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Auteur BIOCIVAM DE L'AUDE (BIOCIVAM 11) |
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Comment valoriser et différencier la viande biologique du massif des Pyrénées ?
BIO OCCITANIE, Auteur ; BIOCIVAM DE L'AUDE (BIOCIVAM 11), Auteur ; BIO-ARIEGE-GARONNE, Auteur ; ET AL., Auteur | TOULOUSE (26-28 Rue Magné, 31 300, FRANCE) : BIO OCCITANIE | 2021Dans les Pyrénées, lagriculture repose principalement sur lélevage allaitant bovin et ovin. Lagriculture biologique est fortement représentée (26 % de la SAU). Ce territoire est donc un producteur important de viande bio. Toutefois, malgré une forte demande de la part des consommateurs pour de la viande bio et locale, les viandes bio pyrénéennes sont peu valorisées sur le territoire. En effet, les animaux bio sont régulièrement déclassés, les jeunes bovins sont souvent exportés, la viande bio est peu différenciée de la viande produite en montagne, la filière bio manque de structuration Afin de trouver des solutions pour mieux valoriser cette viande, Bio Occitanie, le Biocivam de lAude, Bio-Ariège-Garonne, le GAB 65, financés par le Commissariat de Massif des Pyrénées, ont réalisé un diagnostic territorial afin didentifier des actions à mettre en place. Pour cela, ils se sont appuyés sur la méthode RELOC, développée par INRAE. Au total, 83 entretiens ont été menés auprès des acteurs de la filière. Ils ont permis de mettre en valeur cinq manières de valoriser la viande bio dans les Pyrénées : 1 - Défendre les valeurs de la bio locale ; 2 - Proposer un produit viande bio d'excellence ; 3 - Standardiser la viande bio pour répondre aux attentes du marché ; 4 - Soutenir le local en priorité et la bio si opportunité ; 5 - Valoriser le territoire par ses produits locaux de qualité. Des rencontres ont ensuite été organisées afin de trouver des pistes de développement et des actions concrètes, comme, par exemple, développer la viande bio dans les boucheries et la restauration collective de la région.
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Protection des cultures contre les limaces avec l'orthophosphate de fer
L'autorisation du métaldéhyde en production végétale biologique a été prolongée jusqu'en mars 2006, mais uniquement en pièges. L'orthophosphate de fer est une nouvelle matière active molluscicide, inscrite en mars 2002 en annexe II du règlement CEE n°2092/91 et homologuée en France depuis l'automne 2003. Le produit est appétissant pour les limaces, qui arrêtent de se nourrir après ingestion et meurent peu après. Il se décompose ensuite en fer et en phosphore sans aucune toxicité. Pour connaître l'efficacité de ce produit, le BIOCIVAM de l'Aude a testé le produit homologué dans 2 cultures de céréales d'hiver et 2 cultures de tournesol chez des producteurs. Les résultats de cet essai sont donnés dans cet article.
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Références économiques GC bio 2004
Cet article donne les résultats des assolements 2004 de quatre exploitations spécialisées en grandes cultures bio dans l'ouest audois. Les calculs des produits et charges sont obtenus sur les cultures de céréales (blé, orge, triticale, seigle, avoine), de protéagineux (féverole, pois), et d'oléoprotéagineux (tournesol, soja). L'article suivant donne les contacts pour connaître les conditions contractuelles des productions de maïs et tournesol hybrides.
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Suivis culturaux de lentilles vertes
Les lentilles sont une culture délicate. Grâce à l'analyse du suivi technique des agriculteurs, on peut voir que cette culture supporte mal les passages de herse étrille, et qu'il faudrait utiliser d'autres outils. Cependant, elle nécessite peu de fertilisation. Les résultats précis sont donnés ainsi que les conditions économiques liées à l'application de la réforme de la PAC.
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Suivis culturaux de pois chiches : Lutte contre la noctuelle des pois chiches (Héliothis armigera)
Les cultures de pois chiches subissent les attaques de noctuelles qui provoquent d'importants dégâts (gousses trouées et vidées). Une expérimentation sur deux parcelles a montré que pour lutter efficacement contre ces ravageurs il est possible d'utiliser le Bacillus thuringiensis (BT), un insecticide à base de micro-organismes, autorisé en bio. Le traitement a stoppé net les ravageurs. Les résultats sont ici présentés ainsi que les conditions économiques de cette lutte.