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Auteur François COUPLAN |
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Ce que les plantes ont à nous dire
Dans cet ouvrage, François Couplan, ethnobotaniste expérimenté, invite à un fascinant voyage avec les plantes, à travers les lieux et les cultures. Depuis de nombreuses années, lauteur parcourt la planète et explore les différentes manières d'entrer en relation et de vivre avec elles. Pour lui, les plantes peuvent apporter des solutions réelles à la crise anthropologique actuelle. Leurs vertus nutritionnelles pourraient intervenir positivement dans la crise alimentaire qui se profile et, dores et déjà, avoir un effet positif sur la santé, par exemple. Mais, à travers la compréhension de ce que sont les plantes, se dessine une façon différente de voir le monde, dans lequel lhomme nest plus au centre, mais lun des acteurs. François Couplan propose de découvrir les secrets des plantes et la longue et tumultueuse relation que lhomme entretient avec elles.
Les plantes médicinales de nos régions : Gentiane jaune, ou Grande gentiane ; Sureau, ou Sureau noir
François COUPLAN, AuteurL'auteur, ethnobotaniste, auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente les vertus médicinales de 2 plantes et les différentes façons de les utiliser. La gentiane jaune (Gentiana lutea), plante vivace pouvant atteindre 1 m de hauteur, naît d'un gros rhizome charnu très aromatique. En été, de grandes fleurs jaune vif en étoile s'épanouissent, composées de 5 à 9 pétales étroits et allongés, réunies en groupes denses. C'est le rhizome qui donne à la gentiane son odeur et son principe amer caractéristique qui lui confère ses vertus médicinales, principalement sur la sphère digestive. Également apéritive, la gentiane se prête à la fabrication de liqueurs. Arbrisseau très commun pouvant aller jusqu'à 5 m de haut, le sureau noir (sambucus nigra) produit des petites fleurs dégageant une forte odeur musquée et renfermant des tanins, du mucilage et des glucosides. Les baies, de couleur noire, renferment un jus violacé ainsi que de petites graines et sont riches en acides organiques, sucre, sels minéraux et vitamines. Les infusions de fleurs de sureau, selon leur concentration, seront utilisées plutôt en externe (compresses) ou en interne (tisanes).
Dossier : L'art de manger des fruits
René BICKEL, Auteur ; Martin LACROIX, Auteur ; François COUPLAN, Auteur ; ET AL., AuteurLongtemps très présents dans notre alimentation, y compris dans celle des enfants, les fruits ont cédé peu à peu la place aux encas, ceux-ci étant malheureusement souvent des produits peu intéressants d'un point de vue alimentaire, barres chocolatées, goûters ou biscuits trop sucrés et pauvres en nutriments essentiels. Les médecins et les nutritionnistes le rappellent sans cesse, il est temps de réapprendre à faire une plus grande place aux fruits... locaux, de saison, entiers et sans pesticides : - Made in Nature : quand l'Europe promeut les fruits et légumes bio ; - Fruits et santé : les erreurs à éviter ; - Variétés anciennes : le grand retour ; - Des cueillettes sauvages en toutes saisons ; - Les fruits, c'est yin ou c'est yang ? ; - La biodynamie côté fruits ; - Crus, cuits, jus, smoothies : variez les plaisirs !
Les plantes médicinales de nos régions : Bourse-à-pasteur, ou Capselle ; Chélidoine, ou Grande éclaire, ou herbe aux verrues
François COUPLAN, AuteurCommune dans les jardins, dans les champs et sur le bord des chemins, la bourse-à-pasteur (Capsella bursa-pastoris) présente des petites fleurs blanches presque toute l'année, et donne des fruits caractéristiques, triangulaires, en forme de cur, renfermant quelques petites graines jaunes. Les propriétés hémostatiques et antihémorragiques de la bourse-à-pasteur sont connues depuis très longtemps. La plante, préparée en décoction, peut être efficace contre les douleurs menstruelles. En Extrême-Orient, si elle est cultivée et vendue sur les marchés, c'est pour ses graines à la saveur piquante, utilisées comme épices. La chélidoine (Chelidonium majus) est, quant à elle, connue pour son suc riche en nombreux alcaloïdes. Appliqué frais et de façon répétée sur la peau, il aide à venir à bout des verrues, cors et durillons, sans léser la peau saine. Utilisée en interne, la chélidoine est également un puissant cholérétique, efficace contre les spasmes abdominaux, les crampes digestives et les problèmes vésiculaires, ainsi qu'un calmant des douleurs hépatiques. L'infusion est toujours préparée à partir de la plante sèche, les feuilles fraîches pouvant provoquer de graves troubles digestifs, nerveux et cardiaques, et la racine étant particulièrement toxique.
Les plantes médicinales de nos régions : Chêne pédonculé ; Eglantier, ou Eglantine, rosier sauvage, rosier des chiens
François COUPLAN, Auteur- Le chêne rouvre (Quercus robur) peut atteindre 30 mètres de hauteur et vivre jusqu'à 1000 ans. Avant d'être donnés aux cochons, ses fruits entraient dans l'alimentation humaine chez plusieurs civilisations. Les glands s'employaient aussi contre le rachitisme. Sa richesse en tanins en fait un puissant astringent, utilisé de nos jours par voie externe pour assainir des tissus lésés, ou en gargarisme contre l'angine chronique et l'inflammation des gencives. L'utilisation par voie interne, sous forme de décoction, est déconseillée au-delà d'une durée de 3 semaines, en raison de sa concentration en tanins ; - L'églantier (Rosa canina), arbrisseau épineux de 2 à 3 mètres de hauteur, est reconnu pour la teneur importante en vitamine C de ses fruits, les cynorrhodons. Un seul de ses fruits renfermerait autant de vitamine C qu'un gros citron... Préparés en général en décoction, en sirop ou en confiture, il est aussi possible, pour profiter pleinement de la vitamine, de les intégrer directement dans l'alimentation.
Les plantes médicinales de nos régions : Ortie, ou grande ortie, ou ortie dioïque ; Myrtille, ou airelle myrtille, ou brimbelle
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, est lauteur de nombreux ouvrages sur les plantes et la nature, dont une encyclopédie en trois volumes. Il organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales. Dans cet article, il présente tout dabord lortie, qui doit son pouvoir urticant à l'histamine et à l'acétylcholine qui provoquent une réaction allergique locale, mais qui possède par ailleurs de nombreuses vertus médicinales. Il présente ensuite la myrtille, riche, entre autres, en tanins et en flavonoïdes. L'auteur donne des informations sur les différentes façons d'utiliser chacune de ces plantes.
