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Documents disponibles écrits par cet auteur (55)


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L'eau des troupeaux en alpages et sur parcours
Cette édition représente un numéro hors-série de la revue Pastum, de l'Association Française de Pastoralisme (AFP). Elle rassemble les interventions du séminaire du 26 novembre 2014 organisé par l'AFP et qui s'est tenu à Montpellier SupAgro. Cet ouvrage collectif a été coordonné par Thomas Romagny (AFP) ; Jacques Lepart en assume la responsabilité scientifique. La ressource en eau est une préoccupation majeure de notre temps. Souci quotidien des éleveurs et bergers pour l'abreuvement de leurs troupeaux en alpages et sur parcours, elle l'est aussi pour ses gestionnaires confrontés aux exigences de son partage avec nombre d'autres usages, écologiques, industriels, urbains, domestiques... L'ouvrage donne une vision élargie de la manière dont est aujourd'hui abordée la question de l'eau à des échelles qui dépassent largement le cadre de nos territoires pastoraux, celles des hydrosystèmes. C'est l'occasion, dans un premier chapitre, de mieux saisir les problématiques traitées en ce domaine par le monde de la recherche, avec les méthodes et les outils qu'il développe. A l'échelle des systèmes pastoraux, s'éclaire, dans un second chapitre, l'importance et le rôle de la ressource en eau pour la conduite des troupeaux. On rappelle ici les fondamentaux zootechniques concernant les besoins des animaux, et l'on souligne les fonctions des aménagements pastoraux d'abreuvement dans une utilisation équilibrée des unités pastorales. Une dernière partie dresse les grandes lignes d'une gestion concertée de la ressource en eau qui dépasse les seules préoccupations pastorales. De vastes champs de questionnements s'ouvrent inévitablement dès que l'on aborde l'enjeu de l'eau pour les parcours et les alpages, dans un contexte d'aléas climatiques qui tendent à s'accentuer.
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Accompagner d'importants changements du système fourrager : Démarche de conseil n°2 élaborée dans le cadre du Casdar PraiCoS - Guide méthodologique
L'objectif de ce guide est de faire connaître et de mettre à disposition les outils et méthodes existants pour la reconfiguration d'un système fourrager, afin de répondre à de nouveaux objectifs de l'exploitation. Les différents outils actuellement disponibles ont ainsi été expertisés dans le cadre du Casdar PraiCoS. Les résultats de ce travail sont présentés sous la forme de grilles d'aide au choix, pour aiguiller les techniciens vers l'outil (ou la démarche) le plus pertinent par rapport aux objectifs poursuivis. Par ailleurs, un outil spécifique PraiCoS est présenté. Il a pour but d'aider à redéfinir un système fourrager à partir d'un parcellaire réel, au gré de 8 phases. Il permet de calculer le coût du système fourrager discuté avec l'éleveur.
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Comprendre le système fourrager pour mieux conseiller et porter un diagnostic : Méthode et supports d'intervention en élevage - Guide méthodologique
Dans le cadre du Casdar PraiCoS, une démarche spécifique de compréhension et de diagnostic du système fourrager a été développée. Elle permet au conseiller, sur sollicitation de l'éleveur, de l'aider à faire le point, à hiérarchiser les problèmes, à évoquer les leviers d'amélioration accessibles et les démarches de conseil thématique à mettre en uvre. Le diagnostic proposé comporte 5 étapes complémentaires : - l'autoévaluation par l'éleveur, par le biais d'un questionnaire court ; - l'entretien de compréhension du système fourrager, mené par le technicien, et permettant de bien cerner le programme habituel de l'éleveur, notamment ses choix zootechniques, ses ressources fourragères, comment il les fait correspondre et quelle ampleur d'aléas il sait gérer, et comment ; - le calcul de quelques indicateurs techniques pour resituer l'exploitation par rapport à des repères externes, identifier des incohérences et préciser des marges de progrès au sein de l'exploitation ; - le tour de plaine pour vérifier et prendre la mesure des atouts et contraintes du système fourrager ; - enfin, la phase de synthèse et de discussion durant laquelle le technicien va restituer ce qu'il a compris du système fourrager et de son fonctionnement, des marges de progrès ou des améliorations souhaitables pour finalement aboutir à des propositions d'actions.
