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Auteur Pauline BONHOMME |
Documents disponibles écrits par cet auteur (16)


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Retour sur le voyage d'étude petits fruits bio Ardèche et Haute-Loire
Pauline BONHOMME, Auteur ; Fleur MOIROT, Auteur15 producteurs de petits fruits du Rhône, de la Loire et dAuvergne ont participé au voyage détude "Découvrir des techniques innovantes en petits fruits bio", organisé en Ardèche et en Haute-Loire par AgribioArdèche et lARDAB. Au GAEC de la Souche (Ardèche), Christophe Françès et Aurélien Grange, qui produisent des framboises, des fraises, des myrtilles et des groseilles bio à 1150 m d'altitude, ont partagé leur expérience de la culture des petits fruits. Au GAEC de la Châtaigneraie (Ardèche), Nadine et Christophe Hémar cultivent 1,5 ha de petits fruits et 6 ha de châtaignes. En 2021, en partenariat avec Terre & Humanisme, ils ont réalisé des essais sur le sol et la Litière Forestière Fermentée.
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A la découverte des vergers du Sud de la Vallée du Rhône
Pauline BONHOMME, AuteurUn groupe de 9 arboriculteurs biologiques et en conversion du Rhône, de la Loire, de l'Ardèche et de l'Isère sest déplacé avec lARDAB, dans le Sud de la Vallée du Rhône, à la rencontre dautres producteurs. Les visites de fermes bio diversifiées ont permis des échanges de pratiques entre producteurs, des retours sur les variétés utilisées. Dans cet article, un focus sur la conduite des figuiers au Jardin de Gaïa et au Mas des Grands Cyprès (84) fournit quelques conseils pour réussir cette culture. Il est complété par une présentation plus détaillée du Mas des Grands Cyprès, qui a introduit des animaux (brebis et agneaux Merinos ) dans ses vergers.
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Introduire des poules dans les vergers : une pratique qui porte ses fruits
Céline VENOT, Auteur ; Morgan BOCH, Auteur ; Pauline BONHOMME, Auteur ; ET AL., AuteurDans la Loire, la Ferme aux Mille Fruits cultive en bio 14 ha de pêches, pommes, poires, abricots, cerises, raisins, châtaignes, pommes à cidre. Les 2 associés ont introduit, pour commencer, 70 poules dans leurs vergers et en ont aujourd'hui 200. Les avantages de la présence de ces 200 poules sous les arbres sont nombreux : elles régulent la pression des ravageurs et l'enherbement (un résultat positif a notamment été observé sur la mouche de la cerise et sur le carpocapse du pommier), elles fertilisent le sol et elles apportent, grâce à la vente de leurs ufs, un revenu supplémentaire conséquent (25 000 de CA). Des conseils issus de l'expérience de la Ferme aux Mille Fruits sont partagés pour mettre en uvre cette pratique : densité, bâtiments, circulation dans la parcelle, races adaptées, soins, articulation élevage/arboriculture (que faire des poules si un traitement est nécessaire sur les arbres, notamment au cuivre ?). Les mesures réglementaires concernant l'élevage de poules sont rappelées.
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Journée régionale : Arboriculture bio et expérimentation
Coralie PIREYRE, Auteur ; Céline VENOT, Auteur ; Pauline BONHOMME, Auteur ; ET AL., AuteurLe 10 décembre 2020, une vingtaine darboriculteurs bio dAuvergne-Rhône-Alpes se sont réunis au Verger Expérimental de Poisy, en Haute-Savoie (verger conduit en AB). La matinée a été consacrée aux visites des expérimentations : une vingtaine de variétés de pommiers et de poiriers ont pu être observées et différents critères liés à leur conduite ont été commentés et comparés ; les résultats obtenus avec deux types de conduite en biaxe ont également été présentés (la productivité a été doublée durant les quatre premières années en biaxe ; et un biaxe élagué serait plus productif quun biaxe avec arcure) ; des essais de porte-greffes sur un sol fatigué, en pommes et poires, ont aussi été décrits. Laprès-midi a été consacré à des échanges sur les besoins et les difficultés rencontrées sur le terrain (problèmes climatiques, maladies, ravageurs, problèmes de vigueur). Claude-Éric Parveaud, du GRAB, a également présenté les résultats dessais menés sur la station expérimentale de Gotheron, en lien avec la gestion du monilia, de lhoplocampe et des pucerons.
