Détail de l'auteur
Auteur François COUPLAN |
Documents disponibles écrits par cet auteur (148)


![]()
![]()
Ce que les plantes ont à nous dire
Dans cet ouvrage, François Couplan, ethnobotaniste expérimenté, invite à un fascinant voyage avec les plantes, à travers les lieux et les cultures. Depuis de nombreuses années, lauteur parcourt la planète et explore les différentes manières d'entrer en relation et de vivre avec elles. Pour lui, les plantes peuvent apporter des solutions réelles à la crise anthropologique actuelle. Leurs vertus nutritionnelles pourraient intervenir positivement dans la crise alimentaire qui se profile et, dores et déjà, avoir un effet positif sur la santé, par exemple. Mais, à travers la compréhension de ce que sont les plantes, se dessine une façon différente de voir le monde, dans lequel lhomme nest plus au centre, mais lun des acteurs. François Couplan propose de découvrir les secrets des plantes et la longue et tumultueuse relation que lhomme entretient avec elles.
![]()
![]()
Les plantes médicinales de nos régions : Gentiane jaune, ou Grande gentiane ; Sureau, ou Sureau noir
François COUPLAN, AuteurL'auteur, ethnobotaniste, auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente les vertus médicinales de 2 plantes et les différentes façons de les utiliser. La gentiane jaune (Gentiana lutea), plante vivace pouvant atteindre 1 m de hauteur, naît d'un gros rhizome charnu très aromatique. En été, de grandes fleurs jaune vif en étoile s'épanouissent, composées de 5 à 9 pétales étroits et allongés, réunies en groupes denses. C'est le rhizome qui donne à la gentiane son odeur et son principe amer caractéristique qui lui confère ses vertus médicinales, principalement sur la sphère digestive. Également apéritive, la gentiane se prête à la fabrication de liqueurs. Arbrisseau très commun pouvant aller jusqu'à 5 m de haut, le sureau noir (sambucus nigra) produit des petites fleurs dégageant une forte odeur musquée et renfermant des tanins, du mucilage et des glucosides. Les baies, de couleur noire, renferment un jus violacé ainsi que de petites graines et sont riches en acides organiques, sucre, sels minéraux et vitamines. Les infusions de fleurs de sureau, selon leur concentration, seront utilisées plutôt en externe (compresses) ou en interne (tisanes).
![]()
![]()
Dossier : L'art de manger des fruits
René BICKEL, Auteur ; Martin LACROIX, Auteur ; François COUPLAN, Auteur ; ET AL., AuteurLongtemps très présents dans notre alimentation, y compris dans celle des enfants, les fruits ont cédé peu à peu la place aux encas, ceux-ci étant malheureusement souvent des produits peu intéressants d'un point de vue alimentaire, barres chocolatées, goûters ou biscuits trop sucrés et pauvres en nutriments essentiels. Les médecins et les nutritionnistes le rappellent sans cesse, il est temps de réapprendre à faire une plus grande place aux fruits... locaux, de saison, entiers et sans pesticides : - Made in Nature : quand l'Europe promeut les fruits et légumes bio ; - Fruits et santé : les erreurs à éviter ; - Variétés anciennes : le grand retour ; - Des cueillettes sauvages en toutes saisons ; - Les fruits, c'est yin ou c'est yang ? ; - La biodynamie côté fruits ; - Crus, cuits, jus, smoothies : variez les plaisirs !
![]()
![]()
Les plantes médicinales de nos régions : Bourse-à-pasteur, ou Capselle ; Chélidoine, ou Grande éclaire, ou herbe aux verrues
François COUPLAN, AuteurCommune dans les jardins, dans les champs et sur le bord des chemins, la bourse-à-pasteur (Capsella bursa-pastoris) présente des petites fleurs blanches presque toute l'année, et donne des fruits caractéristiques, triangulaires, en forme de cur, renfermant quelques petites graines jaunes. Les propriétés hémostatiques et antihémorragiques de la bourse-à-pasteur sont connues depuis très longtemps. La plante, préparée en décoction, peut être efficace contre les douleurs menstruelles. En Extrême-Orient, si elle est cultivée et vendue sur les marchés, c'est pour ses graines à la saveur piquante, utilisées comme épices. La chélidoine (Chelidonium majus) est, quant à elle, connue pour son suc riche en nombreux alcaloïdes. Appliqué frais et de façon répétée sur la peau, il aide à venir à bout des verrues, cors et durillons, sans léser la peau saine. Utilisée en interne, la chélidoine est également un puissant cholérétique, efficace contre les spasmes abdominaux, les crampes digestives et les problèmes vésiculaires, ainsi qu'un calmant des douleurs hépatiques. L'infusion est toujours préparée à partir de la plante sèche, les feuilles fraîches pouvant provoquer de graves troubles digestifs, nerveux et cardiaques, et la racine étant particulièrement toxique.
