Détail de l'auteur
Auteur Yves MANSY |
Documents disponibles écrits par cet auteur (12)
Ajouter à la sélection Affiner la recherche
Les fermiers du Trégor, un projet ambitieux
Les fermiers du Trégor, des producteurs laitiers, ont décidé de créer leur propre outil de transformation laitière et de commercialiser eux-mêmes une large gamme de produits. Entretien avec Patricia Hervo, cogérante de la SARL les fermiers du Trégor.
La phytothérapie avec des plantes cultivables à la ferme
L'article nous propose quatre recettes du Docteur Gilles Grosmond réalisables à partir de plantes aromatiques facilement cultivables dans un jardin. La première recette permet de réaliser une bassine à lécher pour vermifuger les herbivores (strongle). Les trois autres recettes proposées sont des infusions contre la diarrhée des veaux, la métrite et la coccidiose des volailles. Enfin, pour terminer, les conseils de culture, les usages et vertus des différentes plantes utilisées sont présentés succinctement dans un tableau.
A Saint Michel en Grèves, le Panier Bio
Dans le Trégor, une poignée de militants associatifs qui voulaient favoriser les agriculteurs engagés dans la Bio ou dans une démarche forte d'agriculture durable créent un groupement d'achat. Depuis juillet 2004, le Panier bio a ouvert une épicerie à Saint Michel en Grèves. Témoignage de Annie Le Bozec, une des chevilles ouvrières de l'opération.
Le tarissement des vaches à cellules : Sans les antibiotiques, c'est possible !
Avant de traiter les vaches à cellules au tarissement, essayons de comprendre d'où viennent ces cellules et ce qu'elles traduisent. L'article nous donne ici l'étiologie de 7 types de cellules. Par exemple : Lorsque les cellules épithéliales dominent (+50%), les problèmes d'élevage suspectés peuvent être la surtraite, une marche excessive, une carence en oligo éléments. Lorsque les polynucléaires éosinophiles sont présents à + de 25%, c'est qu'il y a de la douve dans le troupeau. Le docteur Gilles Grosmond propose ensuite des recettes pour tarir les vaches sans antibio et pour drainer le foie en état de stéatose ou intoxiqué.
La Binée paysanne, un bel exemple de solidarité entre producteurs et consommateurs
Neuf agriculteurs des Côtes d'Armor ont décidé de se rassembler en association de producteurs dans l'objectif de vendre une partie de leur produit directement auprès des consommateurs pour une meilleure valeur ajoutée, une meilleure équité du commerce et une solidarité paysanne. L'association livre des paniers dont le contenu est déterminé par le consommateur. Hervé Talbourdet, président de la Binée, reconnaît que l'investissement humain et matériel reste important mais désire cependant étoffer la gamme de produits et le nombre de producteurs...à bon entendeur !
Compte-rendu des journées aromathérapies (session hiver 04) du Docteur Gilles GROSMOND
Après de brefs rappels concernant la mamelle, des recettes sont proposées par le docteur Grosmond pour soigner de différentes façons les mammites à streptocoque, à collibacille, et intervenir au tarissement.
Le navet d'automne
Cet article présente l'itinéraire technique du navet d'Automne, produit en tunnel froid et vendu en botte sur le marché. La préparation du sol, la semence, les risques sanitaires et le calcul de la marge nette y sont abordés et de manière claire et complète.
Premières semaines des poules pondeuses bio : Des poulettes bien élevées
Entretien avec un agriculteur. La réglementation concernant l'élevage des futures poules pondeuses en bio a changé avec le REPAB-F. Les poulettes issues de l'élevage conventionnel qui étaient destinées à l'élevage des poules pondeuses bio pouvaient être âgées de 17 à 18 semaines. Aujourd'hui, cet âge a été ramené à 12 semaines. De 12 à 18 semaines, les poulettes doivent être élevées en bio. Ainsi, de 1 à 12 semaines, les poulettes ont une alimentation conventionnelle (garantie ici sans OGM car les déjections sont ensuite valorisées sur l'exploitation), elles sont vaccinées contre différentes maladies virales et souvent une vermifugation est prescrite. Puis de 12 à 18 semaines, les poulettes passent à l'aliment bio : on remarque alors une diminution de la croissance et de développement de la poulette. Pour les soins vétérinaires, les biothérapies sont utilisées de préférence. D'après l'agriculteur, cet élevage ne nécessite pas trop de temps de travail et n'est pas trop difficile techniquement si on respecte certaines règles de base (programme lumineux, désinfection, vide sanitaire... ). Quant à la marge brute, l'agriculteur manque de recul pour l'estimer.
Semences potagères et maraîchères en bio : Les variétés disponibles
Le GAB d'Armor a fait le point sur l'état des disponibilités en semences potagères et maraîchères issues de l'agriculture biologique. Il a également évalué le comportement des variétés utilisées en Bretagne (questionnaire et enquêtesauprès de producteurs) pour 16 espèces de légumes. Un tableau reprend les différents résultats. A la veille de l'échéance dérogatoire du règlement européen, il existe peu d'offre variétale en agriculture biologique et souvent à un coût élevé. Doit-on produire en agriculture biologique certaines variétés conventionnelles ?
La carotte : production sous abri récoltée au printemps
Itinéraire technique recueilli chez messieurs Cabaret et Dubee, maraîchers associés à Hillion : préparation du sol, désherbage, choix des variétés, irrigation, parasitisme, fumure, commercialisation...
Le fenouil de Provence
Ce légume est de plus en plus apprécié des consommateurs, et pourtant la production française reste relativement stable, derrière l'Italie, l'Espagne et les Pays-Bas. Les régions productrices en France sont concentrées en PACA, Rhône-Alpes et dans la vallée de la Garonne. La culture du fenouil est cependant possible dans d'autres régions "littorales" comme la Bretagne où les risques de gelée sont faibles. Cet article présente donc les caractéristiques, la production, le semis, la récolte et pour terminer les ennemis et les parasites du fenouil.
Rappel de la réglementation concernant les élevages de volailles en bio
Le REPAB-F oblige les producteurs de volailles et d'oeufs biologiques à produire un minimum de céréales et d'oléoprotéagineux en AB. L'objectif est d'atteindre 40 % des besoins alimentaires. Le cahier des charges prévoit un échelonnement des contraintes. La première échéance est le 24/08/2003, date à laquelle les éleveurs doivent produire au moins 10 % des besoins. Mais, pour les éleveurs étant dans des situations très particulières (pas de SAU, cultures impossibles...) ce qui les empêche de respecter cette contrainte de lien au sol, il prévoit des dérogations.