Détail de l'auteur
Auteur JL. PEYRAUD |
Documents disponibles écrits par cet auteur (5)


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Dossier : Pâturage et mise à l'herbe
P. GUINAMANT, Auteur ; JL. PEYRAUD, Auteur ; L. DELABY, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier aborde les intérêts et incidences du pâturage et de la mise à l'herbe de vaches laitières. Il s'appuie sur des témoignages : - Affouragement en vert (P. Guinamant, de l'EARL de Kernabat (22), a la volonté de conserver la valeur alimentaire de l'herbe en été grâce à l'affouragement en vert) ; - Quels types de vaches laitières demain ? (dans cet article, extrait de la revue « Fourrage », publié en 2009, par JL. Peyraud, et ses collaborateurs, sont présentées les principales questions que l'éleveur doit se poser pour effecteur le meilleur compromis entre son système et les races présentes dans son élevage conduit en bio) ; - Combiner la gestion optimale du pâturage et les performances des vaches laitières : enjeux et outils (cet article est issu d'une publication scientifique, publiée par JL. Peyraud et L. Delaby, en 2005. Il s'attache à préciser les possibilités d'alimenter des vaches laitières à haut potentiel au pâturage, à analyser les effets des pratiques de pâturage sur les performances individuelles et par hectare à l'échelle de la saison de pâturage ) ; - Le risque parasitaire au pâturage et sa maîtrise (cet article, publié en 2009, est issu d'une publication scientifique de M. Chauvin. Les principes de maîtrise et de prévention des maladies parasitaires en élevage bovin y sont présentés).
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Les acides gras du lait de vache : Composition et maîtrise par l'alimentation
JL. PEYRAUD, Auteur ; B. ROUILLÉ, Auteur ; C. HURTAUD, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Maison Nationale des Éleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2011
L'alimentation des animaux conditionne la composition du lait, notamment celle en matières grasses et plus précisément en acides gras. C'est sur la composition en acides gras que la filière laitière est interpellée, de manière pressante. Il était utile de faire un point objectif sur les questions, les contraintes et les opportunités qui se posent à la filière laitière française dans ce domaine. L'approche retenue a été de répondre de manière simple et concise aux questions suivantes : - Comment sont élaborés les acides gras présents dans le lait ? Quel est le rôle de la glande mammaire en la matière ? ; - Quels laits produire demain ? Comment adapter la composition du lait sans tomber dans des pièges métaboliques ou sans jouer à l'apprenti-sorcier ? ; - Quelle est la diversité des situations aujourd'hui, avec les nouvelles contraintes sur les intrants, et quelles sont les approches opérationnelles d'adaptation existantes ? La deuxième partie du document est consacrée au lien entre l'alimentation (ration de base et supplémentation) et la qualité du lait.
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Sécheresse 2011 : Comment adapter l'alimentation des vaches laitières
Le déficit hydrique enregistré depuis le début de l'année 2011 a conduit à un manque de fourrages. Suite à la sécheresse de 2010 (notable dans certaines régions), des éleveurs n'avaient déjà plus beaucoup de stocks au début de la campagne. La situation sera d'autant plus délicate à gérer dans les situations où l'élevage dispose de peu de surface fourragère par animal. Pour adapter l'alimentation des vaches laitières, ce document aborde plusieurs points : 1. Comment faire face aux problèmes d'alimentation des troupeaux en phase de pénurie fourragère ? : 1.1. Adapter les rations pour économiser les fourrages ; 1.2. Essayer d'assurer une production de fourrages aidant à passer l'été ; 1.3. Assurer une production de fourrages à l'automne ; 1.4. En dernier ressort, agir sur les effectifs du troupeau ; 1.5. Faut-il repenser les systèmes fourragers à plus long terme ? ; 2. Effet de températures élevées sur les animaux : 2.1. Effets immédiats sur l'ingestion et la production laitière ; 2.2. Effets sur les performances de reproduction.
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Valoriser les fourrages de l'exploitation pour produire du lait
L. DELABY, Auteur ; JL. PEYRAUD, AuteurSi les vaches laitières sont capables de consommer et transformer les fourrages en lait, elles consomment néanmoins de plus en plus de concentrés, céréales et tourteaux. L'augmentation du prix des intrants fragilise les élevages laitiers et incite à refaire confiance aux fourrages de l'exploitation pour produire du lait... Mais à quelles conditions ? Divers résultats issus de réseaux ou d'expérimentations, et sélectionnés dans diverses situations pédoclimatiques (Franche-Comté, Irlande, ouest de la France), confirment les possibilités et les limites de ces systèmes laitiers basés sur les fourrages. Une nouvelle logique est à adopter, en recherchant le meilleur compromis entre une ingestion maximale par vache et par hectare. Enfin, les techniques à mobiliser et les pratiques à mettre en uvre autour de la production et l'utilisation des fourrages, de la place essentielle du pâturage et de la conduite des vaches sont recensées et précisées afin de permettre aux éleveurs de s'engager plus sereinement dans cette "voie fourrages", caractéristique des élevages de ruminants.
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Utilisation des intrants azotés pour le pâturage des vaches laitières
Le contexte des quotas laitiers, la disponibilité en surfaces herbagères et les contraintes environnementales, incitent les éleveurs à optimiser l'utilisation des intrants azotés au pâturage. Les conséquences zootechniques de ces choix sont analysées à la lumière des travaux conduits à la SRVL depuis plusieurs années, à la fois en Normandie et en Bretagne. Généralement, la réduction concomitante de la fertilisation azotée et du chargement permet de maintenir les performances individuelles, diminue les performances par hectare et réduit sensiblement les restitutions d'azote par les déjections.. Dans les milieux peu favorables à la fourniture de N par le sol, la réduction de la fertilisation azotée a des conséquences sur la production laitière d'autant plus importantes que la teneur en MAT de l'herbe offerte est faible. L'apport d'une complémentation adaptée aux besoins en protéines de l'animal permet alors de corriger ce déficit protéique avec un rendement biologique intéressant. Les rejets azotés sont alors plus faibles que sur des prairies bien fertilisées.