![]()
![]()
Les plantes médicinales de nos régions : Chêne pédonculé ; Eglantier, ou Eglantine, rosier sauvage, rosier des chiens
François COUPLAN, Auteur- Le chêne rouvre (Quercus robur) peut atteindre 30 mètres de hauteur et vivre jusqu'à 1000 ans. Avant d'être donnés aux cochons, ses fruits entraient dans l'alimentation humaine chez plusieurs civilisations. Les glands s'employaient aussi contre le rachitisme. Sa richesse en tanins en fait un puissant astringent, utilisé de nos jours par voie externe pour assainir des tissus lésés, ou en gargarisme contre l'angine chronique et l'inflammation des gencives. L'utilisation par voie interne, sous forme de décoction, est déconseillée au-delà d'une durée de 3 semaines, en raison de sa concentration en tanins ; - L'églantier (Rosa canina), arbrisseau épineux de 2 à 3 mètres de hauteur, est reconnu pour la teneur importante en vitamine C de ses fruits, les cynorrhodons. Un seul de ses fruits renfermerait autant de vitamine C qu'un gros citron... Préparés en général en décoction, en sirop ou en confiture, il est aussi possible, pour profiter pleinement de la vitamine, de les intégrer directement dans l'alimentation.
![]()
![]()
Les plantes médicinales de nos régions : Ortie, ou grande ortie, ou ortie dioïque ; Myrtille, ou airelle myrtille, ou brimbelle
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, est lauteur de nombreux ouvrages sur les plantes et la nature, dont une encyclopédie en trois volumes. Il organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales. Dans cet article, il présente tout dabord lortie, qui doit son pouvoir urticant à l'histamine et à l'acétylcholine qui provoquent une réaction allergique locale, mais qui possède par ailleurs de nombreuses vertus médicinales. Il présente ensuite la myrtille, riche, entre autres, en tanins et en flavonoïdes. L'auteur donne des informations sur les différentes façons d'utiliser chacune de ces plantes.
![]()
![]()
Les plantes médicinales de nos régions : Alchémille, ou Alchémille vulgaire, manteau de Notre-Dame, manteau de la Vierge ; Epine-vinette, ou Vinetier
François COUPLAN, AuteurLe genre Alchemilla est très complexe, et l'on en distingue plus d'une centaine d'espèces en France : alchémille glabre, alchémille rampante, alchémille coriace, alchémille brillante, alchémille fendue, alchémille hybride... Riche en tanins, la plante renferme aussi des flavonoïdes, des triterpènes et de l'acide salicylique. L'épine-vinette (Berberis vulgaris) est un arbrisseau touffu, à l'écorce grisâtre, dont les tiges portent des épines. Les fleurs produisent de petits fruits rouges allongés, au noyau mince et pointu. L'auteur, ethnobotaniste, auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente les vertus médicinales de ces plantes et les différentes façons de les utiliser.
![]()
![]()
Les plantes médicinales de nos régions : Arnica, ou tabac des Vosges, ou bétoine de montagne ; Mélisse, ou citronnelle, ou piment des abeilles
François COUPLAN, AuteurL'arnica (Arnica montana) est efficace contre les contusions, les entorses, les douleurs musculaires et articulaires et accélère la résorption des hématomes. Ce sont ses capitules qui sont utilisées pour la fabrication de la plupart des produits à usage externe : teintures, onguent, huile ou gel. Ce que l'on sait moins, c'est que, sauf en homéopathie, son usage interne peut s'avérer dangereux, car l'arnica n'est pas dépourvu de toxicité. La mélisse, quant à elle, renferme des propriétés anti-spasmodiques, sédatives, digestives et antivirales. Ce sont ses feuilles et sommités fleuries qui sont utilisées, en infusions par exemple, ou en macération. La plante est à la base de la célèbre "Eau des Carmes" élaborée au XVIIème siècle pour faciliter la digestion et apaiser les troubles nerveux. La mélisse peut s'employer en cuisine, et c'est une bonne plante mellifère.
