Détail de l'auteur
Auteur Dominique PARIZEL |
Documents disponibles écrits par cet auteur (117)


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Le Champ des possibles : Des légumes de qualité à la portée de tous : Réflexions, avec François Sonnet, au sujet de l'auto-cueillette
Dominique PARIZEL, AuteurDans la banlieue liégeoise, en Belgique, François Sonnet s'est installé, il y a sept ans, en maraîchage bio au Champ des possibles. Il s'est inspiré du modèle de la "Community-supported agriculture", un système de production agricole soutenu par la communauté. Il s'appuie sur l'auto-cueillette : chaque membre abonné vient cueillir lui-même ce qu'il consomme. À raison d'une centaines de personnes abonnées à l'année, ce système permet d'assurer un revenu fixe à François, qui peut démarrer les productions tranquillement. À la fin de chaque saison, François et les membres de la ferme font le point sur le fonctionnement de l'exploitation, ce qui permet au maraîcher d'ajuster les productions à la demande. Soulagé du poids de la main duvre pour la récolte, François fait confiance aux abonnés et ne déplore, d'ailleurs, quasiment aucun gaspillage : les cueilleurs sont prévenus lorsqu'une production est disponible ; ils ne causent aucun vrai dégât ; l'aspect de légumes qu'il serait impossible de vendre en grande surface n'effraie personne. Les auto-cueilleurs viennent parfois avec les enfants, ce qui est une forme intéressante de sensibilisation. Pour finir, s'il n'est pas certifié bio, Le Champ des possibles n'en est pas moins soucieux de permettre aux habitants du secteur de s'auto-alimenter avec des légumes sains, sans traitements phytosanitaires...
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Dossier : Industrialiser le bio ? Mais jusquoù ?
Dominique PARIZEL, Auteur ; Julie VAN DAMME, Auteur ; Mathilde RODA, AuteurCe dossier apporte des éléments de réflexion sur lindustrialisation de la bio. Il est constitué de quatre parties. La première, intitulée « Les nouveaux « progrès » de lagro-industrie », aborde des sujets sensibles liés à lindustrialisation de lagriculture en général : les nouveaux OGM, le prion de la vache folle (ESB), les farines animales ou PAT (protéines animales transformées), la corrélation entre lalimentation industrielle et le surpoids ou lobésité La seconde partie, dédiée à « Lintrouvable vitamine B2 pour coco.tte.s », dénonce les filières biologiques qui reposent sur lutilisation dintrants controversés (ex : la vitamine B2 pour lalimentation des volailles) et les filières qui cherchent à remplacer lun de ces intrants par un produit alternatif, sans avoir une réflexion globale ou une approche plus éthique. La troisième partie, « Les défis de notre agriculture et la réponse industrielle : lavis dun producteur », rapporte le témoignage dAndré Grevisse, un éleveur belge dAngus bio. Ce dernier donne son avis sur lévolution de la bio, lindustrialisation de certains élevages, ainsi que sur des problèmes de cohérence (réglementaire ou organisationnelle) au sein de certaines filières. La quatrième partie, « Être ce que lon mange, manger tel quon est ! », apporte des éléments de réflexion sur lalimentation des animaux délevage et les dérives que peut entraîner la recherche de performances zootechniques (recours aux OGM, brevetage du vivant, farines animales ).
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Dossier : Le Réseau RADiS : pour des filières bio et solidaires à l'échelle des territoires !
Sylvie LA SPINA, Auteur ; Dominique PARIZEL, AuteurEn Wallonie, Nature & Progrès s'est associé avec la Fondation Cyrys pour créer, dans la région de Dinant, le Réseau RADiS (Réseau Alimentaire Dinant Solidaire). Le projet a pour objectif de travailler sur 3 dimensions essentielles pour faire évoluer les systèmes alimentaires : la relocalisation de l'alimentation, le développement de l'agriculture biologique et l'accessibilité de l'alimentation bio et locale pour tous. Les 2 partenaires se sont d'abord concentrés sur un premier territoire, celui de Dinant, et espèrent que ce premier projet inspirera toute la Wallonie. Dans ce dossier, les auteurs présentent le Réseau RADiS, ses principes et ses valeurs, ainsi que son fonctionnement.