Les plantes médicinales de nos régions : Alchémille, ou Alchémille vulgaire, manteau de Notre-Dame, manteau de la Vierge ; Epine-vinette, ou Vinetier
François COUPLAN, AuteurLe genre Alchemilla est très complexe, et l'on en distingue plus d'une centaine d'espèces en France : alchémille glabre, alchémille rampante, alchémille coriace, alchémille brillante, alchémille fendue, alchémille hybride... Riche en tanins, la plante renferme aussi des flavonoïdes, des triterpènes et de l'acide salicylique. L'épine-vinette (Berberis vulgaris) est un arbrisseau touffu, à l'écorce grisâtre, dont les tiges portent des épines. Les fleurs produisent de petits fruits rouges allongés, au noyau mince et pointu. L'auteur, ethnobotaniste, auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente les vertus médicinales de ces plantes et les différentes façons de les utiliser.
Les plantes médicinales de nos régions : Arnica, ou tabac des Vosges, ou bétoine de montagne ; Mélisse, ou citronnelle, ou piment des abeilles
François COUPLAN, AuteurL'arnica (Arnica montana) est efficace contre les contusions, les entorses, les douleurs musculaires et articulaires et accélère la résorption des hématomes. Ce sont ses capitules qui sont utilisées pour la fabrication de la plupart des produits à usage externe : teintures, onguent, huile ou gel. Ce que l'on sait moins, c'est que, sauf en homéopathie, son usage interne peut s'avérer dangereux, car l'arnica n'est pas dépourvu de toxicité. La mélisse, quant à elle, renferme des propriétés anti-spasmodiques, sédatives, digestives et antivirales. Ce sont ses feuilles et sommités fleuries qui sont utilisées, en infusions par exemple, ou en macération. La plante est à la base de la célèbre "Eau des Carmes" élaborée au XVIIème siècle pour faciliter la digestion et apaiser les troubles nerveux. La mélisse peut s'employer en cuisine, et c'est une bonne plante mellifère.
Les plantes médicinales de nos régions : Busserole, ou raisin d'ours ; Bouleau, ou bouleau blanc
François COUPLAN, AuteurSous-arbrisseau rampant à feuillage persistant, la busserole (Arctostaphylos uva-ursi) produit de petits fruits rouges sphériques, à pulpe farineuse, acidulée et astringente. Ses feuilles sont petites, obovales et épaisses, avec une texture coriace et d'aspect luisant, persistantes en hiver. Très riches en tanins, elles ont une teneur importante en hydroquinone, qui en font un antiseptique urinaire efficace (en infusion), sans se substituer toutefois à une consultation médicale. Les petits fruits rouges, eux, seront de préférence cuits pour être consommés, par exemple en compote. Quant au bouleau (Betula pendula), grand arbre élégant reconnaissable à son tronc couvert d'une écorce blanche et lisse, ses feuilles utilisées en infusion sont préconisées contre les inflammations et les infections des voies urinaires, mais aussi contre les calculs rénaux et en complément d'un traitement antirhumatismal. Sa sève est très connue pour ses vertus diurétiques et dépuratives, particulièrement sous forme de cures en fin d'hiver.
Les plantes médicinales de nos régions : Pariétaire, ou Herbe aux galons ; Benoîte, ou Herbe de Saint-Benoît
François COUPLAN, AuteurPlante vivace de 20 à 60 cm de hauteur, la pariétaire (Parietaria officinalis) est présente en France, à l'exception de l'Ouest et du Sud, en Suisse et en Belgique. Cette plante renferme des tanins, du mucilage et des flavonoïdes et elle est particulièrement riche en potassium. Pour bénéficier de ses vertus médicinales (en particulier en direction du système urinaire), la plante doit être utilisée fraîche. La benoîte urbaine (Geum urbanum), quant à elle, pousse souvent dans les lisières des bois et des forêts, parfois dans les décombres. Plante vivace de 30 à 90 cm, ses racines chevelues, d'un brun clair, dégagent au froissement une odeur de clou de girofle caractéristique. Elle est riche en tanins dans toutes ses parties, ce qui lui confère des propriétés astringentes connues depuis longtemps. L'auteur, ethnobotaniste, auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente les vertus médicinales de ces deux plantes, ainsi que les différentes façons de les utiliser.
Les plantes médicinales de nos régions : Pensée sauvage, ou pensée tricolore ; Menthe des champs
François COUPLAN, Auteur- La pensée sauvage (Viola tricolor), cousine de la violette, pousse essentiellement dans les prairies, les champs, les vignes et les décombres. C'est l'une des meilleures plantes dépuratives de nos régions, particulièrement efficace pour lutter contre les maladies de peau : dartres, eczéma, herpès, acné, psoriasis, furonculose, en décoction ou en infusion (il est possible aussi d'en faire un sirop), et en usage externe pour apaiser les éruptions cutanées ; - La menthe des champs (Mentha arvensis), présente à l'état sauvage dans les champs et les chemins de forêts humides, possède une odeur caractéristique, différente de celles de la menthe sylvestre (Mentha longifolia), à l'odeur moins agréable, et de la menthe aquatique (Mentha aquatica). D'une façon générale, les menthes sont de bons stimulants de l'appareil digestif et ont des vertus anti-spasmodiques. Très prisée en tisanes pour ces raisons, la menthe est aussi utilisée en huile essentielle, en respectant les précautions d'emploi.
Les plantes médicinales de nos régions : Sapin, ou sapin blanc ; Valériane, ou herbe à chats
François COUPLAN, AuteurLe sapin, ou sapin blanc (Abies alba), est la seule espèce du genre dans nos régions (France, Belgique). Ses aiguilles, qui renferment une essence aromatique, et la résine contenue dans sa sève en font un expectorant et un antiseptique en cas d'affectations hivernales. Quant à la valériane (Valeriana officinalis), dont on utilise les racines pour lutter contre l'agitation et les troubles du sommeil d'origine nerveuse, plusieurs espèces sont présentes dans nos régions, dans les forêts, les prairies humides, les fossés, des plaines aux montagnes. L'auteur, ethnobotaniste, auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente les vertus médicinales de ces plantes et les différentes façons de les utiliser.