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Produire en bio des légumes de plein champ
Alexandre BARRIER-GUILLOT, Auteur ; Solenn BRIOUDE, Auteur ; Pauline BONHOMME, Auteur ; ET AL., AuteurEn agriculture biologique, produire des légumes de plein champ constitue une voie de diversification intéressante, avec des débouchés qui se confirment sous l'effet d'une demande de plus en plus forte de la part des consommateurs. De plus, face aux aléas climatiques, cette diversification est un garant de résilience économique pour les fermes. Produire des légumes de plein champ requiert cependant de maîtriser un certain nombre de techniques. Le transfert de connaissances entre producteurs est un levier majeur pour la réussite de ce type de projets de diversification. En Auvergne-Rhône-Alpes, la FRAB AuRA organise des visites de fermes et des partages d'expériences, en partenariat avec les structures locales et les Chambres d'agriculture. Le 8 septembre 2020, une journée spécifique sur la diversification de production par des légumes de plein champ a permis à une vingtaine d'agriculteurs de visiter le BiauJardin (63), l'EARL de Soalhat (43) en polyculture-élevage qui s'est diversifiée avec 4 ha de pommes de terre, ou encore la ferme de l'Epi Vert (42). Les agriculteurs ont partagé leurs itinéraires techniques et souligné les points de vigilance. La FRAB AuRA a également construit avec Gilles Lèbre, maraîcher au BiauJardin depuis 40 ans, une formation spécifique.
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Réduction du travail du sol et couverts végétaux : exemples en Alsace et en Allemagne (1ère partie)
Pauline BONHOMME, Auteur ; Dominique BERRY, AuteurLARDAB et le Bureau technique des maraîchers du Rhône ont organisé un voyage détude en Alsace et en zone frontalière allemande, sur la thématique de la réduction du travail du sol en maraîchage biologique. Les 13 maraîchers participant ont visité la ferme de Marc Zwickert, à Holtzwihr, qui teste des modalités de destruction de son engrais vert (mélange seigle, pois, vesce) : - passage de rouleau faca ; - paillage ; - passage de rotobêche et cultirateau, puis paillage organique. Peu satisfait cette année, il pense changer les proportions de son engrais vert. Les maraîchers ont également rencontré Jean Becker, maraîcher installé à Ingwiller, qui pratique loccultation par toile hors sol. Il utilise des prairies temporaires d'enherbement spontané, occultées en 3ème année, avant l'implantation d'une culture. Cette technique lui convient particulièrement pour sa production de courges.
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Auxiliaires de culture : Biodiversité fonctionnelle en maraîchage
Pauline BONHOMME, Auteur ; Rémi COLOMB, Auteur ; Samuel L'ORPHELIN, AuteurLes auxiliaires naturels sont nombreux en maraîchage : mammifères (hérissons, chauve-souris), oiseaux (rapaces, mésanges), arachnides, insectes, nématodes, champignons et bactéries. Les insectes auxiliaires peuvent être favorisés par la présence de bandes fleuries, des plantes relais et des techniques de transfert. La composition des bandes fleuries doit offrir aux auxiliaires du pollen et du nectar tout au long de lannée. Elles doivent contenir des espèces végétales attractives, précoces, à floraison longue, qui font de la concurrence aux adventices et dont les graines sont disponibles. Les établissements semenciers proposent des mélanges prêts à lemploi, mais il est également possible de créer son propre mélange, notamment en saidant dun tableau récapitulatif réalisé dans le cadre du projet Muscari. Pour maintenir la population dinsectes en période froide, des plantes relais peuvent être utilisées. Pour augmenter le nombre dauxiliaires à certains endroits (ex : dans les serres), il est possible de générer des transferts dauxiliaires, via différentes techniques : arrachage des bandes fleuries, dépôt des plantes coupées
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Le soin des plantes par les plantes : Retours dexpériences
