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Dossier Agriculture Bio : Quelles pratiques pour quel sens ?
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"La revue Bima consacre tout un dossier sur l'agriculture biologique, avec notamment : - les fondamentaux : voyage au coeur du bio, de son histoire, de ses acteurs, - les grandes cultures : un CTE ""Conversion à l'Agriculture Biologique"" dans le Gard, - l'élevage porcin : dans les Côtes-d'Armor, Yves Le Jeune élève des porcs bio, - l'aquaculture : reportage dans la première ferme aquacole française en cours de certification bio, - l'IAA : dans le Haut-Doubs, les fromageries Le Petite affinent 450 tonnes de Comté bio par an, - la recherche : depuis 1999, l'INRA et le CEMAGREF s'efforcent de répondre aux questions posées par l'agrobiologie."
Le Lubéron au goût du bio
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L'opération "le Lubéron a bon goût", lancée à l'initiative du Parc Naturel Régional du Lubéron unit, autour d'une charte du tourisme durable, agriculteurs, professionnels de la restauration et responsables du tourisme. Les restaurateurs impliqués servent des produits issus de l'agriculture biologique et contribuent ainsi à la promotion de la filière biologique, la valorisation du terroir, de la gastronomie locale et le respect de l'environnement. Evocation des difficultés trechniques et engagements autour de cette opération.
Objectif 20 % bio : au-delà de la magie du chiffre
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Le programme fédéral allemand pour l'agriculture biologique, lancé entre 2001 et 2002, a pour objectif un accroissement des exploitations agricoles biologiques, afin que celles-ci représentent 20 % des exploitations agricoles du pays d'ici 2010. 250 millions d'euros doivent être investis entre 2002 et 2005, mais le projet des 20 % peut sembler être un mirage. L'auteur présente donc, dans cet article, les causes de cette volonté de développer l'agriculture biologique, les atouts dont elle dispose pour y parvenir, et les freins à ce développement ainsi que les obstacles à franchir.
Le safran s'épanouit en Gâtinais
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Du XVI° au XIX° siècle, la ville de Boynes fut la capitale mondiale du safran. Aujourd'hui, le LEPA de Beaune-la-Rolande développe la culture de cette fleur mythique dont les stigmates produisent une poudre qui parfume aussi bien les plats salés que sucrés. Le but n'est pas de reproduire les modes culturaux du passé, mais d'apporter à cette production traditionnelle les améliorations techniques fournies par la recherche scientifique.
