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Auteur Thierry METIVIER |
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Les systèmes bovins laitiers bio en Normandie : Descriptif technique de 4 cas types Edition 2021 ; Les systèmes bovins laitiers bio en Normandie : Actualisation économique de 4 cas types en conjoncture 2020 Edition 2021
En Normandie, les systèmes de production des fermes laitières biologiques se diversifient, allant du système herbager économe jusqu'au système avec robot de traite et affouragement en vert et maïs. En 2021, quatre cas types représentatifs de ces systèmes normands ont été étudiés afin dapporter des repères techniques et économiques pour le suivi des exploitations bio ou pour des études de conversion : 1 - Système prairie permanente et zéro concentré ; 2 - Système tout herbe et concentré autoproduit ; 3 - Système herbe et maïs, concentré autoproduit ; 4 - Système avec robot de traite, affourragement en vert et achat de correcteur. Deux documents ont été produits à partir de ces cas types. Le premier fournit un descriptif technique des exploitations : dimensions structurelles, conduite du troupeau et des surfaces, résultats environnementaux, repères en matière de travail et informations sur les équipements de ces fermes. Le second document présente les résultats économiques de chaque système, avec un compte de résultats, des indicateurs de performances économiques, des indicateurs technico-économiques, le calcul du coût de production et une estimation de la valeur économique dans le cadre d'une transmission.
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Reine Mathilde : Bilan de 8 ans d'essais : 2011 à 2018 : 8 thématiques pour améliorer l'autonomie alimentaire des élevages en AB
Ce document présente des résultats issus des 8 dernières années (2010-2014, puis 2015-2018) du projet Reine Mathilde, qui avait pour but de renforcer la filière laitière bio en Normandie. Les huit thématiques choisies concernent l'autonomie alimentaire : - Associations riches en protéagineux en grains ; - Associations riches en protéagineux à ensiler ; - Associations lupin + céréales ; - Les mélanges prairiaux à récolter ; - Les mélanges prairiaux à pâturer ; - Associations maïs + plantes compagnes ; - Céréales, maïs et protéagineux cultivés en pur ; - Semis de prairies sous couvert de cultures annuelles. Pour chacune des thématiques traitées, une synthèse des essais est présentée et des conseils sont donnés pour une mise en uvre d'actions adaptées à la situation et aux objectifs de l'éleveur.
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Résultats 2016 des essais Reine Mathilde sur l'autonomie alimentaire en AB
Depuis 2010, le programme multipartenarial Reine Mathilde a pour but de renforcer la filière laitière bio en Normandie. La plateforme dessais est hébergée sur le GAEC Guilbert, exploitation laitière bio. Les thématiques de la plate-forme dessais et de démonstration sont centrées sur les cultures permettant lautonomie alimentaire des élevages bovins laitiers. Ce document présente les résultats des essais 2016. Au sommaire : - Le programme Reine Mathilde et la « ferme vitrine » ; - La montée en puissance des essais ; - Localisation des essais ; - Bilan climatique ; - Associations céréales protéagineux dhiver récoltées en grain ; - Lupin dhiver récolté en grain ; - Essai ensilage de féverole pois ; - Associations dhiver, riches en protéagineux, ensilées ; - Prairie pâturée ; - Prairie fauchée ; - Maïs fourrage ultra précoce.
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Reine Mathilde : une « ferme-vitrine » pour l'autonomie
Initié en 2010, le projet Reine Mathilde travaille au développement de la filière laitière biologique de Basse-Normandie et à l'accompagnement des éleveurs de la région. Pour cela, le projet s'est doté d'une plateforme de démonstration, ou « ferme-vitrine », lieu d'échanges et de rencontres autour de techniques adaptées à l'AB. Des cultures visant à renforcer l'autonomie alimentaire y sont testées et évaluées. Certains résultats sont présentés dans cet article. Ils concernent : - les associations féverole-pois protéagineux récoltées en fourrage et riches en protéines ; - des prairies de fauche riches en légumineuses ; - des prairies à flore variée contenant de la chicorée et destinées au pâturage ; - les associations céréales-protéagineux destinées à la production de concentrés fermiers (triticale-vesce d'hiver, triticale-féverole d'hiver, céréales sursemées dans le lupin d'hiver).