Céline VENOT, Auteur ; Fleur MOIROT, Auteur ; Pauline BONHOMME, Auteur | ALISSAS (Bâtiment MDG, 593 Route des Blaches, 07 210, FRANCE) : AGRI BIO ARDÈCHE | 2019Ce livret a été rédigé par les associations Agri Bio Ardèche et ARDAB, avec la participation de lADABIO et dAgribiodrôme, dans le cadre du projet « Soins des plantes par les plantes » (2016-2019). Il a été élaboré à partir de témoignages de producteurs de fruits bio qui utilisent des préparations naturelles pour protéger leurs productions. Ce document est donc avant tout un recueil de savoir-faire. Il commence par détailler et par comparer les différents types de préparations naturelles : macérations, décoctions, infusions, purins, LFF (litières forestières fermentées), teintures mères et huiles essentielles. Pour chacune dentre elles, des informations sont apportées sur leur objectif, leur principe de fonctionnement, et leur protocole de fabrication. Ces informations sont complétées par des conseils de préparation et dutilisation donnés par des producteurs. Les questions concernant lapprovisionnement en plantes, lorganisation du travail, la durée de conservation des préparations et les précautions dusages sont également détaillées. Les principes actifs de quelques plantes (ortie, prêle, consoude, tanaisie et reine des prés) et leurs utilisations sont aussi présentés. Un focus est également réalisé sur la réglementation. Il permet notamment dapprofondir certaines notions comme les substances de base et les SNUB (substances naturelles à usage biostimulant). Enfin, les préparations pouvant être employées pour les principaux arbres fruitiers sont listées, ainsi que leur cible, leur dose et leur période dapplication.
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Voyage d'études : Découverte des vergers du Sud de la Vallée du Rhône pour sadapter au changement climatique
Pauline BONHOMME, AuteurUn groupe de neuf arboriculteurs bio (ou en conversion), installés dans le Rhône, la Loire, lArdèche ou lIsère, sest déplacé avec lARDAB dans le Sud de la Vallée du Rhône à la rencontre dautres producteurs. Suite à ces visites, cet article réalise deux focus. Le premier concerne la conduite des figuiers. Il sappuie, pour cela, sur le retour dexpériences de deux fermes basées dans le Vaucluse (les Jardins de Gaïa et le Mas des Grands Cyprès). Le second sintéresse à lintroduction danimaux dans un verger. Il se base sur les conseils de Pierre Clerc (lun des associés du Mas des Grands Cyprès) qui fait pâturer son verger de pommiers bio (15 ha) par des brebis mérinos depuis 2005.
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Voyage d'études : Réduction du travail du sol et couverts végétaux en Alsace et en Allemagne
Pauline BONHOMME, Auteur ; Dominique BERRY, AuteurComme chaque année, lARDAB et le BTM ont organisé un voyage détudes pour les maraîchers bio du Rhône et de la Loire. En 2019, il sest tenu en Alsace et en Allemagne, avec pour thématique la réduction du travail du sol. Six fermes ont été visitées. Un retour est effectué sur deux dentre elles. Les jardins du Pflixbourg, du Lycée agricole des sillons de Haute Alsace, comparent, pour la cinquième année, trois systèmes de production (essai SEFERsol) : un système de référence, un système maximisant lutilisation dengrais verts (en planches permanentes) et un système basé sur la conservation du sol (également en planches permanentes). Si les modalités engrais verts et conservation du sol étaient moins productives les premières années, elles rejoignent maintenant la productivité du modèle de référence. Sur le plan agronomique, la MO a été augmentée de 3 à 4,5 % dans la modalité conservation du sol, et aucune faim dazote na été détectée. Autre visite : la ferme Piluweri basée à Mulheim (Allemagne). Créée il y a 25 ans, elle et cultive, en biodynamie, 40 ha en plein champ et 1 ha sous serre. Plusieurs facteurs ont poussé les associés à supprimer le labour en 2015. Depuis, ils ont fait évoluer leurs pratiques, et emploient notamment des engrais verts. Autre point intéressant, ils nutilisent plus de paillage plastique sous tunnel, mais un mulch denrubannage : la fermentation limite la germination des adventices et il se dégrade plus vite quun mulch frais.
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Découvrir larboriculture bio en Catalogne : fruits à noyau et pommes
Pauline BONHOMME, AuteurEn février 2018, 12 producteurs d'Auvergne-Rhône-Alpes ont participé à un voyage détudes organisé par lARDAB, à la découverte de larboriculture bio en Catalogne (fruits à noyau et pommes). Ils ont rencontré des producteurs bio en recherche dautonomie, plutôt tournés vers la vente à des grossistes, voire lexport car ayant peu de demande locale. La ferme Cor de Fruita, de Joan Miret Bonelli, a fait l'objet d'une visite. Ce producteur de pommes et de poires bio installé dans la région de Lleida fabrique son biofertilisant en fermentation anaérobique, à base de micro-organismes de litières de forêt. Deux témoignages montrent lintérêt des participants à partager leurs pratiques au cours de tels voyages détudes.
