche, la culture des pleurotes : les 4 paramètres indispensables du local de culture (aération, taux de CO2, luminosité, température) ; l'importance du substrat, qu'il fabrique lui-même pour ne pas dépendre de la seule entreprise qui, en France, en fabrique en bio ; les phases de développement du champignon (incubation, fructification) ; - Témoignage : Interview dun producteur de champignons du Centre Ardèche. Originaire des Pays-Bas, ce producteur cultive des shiitakes sur bûches de chêne depuis 3 ans et vise une récolte de 500 kg. Il estime que, pour en faire son activité principale, il faut environ 10 000 bûches, et 4 à 5000 bûches en production secondaire, ce qu'il conseille (notamment en complément d'une activité de maraîchage ou d'arboriculture). Il décrit le protocole de production : les bûches nécessaires, le mycélium à introduire, les paramètres de température et d'hygrométrie à maîtriser, les périodes de récolte...
![]()
![]()
Pratiques et approvisionnements pour le nourrissement en apiculture biologique
Julia WRIGHT, Auteur ; Fleur MOIROT, AuteurUne journée technique a eu lieu, le 12 octobre, au GAEC "Miellerie des Gorges de la Loire" (42), consacrée aux pratiques de nourrissement des abeilles et à l'approvisionnement en sucre bio. Une trentaine d'apiculteurs y ont participé. Cet article fait le point sur l'utilisation du sucre, du sirop et du candy pour nourrir les abeilles à des périodes clés. Gilles Deshors (GAEC de Roche la Molière) a réalisé, avec ses associés, une cuve pour fabriquer le sirop. Il explique comment ils s'en servent, directement sur le rucher. Michel Isnard, de la Maison Alp'Abeille, a témoigné sur sa fabrication de candy.
![]()
![]()
Soigner les arbres et les petits fruits par les plantes
Fleur MOIROT, AuteurUn projet vient de démarrer à la FRAB AURA : « Soigner les arbres et les petits fruits par les plantes ». Le but est de créer un réseau de partage dexpériences entre agriculteurs bio sur lutilisation des plantes pour fortifier le végétal ou lutter contre les ravageurs. Ce projet a démarré par un voyage détudes chez Eric Petiot, paysagiste-formateur. Cet article reprend les messages clés, les définitions et les conseils donnés lors de cette formation pour équilibrer son sol, pour choisir le matériel visant à fabriquer et à contrôler ses préparations Pour Eric Petiot, le sol est lélément clé : pour que les plantes grandissent, il faut quelles aient un sol sain et des micro-organismes en quantité et qualité suffisantes. Les extraits fermentés peuvent favoriser cette vie du sol ; lazote organique de fumure de poule bio va favoriser la synthèse de protéines nécessaires aux défenses naturelles des plantes et améliorer leur résistance ; les engrais verts permettent daugmenter le taux dazote et la poudre de basalte permet aussi une meilleure résistance des plantes aux maladies.
![]()
![]()
Soigner la vigne par les plantes : Une des pistes dexpérimentation pour la flavescence dorée
Fleur MOIROT, Auteur ; Arnaud FURET, Auteur ; Marc CHOVELON, Auteur ; ET AL., AuteurEn Auvergne-Rhône-Alpes, des viticulteurs expérimentent des pratiques alternatives au pyrèthre pour lutter contre la flavescence dorée. En Ardèche notamment, des expérimentations ont démarré et se sont inspirées des formations d'Eric Petiot avec, en premier lieu, des éléments pour renforcer le sol. Plusieurs critères ont été identifiés pour connaître et suivre le potentiel des sols : le paramagnétisme, la conductivité, le PH et le redox du sol et sa capacité à dégrader les matériaux. Pour rétablir les paramètres et équilibrer un sol, divers apports sont bénéfiques au sol : micro-organismes, fumure, engrais verts, poudre de basalte, de zéolite, de charbon de bois, extraits fermentés de consoude et/ou de luzerne... Un encadré précise quelques définitions (rédox, PH, paramagnétisme, micro-organismes efficaces (Em)). Un deuxième article présente les expérimentations en cours dans le réseau bio, notamment l'application de sucres sur la cicadelle de la flavescence dorée, et des tests de produits alternatifs ou complémentaires au pyrèthre naturel.
![]()
![]()
Une pépinière pour faire essaimer les installations d'apiculteurs : Interview d'Emmanuel Rey, apiculteur en Ardèche
Fleur MOIROT, AuteurLe Syndicat des Apiculteurs Professionnels de Rhône Alpes (SAPRA) travaille depuis trois ans sur le projet d'une pépinière d'essaims destiné à favoriser et à soutenir l'installation de nouveaux apiculteurs professionnels. L'objectif est de confier des essaims au candidat à l'installation, que ce dernier fait fructifier durant deux/trois ans. Ensuite, le nombre d'essaims est restitué à la pépinière pour pouvoir soutenir un autre apiculteur, comme l'explique Emmanuel Rey, apiculteur en Ardèche et responsable technique de la pépinière. Pour pouvoir bénéficier de ce dispositif, l'apiculteur candidat doit justifier d'une compétence en apiculture, être dans une démarche d'installation professionnelle avancée, disposer déjà d'un minimum de 30 ruches et viser une augmentation de son cheptel. Un encadré rappelle les éléments de base du cahier des charges bio à prendre en compte pour augmenter son cheptel en apiculture biologique.