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Bees coop : Etre l'acteur de sa propre souveraineté alimentaire
Dominique PARIZEL, AuteurLe modèle de Park Slope Food Coop de New York a inspiré une cinquantaine de "supermarchés" participatifs en France. En Belgique, le magasin bio Bees coop, qui a ouvert dans un quartier de Bruxelles il y a 3 ans, est aussi inspiré de ce modèle. Son objectif : donner accès à une alimentation de qualité à prix abordables pour tout le monde en offrant une alternative globale - avec une gamme complète de produits - à la grande distribution classique. Quiconque peut venir y faire ses courses, à la condition de devenir coopérateur. Il suffit de prendre au moins une part, et de s'engager à venir travailler deux heures quarante-cinq minutes toutes les 4 semaines. Cette organisation implique le consommateur, qui devient partie prenante du magasin où il fait ses courses. Aujourdhui, Bees coop compte 1 600 membres. Quentin Crespel explique en détail comment fonctionne le magasin, quels sont ses partenaires (producteurs, transformateurs, Ville de Bruxelles, écoles, Université...), les difficultés rencontrées, mais aussi les projets. Si 90 % des produits proposés à Bees coop sont bio, le premier objectif reste la qualité au bon prix. Un des axes militants du projet consiste à faire de la pédagogie et à montrer que les prix pratiqués dans la grande distribution classique ne reflètent pas la réalité La finalité sociale du projet comprend une partie éducative et une partie partage des connaissances. Bees coop organise de nombreuses actions de sensibilisation afin de questionner lacte de manger aujourdhui. Ancrée dans son quartier, la coopérative souhaite conserver une taille humaine. Elle est prête à partager son expérience pour que dautres magasins participatifs puissent voir le jour à Bruxelles, afin de créer des endroits pour faire ses courses qui soient aussi des lieux de rencontres porteurs de vraies valeurs autour de lalimentation.
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Le chant de la terre, à La Louvière : Coopérative de "consomm'acteurs" bio
Dominique PARIZEL, AuteurLe Chant de la Terre, tel est le nom de cette coopérative de consommateurs bio nouvellement installée à La Louvière (Wallonie). Michel Eggermont, président de la coopérative, raconte comment le projet est né, et comment il a pu se concrétiser, grâce aux efforts des premières chevilles ouvrières, il y a 8 ans... Avec une dimension sociale affirmée, la coopérative entend faire évoluer les façons de consommer. Marie-Anne Collet, une des coopératrices, explique que cet engagement social se traduit à différents niveaux. Le prix reste un défi, afin que la population locale puisse acheter bio. Cependant, la coopérative est aussi un espace de rencontres et d'échanges. Ses membres souhaitent qu'elle soit aussi être un vecteur de diffusion d'informations et d'idées, en organisant des conférences, en rapprochant les consommateurs et les producteurs, en accompagnant de petites initiatives locales...
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Dossier : Je jardine bio... Et vous ?
Dominique PARIZEL, Auteur ; Jacques BISTON, AuteurCe dossier, consacré aux jardins en ville, présente des initiatives, en Belgique, qui illustrent qu'il est toujours possible de cultiver, quel que soit le lieu, et qui que l'on soit : - Un potager urbain chez Guy, à quelques jets de pierre de l'avenue Louise... ; en plein centre de Bruxelles, Guy possède un jardin de 12 mètres de long sur 5,5 de large, entouré de murs de pierres de plus de 2 m de haut, très peu ensoleillé ; malgré les contraintes du lieu, et en dépit d'un usage difficile d'une de ses jambes accidentée, Guy a réussi à créer un petit potager qui est devenu le pilier de sa qualité de vie et de sa sérénité ; - Retour chez Stéphanie, dans le centre de Gembloux (Wallonie) ; rencontrée pour la première fois il y a 7 ans, Stéphanie explique comment a évolué, depuis, son petit potager, et raconte sa passion à créer de l'esthétique dans ce lieu, malgré le peu de temps qu'elle peut lui accorder, ainsi que ses projets ; - Nele, la voisine du pépiniériste ; lorsque Nele a acheté sa petite maison près de Louvain, elle a simplement retiré les rosiers plantés par l'ancienne propriétaire et y a installé, sur environ 5 m2, quelques légumes ; petit à petit, et avec les conseils du pépiniériste voisin, elle améliore progressivement l'espace, développant le toucher et l'odorat pour compenser sa mauvaise vue due à sa maladie... ; - Le petit jardin nourricier ; L'association Vent Sauvage dispose d'un petit jardin qu'elle met à disposition pour des actions à caractère social et qui sert de support pédagogique pour les écoles primaires.
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La biodynamie, c'est pas sorcier ! : 3. Les préparations, remèdes pour la terre malmenée
Dominique PARIZEL, AuteurAprès sêtre intéressé, dans le numéro 121 de la revue, aux moyens et méthodes en biodynamie, cet article propose un focus sur les préparations biodynamiques. Cest depuis sa ferme wallonne que Jacques Paris explique comment agissent les différentes préparations biodynamiques. Pour lui, ces préparations peuvent être vues comme des remèdes, des soutiens à la terre, afin de faire renaître les "forces de vie". A partir des exemples de la bouse de corne, des préparations polaires et des composts, il explique comment agissent les préparations, puis montre le rôle de chacune dentre elles pour renforcer les sols et les plantes. Les préparations du compost, conçues pour comporter tous les aspects équilibrants, ont chacune une fonction bien précise, décrite à laide des qualités prêtées symboliquement à une planète.
