Détail de l'auteur
Auteur Burkhard SCHAER |
Documents disponibles écrits par cet auteur (18)


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Emballages : le secteur s'impatiente et cherche des solutions
Oumaima MASBAH, Auteur ; Burkhard SCHAER, AuteurEn 2021, Ecozept a réalisé une étude, en coopération avec Bio Linéaires, sur le marché des produits biologiques en France, et plus particulièrement sur les emballages alimentaires. L'enquête, menée auprès d'un échantillon de magasins bio français, révèle que les solutions et les innovations pour réduire limpact écologique des emballages sont un moyen, pour la distribution spécialisée bio, de se distinguer dans la compétition qui l'oppose à la grande distribution, tant par les alternatives proposées par les fournisseurs, que par la mise en place de dispositifs de collecte dans les magasins pour le recyclage. La distribution bio prend également des initiatives en termes de communication, afin dencourager sa clientèle à sengager pour la réduction des déchets et linciter à apporter ses propres contenants. Un petit encart définit les emballages « bio-sourcés ».
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Dossier : Le vrac, petit rayon devenu grand
BIO-LINEAIRES, Auteur ; Burkhard SCHAER, Auteur ; Aziz LAAZIZ, AuteurLe vrac (hors fruits et légumes) est aujourdhui partout, répondant à une tendance forte : réduire les emballages et éviter le gaspillage. Ce dossier est construit à partir des résultats de plusieurs enquêtes auprès de consommateurs et auprès de la distribution bio. Il décrypte les grandes tendances et les attentes sur ce rayon : - La consommation vrac, une vraie tendance de fond (le vrac, comment ça marche ? ; les chiffres de son essor, les raisons de son succès, notamment auprès des plus jeunes, moteurs de la tendance) ; - Le vrac en bio : Les magasins bio ont la parole (ce que représente le rayon vrac dans le CA des grandes enseignes bio et comment les responsables envisagent son évolution) ; - Le poids du vrac dans les enseignes et groupements (tableau représentant, pour 16 enseignes nationales ou régionales ou groupements, la part du vrac/CA total, la part des différents produits dans le rayon vrac, y compris fruits et légumes) ; - Etat des lieux de la règlementation de la vente en vrac ; - Le vrac marque sa présence dans les magasins spécialisés en bio (données sur la vente de produits bio en vrac issues dune étude portant sur 106 magasins bio en 2019) ; - Le vrac, les voyants sont au vert (comportements et attentes des consommateurs du BIO Panel vis-à-vis du vrac).
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Natexpo Paris, 21 & 22 octobre 2019 : Evolution de la place des produits bio locaux dans les magasins spécialisés en France
Lors du salon NATEXPO 2019, le cabinet d'études Ecozept a présenté les résultats d'une enquête sur l'évolution de la place des produits locaux bio dans les magasins spécialisés bio entre 2015 et 2019. 107 magasins ont été interrogés. Les questions ont porté sur la satisfaction des magasins au regard des prix du produits, de leur qualité, de leur conditionnement, de la fréquence des livraisons, de la possibilité ou non de trouver les produits locaux bio souhaités, etc. L'enquête a permis de dresser un état des lieux des produits les plus représentés dans l'approvisionnement local des magasins, des produits locaux les plus vendus, de ceux qui sont difficiles à trouver... Parmi les enseignements de cette étude, les points positifs sont que, globalement, la situation des produits locaux bio en magasins spécialisés s'est améliorée et que l'assortiment local compte beaucoup dans la distinction positive d'un magasin par rapport à un autre. L'organisation efficace de l'approvisionnement reste un challenge important.
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La place de la viande bio dans les magasins bio du Languedoc-Roussillon
Burkhard SCHAER, Auteur ; Lisa GAUVRIT, Auteur ; Robin AVRIL, Auteur | MONTPELLIER (1 Rue Saint Barthélémy, 34 000, FRANCE) : ECOZEPT | 2013Cette étude, réalisée par Ecozept, bureau d'études franco-allemand spécialisé dans le marché bio, a plusieurs objectifs : - décrire la situation actuelle du marché bio ; - mettre en valeur les perspectives de développement des magasins bio ; - connaître la situation du rayon viande dans les magasins bio du Languedoc-Roussillon ; - mettre en avant les perspectives d'évolution de la viande au sein des magasins bio ; - vérifier l'intérêt des magasins de la région concernant la création d'une marque bio issue de jeunes bovins élevés en Languedoc-Roussillon. 56 magasins bio de la région Languedoc-Roussillon ont été sollicités. Même si un certain nombre d'entre eux proposent de la viande dans leurs rayons, le choix en produits carnés reste limité. Les quelques magasins bio qui ont développé un rayon boucherie ont vu leur chiffre d'affaires général augmenter. Les consommateurs à la recherche de produits de qualité, naturels et sans résidus chimiques, sont en effet demandeurs de ce type de produits. L'étude confirme l'intérêt de développer une marque régionale de viande bovine bio sur le Languedoc-Roussillon, à condition qu'elle se démarque bien (packaging, qualité, communication ). En effet, en bio, la viande bovine n'est pas celle qui se vend le mieux, ni celle qui est la plus difficile à trouver à l'échelle locale.
