Détail de l'auteur
Auteur Léopoldine DESPREZ |
Documents disponibles écrits par cet auteur (5)


![]()
![]()
Dossier : Le pâturage
Léo FUZEAU, Auteur ; Guillaume JOURDAIN, Auteur ; Léopoldine DESPREZ, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier consacré au pâturage, très présent dans l'image de la bio, propose d'aborder le sujet sous de nombreux angles, à partir de témoignages déleveurs bio, denseignants, de chercheurs ou encore de techniciens, issus de toute la France : - Le pâturage, clé de voûte d'un système herbager ; - Le pâturage mixte, une pratique ancestrale au GAEC de Bellefeuille (50) ; - La dynamique de groupe aide au changement de système ; - Passer de 100 ha de céréales à 140 ha d'herbe en quelques mois ; - Comment éviter le développement des joncs en zone humide ; - La biodiversité cultivée dans les prairies ; - Augmenter la hauteur de pâturage grâce aux arbres ; - Allier pâturage tournant dynamique et arbres fourragers ; - Un système économe avec du pâturage tournant ; - Robot et pâturage à la ferme expérimentale de Trévarez (29) ; - Une salle de traite mobile pour rendre l'herbe plus accessible... en Bretagne ; - Le pâturage réussi avec la salle de traite mobile ; - Avoir 2 sites pour optimiser le pâturage ; - Préparer pour mieux gérer ; - De l'herbe au pays du rugby ; - Adapter un pâturage tournant dynamique aux conditions de pousse du Sud Massif Central ; - Le pâturage, y compris des ligneux ! ; - Le pâturage en moyenne montagne ou assurer la sécurité ; - Pâturage : témoignage d'un centre de formation ; - Piloter l'alimentation des vaches laitières au pâturage.
![]()
![]()
Le maïs population Rencontres nationales et échanges de pratiques ; Le maïs population du 42 : plus qu'un groupe, une dimension sociale
Dominique CHOUIN, Auteur ; Léopoldine DESPREZ, Auteur ; Raymond PITIOT, Auteur ; ET AL., AuteurAu début des années 2000, notamment suite à un problème de contamination de semences de maïs par des OGM, des agriculteurs de Dordogne sengagent dans une démarche de sélection de maïs population sur leurs fermes. La dynamique sest développée et implique maintenant plusieurs groupes de producteurs en France. En 2015, sorganisait un réseau national. 2016 voyait les premières rencontres nationales sur le maïs population en Périgord. La seconde édition a eu lieu les 7 et 8 septembre 2017, en Loire-Atlantique. Cest lhistoire de cette dynamique et de leurs expériences au sein de leur collectif que décrivent Dominique Chouin, éleveur bio de Loire-Atlantique, et Raymond Pitiot, producteur dans la Loire. Les journées nationales, ainsi que le travail en groupe au niveau local, sont essentiels daprès ces agriculteurs : ainsi, le paysan se réapproprie son métier, les prises de décision sont confortées, lautonomie de décision ou encore lautonomie de lexploitation sont renforcées et le lien social devient fondamental.
![]()
![]()
Le toastage de protéines : retours dexpériences et témoignages
Léopoldine DESPREZ, Auteur ; Yann MARTINOT, Auteur ; Dominique CLOUARD, Auteur ; ET AL., AuteurToaster ses protéagineux (ex : féverole, lupin), technique qui vise à chauffer la graine à environ 120°, permet d'améliorer la conservation des grains, mais aussi et surtout daméliorer la valeur digestible des protéines. Ainsi, une plus grande part des protéines des grains nest plus soluble dans le rumen, mais digérable dans lintestin, doù une augmentation de la part protéique des rations. Ceci peut être un levier pour répondre à la question de lautonomie protéique des fermes, notamment en AB. Mais cela peut être au détriment de la digestibilité des fibres alimentaires, le rumen ayant besoin dun taux suffisant de protéines solubles pour assurer cette digestion. La technique du toastage des protéagineux doit donc être prise dans son ensemble : coût, apport supplémentaire effectif de protéines, qualité de la ration Divers éleveurs en bovins lait, bio ou non, sintéressent à cette pratique en Normandie, en Vendée ou encore dans le Rhône et la Loire. Cet article reprend des résultats dessais menés par certains dentre eux, ainsi que des témoignages. Les avis divergent entre ceux qui souhaitent poursuivre lexpérience et dautres non. Les valeurs alimentaires obtenues après toastage peuvent être très variables, notamment selon la qualité du toastage, phase à bien maîtriser et pour laquelle beaucoup de points restent à améliorer. Les gains en termes de production peuvent aussi varier, selon notamment la qualité du fourrage. Daprès un éleveur, cette technique na d'intérêt économique que si elle permet une augmentation de la production dau moins 2 litres de lait par jour et par vache, ce qui nest pas toujours le cas.
![]()
![]()
Fermebioscopie : Valoriser au mieux lherbe pour atteindre lautonomie
Jean-Luc PELLERIN, Auteur ; Bertrand COUPPEY, Auteur ; Léopoldine DESPREZ, AuteurEn Normandie, le GAEC Saint-Martin (2 associés : Jean-Luc Pellerin et Bertrand Couppey) de 156 ha est en AB depuis 2012 et se caractérise par une part importante donnée à lherbe pour nourrir un troupeau de 80 vaches laitières dont 15 nourrices et les quelque 25 bufs produits par an. Pour ce faire, 99 hectares sont des prairies permanentes, 40 des prairies temporaires à flore variée, 6 du maïs et 11 du méteil. Lexploitation dispose dun séchage en grange, et 40 hectares sont dédiés au pâturage (au fil). Les cultures permettent de fournir le concentré nécessaire aux animaux. Lexploitation est donc autonome, sauf pour les minéraux et la paille. Les veaux restent 48 heures avec leur mère, puis sont nourris par des vaches nourrices qui sont notamment des femelles devant partir en réforme, par exemple pour boiteries ou problèmes de cellules. Le sevrage se fait à minimum 3 mois. Au niveau sanitaire, les principaux problèmes sont les cellules et les boiteries, et les éleveurs ont mis en place des pratiques de prévention (huiles essentielles, réforme des vaches non soignables). A lavenir, les deux éleveurs souhaitent augmenter la productivité de l'atelier lait (augmentation de la production de lait par vache et par an). Pour cela, ils veulent en particulier améliorer le taux de fécondité. Si, un temps, ils avaient envisagé larrêt de latelier bufs (dont une partie est vendue en direct), les résultats économiques intéressants de ce dernier ont amené à son maintien.
![]()
![]()
Une journée avec les collègues d'outre-Atlantique
Léopoldine DESPREZ, AuteurEn septembre 2016, un groupe d'une trentaine d'éleveurs bio et de quelques salariés du groupement américain Organic Valley sont venus visiter trois fermes Biolait en Normandie, dans le cadre d'un voyage alliant visites touristiques et visites d'exploitations en Europe. Ainsi, les fermes d'Antoine Delahais (76), de Baptiste et Jean-Pierre Mercher (14) et de Guy Bessin (50) ont accueilli le groupe. Les éleveurs ont présenté leur ferme, décrit leur système et partagé leur vision de la bio. Tous ont apprécié ce moment d'échange et de partage d'expériences enrichissant.