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Développer l'autonomie fourragère et alimentaire en élevages : Démarche de conseil n°1 élaborée dans le cadre du Casdar PraiCoS - Guide méthodologique
L'autonomie fourragère ou alimentaire représente l'adéquation entre l'offre et la demande dans un contexte pédoclimatique donné et relativement aux objectifs socio-économiques de l'éleveur (travail, coût de production). La démarche de conseil proposée dans cette brochure, consacrée à la reconquête de cette autonomie, comporte trois étapes : - La première étape de la démarche proposée consiste à positionner l'exploitation par rapport à sa marge de progrès au niveau du chargement de la SFP, puis par rapport à son niveau d'autonomie fourragère : on peut ainsi rapprocher l'exploitation de l'une des quatre situations suivantes : les autonomes sans marges de progrès, les autonomes avec une marge de progrès, les exploitations non autonomes mais avec une marge de progrès, et les non autonomes sans marges de progrès sur le chargement ; - La deuxième étape est celle de l'exploration des leviers d'amélioration : chacune des situations relève d'une investigation spécifique, qui est précisée, et d'une gamme de leviers d'amélioration adaptés. Des tableaux référencent les leviers et proposent pour chacun une expertise de son intérêt par rapport à l'autonomie fourragère et protéique, et de ce qu'on peut en attendre a priori au plan économique et au plan de l'incidence sur le travail ; - La troisième étape consiste à établir le calendrier des actions qui pourraient être mises en uvre (y compris le renvoi sur l'une des autres démarches-types de conseil), et à rédiger le compte-rendu.
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Optimiser le potentiel productif des prairies : Démarche de conseil n°4 élaborée dans le cadre du Casdar PraiCoS - Guide méthodologique
De nombreuses raisons peuvent motiver un éleveur à demander un appui à l'amélioration de la production, qualitative et quantitative, de ses prairies : cela peut être le besoin d'augmenter l'autonomie alimentaire ou protéique, la volonté de réduire le coût de la ration, l'obligation de faire face à une réduction de surface, le désir de sécuriser le système... C'est dire que cette démarche consacrée à une meilleure valorisation du potentiel productif des prairies tient une place de choix parmi l'ensemble des démarches mises au point dans le cadre du projet PraiCoS. Elle propose une approche quantitative, par le biais du calcul du rendement valorisé des prairies, complétée par une analyse plus qualitative des pratiques de valorisation des prairies. Ces deux visions permettent de définir les marges de progrès et de cibler les leviers agronomiques d'amélioration du potentiel de production des prairies à mettre en uvre. Certaines des actions préconisées ne sont pas compatibles avec l'AB (fertilisation et désherbage chimique).
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Organiser le pâturage et gérer le parcellaire : Démarche de conseil n°5 élaborée dans le cadre du Casdar PraiCoS - Guide méthodologique
Dans une exploitation d'élevage, le recours au pâturage peut parfois être freiné par des contraintes d'organisation, un défaut d'équipements ou d'aménagements ou plus simplement par un manque de surfaces disponibles. La démarche de conseil proposée dans ce guide fournit les méthodes et les supports pour, dans un premier temps, connaître et évaluer les aptitudes des parcelles et comprendre l'organisation du parcellaire d'une exploitation, et dans un second temps, évaluer les possibilités d'évolution et de gestion de certains freins, les présenter et les argumenter, grâce notamment à des fiches techniques et des liens vers des ressources externes.