Plantes sauvages comestibles : Cueillir la nature parmi les prés et les bois
Les plantes sauvages sont partout autour de nous et certaines s'invitent dans les jardins. Ce que lon sait moins, cest que nombre d'entre elles sont comestibles. Très riches en nutriments, elles sont de véritables compléments alimentaires, sains et gratuits. Lauteur offre un tour du monde des plantes sauvages comestibles et des traditions de cueillette. Il donne des conseils de récolte pour les cueillir sans dévaster la nature, pour repérer les plantes protégées à ne pas toucher, pour éviter les plantes toxiques, etc. 200 plantes sauvages de nos régions sont ainsi passées en revue et classées par milieux de prédilection : champs, jardins, bords des chemins, bois et forêts, bords des eaux... Cet ouvrage permet dapprendre à les reconnaître, à les récolter et à les cuisiner en 120 recettes originales pour découvrir de nouvelles saveurs (beignets de pousses d'armoise, boutons de pâquerettes au vinaigre, mousse de fleurs de primevères, tartines d'alliaire à l'ortie, flamiche au poireau sauvage...).
Le thé vert japonais : une boisson miracle ?
François COUPLAN, AuteurGrands consommateurs de thé, les Japonais ne boivent cependant que du thé vert. Dès 1211, un moine célèbre dans l'histoire du Japon consacrait un livre aux bienfaits du thé vert pour la santé. A l'époque, le thé était réduit en une poudre très fine, le macha (ou matcha). Au cours des siècles, les techniques de conservation des feuilles de thé ont évolué, notamment en procédant à un passage rapide des feuilles à la vapeur avant séchage, ce qui évite l'oxydation et conserve les arômes. La production du thé vert au Japon est toujours très importante, ainsi que sa consommation. Ses vertus ont été mises en avant par des chercheurs japonais dans les années 1920, en particulier ses propriétés antioxydantes dues à la présence de polyphénols capables de neutraliser les radicaux libres, contrairement au thé noir. La consommation du thé vert au Japon relève d'une tradition ancestrale, et la cérémonie qui l'accompagne est toujours très vivante, bien que, chez les jeunes générations, elle soit quelque peu en perte de vitesse. Si la culture biologique du thé est en nette progression, elle est encore loin d'avoir une place significative sur le marché. Il est d'ailleurs très difficile de trouver des magasins bio au Japon. Larticle présente les différents thés japonais (sencha, bencha, genmaicha, macha ), ainsi que les principales régions de production au Japon.
Les plantes ? 70 clés pour comprendre
Cet ouvrage est une rencontre avec les plantes. Elles font partie de notre quotidien, et pourtant, les connaissons-nous si bien ? Elles sont indispensables à toute vie sur Terre et sont les seules à savoir fabriquer leur propre nourriture. Elles sont capables de résister à des conditions extrêmes grâce à des astuces fascinantes. Certes très lentement, les plantes savent aussi se déplacer. Remarquables par leur taille, leur solidité et souvent par leur longévité, comment les arbres arrivent-ils à faire monter leau et la sève jusquà leur cime ? Un véritable exploit pour les plus grands qui dépassent 100 mètres de hauteur Et les fleurs ? Savons-nous vraiment ce quest une fleur ? La réalité est souvent bien différente de ce que véhicule limaginaire populaire. Quant aux fruits, le langage courant les désigne souvent ainsi à très mauvais escient Et quid des algues, des champignons, des prêles et des fougères : plantes ou pas plantes ? Comment sadaptent-elles à leur milieu ? Quel est le rôle des symbioses, aujourdhui considéré comme primordial dans les relations entre les végétaux, les champignons et lhomme. Cet ouvrage permet de redécouvrir les végétaux nourriciers et guérisseurs que nos ancêtres savaient mettre à profit.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : à la chondrille (Chondrilla juncea) ; au tabouret des champs (Thlaspi arvense) ; à l'ail des vignes (Allium vineale) ; à l'épine-vinette (Berberis vulgaris). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : à l'hélichryse (Helichrysum stoechas) ; à la vesce (Vicia cracca) ; à la passerage de Virginie (Lepidium virginicum) ; à la camarine (Empetrum nigrum). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : à la roquette des vignes (Diplotaxis erucoides) ; au chardon-Marie (Silybum marianum) ; au poirier sauvage (Pyrus pyraster) ; au bois de Sainte Lucie (Prunus mahaleb). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : à la luzerne (Medicago sativa) ; à la marguerite (Leucanthemum vulgare) ; à la scorsonère (Scorzonera hispanica) ; à la rue (Ruta angustifolia). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : au liondent (Leontodon autumnalis) ; à la pâquerette (Bellis perennis) ; à la sarriette (Satureja montana) ; à la groseille à maquereau (Ribes uva-crispa). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : au populage (Caltha palustris) ; au nombril de Vénus (Umbilicus rupestris) ; au scolyme (Scolymus hispanicus) ; à la ronce bleue (Rubus caesius). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : à la massette (Typha latifolia) ; au cirier (Myrica gale) ; à la myrtille (Vaccinium myrtillus) ; au poirier sauvage (Pyrus sylvestris). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Le guide de la survie douce en pleine nature : Pour bien vivre en autosuffisance dans les bois... et chez soi !
