Détail de l'auteur
Auteur Jean-Marc BABOUT |
Documents disponibles écrits par cet auteur (5)


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Mon jardin est un organisme - 4 : Des soins pour toutes les peaux... de mon jardin
Jean-Marc BABOUT, AuteurDans ce quatrième volet, Jean-Marc Babout, installé en biodynamie dans les Deux-Sèvres (79), invite le lecteur à prendre conscience de toutes les peaux de son jardin et à les soigner. Il s'agit de toutes les enveloppes qui entourent le jardin et le protègent : la couverture du tas de compost ; la couverture du sol du potager ; les zones de transition (les berges) entre les points d'eau (mares...) et le reste du jardin ; l'écorce des arbres des haies et du verger... Dans cet article, Jean-Marc Babout partage ses conseils pratiques pour apporter des soins à toutes ces peaux (protection contre les aléas climatiques, contrôle des adventices, soin contre les maladies, taille...) et, par extension, à la multitude d'espèces animales et végétales qui y vivent.
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Mon jardin est un organisme - 1 : La haie
Jean-Marc BABOUT, AuteurJean-Marc Babout, installé en biodynamie dans les Deux-Sèvres (79), revient sur la notion fondamentale, en biodynamie, qu'un domaine agricole est un organisme individualisé. Il est à la fois fermé sur lui-même et, en même temps, ouvert et en relation avec le monde environnant. Dans son analogie avec l'être humain, Jean-Marc partage son approche de la haie comme « peau » de son domaine-organisme : c'est elle qui protège le domaine des agressions extérieures, des écarts de température, et qui rafraîchit le jardin. Pour terminer, il présente des modèles de haies diversifiées, comment les mettre en place et les entretenir.
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Mon jardin est un organisme - 2 : Un dialogue fécond
Jean-Marc BABOUT, AuteurDans le deuxième volet de cet article, Jean-Marc Babout, installé en biodynamie dans les Deux-Sèvres (79), propose une approche basée sur l'écoute active de la Nature présente dans le jardin, c'est-à-dire en considérant la présence de ravageurs et d'adventices comme des indicateurs de l'état d'une plante ou du sol. Il s'agit, avant tout, de soigner la cause du symptôme plutôt que de chercher à éradiquer le ravageur (ex : puceron du pêcher). Il s'agit aussi de passer des "contrats" avec certaines plantes ou fleurs et de leur laisser un endroit où se développer. Pour finir, Jean-Marc Babout partage ses conseils pratiques pour réaliser quatre types d'aménagements : - le tas de bois ; - le pierrier ; - la bande enherbée ; - le nichoir à chauves-souris.
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Mon jardin est un organisme - 3 : Les humeurs d'un jardin biodynamique
Jean-Marc BABOUT, AuteurDans ce troisième volet, Jean-Marc Babout, installé en biodynamie dans les Deux-Sèvres (79), souligne l'importance de l'élément Eau dans le vivant. En effet, l'eau, présente dans tous les tissus et dans toutes les cellules, occupe une place centrale dans l'organisme jardin : elle est le support du vivant en ce qu'elle permet la circulation des humeurs (sève, lymphe, sang). Pour mieux comprendre le rôle d'une zone humide dans un domaine, comme une prairie inondable ou une mare, Jean-Marc Babout utilise une analogie avec le système digestif : aménager une zone humide permettra de canaliser les microbes (bactéries et champignons) dans l'organe et de les confiner à un endroit où ils s'épanouiront, ce qui limitera leur "errance" sur les cultures. Pour finir, il explique comment créer une mare dans son jardin.
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L'agriculture régénératrice
Jean-Marc BABOUT, AuteurLa pratique de l'agriculture régénératrice a été introduite en Europe, à partir de 2013, par Friedrich Wenz, biodynamiste dans la vallée du Rhin, et par Dietmar Näser, agronome allemand. En France, le premier cycle de formation en agriculture régénératrice a eu lieu, en 2018, sur une ferme bio en Normandie. Une bonne compréhension du fonctionnement biologique du sol, de la composition et du rôle de l'humus est à l'origine des pratiques de l'agriculture régénératrice. Les préparations et les outils de ce mode de production viennent compléter ceux utilisés en agriculture biodynamique. Ils sont présentés, après un focus qui porte, premièrement, sur le concept de réseau alimentaire du sol, sur la base des travaux d'Elaine Ingham, agronome américaine, deuxièmement, sur le "carbone liquide", objet des travaux de la pédologue australienne Christine Jones. Comme en biodynamie, le but des pratiques préconisées est d'améliorer la fertilité des sols en les rendant plus vivants et en restaurant le taux d'humus.