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Découvrir le maraîchage biologique au Québec : Un temps autrement productif pour sa ferme !
Pauline BONHOMME, AuteurAu cours d'un voyage d'études organisé par l'ARDAB, en partenariat avec la Chambre dAgriculture du Rhône et lAtelier Paysan, 22 maraîchers ou futurs maraîchers sont allés à la rencontre d'agriculteurs bio au Québec. Un des points marquants des fermes visitées est la maîtrise de la conduite des légumes sous serre. Les participants retiendront quelques idées, nouvelles pour eux, comme la culture du gingembre sous serre, celle de la pleurote en plein champ, ou encore les boutures de patate douce. Ils retiendront aussi la place prioritaire accordée au maintien de la fertilité des sols pour aborder le maraîchage de plein champ. Les maraîchers québécois ont montré les différents tracteurs porte-outils, des plus simples aux plus élaborés, inventés et auto-construits. La rencontre avec la CAPE (Coopérative pour l'Agriculture de Proximité Ecologique) a permis d'imaginer des moyens pour porter, au Québec, une dynamique comparable à celle de l'Atelier Paysan, et des perspectives de collaboration et d'échanges. Des paroles de participants complètent ce compte-rendu.
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A la rencontre des référents de la biodynamie en arboriculture : Voyage détude : Aller plus loin en AB : découvrir larboriculture biodynamique en Vendée, Pays de Loire et Manche
Pauline BONHOMME, AuteurLors d'un voyage d'étude organisé par l'ARDAB début mars 2017, une vingtaine darboriculteurs bio d'Auvergne-Rhône-Alpes ont visité quatre fermes à des stades différents de leur expérience en bio et en biodynamie : Les Coteaux Nantais (44), l'EARL Fructidor (50), les Vergers de la Brunetière (85) et le GAEC Château Gaillard (49). Bien qu'ayant des pratiques communes (application de préparations biodynamiques, utilisation d'un dynamiseur, respect du calendrier lunaire...), les arboriculteurs rencontrés ont aussi développé des spécificités dans l'organisation de leur travail, dans la mutualisation de matériel, etc. Trois des arboriculteurs rencontrés ont introduit des animaux dans leur verger pour entretenir l'enherbement (moutons, oies et poules). Les participants ont tiré de nombreux enseignements de ces visites et, convaincus, envisagent d'en mettre certains en application rapidement.
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Découvrir le maraîchage bio en Pays de la Loire : Un temps "autrement productif"
Pauline BONHOMME, AuteurUn voyage d'étude, organisé en novembre 2016 par l'ARDAB (Association des agriculteurs biologiques du Rhône et de la Loire) et le BTM (Bureau technique des maraîchers du Rhône), a permis à un groupe de 16 maraîchers de Rhône-Alpes de découvrir les spécificités du maraîchage bio en Pays de la Loire. Des visites de fermes étaient au programme, mais aussi des rencontres avec des experts et des techniciens de structures (GAB Loire Atlantique, Ctifl). Grâce au partage d'expériences et aux illustrations sur le terrain, certaines idées ont été retenues pour être testées en Rhône-Alpes, comme les semis de carottes sablés, les semis directs de mesclun et de mâche, certaines associations de cultures, l'utilisation de diverses petites techniques ou petits outils, etc.
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Retour d'une ferme québécoise en maraîchage bio-intensif sur petite surface : Jean-Martin Fortier, Les Jardins de la Grelinette au Québec (CA)
Rémi COLOMB, Auteur ; Pauline BONHOMME, AuteurJean-Martin Fortier a partagé son expérience lors d'une formation organisée par l'ARDAB. Sur un terrain de 2 ha au total, dont une partie boisée, il cultive 0,8 ha en maraîchage bio. Sa méthode "bio intensive" est une approche pour augmenter la productivité par m2. Au cours de l'intervention, des facteurs de réussite de son système ont pu être identifiés.