De nos jours, notre contexte de vie est généralement urbain, souvent stressant... Passer du temps dans la nature au contact du « sauvage » permet d'apaiser le corps et l'esprit, de retrouver une harmonie. Dans cet ouvrage, l'auteur donne conseils et techniques pour « survivre » en milieu naturel et se familiariser avec un environnement que l'on pense souvent hostile, à tort. Il indique comment bien se préparer avant de partir, quel matériel est nécessaire, quel lieu, quelle saison choisir Il enseigne comment, dans la nature, s'orienter, se déplacer, se nourrir à partir des plantes et champignons comestibles, comment trouver de l'eau, faire du feu pour cuisiner les aliments de base ou se réchauffer, choisir un lieu de bivouac, monter un bivouac... À la maison aussi, il sera possible de vivre en autonomie et au plus près de la nature, et pour cela, l'auteur propose des conseils pour : savoir évaluer ses véritables besoins, avoir une alimentation saine et durable, faire son jardin naturellement, gérer l'énergie dans son habitation, garder le contact avec la nature
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : au conopode (Conopodium majus) ; au cranson (Cochlearia officinalis) ; à l'épilobe (Epilobium angustifolium) ; au fragon (Ruscus aculeatus). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : au chardon Roland (Eryngium campestre) ; au chénopode hybride (Chenopodium hybridum) ; à la matricaire odorante (Matricaria discoidea) ; à l'airelle des marais (Vaccinium uliginosum). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : à la picridie (Reichardia picroides) ; au pin pignon (Pinus pinea) ; au liondent (Scorzoneroides autumnalis) ; à la ronce bleue (Rubus caesius). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : à l'oxyria (Oxyria digyna) ; à la canneberge (Vaccinium oxycoccus) ; au cakilier (Cakile maritima) ; au calament népéta (Calamintha nepeta). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurL'auteur, François Couplan, est ethnobotaniste. Il organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans. Dans cet article, il s'intéresse plus particulièrement : au bouleau (Betula pendula) ; au figuier de barbarie (Opuntia ficus-indica) ; à l'érable (Acer pseudo-platanus) ; à l'onagre (Oenothera biennis). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : à la salsepareille (Smilax aspera) ; à la laitue sauvage (Lactuca serriola) ; au maceron (Smyrnium olusatrum) ; au fenouil (Foeniculum vulgare). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Japon : cuisine et nature
François COUPLAN, AuteurEn dépit de l'actualité (Fukushima) et de l'image qu'ont les occidentaux de la vie au Japon, ce pays est couvert à 20 % par une forêt primaire. Les Japonais y ont conservé une tradition de la cueillette des plantes sauvages et un art raffiné de la cuisine qui intègre la saisonnalité. François Couplan fait ici l'éloge de la cuisine japonaise, présente plusieurs plats et trois recettes utilisant des légumes cultivés et des plantes sauvages.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article, à : La soude (Suaeda maritima) ; La valériane (Valeriana officinalis) ; Le romarin (Rosmarinus officinalis) ; L'arbousier (Arbutus unedo). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse. Il est aussi auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature. Dans cet article, il s'intéresse à : L'asperge sauvage (Asparagus acutifolius) ; Au pourpier (Portulaca oleracea) ; Au poireau sauvage (Allium polyanthum) ; Au panicaut (Eryngium campestre). Après en avoir détaillé les caractéristiques, il indique, pour chacune de ces plantes, comment elle peut être consommée et propose une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article, à : La mâche (Valerianella olitoria) ; L'hysope (Hyssopus officinalis) ; La myrrhe odorante (Myrrhis odorata) ; La lavande (Lavandula angustifolia). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article, à : La betterave maritime (Beta maritima) ; La bourrache (Borago officinalis) ; La mélisse (Melissa officinalis) ; Le raifort (Armoracia rusticana). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article, au Pourpier de mer (Atriplex halimus) ; au rocambole (Allium scorodoprasum) ; à la fraise (Fragaria vesca) ; à la framboise (Rubus idaeus). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurQuatre plantes sauvages sont présentées par François Couplan, qui livre les secrets de leur utilisation culinaire et condimentaire. Au menu : Poivre d'eau (Polygonum hydropiper), gaillet gratteron (Galium aparine), Alkékenge (Physalis alkekengi) et airelle rouge (Vassinium vitis-idaea).
Dossier : Plantes sauvages
François COUPLAN, Auteur ; Claudine LUU, Auteur ; Hélène VATIN, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, consacré aux plantes sauvages, comprend les articles suivants : - Les cueillir et les cuisiner en toute saison ; - Entrons chez un herboriste... ; - Idées de recettes insolites ; - Invitez-les à la maison ; - N'oublions pas les champignons ! ; - Herboriste : un métier en danger d'extinction.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente : La phytolaque (Phytolacca americana) ; La gesse sylvestre (Lathyrus sylvestris) ; Le robinier (Robinia pseudacacia) ; La massette (Typha latifolia). Il décrit ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente : La clématite (Clematis vitalba) ; L'oxalis (Oxalis acetosella) ; Le brocoli sauvage (Cardaria draba) ; Le noisetier (Corylus avellana). Il décrit ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente : Le trèfle (Trifolium pratense) ; L'armoise (Artemisia vulgaris) ; La mûre (Rubus fruticosus) ; L'arolle (Pinus cembra). Il décrit ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, est auteur de nombreux ouvrages sur les plantes et la nature. Il fait, dans cet article, la présentation de l'alisier blanc (arbre de montagne) ; du souchet (plante des lieux humides) ; de la santoline (petit buisson) ; du gaillet vrai (plante portant de petites fleurs jaunes) : origine, lieu d'implantation, propriétés, recettes...
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente : Le silène enflé (Silene vulgaris) ; La chicorée (Cichorium intybus) ; L'aster maritime (Aster tripolium) ; L'amélanchier (Amelanchier ovalis). Il décrit ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente : La ficaire (Ranunculus ficaria) ; Le radis ravenelle (Raphanus raphanistrum) ; Le Douglas (Pseudotsuga menziesii) ; La campanule raiponce (Campanula rapunculus). Il décrit ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
La bio au Mexique
François COUPLAN, AuteurCet article présente l'agriculture biologique du Mexique, pays qui a tenu en 2011 sa deuxième foire agrobiologique nationale, réunissant une quarantaine de producteurs et de transformateurs venus présenter leurs produits alimentaires mais aussi ceux destinés à la production agricole (activateurs de compost, semences certifiées ). Face à la pression des grands groupes producteurs d'OGM, le développement de l'agriculture biologique est, au Mexique, une nécessité pour gagner en indépendance. Aujourd'hui, c'est le pays qui compte le plus de producteurs bio au monde, et ils cultivent environ 2,5 % de la SAU nationale. La majorité de cette production bio est exportée aux États-Unis et en Europe et un gros travail reste à faire pour développer le marché intérieur. Des groupes et instituts d'État travaillent déjà pour développer l'AB pour le peuple, et non plus seulement pour les plus riches.