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Les consommateurs face à l'offre alimentaire bio en GMS 2010 : Résultats d'enquête
Burkhard SCHAER, Auteur ; Karla STEIGEL, Auteur | MONTPELLIER (1 Rue Saint Barthélémy, 34 000, FRANCE) : ECOZEPT | 2010L'étude a été réalisée par Ecozept, bureau d'études franco-allemand spécialisé dans le marché bio. En France, les produits bio se commercialisent via quatre circuits de distribution : les magasins spécialisés, les GMS, la vente directe et la vente via les artisans-commerçants. Après avoir abordé le développement des magasins spécialisés et la vente en GMS, les objectifs de l'étude sont présentés, ainsi que la structure du questionnaire et la méthodologie, les caractéristiques de l'échantillon (381 personnes interrogées dans trois villes différentes et dans ou devant les GMS). L'étude porte sur les aspects de la consommation, les marques, les perspectives bio, la comparaison entre l'étude réalisée en GMS et en magasins bio. L'analyse des résultats montre que la consommation bio gagne du terrain et que les consommateurs s'intéressent de plus en plus aux produits issus de l'agriculture biologique. Une comparaison est faite par rapport à l'enquête réalisée en 2007 sur l'offre alimentaire bio en France (hausse de la fréquence d'achat en GMS comme en magasin bio), un point est précisé sur l'image favorable qu'ont les consommateurs des produits bio. Cependant, quelques éléments nécessitent de la vigilance et de l'action : la notoriété des marques qui reste faible (sauf pour les marques de distributeurs), le sujet de la solidarité, le défi de la provenance régionale (urgent à relever), l'image des GMS en tant que distributeurs de produits bio...
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Les consommateurs face à l'offre alimentaire des magasins bio 2010 : Résultats d'enquête
Burkhard SCHAER, Auteur ; Karla STEIGEL, Auteur | MONTPELLIER (1 Rue Saint Barthélémy, 34 000, FRANCE) : ECOZEPT | 2010L'étude a été réalisée par Ecozept, bureau d'études franco-allemand spécialisé dans le marché bio. En France, les produits bio se commercialisent via quatre circuits de distribution : les magasins spécialisés, les GMS, la vente directe et la vente via les artisans-commerçants. Après avoir abordé le développement des magasins spécialisés et la vente en GMS, les objectifs de l'étude sont présentés, ainsi que la structure du questionnaire et la méthodologie, les caractéristiques de l'échantillon (546 personnes interrogées dans trois villes différentes et dans ou devant les magasins bio). L'étude concerne les aspects de la consommation, les marques, les perspectives bio, la comparaison entre l'étude réalisée en magasins bio et en GMS. L'analyse des résultats montre que la consommation bio gagne du terrain et démontre l'intérêt croissant des consommateurs pour les produits bio. Comparée à l'enquête de 2007, la fréquence d'achat de produits bio a augmenté en GMS comme en magasins bio... Bien que les résultats soient rassurants pour les magasins bio, la concurrence sur le marché reste un challenge. Les résultats portent également sur la notoriété des marques bio qui reste faible (sauf pour les marques de distributeurs), le sujet de la provenance régionale (urgent à relever), le double défi des magasins bio (inciter les consommateurs existants à renforcer leurs achats en bio dans le magasin en question, élargir la clientèle).