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Résultats 2015 des essais Reine Mathilde sur l'autonomie alimentaire en AB
Dans le cadre du projet Reine Mathilde, démarré en 2010 à linitiative de Stonyfield France, filiale de Danone, et avec lappui de lInstitut de lÉlevage, des essais sont menés, chaque année, sur les terres du GAEC Guilbert (vaches laitières), autour de Caen, en Normandie. Ces essais et les démonstrations liées visent à améliorer lautonomie alimentaire des élevages bio. En 2015, les essais ont porté sur les associations céréales-protéagineux, dhiver et de printemps, ainsi que sur des essais lupin dhiver, ensilage de féverole pois, maïs associé, prairie pâturée et maïs fourrage ultraprécoce. Les conditions dimplantation, les interventions, les suivis de cultures et les résultats 2015 sont décrits. La féverole dhiver a connu un rendement exceptionnel (71q/ha) mais les céréales associées avaient peu levé. Le pois fourrager sassocie bien avec les céréales, sauf avec lorge dhiver (faible tuteur) qui, par contre, sassocie bien avec le pois protéagineux. La vesce sassocie surtout bien avec le triticale et le seigle. En semis de printemps, les lupins sassocient bien avec le triticale, en particulier le lupin blanc qui a donné de bons rendements (dégâts de lapins dans les autres modalités). La gestion des adventices a été meilleure dans les associations quen lupin pur. Concernant les associations avec le maïs, comme lannée précédente, seul le haricot peut être intéressant mais la récolte a toutefois été décevante. Dans les prairies multiespèces, la bande avec chicorée et plantain présente 3 à 4 points de MS en moins.
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L'essentiel de 4 ans d'essais sur l'autonomie alimentaire en AB
Depuis 2010, le GAEC Guilbert, dans le Calvados, accueille la plate-forme d'essais du projet Reine Mathilde, dont la finalité est le développement de la filière laitière biologique en Basse-Normandie. Dix thématiques y sont traitées. Elles concernent des cultures qui pourraient permettre d'accompagner les élevages bovins lait bas-normands dans la recherche d'autonomie alimentaire : - association maïs + protéagineux ; - ensilage de féverole + pois protéagineux ; - associations céréales + protéagineux d'hiver ; - triticale, seigle et épeautre ; - lupin ; - plantes compagnes ; - féverole ; - légumineuses fourragères ; - chicorée ; - maïs. L'essentiel des résultats de ces essais, pour les campagnes 2010 à 2014, est présenté dans cette synthèse, éditée par les Chambres d'agriculture de Basse-Normandie, Littoral Normand et Agronat.
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Résultats de 3 ans d'essais sur l'autonomie alimentaire en AB : Essais du projet Reine Mathilde à Tracy-Bocage (14) : Années 2011, 2012, et 2013
Thierry METIVIER, Auteur ; Gérard BAVIERE, Auteur ; David DELBECQUE, Auteur ; ET AL., Auteur | CAEN Cedex 4 (6 Rue des Roquemonts, CS 45346, 14 053, FRANCE) : CHAMBRE RÉGIONALE D'AGRICULTURE DE NORMANDIE | 2014Le Gaec Guilbert dans le Calvados est le site expérimental du projet Reine Mathilde (porté par Stonyfield France et l'Institut de l'élevage). Ce rapport synthétise trois ans d'essais sur de nombreuses cultures fourragères, dans une perspective d'autonomie alimentaire de l'élevage laitier. Le séchage en grange est également pris en compte. Le lait biologique est livré à Danone. Les itinéraires techniques et les résultats d'expérimentation portent sur : les associations binaires céréales + protéagineux à base de blé ou triticale + féverole, vesce et pois ; féveroles ; lupins ; soja triple zéro ; ensilage de maïs + protéagineux ; légumineuses fourragères : luzernes (6 variétés), trèfles (7 variétés), sainfoins (2 variétés), mélilot jaune, lotier, mélanges de ces espèces avec des graminées fourragères ; maïs ensilage, blé meunier. En annexes, figurent les performances annoncées et observées des variétés. Les performances des espèces pures et des associations sont comparées afin de donner des préconisations de densité de semis et de choix variétaux adaptées au contexte bas-normand.