Les plantes et leurs noms : Histoires insolites
Pour les êtres humains que nous sommes, savoir nommer est essentiel, nous dit François Couplan. Et à travers leur nom, les plantes nous content souvent leur histoire. Celle, par exemple, des pâquerettes dont les fleurs éclosent à proximité des fêtes de Pâques, celle de la berce dont l'apparence "mal léchée" fait penser à un ours (Bär, en allemand), celle aussi de la belladone, d'origine italienne, utilisée pour vivifier le regard des belles femmes (bella donna) ou encore du calice enflé de l'alkékenge qui lui vaut son nom d'"amour en cage". Dans cet ouvrage, avec un langage accessible à tous, l'auteur nous dévoile l'origine des noms communs et botaniques des plantes les plus courantes de nos régions : les plantes sauvages, les légumes, les condiments, les fruits, les plantes ornementales et les autres plantes d'usages divers. Les noms des genres sont documentés, ainsi que ceux des espèces principales. Nul besoin d'être botaniste ou spécialiste pour apprécier l'étymologie des plantes qui nous est ici donnée. Il suffit de s'intéresser au monde végétal, vouloir mettre un nom sur une plante et la laisser nous parler d'elle. Ethnobotaniste, docteur ès Sciences du Muséum national d'histoire naturelle, chevalier de l'Ordre du Mérite agricole, François Couplan enseigne depuis 1975 les utilisations des plantes sauvages sous forme de stages pratiques sur le terrain. A sa formation scientifique, il joint une expérience approfondie de la vie au sein de la nature, qu'il a explorée à travers le monde. François Couplan est l'auteur de nombreux ouvrages sur les plantes et la nature. Il a créé le Collège pratique d'ethnobotanique qui forme à la transmission des savoirs sur les plantes.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurPour nous familiariser davantage avec les plantes sauvages, François Couplan présente, cette fois, la pariétaire (Parietaria officinalis), la salicorne (Salicornia europaea), la benoîte urbaine (Geum urbanum) et la viorne obier (Viburnum opulus), ainsi que leur utilisation possible. Il agrémente chacune des présentations avec une recette de cuisine.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurPour que chacun se familiarise avec les plantes sauvages, François Couplan, ethnobotaniste, fait une présentation de certaines d'entre elles : - La renouée du Japon (Reynoutria japonica) ; - Le lierre terrestre (Glechoma hederacea) ; La lampsane (Lapsana communis) ; - La bryone (Bronia dioica). Pour chacune de ces plantes, il présente, par ailleurs, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente cette fois-ci : Le diplotaxe (Diplotaxis tenuifolia) ; La laitue vivace (Lactuca perennis) ; La fougère aigle (Pteridium aquilinum) ; La menthe (Mentha arvensis). Il décrit ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente cette fois-ci : L'arroche (Atriplex hastata) ; Le sédum (Sedum telephium) ; Le rumex crépu (Rumex crispus) ; La porcelle (Hypochaeris radicata). Il décrit ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan est ethnobotaniste, auteur de nombreux ouvrages sur les plantes et la nature dont une encyclopédie en trois volumes. Il présente la moutarde noire (Brassica nigra), la pulmonaire (Pulmonaria officinalis), la criste-marine (Crithmum maritimun), l'argousier (Hippophaë rhamnoides). Il décrit ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales en Belgique, en France et en Suisse, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente : la petite oseille (Rumex acetosella) ; le sisymbre (Sisymbrium officinale) ; le mélilot (Melilotus officinalis) ; la ronce (Rubus fruticosus). Il décrit ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
La plante sauvage du mois... La camomille matricaire
François COUPLAN, AuteurLa camomille matricaire affectionne le bord des chemins, les jardins, ainsi que tous les lieux fréquemment piétinés où la terre est tassée. Ce sont les capitules de la plante qui dégagent un arôme rappelant l'ananas et le citron. Après un rappel sur ses utilisations (salades, autres plats et boissons), François Couplan, ethnobotaniste, présente la plante, les camomilles (puisque plusieurs plantes partagent le même nom), les propriétés de l'infusion de capitules de camomille : recommandée aux personnes sujettes au manque d'appétit ; très active dans les névralgies, les migraines...
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, et rédige des ouvrages sur les plantes et la nature, permet de se familiariser avec des plantes sauvages. Cet article présente : le sapin (Abies alba) et l'épicéa (Picea abies) ; le serpolet (Thymus serpyllum) ; le tussilage (Tussilago farfara) ; la primevère (Primula spp.). Il décrit chacune des plantes (implantation, apparence, saveur, parties à utiliser...) et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, est l'auteur de nombreux ouvrages sur les plantes et la nature. Pour familiariser chacun avec les plantes sauvages, il présente : - La reine des prés ; - Le rumex alpin ; - Le salsifi des prés ; - Le sureau rouge. Il en fait une description, indique leur lieu d'implantation, leur saveur et, pour chacune d'entre elles, donne une recette de cuisine.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, qui organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, présente cette fois-ci : la stellaire (Stellaria media), le tamier (Tamus communis), le tilleul (Tilia cordata), la véronique (Veronica beccabunga). Il décrit ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, auteur de nombreux ouvrages sur les plantes et la nature, présente plusieurs plantes sauvages (et en particulier leur usage). Le Galinsoga, qui vient d'Amérique du Sud, est parfaitement adapté à nos jardins. Sa saveur de topinambour en fait un excellent légume. L'épiaire des bois, cousine de la menthe, ressemble plutôt à une ortie ; ses fleurs, en revanche, possèdent les deux lèvres caractéristiques de la famille des Labiées. Les feuilles dégagent une odeur de fond des bois qui se transforme, graduellement, lorsqu'on les froisse, pour évoquer le cèpe. Pour deux des espèces de camomille : la camomille allemande (M. recutica) et la camomille matricaire (M. discoidea), sont employés, en particulier, les capitules aromatiques (plats salés ou sucrés, apéritifs). Les nombreuses espèces de camomilles sont anti-inflammatoires et antispasmodiques. Le néflier vient du Moyen-Orient. Pour consommer les nèfles (à ne pas confondre avec les "bibaces", fruits du néflier du Japon), il faut attendre qu'elles soient devenues blettes, c'est-à-dire très mûres et ramollies. Elles sont très nourrissantes. On les mange telles quelles ou l'on en prépare des compotes, des confitures et du vin. Des recettes accompagnent chacune des présentations de plantes.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur les plantes et la nature. Il présente, dans cet article, le châtaignier (l'un des plus grands arbres des forêts), ainsi que la consommation de la châtaigne ; le panais (plante bisannuelle), sa racine, appréciée depuis des millénaires, la comestibilité de ses feuilles ; la barbarée (plante aux feuilles découpées en folioles), la barbarée printanière (aux feuilles piquantes) et la barbarée vulgaire (aux feuilles amères) ; le sorbier des oiseleurs (fruitier montagnard), l'usage cosmopolite de ses fruits. Chaque plante sauvage présentée est accompagnée d'une recette de cuisine.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, organise des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur les plantes et la nature. Après une brève description de chacune des plantes sauvages suivantes, François Couplan en indique les caractéristiques particulières : - La pimprenelle (sur les talus ensoleillés ; un condiment oublié ; contre les écoulements de sang) ; - Le plantain (il aime qu'on le piétine... ; trois espèces voisines aux vertus semblables ; des saveurs sauvages ; un remède miracle !) ; - Le sureau (le sureau noir, ami de l'homme ; des fleurs odorantes ; un arbre fruitier oublié ; le rouge et le noir) ; - La tanaisie (une bonne odeur au bord des chemins ; un parfum de "Chartreuse" ; en vogue au XVIème siècle ; utile mais attention !). Par ailleurs, des recettes à base de ces plantes sont proposées.