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Les détergents écologiques : Situation et perspectives dans la distribution spécialisée bio
Burkhard SCHAER, Auteur ; Pauline MARTIN, Auteur ; Karla STEIGEL, Auteur | MONTPELLIER (1 Rue Saint Barthélémy, 34 000, FRANCE) : ECOZEPT | 2010Ecozept est un bureau d'études franco-allemand spécialisé dans le marché bio (création en 2000) qui publie régulièrement des études sur le marché bio en France et en Europe. L'étude sur les détergents écologiques en France (2010) vise à présenter les chiffres clés du développement des détergents écologiques dans les magasins bio ; à décrire la situation actuelle sur ce marché ; à évaluer la place des marques et les tendances de produits... En introduction, est présentée l'enquête proprement dite, réalisée auprès des gérants des magasins spécialisés bio, au cours du mois de juillet 2010. L'étude concerne les caractéristiques des magasins bio, le développement des détergents écologiques, l'environnement institutionnel et structurel, la place des marques des détergents écologiques et la tendance des produits. Les résultats de l'enquête permettent d'avancer trois constats : le développement des détergents écologiques est actuellement sur la bonne voie, mais les magasins bio redoutent de plus en plus les GMS ; les magasins bio, dans leur ensemble, manquent d'implication dans la vente des détergents écologiques ; il y a une grande méconnaissance des détergents écologiques de la part des magasins bio.
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Les magasins bio en France 2009 : Situation et perspectives de la distribution spécialisée bio
Burkhard SCHAER, Auteur ; Elodie MAHOUDEAU, Auteur ; Karla STEIGEL, Auteur | MONTPELLIER (1 Rue Saint Barthélémy, 34 000, FRANCE) : ECOZEPT | 2010Ecozept est un bureau de conseil et de recherche, basé en Allemagne et en France, spécialisé dans le marché bio et regroupant des spécialistes des secteurs de l'économie agricole et alimentaire, de la protection des ressources, du marketing et de l'étude de marché. Au service des instituts de recherche, des universités, des administrations, des associations et de l'industrie, ce bureau de conseil et de recherche mène des enquêtes très variées concernant les différents aspects du marché bio. L'enquête relative aux "magasins bio en France 2009" a été réalisée à partir d'interviews téléphoniques assistées par ordinateur au cours des mois de juin et juillet 2009, auprès d'un échantillon de 149 magasins bio répartis sur l'ensemble du territoire métropolitain. Le document aborde les caractéristiques des magasins bio : types de points de vente, taille de la surface de vente, ancienneté de l'activité des magasins bio, chiffre d'affaires des magasins bio, les effets de la crise financière actuelle. La moyenne des surfaces de vente est de 139 m² (le spectre des surfaces de vente allant de 20 à 1 000 m²) ; en France, aujourd'hui, le total des magasins bio se situe autour de 2 000 points de vente ; l'évolution du chiffre d'affaires du premier semestre 2009 par rapport à celui de 2008 montre une large marge d'évolution (en moyenne entre - 20 % et + 54 %, la croissance du secteur se situe à 10 % environ). Concernant les effets de la crise, plus de la moitié de l'échantillon pense être touché ; les consommateurs consommeraient différemment et se tourneraient vers les produits de base. Certains gérants précisent que les clients achètent moins mais que leur choix se porte plutôt sur des produits de qualité...
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Créer ou développer une activité de transformation de produits biologiques : Guide à usage des futurs transformateurs de produits biologiques
Annabelle BOYER, Auteur ; Angélique MENU, Auteur ; Burkhard SCHAER, Auteur ; Sophie VALLEIX, Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - BP 35, 63 370, FRANCE) : ABIODOC (Service de VetAgro-Sup) | 2009La création d'une activité de transformation, même de taille modeste, est complexe et requiert une préparation rigoureuse pour assurer le succès de son produit. Les produits issus de l'agriculture biologique doivent de surcroît respecter la réglementation spécifique à ce mode de production. Ainsi, les opérateurs de produits biologiques doivent non seulement appliquer les démarches similaires à tous les transformateurs, mais également approfondir les aspects réglementaires spécifiques. Ce guide a pour ambition d'aider les futurs transformateurs dans leur préparation, en leur indiquant les différentes étapes à suivre et les points à ne pas négliger, ainsi que les contacts susceptibles de les aider. Il aborde notamment la réglementation (contrôle, étiquetage ), l'étude de marché, le plan marketing, les moyens, la structure juridique et la rédaction du plan d'affaires. Ce guide est destiné à celles et ceux qui souhaitent développer une activité de transformation de produits agroalimentaires issus de l'agriculture biologique en petite ou très petite entreprise : agriculteur, entreprise familiale, artisan...
