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Auteur Nastasia MERCERON |
Documents disponibles écrits par cet auteur (6)
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Culture d'asperges vertes bio : Réussir son implantation et son entretien
Nastasia MERCERON, Auteur ; Gilles L'ÉVÊQUE, AuteurCe bulletin technique indique les conditions et les techniques nécessaires à la réussite de la culture d'asperges vertes biologiques, de la plantation à la récolte des turions (les jeunes pousses d'asperges qui sont consommées) : variétés, travail du sol, fertilisation, plantation (type de sol, exposition, densité...), irrigation, gestion des ravageurs (criocères, mouches de l'asperge...), des maladies (stemphyliose et rouille) et des adventices, conditions de récolte. Ce document fournit aussi des informations sur les rendements et la commercialisation (couleur, calibre...).
L'artichaut, un cœur à prendre : Des conseils pour réussir la culture
Nastasia MERCERON, Auteur ; Gaël LICHOU, AuteurSi les principales régions françaises à produire de l'artichaut sont la Bretagne et le Sud-Est, il est possible également de le cultiver dans le Sud-Ouest. Ce bulletin technique indique les conditions et les techniques nécessaires à la réussite de la culture d'artichaut biologique, de la plantation à la récolte : climat, type de sol, fertilisation, implantation, paillage, binage, irrigation, protection contre les ravageurs (pucerons et noctuelles) et contre les maladies (oïdium et mildiou). Ce document fournit aussi des informations sur la multiplication et sur les variétés d'artichaut.
Guide : Conduite du fraisier en agriculture biologique en Nouvelle-Aquitaine
Séverine CHASTAING, Auteur ; Myriam CARMENTRAN DELIAS, Auteur ; Nastasia MERCERON, Auteur ; ET AL., Auteur | LIMOGES CEDEX 2 (Chambre Régionale d'Agriculture de Nouvelle-Aquitaine, Boulevard des Arcades, 87 060, FRANCE) : AGRICULTURES & TERRITOIRES - CHAMBRES D'AGRICULTURE DE NOUVELLE-AQUITAINE | 2023Ce guide, rédigé par les conseillers bio et spécialisés en production de fraises des Chambres d'agriculture de Nouvelle-Aquitaine, s'adresse aux futurs installés pour leur permettre de faire les meilleurs choix et de réussir leur installation. Il s'adresse également aux producteurs de fraises, en agriculture biologique, ou en projet de conversion, pour leur fournir des informations techniques. Ce guide fournit des informations sur : les règles de production et les types de plants, le matériel végétal (choix des variétés et calendrier de plantation en fonction du type de plant, de la variété et de l’abri utilisé), la conduite de la culture (besoins spécifiques, rotation des cultures, préparation du sol, fertilisation, irrigation, entretien des plants), la gestion de l'enherbement, la protection phytosanitaire (incluant des fiches pour chaque maladie et chaque ravageur). Les témoignages de trois exploitations en AB complètent ce guide.
Micro-fermes maraîchères diversifiées en agriculture biologique : quelles performances, viabilité et durabilité
Cédric HERVOUET, Auteur ; Nathalie DESCHAMP, Auteur ; Nastasia MERCERON, AuteurLe projet Casdar MMBIO (2019-2023), dont l' Itab est chef de file, étudie les micro-fermes biologiques en maraîchage diversifié, afin de consolider les références technico-économiques de ce système, qui représente un grand nombre d’installations bio en France. 60 fermes de 1 ha maximum et avec au moins 15 espèces cultivées ont été analysées. Une première analyse montre que ces systèmes sont très diversifiés, avec des surfaces allant de 4000 à 10 000 m², pour une surface cultivée par ETP de 2000 à 6000 m². Sur le plan économique, les chiffres d’affaires et les charges sont aussi très variables, respectivement entre 20 et 180k€/ha et entre 800 et 9000€/m², les revenus disponibles oscillant ainsi entre 0 et 30k€/an. Certaines grandes tendances se dessinent tout de même, notamment le besoin de main d’œuvre extérieure (bénévole ou salariée) et la vente directe ou en circuit court. Dans un second temps, 4 groupes de fermes ont été analysés, caractérisés par le revenu disponible, afin de proposer une ébauche de facteurs de réussite économique. Investir de manière progressive, avoir de l’ancienneté, cultiver une plus grande surface par ETP, travailler le sol plus souvent ou encore utiliser des plants et des produits de protection des cultures issus du commerce sont des pratiques plus souvent retrouvées chez les fermes avec un plus haut revenu. En perspective, les partenaires du projet continuent leurs réflexions pour considérer les micro-fermes au-delà d’une simple approche économique.
