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Auteur MONTAGNE (LA) |
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L'AFDI Massif Central informe les agriculteurs vénézuéliens
Accueillis par AFDI Massif Central, quatre jeunes vénézuéliens découvrent actuellement l'agriculture auvergnate et limousine. Particulièrement intéressés par les techniques du maraîchage, qui est leur spécialité, ces jeunes producteurs espèrent tirer profit des pratiques de culture biologique que le contexte économique de leur pays les contraint à développer. Reportage.
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L'agneau biologique pointe le nez
La coopérative régionale COPAGNO a organisé, jeudi 29 Janvier 1998, au Lycée agricole de Brioude-Bonnefont (site expérimental), une journée de sensibilisation sur la production d'agneaux biologiques ; journée à laquelle ont pris part des techniciens des Chambres d'Agriculture des quatre départements auvergnats. Une trentaine d'éleveurs locaux s'est ainsi informée des contraintes et débouchés d'une production d'avenir.
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Agriculture biologique : une ferme bio et néanmoins très technique
Visite de la ferme de Jean-Michel Cellier-Courtil (Président de l'association Auvergne Biologique - 43 ans) sur la commune de Saint-Saturnin dans le Puy-de-Dôme. C'est en 1989 que Jean-Michel Cellier a décidé de se lancer dans la bio et, aujourd'hui, son exploitation en polyculture-élevage couvre une surface vaste : 100 hectares cultivables, le reste en prairies, la moitié de la surface en location. Il emploie un salarié et un apprenti et son père, Lucien Cellier (70 ans) l'aide. Conscient de l'importance de la mécanisation en bio, il fait pousser blé, orge, avoine, sarrasin, féverole, épeautre, pois, luzerne, trèfle et colza et élève des bovins. Partisan d'un cahier des charges rigoureux en élevage, Jean-Michel Cellier déclare que l'éleveur bio doit à la fois prendre en considération la sécurité alimentaire et la qualité. En ce qui concerne la conversion en agriculture biologique en Auvergne, il déclare "Je préfère que l'on aille lentement avec des agriculteurs motivés plutôt que d'avoir des conversions nombreuses qui pourraient galvauder la philosophie et la pratique de l'agriculture biologique".
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L'appétit pour le bio de deux Coubonnais
L'alimentation animale bio a de l'avenir. Tel est le credo de marie-José Buiza et laurent Mazoyer qui viennent de créer, à Coubon, Haute-Loire, leur entreprise de fabrication de granulés pour ovins, bovins, chevaux et lapins. S'approvisionnant dans le département et les départements limitrophes, ils garantissent une production 100% bio et prévoient d'atteindre dès cette année 2000, le million de tonnes de granulés.
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L'argument de l'origine française
Au Brésil, des éleveurs des grandes races à viande française et des industriels de la viande ont le projet d'une marque commune faisant référence à l'origine française de leur souche. Lors d'une visite en France, ils ont exprimé leur attente d'une génétique en correspondance avec la conduite extensive des élevages (taureau améliorateur de la facilité de vêlage, qualité des aplombs et des sabots pour la marche ). Certains agriculteurs biologiques se réjouiront de cette demande en matière de sélection
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Bien-être animal : le bonheur peut faire le revenu
Le bien-être des animaux d'élevage est une demande sociale forte. Selon une enquête de l'INRA, 80% des français seraient prêts à payer 20% de plus pour une viande de veau (une production très critiquée) issue d'élevages respectueux du bien-être. L'INRA de Theix, près de Clermont-Ferrand, est le principal centre de recherches en France sur le bonheur des ruminants. Un sujet qui a été abordé notamment au sommet de l'élevage à Cournon (Puy-de-Dôme), lors d'une conférence qui s'est déroulée le Vendredi 8 Octobre 1999. Un prototype de camion conforme à la règlementation sur le transport des animaux a également été présenté au Sommet par l'Institut de l'élevage.
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Bio... logique et éthique
Le rendez-vous écobiologique de Chaspuzac a permis aux visiteurs de rencontrer les producteurs, artisans et associations qui défendent une "autre façon de vivre" où qualité et sécurité prévaudraient sur quantité et productivité.
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Le "boeuf d'Auvergne" bientôt sur pied
Bientôt, dans les boucheries, l'appellation "boeuf d'Auvergne" : une assurance qualité pour les consommateurs. Et l'espoir, pour les éleveurs, de vendre davantage d'animaux finis. Une marque de plus ? Non, une appellation générique, qui se veut fédératrice. En effet, selon les cas, le logo "boeuf d'Auvergne" apparaîtra seul ou à côté d'autres signes de qualité, marques et labels notamment. Les élevages biologiques trouveront toute leur place dans une démarche qui associe tous les acteurs de la filière, des agriculteurs naisseurs et engraisseurs jusqu'aux bouchers, en passant par les abbateurs et les fabricants d'aliments.
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Le boum du "bio"
C'est une forme d'agriculture durable, non polluante, qui rassure. La France compte plus de 3500 producteurs bio, avec un chiffre d'affaires de 3 milliards de francs qui sera multiplié par 5 d'ici à cinq ans.
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Christian Nugier cultive l'essentiel
Dans son laboratoire de Saint Victor d'Arlanc, Christian Nugier continue d'extraire le meilleur des herbes et fleurs pour produire des huiles essentielles.
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Création d'une filière volaille bio en Lozère
Une récente étude a révélé que 41 % des français consomment du "bio" occasionnellement et près de 15 % d'une façon très régulière. Une consommation qui a augmenté de 25 % en 1996 et qui va sans cesse croissant mais avec une production qui reste en retard sur celle de nos voisins européens, de sorte que l'hexagone importe une partie de ces produits. Pour pallier cette lacune, vient de se créer la filière de "volaille bio de Lozère". Elle va voir, à terme, la création de 200 bâtiments d'élevage, tous entourés de vastes espaces, qui permettront de produire environ 40 000 poulets bio par semaine. La SA "3B" (Barou-Boulet-Bio Volailles) est ainsi née. Description de la situation à ce jour et des engagements prévisionnels jusqu'à l'an 2000.
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Une exploitation "bio" à coeur ouvert
Installés à Fay-La-Triouleyre, Jean-Baptiste et Pierrette Teyssonneyre font partie de la centaine de producteurs en agriculture biologique que compte le département de la Haute-Loire. En bio depuis 1993, ils ont ouvert les portes de leur ferme pour faire découvrir l'agriculture biologique au président du Conseil Général, Jacques Barrot.
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Des légumes bio dans le jardin de l'insertion
Créée depuis quelques mois, l'association "Le jardin des Estreys", qui a pour but d'intégrer des personnes en difficultés, emploie à ce jour 18 jardiniers pour cultiver une quarantaine de variétés de légumes bio sur trois hectares au bord de la Borne (Haute-Loire). Présentation de son fonctionnement, son éthique et ses objectifs.
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La pomme de terre se fait belle et bio
Journée porte ouverte chez François Chapelle, producteur de plants bio de pomme de terre sur le plateau du Mézenc, Haute-Loire. Ce fut l'occasion pour les visiteurs de découvrir des variétés rustiques telles que l'Arly rose, la Bleue d'Auvergne, la Vitelotte ou encore la Fleur de pêcher.
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Pour sortir du trou
"Chômeurs de longue durée, détenus, handicapés... La culture ""bio"" est pour eux le moyen de refaire surface."