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Cycle en terre : L'urgence de faire des semences
Dominique PARIZEL, AuteurA l'origine du projet "Cycle en terre" (Wallonie), se trouve Fanny Lebrun, qui a décidé de se lancer dans la production de semences potagères après un voyage en Australie. Après quelques expériences, sa rencontre avec Damien Van Miegroet et Bruno Greindl va lui permettre de donner corps à son projet et d'en faire son activité principale. L'objectif est de produire des semences potagères et d'engrais verts essentiellement, dans un premier temps. Contrairement aux Pays-Bas, à la France et à l'Allemagne, ses voisins, il y a très peu de production semencière en Belgique, et la très grosse majorité des semences reproductibles biologiques viennent de l'étranger. La volonté des trois associés est donc axée sur une production locale de différentes variétés utilisées. Le collectif travaille à la création d'un réseau belge de maraîchers reproducteurs afin que chacun d'eux produise des semences qui seront commercialisées sous la marque "Cycle en terre". Deux personnes ont rejoint l'équipe pour s'occuper des cultures et de la commercialisation. L'idée est de se concentrer sur un nombre restreint de variétés, mais la place est libre pour d'autres collaborations, pourquoi pas avec des jardiniers... La demande en semences belges est énorme, selon Fanny, mais elle se plaît aussi à dire que, si un jour tout le monde produit ses semences et que son métier n'est plus utile, elle sera heureuse de faire autre chose. On l'aura compris, c'est bien l'autonomie qui est en jeu. C'est pourquoi le projet Cycle en terre comporte "un large pan de formation, de documentation et de conférences, afin que de plus en plus d'anonymes se réapproprient le monde de la semence".
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Dossier : Blés modernes ou blés anciens ?
Jürg SCHUPPISSER, Auteur ; Marc DEWALQUE, Auteur ; Dominique PARIZEL, AuteurCe dossier s'intéresse aux semences paysannes céréalières, en reprenant les temps forts du forum européen Cultivons la Diversité, qui s'est déroulé fin juin, à la Ferme du Hayon (Wallonie) : - "Ma passion pour le renouveau des blés", interview de Marc Van Overschelde ; - La dérive des semences dans l'agro-industrie et la solution de la sélection paysanne ; - "Li Mestère" : des céréales anciennes à la base d'une nouvelle sélection adaptée.
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Dossier : Les Portes ouvertes de Nature & Progrès - Saison 2017
Dominique PARIZEL, Auteur ; Ruth DJOUMESSI, AuteurDe mai à octobre 2017, un peu partout en Wallonie et à Bruxelles, les membres de Nature & Progrès ouvrent les portes de leurs fermes et de leurs jardins. L'occasion d'aller à la rencontre d'une agriculture respectueuse de l'homme et de son environnement, avec, pour cette édition, une attention accrue à la question des pesticides. Face à une "dépendance aux pesticides" de l'agriculture conventionnelle, l'agriculture biologique propose des alternatives que Nature & Progrès souhaite promouvoir à travers diverses actions. Nombre de ces alternatives seront présentées lors de ces Portes Ouvertes. Une sélection des fermes participantes est à découvrir dans ce dossier : - Ferme du Champia : "Respecte la nature, elle te respectera aussi..." (Nathalie et Jean-Marc Puissant, à Chevetogne) ; - Jean-Michel et Marie-José Lex : "Un écosystème bien équilibré est la meilleure façon d'éviter les maladies" (Montzen) ; - Les Trois Maraîchers : "Observer, se renseigner et tenir compte des exigences de chaque plante..." (Thomas Schmit, agronome, ferme de Vévy-Wéron) ; - Renai Cense, une micro-ferme en harmonie avec la nature : "Le plus remarquable, avec les animaux, c'est leur complémentarité..." ; - Françoise Debucquoy : "Ce qui fonctionne chez l'un n'est pas forcément transposable chez l'autre...".
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Laurence Devillet, safranière à Anloy
Dominique PARIZEL, Auteur ; Bernadette PARISSE, AuteurLaurence Devillet produit du safran bio à Anloy, en Wallonie. Elle présente, dans cet article, toutes les facettes de cette culture. Tout d'abord la plante elle-même, le safran étant le pistil de Crocus sativus - traditionnellement cultivé en Inde, en Iran, en Afrique du Nord..., mais qui pousse aussi parfaitement sous nos latitudes. Laurence Devillet s'est formée chez un safranier français. Aujourd'hui, elle dispose d'un terrain d'1 ha environ, dont la moitié est plantée en crocus. Elle explique quelles sont les exigences de la plante, comment elle s'organise pour récolter le safran, le conditionner, le transformer et le commercialiser.