La problématique des plantes médicinales
François COUPLAN, AuteurLes plantes médicinales issues de divers continents font l'objet d'une exploration systémique par de grandes firmes pharmaceutiques, des universités et d'autres organismes avec, à la clé, le dépôt d'un brevet et la commercialisation de nouveaux médicaments En même temps que grandit l'intérêt populaire pour la médecine des plantes, se développe, dans les milieux scientifiques, un curieux phénomène de suspicion envers les végétaux. Si les plantes médicinales possèdent des effets sur l'organisme et peuvent provoquer des dérèglements physiologiques (prises en excès ou mal à propos), l'information, l'éducation et la formation du public représentent le moyen de minimiser les dangers existants. Aujourd'hui, l'AFSSAPS (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) a réuni plusieurs plantes sur la liste 2 des plantes médicinales dont l'évaluation bénéfice-risque est jugée négative. Cependant, près de 80 % des habitants de la planète n'ont pas accès à la pharmacie « moderne ». Dans de nombreux pays, la majorité de la population, toujours croissante, a donc recours aux végétaux pour se soigner. Cependant, si on reconnaît dans le monde plus de trente-cinq mille espèces de plantes médicinales, dont les deux tiers proviennent de la cueillette dans la nature, plusieurs milliers sont menacées d'extinction en raison d'un usage abusif... Le marché des plantes médicinales est évalué à 1,2 milliard d'euros et progresse de 8 % par an.
L'aubépine épineuse
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste et auteur de nombreux ouvrages sur les utilisations des plantes et sur la nature, s'intéresse cette fois-ci à l'aubépine épineuse (Crataegus laevigata). Il aborde notamment les utilisations possibles (culinaires, médicinales) de ses feuilles, de ses fleurs, de ses fruits.
Le cerfeuil musqué
François COUPLAN, AuteurLe cerfeuil musqué, le mal nommé, car son odeur est suave et douce, dégage un arôme anisé. Après une description des lieux où pousse cette ombellifère, dont le nom botanique est Myrrhis odorata, François Couplan, ethnobotaniste, donne des indications sur les utilisations de la plante qui parfume notamment, après infusion de ses feuilles, les boissons et les desserts. Dans le Nord de l'Europe, les feuilles sont utilisées comme condiment dans les soupes, les sauces de salade ou les légumes. Les racines tendres se mangeaient jadis crues, hâchées dans les salades ; les jeunes tiges florales se coupent en tronçons que l'on déguste comme de véritables bonbons... Il est facile de transplanter un pied ou de semer de grosses graines noires de cerfeuil musqué dans les jardins.
Cuisine sauvage : Accommoder mille plantes oubliées
Les plantes sauvages comestibles reviennent en force dans nos assiettes. Ces végétaux, cadeaux de la nature, offrent de nouvelles saveurs et représentent une mine extraordinaire de nutriments : il s'agit de véritables "alicaments", nourrissants et gratuits ! "Cuisine sauvage", second volume, traite des plantes les plus intéressantes de notre flore européenne, classées selon la partie de la plante utilisée, afin d'en faciliter l'usage culinaire. Ce livre présente plus de 300 recettes : générales (pour chaque partie de la plante) et particulières (pour certaines espèces de haute qualité gustative). "Cuisine sauvage" est divisé en 12 sections : - Graines et noix (oléagineuses et farineuses) ; - Racines ; - Feuilles crues en salade ; - Feuilles cuites en légumes ; - Jeunes pousses et tiges (crues et cuites) ; - Condiments et épices ; - Conserves au vinaigre ; - Plantes pour lactofermentation ; - Fleurs et boutons floraux ; - Fruits (sucrés et en légumes) ; - Divers (écorces, gommes, résines, plantes à confire, présures, succédanés du sel, colorants) ; - Boissons tisanes, thés, succédanés du café, boissons froides et sirops, jus de fruits, sèves, boissons fermentées, vinaigre, liqueurs). Cet ouvrage est un des 3 volumes (les 2 autres s'intitulent "Le Régal végétal" et "Les belles vénéneuses") de l'"Encyclopédie des plantes sauvages comestibles et toxiques de l'Europe".
La plante sauvage du mois... L'angélique
François COUPLAN, AuteurL'angélique, créditée jadis des plus hautes vertus, stimule l'organisme, ouvre l'appétit, facilite la digestion... L'angélique officinale (Angelica archangelica) est originaire du nord de l'Europe ; l'angélique sylvestre (Angelica sylvestris) pousse à l'état sauvage. Après un bref rappel historique sur l'angélique, François Couplan, ethnobotaniste et auteur de nombreux ouvrages sur les utilisations des plantes et sur la nature, évoque comment les tiges, les jeunes pousses, les feuilles développées de l'angélique, les fleurs et les fruits peuvent être employés en cuisine (légume ou condiment, aromate). L'article est accompagné d'une recette de cuisine.