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Féverole ou vesce : mélange grains mieux doté en protéines
En Normandie, les associations à base de triticale et de pois fourrager sont les plus utilisées. Elles permettent de produire des concentrés fermiers avec une teneur en protéines autour de 12 %. Cependant, la proportion de pois dans le mélange doit se limiter à 20 % à cause des risques de verse. Pour améliorer le taux de protéines, des alternatives à base de féverole ou de vesce sont étudiées. Ces deux espèces sont plus riches en protéines que le pois, jusqu'à 25 voire 30 % sur brut pour la féverole qui, par ailleurs, est moins sensible à la verse. Cinq années d'essai en bio sur des associations de triticale avec du pois, de la féverole ou de la vesce ont permis de montrer des rendements compris entre 40 et 50 q/ha. Quand la féverole représente 30 % à 50 % du mélange, celui-ci atteint des teneurs en protéines supérieures à 17 %. Quant à la vesce, les problèmes de verse et de maladie rencontrés pourraient être résolus par une nouvelle variété prometteuse qui a été testée en 2013. Ainsi, l'objectif de ces associations est de maximiser la proportion des protéagineux sans atteindre le seuil critique qui entraîne de la verse. Pour cela, l'agriculteur peut jouer sur les densités de semis.
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Guide régional de la conversion à l'agriculture biologique en Normandie
Le réseau Agriculture biologique des Chambres d'agriculture de Normandie a réalisé une série de 11 fiches techniques sur la conversion en agriculture biologique. Ces fiches ont pour fonction d'être un outil pratique pour les agriculteurs et les techniciens : - Fiche 1 : La bio, c'est quoi ? ; - Fiche 2 : Les bonnes questions à se poser avant d'aller plus loin ; - Fiche 3 : Les techniques de base en agriculture biologique ; - Fiche 4 : Comprendre la conversion ; - Fiche 5 : Les démarches administratives pour engager la conversion en bio ; - Fiche 6 : Les incidences techniques sur les systèmes de production ; - Fiche 7 : La mixité entre agriculture biologique et conventionnelle ; - Fiche 8 : Fournisseurs et collecteurs en Normandie (liste non exhaustive) ; - Fiche 9 : Repères de valorisation 2012 en filière longue ; - Fiche 10 : Aides nationales à l'agriculture biologique et aides à la certification ; - Fiche 11 : Pour en savoir plus - Annuaire.
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Le lupin, la graine très riche en protéines qui pousse en Normandie
Les Chambres d'agriculture de Normandie ont édité une série de fiches techniques présentant la conduite des cultures biologiques en Normandie. Ces fiches ont pour fonction d'être des outils pratiques pour les agriculteurs et les techniciens. Cette fiche porte sur "Le lupin, la graine très riche en protéines qui pousse en Normandie" : - Lupin d'hiver ou de printemps ? ; - Lupin bleu ou blanc ? ; - Choix des variétés : Lumen et Arabella jugées phares en Normandie ; - Itinéraire cultural du lupin d'hiver ; - Itinéraire cultural du lupin de printemps ; - Période de semis : 75 % de la réussite se joue à l'implantation ; - Densité de semis : élevée pour compenser les pertes ; - Désherbage : stratégies liées à l'écartement des semis ; - Parasites (anthracnose à craindre, mouche du semis, limaces...) ; - Place dans la rotation ; - Fertilisation et amendement ; - Récolte et débouchés ; - Astuce terrain.
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La luzerne, pour améliorer son autonomie fourragère
Les Chambres d'agriculture de Normandie ont édité une série de fiches techniques présentant la conduite des cultures biologiques en Normandie. Ces fiches ont pour fonction d'être des outils pratiques pour les agriculteurs et les techniciens. Cette fiche porte sur "La luzerne, pour améliorer son autonomie fourragère" : - Intérêt agronomique ; - La luzerne dans le système de rotation bio ; - Intérêt zootechnique ; - Cultiver la luzerne seule ; - Cultiver la luzerne associée ; - Technique d'implantation ; - Période de semis : été ou printemps ; - Destruction ; - Choisir une variété ; - Récolte et conservation ; - Fertilisation et entretien.
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Produire des céréales secondaires : triticale, orge, avoine, épeautre, seigle
Les Chambres d'agriculture de Normandie ont édité une série de fiches techniques présentant la conduite des cultures biologiques en Normandie. Ces fiches ont pour fonction d'être des outils pratiques pour les agriculteurs et les techniciens. Cette fiche porte sur "Produire des céréales secondaires : triticale, orge, avoine, épeautre, seigle" : - Pour améliorer son autonomie en concentré et en paille ; - Choix des espèces : avantages / inconvénients ; - Un itinéraire cultural d'hiver avec du hersage ; - Période et densités de semis ; - Les variétés préconisées ; - Désherbage : les méthodes de lutte ; - Place dans la rotation ; - Astuce terrain.