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La biodynamie, c'est pas sorcier ! : 1. Fondements philosophiques
Dominique PARIZEL, AuteurCet article propose d'appréhender la biodynamie au prisme de ses fondements philosophiques. Pour cela, sans remettre en cause l'importance de la pensée de Rudolf Steiner et son rôle dans la définition des pratiques de l'agriculture biodynamique, il invite à prendre de la distance par rapport à une terminologie parfois proche du jargon ("forces éthériques", "forces astrales"...), pour mieux s'attacher à redécouvrir les forces de vie à luvre au champ ou au jardin. Pour cela, il sintéresse à linfluence de la pensée de Goethe, dont les écrits scientifiques et philosophiques ont largement favorisé le développement d'une philosophie de la nature en Allemagne : façon de concevoir l'observation, de percevoir et de rendre compte des phénomènes observés Pour l'auteur de l'article, la question de la redéfinition de la place de l'humain dans la production de son alimentation et, plus globalement encore, de sa place dans la nature devrait bien se poser en ces termes. En biodynamie, il s'agit bien de s'efforcer de compléter les apports de l'approche rationnelle par un mode de conscience plus à même de traduire le caractère complexe du vivant.
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La biodynamie, c'est pas sorcier ! : 2. Autonomie, autonomie chérie...
Dominique PARIZEL, AuteurAprès un focus, dans le numéro 119 de la revue, sur les fondements philosophiques de la biodynamie, cet article est consacré aux moyens et aux méthodes de la biodynamie, ainsi qu'à sa vision de la ferme comme un organisme autonome. L'auteur place cette notion d'organisme autonome au cur de la biodynamie. En tant qu'organisme individualisé et vivant, la ferme doit faire preuve d'un équilibre et d'une harmonie entre ses différentes parties, et cet équilibre résulte d'une combinaison optimale unique, en lien avec le climat, la topographie, la nature du sol... C'est pourquoi chaque ferme est unique. La relation de confiance entre l'homme qui cultive, la terre et les cultures est un aspect fondamental pour aborder la question des méthodes : l'agriculteur s'efforce d'interférer le moins possible sur la nature et observe les phénomènes. De cette observation, naissent ses choix (travail du sol, rotations, types de préparations...). Jacques Paris, fermier biodynamiste à Serinchamps (Wallonie), explique comment il s'est approprié cette notion fondamentale d'organisme, et comment cela se traduit dans ses pratiques. "L'objectif, dit-il, est de prendre soin, d'accompagner cet organisme pour qu'il vive de manière harmonieuse, dans l'équilibre de tout ce qui le compose et de tout ce qui l'influence".
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Dossier : Bières bio, houblon local ?
Dominique PARIZEL, AuteurLe thème qui a servi de bannière à la 32ème édition du Salon Valériane (qui a eu lieu les 2, 3 et 4 septembre 2016, à Namur, en Belgique) était "Partageons notre bio, locale et de saison". Dans ce contexte, la revue Valériane est allée à la rencontre de 3 brasseurs belges présents au Salon, des artisans qui confectionnent, pour l'un, la bière de Brogne (toute la gamme en bio), pour l'autre la Ginette (toutes bio aussi) et le dernier la Lupulus (dont Lupulus organicus en bio), avec pour but de savoir ce que représentent pour eux ce slogan et notamment ces 3 notions : "Bio", "Local" et "Saison". Au sommaire de ce dossier : - La bière de Brogne fait revivre l'abbaye : Conversation avec Gabriel Smet ; - La subtile distinction de la Ginette : Conversation avec Didier Hamoir ; - Petit loup bio deviendra grand ! : Conversation avec Julien Gobron.
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Dossier : Non au glyphosate !
Dominique PARIZEL, AuteurLe glyphosate (N-phosphonométhyl-glycine) est un dérivé de la glycine (acide aminé). C'est aussi la substance active de l'herbicide "Roundup". Depuis de très nombreuses années, les risques du glyphosate sur la santé sont mis en avant. De nombreux scientifiques indépendants tentent de se faire entendre. Malgré son classement comme "cancérogène probable" par le Centre International de Recherches sur le Cancer, l'autorisation de cet herbicide le plus vendu au monde a été prolongée par l'Europe. Ce dossier aborde les aspects scientifiques, réglementaires, financiers et commerciaux... du sujet. Il a pour but de contribuer à la compréhension, par les citoyens et consommateurs, des enjeux et de la dangerosité de ces produits largement utilisés dans les jardins, les espaces verts, et pour produire notre alimentation. Après une introduction sur l'origine de la création du Roundup par Monsanto, le dossier propose 3 articles : - Ne pas confondre ! Substance active et formulation commerciale ; - Cancérogène ou pas ? Faudrait savoir ! ; - Ce qui pourrait nous attendre, si nous n'y prenons pas garde...