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Auteur Hélène VEDIE |
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Dossier spécial : Implantation de cultures dans des couverts végétaux dautomne couchés au rouleau faca : laitue et haricot
Hélène VEDIE, Auteur ; Abderraouf SASSI, Auteur ; Brieuc DESAINT, Auteur ; ET AL., AuteurEn maraîchage, les références sur les couverts végétaux (CV) sont encore peu nombreuses. Dans le cadre du projet COPREAU, le GRAB a mis en place un essai bio en plein champ afin dobtenir des références en croisant deux facteurs : le type de couvert végétal x le mode de destruction du couvert. Trois modalités de CV ont été testées (Sol nu ; CV1 = Blé + Pois + Trèfle Incarnat ; CV2 = Orge + Féverole + Pois), ainsi que trois modalités de destruction (EV = Broyage du couvert et enfouissement par le travail du sol ; RF = Couchage du couvert au rouleau faca et travail du sol limité à la ligne de semis/plantation ; Paillage plastique). Deux cultures différentes ont ensuite été implantées : des laitues et des haricots. Un suivi du développement des couverts, de différentes caractéristiques du sol et du développement des cultures a pu être réalisé. Les deux types de CV se sont très bien développés (biomasse de plus de 11 tMS/ha), mais un déséquilibre a été observé dans leur composition avec une prédominance de blé dans le CV1 et de féverole dans le CV2. Concernant les modalités RF, le stade de couchage du CV2 a été bien choisi, alors quil a fallu trois passages de rouleau faca pour maîtriser le CV1. Pour la salade, les rendements semblent être affectés par le type de couvert : ils sont inférieurs pour les modalités CV1 (riches en blé). Le mode de destruction semble également influencer les rendements : la présence accrue de limaces pour les modalités RF engendre plus de déchets. Les rendements des haricots semblent être uniquement impactés par le mode de destruction des CV : les modalités RF ont un rendement inférieur et sont en retard dune dizaine de jours. Globalement, la technique des couverts couchés engendre des pertes de rendement sur les deux cultures. Les résultats confirment aussi limportance de tester la technique pour des couples « couvert-culture ».
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Gestion des Nématodes à galles en maraîchage sous abri
La plupart des plantes maraîchères sont sensibles à Meloidogyne spp. Ces derniers sont des nématodes à galles responsables dimportants dégâts en cultures maraîchères sous abris. Leur développement est généralement le reflet dun déséquilibre microbiologique du sol. Ils ne peuvent pas être éradiqués mais il est possible de les maintenir en dessous de leur seuil de nuisibilité. Pour cela, la prophylaxie doit être pratiquée toute lannée et à tous les niveaux de litinéraire technique. Des actions assainissantes (solarisation, couverts végétaux) peuvent être mises en place au moment de linterculture. Sur le long terme, il faut favoriser les pratiques améliorant lactivité biologique du sol. Cette fiche technique apporte des éléments permettant de connaître le stade dinfection dune parcelle via lIndice de Galle Racinaire (IGR) et des analyses en laboratoire. Elle détaille ensuite les éléments de prophylaxie à appliquer, ainsi que les différentes pratiques culturales possibles pour lutter contre les nématodes. Parmi ces méthodes, le texte se focalise plus particulièrement sur les effets de différents couverts : plantes pièges (sorgho fourrager), plantes de coupure (sorgho variété Jumbo) et plantes biofumigantes (moutarde).
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GRAB : Bilan des principaux essais en maraîchage en 2018
Catherine MAZOLLIER, Auteur ; Hélène VEDIE, Auteur ; Jérôme LAMBION, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier présente le programme dexpérimentation en maraîchage bio mis en place par le GRAB en 2018. Un tableau permet, tout dabord, de récapituler et de classer par thème les différents essais (Fertilisation/Fertilité/Entretien du sol ; Système de culture ; Biodiversité fonctionnelle ; Protection des cultures ; Variété/Irrigation/techniques culturales). Il rappelle également les différents partenaires, ainsi que les financeurs associés à chaque essai. Les différentes expérimentations sont ensuite détaillées avec la description du cadre dans lequel elles sinscrivent, leurs objectifs, les dispositifs mis en place, ainsi que les premiers résultats obtenus.