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Le lait bio en Angleterre : Une filière peu favorable mais des éleveurs qui s'adaptent remarquablement
Claire BOUDEAU-BLANCHARD, Auteur ; Thierry METIVIER, Auteur ; Sophie CHAUVIN, AuteurEn France, le développement de la filière lait bio devrait prochainement atteindre l'équilibre offre-demande grâce à une forte augmentation de la production ces dernières années. L'Angleterre, quant à elle, était un des premiers pays producteurs de lait bio en 2009, mais le pays connaît actuellement une baisse de la production (désengagement de l'État, baisse des ventes ). Lors d'un voyage d'étude outre-manche, et dans le cadre du projet Reine Mathilde, le GRAB Basse-Normandie a échangé sur les conditions de production et les choix technico-économiques des éleveurs dans ces deux contextes différents. Dans une première partie, les auteurs décrivent la situation de la filière lait bio et la structure des élevages en Angleterre. Dans une seconde partie, les disparités entre les élevages normands et du sud de l'Angleterre sont présentées, en s'appuyant sur les témoignages de deux agriculteurs anglais. La ferme de l'un d'entre eux est décrite plus en détails.
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Vivre des légumes biologiques
Marie-Christine GODIN, Auteur ; Valérie PATOUX, Auteur ; Thierry METIVIER, Auteur ; ET AL., AuteurLes Chambres d'agriculture du Calvados, de la Manche et de la Seine-Maritime ont réalisé un travail de construction de références, en élaborant 3 cas types représentatifs des principaux systèmes maraîchers et légumiers présents en Normandie : le maraîchage avec création d'activité en vente directe (Cas-type 1) ; le maraîchage sur une exploitation d'accueil en élevage biologique (Cas-type 2) ; les légumes plein champ (Cas-type 3). Ces cas-types sont la description d'une exploitation représentative d'une logique de fonctionnement Un volet complémentaire commun aux trois systèmes propose des repères fondamentaux (bien préparer son installation, les incontournables de la gestion technique, être en règle avec la législation). Le document élaboré « Vivre des légumes biologiques en Basse-Normandie » indique également des précautions à prendre avant la culture de légumes. Pour chaque cas-type, les surfaces, le travail, la commercialisation, les légumes produits, la stratégie de fonctionnement sont détaillés ; l'accent est mis sur les choix à faire pour optimiser son système.
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La filière lait bio en Angleterre : Une filière laitière bio peu favorable mais des éleveurs qui s'adaptent remarquablement : Dossier lait bio en GB
Claire BOUDEAU-BLANCHARD, Auteur ; Thierry METIVIER, Auteur ; Sophie CHAUVIN, Auteur ; ET AL., AuteurDans le cadre du projet Reine Mathilde, 14 conseillers, exerçant diverses professions en lien avec la filière lait bio en Basse-Normandie, sont allés découvrir la filière lait bio dans le sud-est de l'Angleterre, le Dorset et le Devon, là où les conditions pédoclimatiques sont proches de celles de la Normandie. Le dossier présente les caractéristiques de la filière lait bio en Grande Bretagne, différente de la filière lait bio en France : concernant la production de lait bio, avec 145 vaches laitières par exploitation et une production de 6 500 à 7 000 L/VL, les élevages laitiers britanniques, collectés par OMSCO (première coopérative de lait biologique), sont d'une taille supérieure à leurs homologues français ; la filière laitière bio souffre d'une mauvaise valorisation du lait bio pour les producteurs (+0,05 /L par rapport au conventionnel) et cette situation explique qu'une part non négligeable de producteurs laitiers bio quittent le circuit à la fin de leurs cinq ans d'engagement ; la structure des fermes comprend plus d'animaux, plus de production mais avec moins de main d'uvre ; les systèmes d'exploitation sont basés sur l'exploitation maximum de l'herbe et une conduite économe. Par ailleurs, le dossier présente deux fermes : présentation de l'exploitation laitière de Jonny Rider ; de Matt et David Boley avec les moyens et les résultats de l'élevage. En outre, le dossier présente une tendance particulière à l'Angleterre, l'introduction de chicorée dans les prairies (pour offrir une production intéressante en quantité et qualité lors des étés séchants).