![]()
![]()
Les plantes médicinales de nos régions : Busserole, ou raisin d'ours ; Bouleau, ou bouleau blanc
François COUPLAN, AuteurSous-arbrisseau rampant à feuillage persistant, la busserole (Arctostaphylos uva-ursi) produit de petits fruits rouges sphériques, à pulpe farineuse, acidulée et astringente. Ses feuilles sont petites, obovales et épaisses, avec une texture coriace et d'aspect luisant, persistantes en hiver. Très riches en tanins, elles ont une teneur importante en hydroquinone, qui en font un antiseptique urinaire efficace (en infusion), sans se substituer toutefois à une consultation médicale. Les petits fruits rouges, eux, seront de préférence cuits pour être consommés, par exemple en compote. Quant au bouleau (Betula pendula), grand arbre élégant reconnaissable à son tronc couvert d'une écorce blanche et lisse, ses feuilles utilisées en infusion sont préconisées contre les inflammations et les infections des voies urinaires, mais aussi contre les calculs rénaux et en complément d'un traitement antirhumatismal. Sa sève est très connue pour ses vertus diurétiques et dépuratives, particulièrement sous forme de cures en fin d'hiver.
![]()
![]()
Les plantes médicinales de nos régions : Pariétaire, ou Herbe aux galons ; Benoîte, ou Herbe de Saint-Benoît
François COUPLAN, AuteurPlante vivace de 20 à 60 cm de hauteur, la pariétaire (Parietaria officinalis) est présente en France, à l'exception de l'Ouest et du Sud, en Suisse et en Belgique. Cette plante renferme des tanins, du mucilage et des flavonoïdes et elle est particulièrement riche en potassium. Pour bénéficier de ses vertus médicinales (en particulier en direction du système urinaire), la plante doit être utilisée fraîche. La benoîte urbaine (Geum urbanum), quant à elle, pousse souvent dans les lisières des bois et des forêts, parfois dans les décombres. Plante vivace de 30 à 90 cm, ses racines chevelues, d'un brun clair, dégagent au froissement une odeur de clou de girofle caractéristique. Elle est riche en tanins dans toutes ses parties, ce qui lui confère des propriétés astringentes connues depuis longtemps. L'auteur, ethnobotaniste, auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente les vertus médicinales de ces deux plantes, ainsi que les différentes façons de les utiliser.
![]()
![]()
Les plantes médicinales de nos régions : Pensée sauvage, ou pensée tricolore ; Menthe des champs
François COUPLAN, Auteur- La pensée sauvage (Viola tricolor), cousine de la violette, pousse essentiellement dans les prairies, les champs, les vignes et les décombres. C'est l'une des meilleures plantes dépuratives de nos régions, particulièrement efficace pour lutter contre les maladies de peau : dartres, eczéma, herpès, acné, psoriasis, furonculose, en décoction ou en infusion (il est possible aussi d'en faire un sirop), et en usage externe pour apaiser les éruptions cutanées ; - La menthe des champs (Mentha arvensis), présente à l'état sauvage dans les champs et les chemins de forêts humides, possède une odeur caractéristique, différente de celles de la menthe sylvestre (Mentha longifolia), à l'odeur moins agréable, et de la menthe aquatique (Mentha aquatica). D'une façon générale, les menthes sont de bons stimulants de l'appareil digestif et ont des vertus anti-spasmodiques. Très prisée en tisanes pour ces raisons, la menthe est aussi utilisée en huile essentielle, en respectant les précautions d'emploi.