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Sécuriser le système fourrager face aux aléas climatiques : Démarche de conseil n°3 élaborée dans le cadre du Casdar PraiCoS - Guide méthodologique
Les aléas climatiques (sécheresse, excès d'humidité) peuvent fragiliser le système fourrager d'un élevage et donc son fonctionnement global. Ce guide propose une démarche de conseil afin de réfléchir à des solutions de sécurisation adaptées au système en place, en tenant compte des contraintes (agronomiques, pédoclimatiques...) de l'élevage, des périodes particulièrement à risques (en lien avec les besoins fourragers des animaux) et des attentes de l'éleveur. Les outils proposés présentent les avantages, inconvénients et conditions de mise en uvre des différents leviers d'action possibles, en distinguant ceux qui s'inscrivent sur le long terme et permettent d'accroître la résistance ou la résilience du système, et ceux qui sont davantage de l'ordre de l'ajustement tactique, dans le court terme.
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Le tout bio est-il possible ? : 90 clés pour comprendre l'agriculture biologique
Bernard LE BUANEC, Auteur ; COLLECTIF, Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2012
Savez-vous vraiment ce qu'est l'agriculture biologique ? Connaissez-vous ses méthodes de production ? Comment un agriculteur peut-il être certifié en AB ? L'agriculture biologique protège-t-elle l'environnement ? Née au début du XXème siècle, l'agriculture biologique a longtemps laissé les agriculteurs et les consommateurs indifférents. Elle se développait peu sur le terrain et les aliments produits n'intéressaient qu'une minorité de consommateurs engagés. Mais depuis 2008, le Grenelle de l'environnement a relancé l'agriculture biologique en France en annonçant l'objectif de porter les surfaces certifiées en AB à 20 % de la surface agricole utile, d'ici à 2020. L'agriculture bio trouve ainsi une nouvelle présence sur la scène de l'actualité et le public s'interroge : le tout bio est-il possible ? L'agriculture biologique pourra-t-elle un jour nourrir toute la planète ? Pourquoi se développe-t-elle actuellement ? Les aliments bio sont-ils meilleurs pour la santé ? Quels sont les atouts et les faiblesses de l'agriculture bio ? S'appuyant sur des données scientifiques, techniques et économiques précises, ce livre, rédigé par un groupe de travail de l'Académie d'agriculture de France, répond à 90 questions pour éclairer le citoyen, le consommateur mais aussi l'agriculteur sur les différentes dimensions de l'agriculture biologique d'aujourd'hui et de demain.
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La rusticité : l'animal, la race, le système d'élevage ?
Les systèmes d'élevages pastoraux, dont une large partie de la ressource fourragère provient du pâturage d'espaces naturels, s'appuient essentiellement sur des races dites "rustiques", communément présentées comme des races animales capables de s'adapter à des conditions d'élevage comportant de multiples contraintes (climat, altitude, accès à la ressource, offre fourragère aléatoire...). Cette capacité d'adaptation attribuée aux races rustiques est-elle simplement liée à leur patrimoine génétique ? Ou bien est-elle acquise par la pratique en s'appuyant sur une certaine plasticité vis-à-vis du milieu ? Ou encore est-elle transmise par l'éducation des animaux (mère-petit ou éleveur-troupeau) ? Pourquoi et comment ces races rustiques sont-elles toujours au cur de projets individuels ou collectifs ? Quelles dynamiques peuvent naître à partir de projets d'éleveurs - associés à d'autres acteurs de la recherche-développement - pour s'adapter sans cesse aux nouveaux enjeux agricoles et sociétaux ? La rusticité n'apparaît-elle donc pas comme l'expression d'une capacité d'adaptation à des situations inédites, voire improbables, bref au changement ? Et derrière les actions de maintien ou de relance de races locales, n'y a-t-il pas un besoin fort d'identification d'êtres humains à leur territoire ? Dans tous les cas, cette réflexion sur la rusticité nous ramène inévitablement à la dimension tout affective du lien fondamental entre les animaux et les hommes. C'était là l'objet du séminaire annuel 2010 de l'Association Française de Pastoralisme, que de croiser les regards sur ce thème complexe. La multiplicité des réponses (parfois contradictoires) que génère le souhait d'objectiver la rusticité amène finalement à la considérer davantage comme une notion subjective, comme un choix, une projection, une intention sur l'objet, de la part de celui qui l'énonce, faisant de cet objet un sujet capable d'exprimer sa rusticité...
