En 1997, n'étant pas encore en bio mais déjà en "tout herbe", Gilles Auffret fut contacté par un voisin, responsable de CUMA, pour rejoindre un groupe qui projetait d'acheter un retourneur d'andains. L'opération était menée par la fédération des CUMA ; visites de l'exploitation de Daniel Roux en Vendée et de la CUMA Inov 44 en Loire-Atlantique, session FAFEA, convention signée avec la Chambre d'agriculture du Morbihan, financement par le Conseil Général d'un tiers du coût de la machine, dossier pour l'Agence de bassin Loire-Bretagne qui accepte de financer un deuxième tiers de la machine. L'une des toutes premières du genre en Bretagne, la CUMA fut baptisée "Douar ha Deur" (terre et eau, en breton). Aujourd'hui, elle a une bonne trentaine d'adhérents sur 4 cantons. Récit.
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Cet article retrace le témoignage d’une transmission réussie pour une ferme en bovins lait bio dans les Côtes d’Armor. Les cédants présentent leur parcours (critères de choix, recherche d’un candidat…) et le nouvel installé également (recherche de fermes, critères…).
En 1997, n'étant pas encore en bio mais déjà en "tout herbe", Gilles Auffret fut contacté par un voisin, responsable de CUMA, pour rejoindre un groupe qui projetait d'acheter un retourneur d'andains. L'opération était menée par la fédération des CUMA ; visites de l'exploitation de Daniel Roux en Vendée et de la CUMA Inov 44 en Loire-Atlantique, session FAFEA, convention signée avec la Chambre d'agriculture du Morbihan, financement par le Conseil Général d'un tiers du coût de la machine, dossier pour l'Agence de bassin Loire-Bretagne qui accepte de financer un deuxième tiers de la machine. L'une des toutes premières du genre en Bretagne, la CUMA fut baptisée "Douar ha Deur" (terre et eau, en breton). Aujourd'hui, elle a une bonne trentaine d'adhérents sur 4 cantons. Récit.