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L'enjeu de la provenance régionale pour l'agriculture biologique
Lucie SIRIEX, Auteur ; Jean-Louis PERNIN, Auteur ; Burkhard SCHAER, AuteurLe volume 4 de la Revue Innovations Agronomiques de l'INRA est spécialement dédié à l'agriculture biologique. Il présente des communications sélectionnées parmi les exposés et posters du colloque Dinabio organisé en mai 2008 à Montpellier. Ce document est une de ces communications. Cet article présente une synthèse de quatre études menées en France auprès de distributeurs et de consommateurs de produits biologiques, visant à cerner à la fois les pratiques des magasins spécialisés envers l'approvisionnement local de leurs produits et les attitudes et intentions des consommateurs vis-à-vis de l'origine régionale des produits biologiques. Presque deux tiers de ces magasins y ont recours (en majorité des grands magasins), avec des appréciations mitigées : si des avantages évidents, comme la fraîcheur des produits régionaux, sont notés, les distributeurs regrettent un manque de professionnalisme et d'engagement de la part des fournisseurs agricoles. Les consommateurs sont quant à eux très sensibles à l'origine régionale des produits biologiques, plus parce qu'elle est synonyme d'accès direct et de transparence qu'en raison de préoccupations environnementales (« food miles » ou kilomètres alimentaires). Les résultats obtenus permettent aux auteurs de proposer plusieurs recommandations aux acteurs de la filière.
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Distribution des produits bio : Quels liens avec les producteurs ?
Cet article présente les résultats d'une enquête réalisée auprès des gérants de magasins bio pour mieux connaître les relations entre commerçants bio et paysans régionaux. Il ressort que 64 % des magasins choisissent de s'approvisionner chez les producteurs. L'enquête montre également les atouts et faiblesses majeurs de la fourniture directe chez les producteurs selon les gérants. Parmi les atouts, on peut citer la fraîcheur des produits, la qualité/fiabilité des produits, la proximité,..., et parmi les faiblesses : l'irrégularité/difficultés de livraison ou de respect des délais, le manque de diversité,
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Les consommateurs face à l'offre alimentaire bio en GMS : Résultats d'enquête : 2007
L'étude présentée dans ce rapport avait pour objectif d'appréhender la perception qu'ont les clients des GMS envers les marques des produits bio. On note que la fréquence d'achat de produits bio n'est pas très élevée en GMS et constitue un défi majeur à relever par celles-ci. Il ressort que les personnes ont une image très positive des marques bio, qui sont jugées comme des marques modernes, professionnelles ou encore de bonne qualité gustative. Les GMS, en tant que distributeurs de produits bio, présentent aux yeux des consommateurs certaines faiblesses : les clients font beaucoup plus confiance aux magasins spécialisés et trouvent la qualité des produits et des conseils moins bonne en GMS. Toutefois, presque la moitié des personnes interrogées se rendent uniquement en GMS pour leurs achats de produits bio pour des raisons pratiques et de prix. La provenance régionale des produits bio constitue un vrai défi pour les acteurs du marché. En effet, une grande partie des consommateurs exige une cohérence entre bio et provenance régionale. Plus d'approvisionnement en région et une communication claire à ce sujet peuvent encourager la consommation.
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Les consommateurs face à l'offre alimentaire des magasins bio : Résultats d'enquête : 2007
Ce rapport présente une étude réalisée sur la perception des consommateurs sur l'offre alimentaire bio en magasin spécialisé. Les magasins bio bénéficient aux yeux des consommateurs de vraies forces : non seulement les clients font confiance à ce circuit de distribution, mais ils jugent aussi, à une très grande majorité, la qualité des produits vendus et la qualité du conseil meilleures qu'en GMS. Néanmoins, trois quart des personnes interrogées se rendent également en GMS pour y acheter des produits bio pour des raisons pratiques (on achète tout en même temps) et pour les prix. Face à cette situation, les magasins bio peuvent encore renforcer leurs atouts (qualité des produits et des services, du conseil et de la présentation des produits). Une révision de la politique des prix n'est pas à conseiller à part peut-être pour les produits phares (ufs, lait).
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Nouvelles données sur les magasins bio en France
Pour la troisième année consécutive, ECOZEPT vient de mener son enquête en interrogeant plus de 100 gérants de magasins bio. L'enquête porte sur les types de points de vente, la surface de vente, la fréquentation des magasins et le volume du panier, le développement du chiffre d'affaires.
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Distribution : Quelle place pour les producteurs bio régionaux ?
Des carottes bio d'Afrique du Nord en octobre, de l'ail bio d'Argentine en septembre, des tomates bio hollandaises en juillet : même en pleine saison, les fruits et légumes dans nos magasins bio français proviennent rarement de nos contrées. Selon des estimations, moins de 10 % de l'offre en magasin serait d'origine régionale. Les petites exploitations avec leur grande diversité de production se sont orientées vers la vente directe ; A l'inverse, les grandes exploitations se sont tournées vers les grossistes nationaux, la GMS ou l'exportation. Aucune de ces structures n'est bien adaptée au grossiste régional ou au magasin bio proche.