La plante sauvage du mois... La berce spondyle
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, fait une présentation de la berce spondyle, surnommée "patte d'ours" ou "herbe-à-lapins". La berce est un excellent légume : les jeunes feuilles s'ajoutent aux salades, les feuilles (une fois développées) se consomment cuites, la jeune tige a notamment une délicieuse odeur de mandarine, les fruits forment l'un des condiments sauvages les plus intéressants. Les racines de la plante ont les mêmes vertus que le célèbre ginseng. La consommation régulière de la berce régénère les organismes fatigués.
La plante sauvage du mois... La bistorte
François COUPLAN, AuteurLa bistorte (Polygonum bistorta) doit son nom à son gros rhizome charnu (qui contient beaucoup de tanin). Les feuilles de bistorte sont nettement meilleures et forment un très bon légume, jadis bien connu des gens de la montagne. Elles ne peuvent être mangées crues, ajoutées aux salades, que lorsqu'elles sont très jeunes, mais on peut ensuite les faire cuire de diverses manières. La bistorte est une cousine de la rhubarbe et des "patiences" qui ponctuent les champs. Toutes ces plantes renferment des oxalates de calcium qui peuvent, en grande quantité, se montrer irritants pour l'organisme. Ces plantes sont donc à consommer avec modération. Une recette de cuisine est proposée.
La plante sauvage du mois... Le Bon-Henri
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, présente le Bon-Henri (Chenopodium bonus-henricus). Le terme d'"épinard sauvage" est fréquemment employé pour désigner la plante. Sa forme et la sensation causée à son contact sont décrites. Par ailleurs, des indications sont données concernant la consommation des feuilles. Très jeunes, elles peuvent se manger crues dans les salades, mais se font plus souvent cuire de diverses manières comme les épinards. Les inflorescences vertes qui terminent les tiges sont comestibles lorsqu'elles sont jeunes. Légèrement cuites à la vapeur, les "asperges" de Bon-Henri sont très bonnes. Une recette de cuisine est proposée. Le chénopode Bon-Henri est l'un des meilleurs légumes sauvages (rustique, vivace, très productif, remarquable valeur nutritive).
La plante sauvage du mois... La bourrache
François COUPLAN, AuteurLa bourrache est une plante ornementale appréciée aux vertus médicinales reconnues. Mais c'est également un légume qui ne manque pas d'intérêt. François Couplan, ethnobotaniste, fait une description de ses fleurs remarquables, ainsi que de ses toutes jeunes feuilles (qui peuvent être incorporées aux salades...) et donne des indications sur les propriétés de la bourrache (la bourrache contient des mucilages - substances végétales composées de pectines, du tanin, de la saponine...).
La plante sauvage du mois... La cardamine des prés
François COUPLAN, AuteurLa cardamine des prés se propage sur les prés riches et humides. Son nom botanique, Cardamine pratensis, dérive du grec Kardamon. François Couplan, ethnobotaniste, fait la description des fleurs, feuilles, boutons floraux de cette plante sauvage, en indique les emplois : emploi des boutons floraux comme condiments, addition des feuilles aux salades. L'essence contenue dans la cardamine tonifie l'organisme, stimule la digestion... Toutefois, une consommation immodérée de cardamine crue pourrait être dangereuse. La cardamine renferme également d'importantes quantités de vitamine C et on la considère comme un bon antiscorbutique.
La plante sauvage du mois... La carotte sauvage
François COUPLAN, AuteurLa carotte sauvage (Daucus carota), plante bisannuelle, est l'ancêtre de la carotte qui pousse au jardin. François Couplan, ethnobotaniste, décrit la carotte sauvage (racine charnue, blanche ou parfois violette... non croquante) et indique le moment de récolte de sa racine (entre la fin de la première année et le début de la 2ème année de la vie de la plante). Cependant, ce qui fait l'intérêt de cette plante ce sont ses fruits, délicieux condiments qui parfument salades de fruits et desserts. Une recette est proposée.
La plante sauvage du mois... Le cormier
François COUPLAN, AuteurNatif des bois clairs du sud de l'Europe, le cormier était jadis fréquemment planté dans les haies. Le cormier est un arbuste de quelques mètres pouvant devenir un arbre majestueux. François Couplan, ethnobotaniste, fait une description des feuilles, des fleurs et des fruits du cormier (en forme de poire, nommés cormes ou sorbes). Les cormes peuvent être ramassées blettes au pied de l'arbre. Elles s'emploient crues, entières, en compotes ou cuites. Elles contiennent des sucres simples, de la pectine, de la vitamine C, du sorbitol... Le bois du cormier était également fort utilisé.