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Agricultures et paysages : Témoignages et points de vue des CAUE
Les approches paysagères agronomiques retrouvent une modernité. En s'appuyant sur une connaissance fine de l'histoire, de la géographie de chaque petite région et de ses spécificités naturelles et humaines, elles constituent une clé d'entrée pour les démarches de développement durable des territoires. En ce sens, les travaux relatés dans ce document, menés par le monde agricole en lien avec les conseils d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement (CAUE), sont riches d'enseignements. Preuve qu'il est possible de créer des paysages contemporains de qualité, cet ouvrage intéressera toute personne motivée par l'agriculture, le paysage et le développement durable, autant que les professionnels, les collectivités, et tout simplement, les habitants. Cet ouvrage, généreusement illustré, rassemble des expériences partagées par des CAUE et leurs partenaires.
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Agriculture biologique et changement climatique : Contribution de l'agriculture biologique et de nos choix alimentaires à l'effet de serre
Ce CD-ROM contient les actes du colloque "Agriculture biologique et changement climatique", organisé par ABioDoc, l'AsAFI et l'Enita de Clermont-Ferrand et qui s'est tenu dans cet établissement les 17 et 18 avril 2008. L'agriculture est responsable d'environ ¼ des émissions de gaz à effet de serre, principalement par ses émissions de protoxyde d'azote (N2O) et de méthane (CH4), et l'ensemble de la filière agro-alimentaire de près d'1/3. En comparant l'effet global de modes de production (AB/conventionnel), au-delà de la forte variabilité observée, ce colloque a confirmé que le bilan est très largement en faveur de l'AB lorsque les émissions sont évaluées par unité de surface. Cet avantage s'atténue lorsque le bilan est calculé par unité produite de denrée alimentaire et dépend beaucoup des systèmes d'exploitation. Les principales données techniques influençant le niveau d'émissions de GES sont l'occupation des sols (prairies, légumineuses fourragères et annuelles, cultures dérobées), l'origine de l'azote (organique et fixation symbiotique), le devenir des effluents (épandage, compostage, méthanisation), le travail du sol, la teneur du sol en matière organique, le régime alimentaire et les adjuvants susceptibles de réduire les fermentations entériques chez les ruminants. Dans la plupart des cas, la conversion à l'AB réduit les émissions, mais elle peut aussi avoir l'effet inverse (remise en culture de prairies pour assurer davantage d'autonomie alimentaire). L´impact considérable de nos choix alimentaires sur les émissions de GES est également souligné, notamment celui de la consommation de viande - par rapport à des protéines végétales - ou de légumes frais importés par avion hors saison. Concernant les capacités d´adaptation de la bio au changement climatique, certaines solutions résident dans le choix du matériel végétal ou l'ajustement des calendriers culturaux. Tant en matière de réduction que d'adaptation, il est apparu que l'agriculture biologique constituait en quelque sorte un prototype, et que les besoins de recherche étaient considérables à la fois pour améliorer ses performances et pour en tirer pleinement les enseignements pour réduire les émissions de GES de l'ensemble de l'agriculture.