Le houblon : Une nouvelle piste de diversification
Séverine CHASTAING, Auteur ; Nastasia MERCERON, AuteurEn France, la production de houblon ne suffit pas à répondre à la demande, que ce soit en bio ou en conventionnel. Cette demande s’est accrue avec la multiplication des micro-brasseries artisanales qui recherchent un houblon local et de qualité. Cette culture pérenne est intéressante pour diversifier un système, mais requiert des investissements conséquents. Cette liane sort de terre au printemps et va croître jusqu’à 8-10 mètres de hauteur. Il est donc nécessaire d’installer des poteaux (hauts de huit mètres, et enfoncés d’un mètre dans le sol), reliés entre eux par des câbles à leur sommet. Des ficelles (en fibres de coco) sont ensuite suspendues à partir de ces câbles jusqu’au sol. Durant la première quinzaine de mai, les six meilleures pousses de chaque rhizome de houblon seront enroulées sur ces ficelles. Le houblon va croître autour de ces ficelles jusqu’à sa floraison fin juin. Il est important de planter uniquement des pieds femelles, afin que les fleurs ne soient pas pollinisées. La récolte s’étalera de mi-août à mi-septembre. Il est conseillé d’implanter 2 500 plants de houblon par hectare, de trois à cinq variétés différentes. Il est également préférable d’implanter cette culture sur une surface plane et de faire attention aux risques de vent. L’itinéraire technique de cette culture est plus amplement détaillé. Cet article apporte également des références technico-économiques : investissements, main d’œuvre, coût de production…
Plantes à parfum aromatiques et médicinales : Etat des lieux de la filière et principaux points du cahier des charges de l’agriculture biologique
Nastasia MERCERON, Auteur ; Gaëlle BERNADAS, Auteur ; Béatrice POULON, AuteurLa filière PPAM (plantes à parfum, aromatiques et médicinales) attire de plus en plus de producteurs. En France, plus de 120 espèces de PPAM sont cultivées, avec des possibilités d’utilisations diverses (herboristerie, compléments alimentaires...). La filière bio représente 18 % de la surface totale cultivée en PPAM en France (soit 11 721 ha, dont 9 047 ha certifiés bio et 2 674 ha en conversion), pour un total de 3 604 fermes engagées en bio en 2020. Les plantes les plus cultivées en AB sont la lavande, le lavandin, la sauge sclarée, le thym, la coriandre et la mélisse. Après avoir effectué un état des lieux de la filière PPAM bio française (avec un focus sur la Nouvelle-Aquitaine), cet article répond aux questions suivantes : Quelles PPAM puis-je commercialiser et quelles allégations puis-je afficher ? Les plantes ornementales et aromatiques peuvent-elles bénéficier de la certification AB ? Quelles durées de conversion à l’AB seront appliquées à mes PPAM ? Comment gérer l’introduction de légumineuses dans ma rotation des cultures pour respecter la réglementation AB ? L’utilisation de plantes sauvages issues de cueillette est-elle autorisée en AB ? Les paillages naturels non bio (ex : BRF et broyats de végétaux récupérés chez des particuliers) sont-ils autorisés en AB ? Pour finir, cet article présente les principaux enseignements d’une enquête, réalisée en 2021, auprès de candidats à l’installation en PPAM bio. Cette enquête a été menée dans le cadre du projet « Installation, Diversification et Développement de la Demande en PPAM bio (I3D) », financé par FranceAgriMer et piloté par Bio Nouvelle-Aquitaine.