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Auteur René CHANAUD |
Documents disponibles écrits par cet auteur


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L'assainissement non collectif ou assainissement individuel
Chaque jour, nous utilisons de l'eau pour la vaisselle, la douche, la lessive, les wc... Après usage, ces eaux polluées, appelées eaux usées domestiques, doivent donc être épurées avant d'être rejetées dans le milieu naturel. Si notre habitation n'est pas en situation d'être raccordée à un réseau d'égout (maison isolée, zone peu dense...), nous devons disposer d'installations d'assainissement non collectif ou assainissement individuel ou autonome en bon état de fonctionnement. Ce type d'installation, s'il est bien conçu et correctement réalisé, garantit une bonne élimination de notre pollution et contribue donc à protéger nos cours d'eau et nos nappes phréatiques.
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Badigeonnez vos arbres
Le badigeon va constituer une seconde peau pour l'arbre. Il peut être constitué à partir de divers produits faciles à trouver (argile, bouse de vache, eau de silicate de soude..). Il joue un rôle nutritif et cicatrisant et détruit les formes hivernales des insectes ravageurs. Il est possible de badigeonner dès la fin de l'automne et pendant tout l'hiver, en évitant les gelées.
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Eau : L'Assainissement individuel naturel : Les bassins filtres à plantes aquatiques
Des graviers, des roseaux, des micro-organismes,... et voilà une technologie douce et performante. Le traitement des eaux usées sur filtres plantés de roseaux consiste à faire circuler nos effluents domestiques au fil de bassins successifs dans lesquels on a pris soin de créer, grâce à des minéraux et des végétaux, un milieu extrêmement favorable à l'activité épuratoire. C'est un procédé innovant, optimisant le cycle naturel d'épuration de l'eau, écologique, économique, fiable, performant, sans mauvaises odeurs, et c'est un plaisir pour les yeux. L'association "Eau Vivante", sur le modèle impulsé par Joseph Orszagh, universitaire belge, essaye de sensibiliser le public et les partenaires institutionnels à une approche plus globale et plus autonome de la gestion de l'eau domestique et agricole (élevages). Bien que la mise en place de ce type d'épuration nécessite une formation de quelques jours, l'article décrit les moyens techniques à mettre en place.
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Eau secours !!!
Convaincu de la nécessité de réduire l'approvisionnement centralisé en eau afin de préserver les ressources, l'auteur nous présente quelques techniques permettant de recueillir l'eau de pluie et de l'utiliser pour les besoins domestiques (avec installation d'une éolienne éventuellement). Pour une autonomie complète en eau, on compte en moyenne 60m2 de surface de captage par personne et 40 m2 en cas d'adoption de toilettes sèches.
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Eau secours !!!
Convaincu de la nécessité de réduire l'approvisionnement centralisé en eau afin de préserver les ressources, l'auteur nous présente quelques techniques permettant de recueillir l'eau de pluie et de l'utiliser pour les besoins domestiques (avec installation d'une éolienne éventuellement). Pour une autonomie complète en eau, on compte en moyenne 60m2 de surface de captage par personne et 40 m2 en cas d'adoption de toilettes sèches.
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Eau...secours !!!
La population mondiale ne cesse de croître et, avec elle, les dépenses et le gaspillage de l'eau potable et de l'eau douce. Le Sommet de Johannesburg a encore une fois tenté d'attirer l'attention du public sur une possible pénurie d'eau douce dans les prochaines années alors que dans certains pays du monde, cet accès à l'eau est encore quasiment impossible. Il devient donc urgent que les hommes prennent conscience du danger et trouvent un moyen de préserver les ressources en eau. A l'heure actuelle, la pollution des eaux, qu'elle soit souterraine ou de surface, progresse rapidement. L'industrie et l'agriculture y sont d'ailleurs pour beaucoup et les nappes phréatiques ne cessent de se dégrader sous l'action notamment des pesticides, des herbicides et des médicaments contenus dans les déjections animales. A lire absolument.
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Energie... quand tu nous tiens !
La consommation d'énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz, uranium,...) et les émissions de gaz à effet de serre explosent, notamment au sud. Les pays du nord doivent réduire radicalement leurs émissions, tandis que le nucléaire ne constitue plus guère une alternative crédible. Les énergies renouvelables (solaire, éolien, biomasse,...) doivent être développées, mais c'est surtout du côté de l'efficacité énergétique (sobriété et efficacité sur la production et la consommation), ou d'une rapide sortie de la société de consommation qu'il faut progresser.
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Les plantes aquatiques : leur rôle épurateur
Les plantes aquatiques se classent en trois ensembles : les plantes utilisant l'eau comme support, celles utilisant le sédiment du fond de l'eau comme support, celles dont les pieds sont dans l'eau tandis que tiges et feuilles sont aériennes. La plupart des pollutions organiques véhiculées par l'eau (insecticides, herbicides, hydrocarbures) peuvent être transformées par les bactéries de la rhizosphère de ces plantes.
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Quelques plantes sauvages alimentaires
Ce dossier proposé par Naturallier invite le lecteur à découvrir des plantes, courantes mais méconnues. Ces plantes sauvages, que l'on peut consommer de différentes manières, ont des vertus parfois médicinales, parfois magiques ou tout simplement une histoire un peu particulière. Apprenez ainsi à cuisiner le mouron blanc, à préparer un désinfectant à base de berce ou un engrais avec des orties dioïques. L'auteur nous rappelle à juste titre que dans ce genre d'expérience, il est recommandé de ne pas ramasser les plantes rares et de s'en tenir aux variétés prodigues.
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Récolter les plantes médicinales et les conserver
Les plantes médicinales peuvent être récoltées tout au long de l'année. Il est toutefois plus pratique de les ramasser en été ou en automne, pour pouvoir les faire sécher aisément. En effet, le séchage est une étape très importante, il doit être effectué rapidement, à l'ombre, de manière à ce que les feuilles restent vertes et les fleurs colorées. Naturallier nous livre dans ce dossier les trucs et astuces du ramassage, un calendrier pour les différentes possibilités de récolte, un petit répertoire des plantes toxiques et des conseils pour se construire un séchoir.
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Travailler son jardin comme au Sahel
Les propos sur le réchauffement climatique sont maintenant très courants et 2003 puis 2005 nous ont valu des températures estivales record. L'entretien d'un jardin et son arrosage sont de plus en plus problématiques. Inspirons-nous des méthodes sahéliennes, telles que la culture sur butte.