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Dossier spécial : Des systèmes de culture pour maîtriser les populations de nématodes à galles : résultats de lessai du GRAB dans le projet GEDUBAT
Hélène VEDIE, AuteurLe projet GEDUBAT (Gestion Durable des Bio-Agresseurs Telluriques), coordonné par le Ctifl et financé par Ecophyto, visait à tester sur 6 ans des techniques alternatives pour réduire la pression des pathogènes telluriques (en particulier les nématodes) sur les cultures sous abri. Dans le cadre de ce projet, le GRAB Avignon a mis en place un essai "système" pour comparer différentes stratégies de combinaisons de leviers pour limiter les populations de nématodes à galles (diversification des cultures, engrais verts, limitation des plantes hôtes, solarisation, apport de MO ). Deux systèmes ont été étudiés : le système 1 qui vise une rentabilité maximale et le système 2 qui vise à diminuer la prise de risque nématodes. Différentes mesures ont été réalisées : niveau des dégâts sur les cultures, suivi des populations, suivi dindicateurs biologiques de fertilité des sols, bilan technico-économique des deux systèmes. Les résultats obtenus ont permis de conforter les règles de décision prises sur les deux systèmes et de contenir la pression des nématodes à un niveau modéré. Pour réussir, il faut mettre en place un maximum de mesures de régulation : mesures prophylactiques, rotations et solarisation.
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GONEM : Groupe Opérationnel sur la gestion des NEMatodes à galles en maraîchage en PACA
Hélène VEDIE, AuteurGONEM est un projet des groupes opérationnels du Partenariat Européen pour lInnovation (PEI). Il est porté par le GRAB et soutenu par des fonds du Feader et de la région PACA. Il a commencé en 2018, pour une durée de 4 ans. Son objectif est de développer et dévaluer différentes stratégies de lutte alternatives contre les nématodes à galles en maraîchage. Il sinscrit dans une démarche de recherche participative. Le projet est en effet multipartenarial : chercheurs, expérimentateurs, conseillers et dix maraîchers. Une phase de co-conception a permis de mettre en place des systèmes culturaux innovants sur chaque exploitation. Ces systèmes ont été conjointement élaborés par tous les acteurs. Ainsi, dix expérimentations système ont vu le jour afin détudier des combinaisons cohérentes de pratiques (choix du matériel végétal, techniques culturales à visée assainissante). Ces expérimentations concernent principalement des systèmes sous abris froids. Leur évaluation se fera en collaboration étroite avec lensemble des acteurs. Lobjectif est de stimuler linnovation et le changement de pratiques chez des agriculteurs.
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Screening de couverts végétaux pour une utilisation en couverts couchés
Hélène VEDIE, Auteur ; Abderraouf SASSI, Auteur ; Chloé ROCHAT, Auteur ; ET AL., Auteur | AVIGNON CEDEX 9 (Maison de la Bio - 255 Chemin de la Castelette, BP 11283, 84 911, FRANCE) : GRAB (Groupe de Recherche en Agriculture Biologique) | 2018Limplantation de cultures sous couvert présente de nombreux avantages. Dans ce domaine, contrairement aux grandes cultures, très peu de références sont disponibles en maraîchage. Dans le cadre du projet COPREAU (COuverts végétaux pour Préserver la Ressource en EAU), le GRAB a effectué une sélection de différents couverts végétaux destinés à une utilisation maraîchère. Il a pour cela évalué le développement, la « couchabilité » et le potentiel de repousses de huit couverts différents : avoine ; blé-maïs ; avoine-féverole ; seigle-pois ; féverole-trèfle incarnat ; avoine-pois-vesce-moutarde ; seigle-féverole-trèfle dAlexandrie ; triticale-pois-phacélie. Ces couverts ont été semés le 27 mars 2018, à la volée, avec un enfouissement superficiel à laide dune herse rotative et dun rouleau. Ils se sont globalement bien développés même si les semis se sont avérés hétérogènes. Ils ont été couchés au rouleau Faca le 26 juin, puis broyés et enfouis le 4 septembre. Globalement, les différents couverts testés ont donné satisfaction avec des espèces et des doses adaptées. Le temps laissé à la réalisation de leur cycle de culture (trois mois, de fin mars à fin juin), est à la fois adéquat pour leur développement et correspond à une période dinterculture en maraîchage de plein champ (notamment pour les choux et les poireaux). Les biomasses obtenues sont par contre hétérogènes et la destruction aurait pu être anticipée pour certains couverts.
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Dossier Couverts végétaux : Destruction de couverts avec un rouleau crêpeur en maraîchage bio : opération réussie au GRAB ! Mais qui nécessite encore quelques ajustements...
Florian GEORGEL, Auteur ; Hélène VEDIE, AuteurLes couverts végétaux présentent des intérêts en maraîchage (pas de travail du sol, fertilité, lutte contre les adventices, retenue deau). Les modalités dusage sont encore à améliorer. Cet essai du GRAB Avignon teste lutilisation du rouleau crêpeur ou FACA pour détruire le couvert (seigle/pois fourrager) en un seul passage et implanter la culture maraîchère dans la foulée. Une culture de courge est suivie, selon 3 modalités : couvert roulé, couvert broyé/enfoui et pas de couvert. La réussite de la destruction, en un seul passage, du couvert avec ce rouleau est conditionnée par le stade de développement de la totalité du couvert et le poids du matériel. Le couvert roulé réduit drastiquement le temps de désherbage mais on y trouve plus de limaces et de campagnols (bien gérés par piégeage et phosphate ferrique). La compaction du sol est plus importante que pour les autres modalités et impacte fortement le rendement (plus faible disponibilité dazote, enracinement des courges plus superficiel). Cet essai doit se poursuivre pour évaluer les effets du non travail du sol, à plus long terme, et trouver des solutions adaptées au sol de lexpérimentation, sensible à la compaction (limoneux argileux).
