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Auteur J. PLANTIN |
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Sans labour : plus ou moins de produits phyto ?
Pour Philippe Viaux, interviewé dans cet article, "les techniques sans labour doivent être pensées globalement, sur des systèmes à long terme, pour s'affranchir de la dimension chimique". Autrement dit, transposer directement l'itinéraire "avec labour" en itinéraire "sans labour", ça ne marche pas ! C'est bien une approche globale qu'il faut avoir, une approche système. Philippe Viaux, d'Arvalis, propose quelques pistes : gérer le désherbage de l'interculture par des techniques mécaniques (utiliser le faux semis), avoir des rotations longues, en "système intégré", qui font alterner des espèces différentes, aux cycles de développement différents.
Ils valorisent leur lait... en groupe
Cet article présente trois groupements de producteurs de lait, qui ont pour objectifs une meilleure commercialisation de leur matière première ou la valorisation dans des créneaux porteurs. Le premier de ces groupements a été créé afin de continuer la production de Bleu de Trizac, dans le Cantal. Le second est le GIE de collecte laitière de la Crête, qui rayonne en Basse Normandie, Mayenne et Ile-et-Vilaine. Enfin, le troisième, et le plus connu dans nos pages, est le GIE Biolait.
Paul Thiollière : Le boucher philosophe
Producteur, engraisseur et transformateur de porcs dans la Loire, Paul Thiollière a lancé une boucherie paysanne avec des collègues, il y a 2 ans. En 1981, il reprend la ferme familiale et s'installe en élevage laitier. En 1988, il s'associe avec un Normand et diversifie : atelier de truies en plein air, chèvres... Mais, l'expérience ne dure pas et il poursuit seul avec vaches et engraissement de porcs. Il adhère à la FNSP (devenue Confédération Paysanne), est trésorier-fondateur d'un groupe véto et devient administrateur du Comité de développement agricole des deux Cantons. C'est de ce lieu de rencontres qu'émergent des projets : compost, taupe, filière caprine... et boucherie paysanne. Ils seront 9 à se lancer, il y a 2 ans, dans la SARL Le Partouret, atelier de découpe et magasin. Récit.
Paul Thiollière : Le boucher philosophe
Producteur, engraisseur et transformateur de porcs dans la Loire, Paul Thiollière a lancé une boucherie paysanne avec des collègues, il y a 2 ans. En 1981, il reprend la ferme familiale et s'installe en élevage laitier. En 1988, il s'associe avec un Normand et diversifie : atelier de truies en plein air, chèvres... Mais, l'expérience ne dure pas et il poursuit seul avec vaches et engraissement de porcs. Il adhère à la FNSP (devenue Confédération Paysanne), est trésorier-fondateur d'un groupe véto et devient administrateur du Comité de développement agricole des deux Cantons. C'est de ce lieu de rencontres qu'émergent des projets : compost, taupe, filière caprine... et boucherie paysanne. Ils seront 9 à se lancer, il y a 2 ans, dans la SARL Le Partouret, atelier de découpe et magasin. Récit.
Cantines bio : pour demain ?
Depuis la "vache folle", manger bio dans les cantines est un thème porteur. Mais paradoxalement, les producteurs bio ne se précipitent pas sur le créneau. Il faudra peut-être attendre les nouveaux convertis pour que le marché se développe. Plusieurs freins interviennent : la réglementation, le conditionnement et la question des prix. Petit tour en Rhône-Alpes.
Concilier production et bien-être des animaux
L'unité de recherche sur les herbivores (INRA Theix) étudie les relations des animaux d'élevage avec l'Homme pour concilier production et bien-être des animaux. La prise en compte du bien-être animal par les éleveurs paraît aussi nécessaire. Entretien avec Pierre Le Neindre, président du groupe d'experts européens "Bien-être animal".
Chauffé grâce au lait
A Decize, dans la Nièvre, Pierre Bordet chauffe sa maison grâce au lait de ses 50 vaches. Un système ingénieux et économique.
Organismes Génétiquement Modifiés : quel choix pour les agriculteurs ?
Le débat scientifique sur les OGM porte sur les risques liés à l'environnement et à la santé humaine. Mais les querelles d'experts masquent un autre débat, social et politique. Agriculteurs et consommateurs ont-ils encore le choix ? Pas sûr, car le maïs transgénique (cultivé en France) ou le soja, importé des Etats-Unis, sont déjà dans nos assiettes !
Produits fermiers : l'effervescence autour des producteurs
A l'heure où s'élabore la Loi d'orientation agricole, les producteurs fermiers font l'objet de rivalités institutionnelles. Mais pour eux, au-delà de la reconnaissance politique, il reste de réels défis à relever : la liaison avec l'administration, le lien avec les consommateurs et la reconnaissance de leur participation économique active dans le développement des campagnes.