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Développer les grandes cultures biologiques : Valorisation de quatre années de programmes d'expérimentation
Ce document comporte les présentations du colloque organisé par l'ITAB et l'ONIGC qui s'est tenu à Paris le 8 avril 2008. Ce colloque avait pour objectif, la restitution des programmes de recherche et d'expérimentation en grandes cultures biologiques financés par l'ONIGC depuis 2004. Ce document aborde les aspects de durabilité des systèmes céréaliers biologiques (résultats technico-économiques, méthode IDEA,...), la place des oléo-protéagineux dans ces systèmes, la production de semences fourragères en bio, la sélection des variétés de céréales et l'exemple d'une filière locale. La diversification des rotations, et notamment l'intégration de légumineuses fourragères pluri-annuelles, sont des garants pour améliorer la durabilité technique des systèmes, mais réduisent leur rentabilité économique. Parmi les protéagineux, la féverole est un excellent précédent pour le blé panifiable. Pour le pois, l'association avec le triticale permet de sécuriser les rendements. Concernant la sélection, un programme de sélection participative de blé dur a permis de sélectionner des lignées bien adaptées aux systèmes bio. Certains critères d'évaluation du programme ont été retenus par le GEVES. Par ailleurs, depuis 2001, l'ITAB, avec l'appui d'Arvalis et de l'Inra, coordonne les essais de comparaison de variétés de blé tendre menés en agriculture biologique. Le document est téléchargeable à l'adresse : http://www.itab.asso.fr/downloads/actes%20suite/actes-itab-onigc08.pdf
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DinABio : Colloque sur les recherches en agriculture biologique : De l'étude des verrous techniques à la conception de modèles de développement : Résumés
Les résumés des différentes interventions et posters présentés lors du colloque DinABio (19 et 20 mai 2008, Centre Inra de Montpellier) sont réunis dans ce document. DinABio avait pour objectif de faire le point sur les recherches consacrées actuellement à l'agriculture biologique, tant sur les domaines techniques, qu'économiques ou sociologiques, et d'identifier les besoins de recherches futures. La session 1 concerne les défis techniques de la production à la transformation et aborde un grand nombre de productions (arboriculture, grandes cultures, maraîchage, élevages ovins, bovins et volailles, fabrication de pain...) et de thématiques (techniques culturales, conduite d'élevage, résultats économiques, sélection, qualité...). La session 2, "Evaluation et amélioration de la durabilité de l'AB", intervient autant sur les outils de mesure, que sur les techniques, les concepts ou le lien avec la santé humaine. La session 3 porte sur les dynamiques de développement de l'agriculture biologique (présentation d'expériences locales, formations...).
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Journées Techniques Nationales Elevage : L'élevage ovin lait et viande en Agriculture Biologique
Ces actes regroupent l'ensemble des interventions ayant eu lieu lors des Journées Techniques sur l'élevage ovin lait et viande en bio organisées par l'ITAB, le Pôle Scientifique AB Massif Central, le Lycée Agricole de St Affrique et la Chambre d'Agriculture de l'Aveyron, les 9 et 10 avril 2008. On peut trouver dans ce dossier les chiffres clés de cette filière, les derniers résultats technico-économiques en élevage ovin viande et lait, des données sur les aspects sanitaires et parasitaires, la gestion du pâturage, la conduite des agneaux à l'herbe, la reproduction, mais aussi les témoignages de différentes entreprises sur leurs stratégies commerciales pour la filière lait et viande, en circuits courts ou longs. Le document est téléchargeable sur le site de l'ITAB : www.itab.asso.fr.
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Prairies multispécifiques : Valeur agronomique et environnementale
Ces actes reprennent les interventions et posters réalisés lors des Journées de l'AFPF (Association Française pour la Production Fourragère), les 26 et 27 mars 2008, sur les prairies multispécifiques. Un état des lieux et un rappel du contexte sont faits en premier lieu, puis des interventions sur l'impact des prairies multispécifiques sur la productivité fourragère et sur la valeur alimentaire sont présentées. Le fonctionnement de ces couverts prairiaux et leurs réponses aux conditions de sol et de milieu sont également détaillés, ainsi que leurs bénéfices environnementaux. Des topos sur la gestion et la rénovation de ces prairies sont donnés, et de même des expériences de mise en uvre de ce type de prairie sont analysées. Les posters scientifiques complètent ces interventions, notamment en apportant des résultats supplémentaires sur la valeur agronomique des prairies multispécifiques et sur les attentes des éleveurs concernant ces prairies.