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Projet SoilVeg - La production de légumes biologiques sans travail du sol avec le Rouleau crêpeur est expérimentée dans 9 pays européens
Hélène VEDIE, AuteurSynthèse des résultats à mi-parcours du projet européen SoilVeg, qui étudie des systèmes de production de légumes biologiques sans travail du sol. Lutilisation du rouleau crêpeur ou faca est testée dans toute lEurope comme outil de destruction de couverts végétaux sans travail du sol. Lintérêt réside dans le maintien de la fertilité des sols, la biodiversité, léconomie dénergie et la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le défi technique est important, notamment dans les conditions pédo-climatiques nord-européennes et, pour le moment, cette technique de non-travail du sol induit une baisse des rendements. Lobjectif est de définir des solutions techniques adaptées aux contraintes de chaque site de test. Les résultats obtenus sont brièvement détaillés : choix des espèces des couverts, diminution des rendements, développement des systèmes racinaires, adventices, disponibilité des éléments nutritifs, biodiversité, consommation dénergie, modélisation des émissions de gaz à effet de serre, stockage de carbone dans les sols.
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Vers un nouveau mode de gestion des couverts végétaux en maraîchage biologique : cultiver sur un couvert couché
Hélène VEDIE, Auteur ; Emmelie MOHRMANN, Auteur ; Abderraouf SASSI, AuteurLe GRAB conduit des recherchesDans le cadre du projet européen « SoilVeg1 », dont lobjectif principal est doptimiser et de diffuser de nouvelles stratégies de gestion des couverts végétaux pour améliorer la qualité des sols et lutilisation des ressources énergétiques en production de légumes biologiques. Les essais menés par le GRAB dans le cadre de ce projet ont débuté en 2015. Durant la saison 2015-2016, la technique a été évaluée en plein champ pour une culture de courge de printemps. Différents couverts ont été testés, et la technique de mulch de surface est comparée à une conduite classique des couverts en engrais verts. LAtelier Paysan est le partenaire du GRAB pour l'aspect machinisme. Ce dossier présente les résultats obtenus.
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Engrais verts d'hiver en maraîchage biologique sous abri : Mélanges de graminées et légumineuses en période froide
Hélène VEDIE, Auteur ; Edouard GUILLET, Auteur ; Abderraouf SASSI, AuteurDurant l'hiver 2015, le GRAB a mené des essais sous abri pour obtenir des références sur l'utilisation de mélanges graminées-légumineuses comme engrais verts. Les semis ont eu lieu le 8 janvier 2015 et la récolte début avril suivant. Diverses modalités ont été testées, basées sur des associations concernant quatre graminées (seigle, blé, avoine, RGI) et trois légumineuses (vesce, féverole, trèfle incarnat). Des mesures quantitatives sur la part de chaque espèce (dont les adventices) ont été faites à la récolte. Parmi les principaux résultats, on peut noter que les conditions froides, associées à une durée de culture courte (3 mois), ont été défavorables aux légumineuses (surtout au trèfle incarnat). Ces conditions sont à mettre en lien avec l'obtention de rendements plus faibles que ceux obtenus au cours de précédents essais d'automne. Si le seigle a été plus pénalisé par ces mêmes conditions que le RGI, il étouffe moins les légumineuses tout en limitant les adventices. L'avoine est bien adaptée aux températures froides mais est trop compétitive. Par contre, le blé a eu un développement plutôt lent, favorable aux adventices.
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Légumes bio : diversifier ses cultures
Jérôme LAMBION, Auteur ; Catherine MAZOLLIER, Auteur ; Hélène VEDIE, AuteurA l'occasion de la journée technique régionale sur les légumes biologiques, organisée le 4 novembre 2014, dans le Gard, les co-organisateurs (Sud & Bio, les Civam bio 66 et 30, le Grab et la Chambre d'agriculture du Gard) ont présenté certains de leurs travaux. Une partie d'entre eux portaient sur la diversification des cultures. Depuis une quinzaine d'années, le Grab évalue les variétés d'environ 30 espèces de légumes en conditions de culture biologique. Un guide de production pour dix légumes d'hiver sous abri a notamment été réalisé pour accompagner les maraîchers. Le Civam bio 66, de son côté, a mis à disposition des agriculteurs un outil de planification pour la production de légumes dans le Roussillon. Enfin, la Chambre d'agriculture du Gard a évalué des variétés de carottes classiques et diversifiées.