![]()
![]()
Les plantes médicinales de nos régions : Sapin, ou sapin blanc ; Valériane, ou herbe à chats
François COUPLAN, AuteurLe sapin, ou sapin blanc (Abies alba), est la seule espèce du genre dans nos régions (France, Belgique). Ses aiguilles, qui renferment une essence aromatique, et la résine contenue dans sa sève en font un expectorant et un antiseptique en cas d'affectations hivernales. Quant à la valériane (Valeriana officinalis), dont on utilise les racines pour lutter contre l'agitation et les troubles du sommeil d'origine nerveuse, plusieurs espèces sont présentes dans nos régions, dans les forêts, les prairies humides, les fossés, des plaines aux montagnes. L'auteur, ethnobotaniste, auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente les vertus médicinales de ces plantes et les différentes façons de les utiliser.
![]()
![]()
Plantes sauvages comestibles : Cueillir la nature parmi les prés et les bois
Les plantes sauvages sont partout autour de nous et certaines s'invitent dans les jardins. Ce que lon sait moins, cest que nombre d'entre elles sont comestibles. Très riches en nutriments, elles sont de véritables compléments alimentaires, sains et gratuits. Lauteur offre un tour du monde des plantes sauvages comestibles et des traditions de cueillette. Il donne des conseils de récolte pour les cueillir sans dévaster la nature, pour repérer les plantes protégées à ne pas toucher, pour éviter les plantes toxiques, etc. 200 plantes sauvages de nos régions sont ainsi passées en revue et classées par milieux de prédilection : champs, jardins, bords des chemins, bois et forêts, bords des eaux... Cet ouvrage permet dapprendre à les reconnaître, à les récolter et à les cuisiner en 120 recettes originales pour découvrir de nouvelles saveurs (beignets de pousses d'armoise, boutons de pâquerettes au vinaigre, mousse de fleurs de primevères, tartines d'alliaire à l'ortie, flamiche au poireau sauvage...).
![]()
![]()
Le thé vert japonais : une boisson miracle ?
François COUPLAN, AuteurGrands consommateurs de thé, les Japonais ne boivent cependant que du thé vert. Dès 1211, un moine célèbre dans l'histoire du Japon consacrait un livre aux bienfaits du thé vert pour la santé. A l'époque, le thé était réduit en une poudre très fine, le macha (ou matcha). Au cours des siècles, les techniques de conservation des feuilles de thé ont évolué, notamment en procédant à un passage rapide des feuilles à la vapeur avant séchage, ce qui évite l'oxydation et conserve les arômes. La production du thé vert au Japon est toujours très importante, ainsi que sa consommation. Ses vertus ont été mises en avant par des chercheurs japonais dans les années 1920, en particulier ses propriétés antioxydantes dues à la présence de polyphénols capables de neutraliser les radicaux libres, contrairement au thé noir. La consommation du thé vert au Japon relève d'une tradition ancestrale, et la cérémonie qui l'accompagne est toujours très vivante, bien que, chez les jeunes générations, elle soit quelque peu en perte de vitesse. Si la culture biologique du thé est en nette progression, elle est encore loin d'avoir une place significative sur le marché. Il est d'ailleurs très difficile de trouver des magasins bio au Japon. Larticle présente les différents thés japonais (sencha, bencha, genmaicha, macha ), ainsi que les principales régions de production au Japon.
![]()
![]()
Les plantes ? 70 clés pour comprendre
Cet ouvrage est une rencontre avec les plantes. Elles font partie de notre quotidien, et pourtant, les connaissons-nous si bien ? Elles sont indispensables à toute vie sur Terre et sont les seules à savoir fabriquer leur propre nourriture. Elles sont capables de résister à des conditions extrêmes grâce à des astuces fascinantes. Certes très lentement, les plantes savent aussi se déplacer. Remarquables par leur taille, leur solidité et souvent par leur longévité, comment les arbres arrivent-ils à faire monter leau et la sève jusquà leur cime ? Un véritable exploit pour les plus grands qui dépassent 100 mètres de hauteur Et les fleurs ? Savons-nous vraiment ce quest une fleur ? La réalité est souvent bien différente de ce que véhicule limaginaire populaire. Quant aux fruits, le langage courant les désigne souvent ainsi à très mauvais escient Et quid des algues, des champignons, des prêles et des fougères : plantes ou pas plantes ? Comment sadaptent-elles à leur milieu ? Quel est le rôle des symbioses, aujourdhui considéré comme primordial dans les relations entre les végétaux, les champignons et lhomme. Cet ouvrage permet de redécouvrir les végétaux nourriciers et guérisseurs que nos ancêtres savaient mettre à profit.