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Préservation de la fertilité des sols : le projet européen SOILVEG
Hélène VEDIE, AuteurLe projet SoilVeg, réunissant 14 partenaires de 9 pays européens, a débuté en mars 2015. Financé dans le cadre de Core Organic Plus, il vise à « améliorer la préservation des sols et l'utilisation d'énergie dans les systèmes de production de légumes biologiques par l'utilisation et la gestion de plantes de services agro-écologiques ». Ces dernières, utilisées comme couvert végétal, peuvent en effet avoir un impact sur la fertilité des sols, mais aussi sur la gestion des adventices, maladies et ravageurs. Elles feront l'objet d'essais pendant trois ans. En France, c'est le Grab qui est impliqué. Il expérimentera, dans la région d'Avignon, l'implantation de légumes sur couvert végétal couché (mulch de surface). Pour cela, l'Atelier paysan l'accompagnera, en proposant notamment des outils auto-construits : rouleau crêpeur et strip-till.
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Repenser l'agrosystème maraîcher pour limiter pucerons et nématodes
Jérôme LAMBION, Auteur ; Catherine MAZOLLIER, Auteur ; Hélène VEDIE, AuteurLes cultures de melons et salades sont régulièrement ravagées par des pucerons et/ou nématodes à galles. A l'occasion de leur journée technique régionale en Languedoc-Roussillon, organisée le 4 novembre 2014, le Grab et le Civam Bio 66 ont présenté les résultats de quelques travaux de recherche portant sur la lutte contre ces ravageurs. Favoriser la biodiversité, par exemple en implantant une bande fleurie dans et/ou autour des melonnières, apparaît comme un levier intéressant, mais qui, malgré tout, ne suffit pas. Il semble en effet nécessaire de combiner les techniques. Pour faire face aux nématodes à galles, la diversification des cultures, l'intégration dans la rotation de cultures moins sensibles, la désinfection des sols par solarisation, la gestion du calendrier et l'évitement spatial représentent un panel de solutions à combiner dans le cadre d'une stratégie globale à long terme.
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Commission technique 2014 du GRAB en maraîchage biologique
Catherine MAZOLLIER, Auteur ; Jérôme LAMBION, Auteur ; Hélène VEDIE, AuteurLe 7 octobre 2014, le GRAB a présenté ses travaux en maraîchage, en cours et à venir, lors d'une commission technique. L'objectif était d'échanger avec les conseillers, animateurs et expérimentateurs, pour répondre au mieux aux besoins des agriculteurs, notamment ceux avec lesquels ils travaillent. En 2014, les travaux ont porté sur la fertilité des sols, la protection des cultures, la biodiversité, l'évaluation de variétés et l'optimisation de l'irrigation en poivron. Les principales préoccupations de la filière maraîchère concernent notamment le manque de références techniques et technico-économiques, de références en fertilisation, en désherbage, ou encore sur la protection des cultures, même si ces manques sont en train de se combler. La gestion des ravageurs du sol et du mildiou reste préoccupante. En 2015, le GRAB participera au programme Muscari, consacré au transfert des pratiques de biodiversité fonctionnelle vers les agriculteurs, et de nouveaux essais variétaux seront mis en place. Le GRAB travaille également sur un projet de ferme pilote agro-écologique.
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Essai 2013 : Fertiliser les légumes avec des plantes sous abri ?
Ce bulletin présente le bilan des essais engrais verts (EV) sous abris de 2013 et dans le sud-est de la France. Des mélanges de 2 à 3 espèces comportant des légumineuses sont testés, dans un contexte de forte pression d'adventices (pourpier). Leurs performances sont évaluées par une mesure de biomasse 53 jours après semis. Les légumineuses (niébé, lablab, pois, trèfle, vesce) sont faiblement concurrentielles, d'où l'importance de les associer avec un tuteur (graminée). Le Niébé et le Lablab se sont bien comportés avec le sorgho, mais ils restent minoritaires en biomasse. Le trèfle d'Alexandrie a une bonne densité de levée, mais n'est pas assez concurrentiel. La Gesse, le mélilot, la vesce ont été étouffés par les adventices. Le sarrasin et le moha de Hongrie ne sont pas satisfaisants. Le sorgho et le millet sont efficaces contre les adventices contrairement à l'avoine brésilienne. Mieux : la teneur en azote du millet (1,5%) est équivalente à celle des légumineuses, et il a un C/N plus élevé que celui du sorgho. Ce dernier doit être broyé rapidement afin d'éviter la faim d'azote. Un test de rendement sur batavia blonde plantée 40 jours après destruction des EV montre la supériorité des légumineuses (Lablab, Niébé,) malgré l'absence de nodosités.