La plante sauvage du mois... Le lamier tacheté
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, fait une description du lamier tacheté (feuilles, fleurs), donne des indications sur l'origine du mot et précise comment accommoder en cuisine chacune des parties de la plantes : les jeunes pousses feuillues peuvent être ajoutées crues aux salades, les feuilles forment un bon légume, les fleurs décorent les salades... En outre, la plante renferme du tanin, du mucilage, des glucosides... ; les feuilles et les sommités fleuries ont des vertus astringentes.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan connaît à la perfection les plantes sauvages nommées encore parfois "mauvaises herbes". Dans cet article, sont présentés : le cirse potager, le cornouiller mâle, le genévrier, le laiteron. Chacune des plantes sauvages est décrite selon son origine, ses parties comestibles (feuilles, fruits...) : une recette de cuisine par plante est proposée.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, propose de mieux connaître et de mieux apprécier des plantes sauvages, encore parfois appelés "mauvaises herbes" : la cardamine des prés, le cresson, le houblon, le lamier blanc. Il décrit les plantes, présente notamment leurs saveurs et leurs utilisations particulières et, pour chacune d'elle, une recette de cuisine.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, propose de mieux connaître et de mieux apprécier des plantes sauvages, encore parfois appelées "mauvaises herbes" : la berce, la carotte sauvage, le chénopode blanc, l'origan. Il décrit les plantes, présente les particularités de l'une ou l'autre (propriétés, saveurs, culture...) et, pour chacune des plantes, indique une recette cuisine.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurLe huitième volet de la rubrique consacrée aux plantes sauvages, celles qu'à tort, on nomme encore parfois "mauvaises herbes" présente le carvi, la consoude, le coquelicot, le cormier. Le carvi est dans tous les prés des montagnes (récolte de sa racine charnue, grains utilisés pour parfumer les fromages, choucroute...) ; la consoude (amie de l'humidité, racine médicinale, toxique ou non ?) ; le coquelicot (fleur des moissons, bonnes rosettes méconnues, fleurs dans les plats...) ; le cormier (arbre fruitier du temps passé, exotisme à notre porte, arbres des montagnes...). Pour chacune des plantes est présentée une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurPrésentation de différentes plantes : - L'églantier ou Rosa canina (un rosier sauvage, de jolies fleurs sans odeur, les cynorrhodons, la sauce tomate sauvage) ; - La gentiane ou Gentiana lutea (la reine des alpages, une racine amère et parfumée, ne pas confondre la grande gentiane avec le vérâtre - Veratrum album) ; - Le hêtre ou Fagus silvatica (l'un des plus beaux arbres de nos forêts, de quoi remplir des saladiers !, un arbre à huile des temps passés, de bonnes pousses) ; - La mauve ou Malva sylvestris (de belles fleurs au bord des chemins, un légume doux et tendre, décorations comestibles, dans les prés en montagne). Pour chacune de ces plantes, est également décrite une recette.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurCet article est le dixième de la rubrique, qui a pour but de familiariser le lecteur aux plantes sauvages. Les plantes présentées sont le millefeuille (Achillea millefolium), l'oseille des prés (Rumex acetosa), le prunellier (Prunus spinosa) et la raiponce (Phyteuma spicatum). L'article décrit ces plantes, ainsi que leurs différents usages. Par ailleurs, comme elles sont toutes comestibles, une recette de cuisine accompagne chacun des quatre paragraphes.
Quelle place pour les plantes urbaines ?
François COUPLAN, AuteurPour François Couplan, il semble préférable, plutôt que de détruire les plantes sauvages qui poussent en ville, de mieux les approcher pour mieux les connaître... En effet, bien des plantes de l'espace urbain sont bourrées de vertus qu'il est possible d'apprécier. Il n'est pas conseillé de consommer les plantes sauvages poussant au bord des trottoirs ou en bordure d'un axe fréquenté, mais certains coins des Bois de Boulogne ou de Vincennes, ainsi que diverses friches banlieusardes sont propices à la cueillette. François Couplan fait une description de ces plantes qui, pour la plupart, font partie des espèces rudérales (c'est-à-dire qui poussent dans les décombres), des lieux où elles vivent et se reproduisent (parcs, plates-bandes...), des capacités de certaines de ces plantes à s'adapter ou à résister aux herbicides... Il fait ainsi mention de la bryone, du pourpier, du laiteron, de la mercuriale, de l'amaranthe, du plantain moyen, des porcelles, de la benoîte..., des pariétaires, chélidoines et morelles noires... La biodiversité est maximale dans les terrains vagues, les friches et les décombres. C'est là que les plantes sauvages prospèrent et prennent refuge. Il s'agit d'une végétation variée composée d'arbrisseaux, d'arbustes, d'arbres : millepertuis et millefeuille, armoise et ambroisie, tanaisie et réséda ; ronces et églantiers, buddleia ; sureau et prunellier ; tremble, bouleau ou robinier...
L'ail des ours
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste et auteur de nombreux ouvrages sur les utilisations des plantes et sur la nature, s'intéresse cette fois-ci à l'ail des ours (Allium ursinum). Il en fait notamment une présentation, et en donne ses utilisations en cuisine et ses propriétés.
Le carvi
François COUPLAN, AuteurEthnobotaniste et auteur de nombreux ouvrages sur les utilisations des plantes et sur la nature, François Couplan présente ici le carvi (Carum carvi), aussi nommé "cumin des prés". Cette petite ombellifère qui figure parmi les nombreuses herbes des pâturages subalpins était jadis récoltée pour sa racine charnue, au goût agréable, qui se consomme crue ou cuite à la façon des carottes. Les feuilles sont aussi comestibles, mais ce sont surtout ses fruits (petits grains oblongs) que l'on utilise pour parfumer les fromages, la choucroute, les pains et pâtisseries, des liqueurs (par exemple le Kümmel germanique).
L'épicéa
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste et auteur de plusieurs ouvrages sur les utilisations des plantes et sur la nature, présente l'épicéa, comment le distinguer du sapin (on confond parfois les deux) et l'utilisation que l'on peut faire de ses jeunes pousses fraîchement sorties de leurs bourgeons qui apparaissent au printemps à l'extrémité des rameaux (elles peuvent être ajoutées crues aux salades printanières, on peut en faire des infusions).
Petit Larousse des Plantes Médicinales
François COUPLAN, Auteur ; Gérard DEBUIGNE, Auteur | PARIS CEDEX 06 (21 Rue du Montparnasse, 75 283, FRANCE) : ÉDITIONS LAROUSSE | 2009Ce livre offre une sélection de 300 plantes médicinales à découvrir pour se soigner sans danger (toutes les plantes vraiment dangereuses ont été écartées) et donne des repères : - Apprendre à les connaître : toutes les parties de la plante fraîche sont dévoilées sur des planches photographiques, afin de faciliter son identification avant la cueillette ; - Découvrir toutes les "recettes" et apprendre à préparer soi-même ses remèdes (décoctions, tisanes, sirops, etc.). Ainsi, pour chaque plante, sont définis : ses caractéristiques botaniques et son histoire, ses principaux constituants actifs, ses propriétés thérapeutiques, comment la préparer pour un usage interne (infusions, vins) ou externe (lotions, cataplasmes, etc.).
La plante sauvage du mois... La bourse-à-pasteur
François COUPLAN, AuteurLa bourse-à-pasteur (Capsella busapastoris) est une "mauvaise herbe" fréquente dans les jardins, les champs et les prés. Les rosettes, les sommets des tiges, les fruits, ainsi que la racine sont comestibles. Le bourse à pasteur a une action favorable sur la circulation sanguine. Une recette de cuisine accompagne l'article.
La plante sauvage du mois... La consoude
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste et auteur de nombreux ouvrages sur les utilisations des plantes et sur la nature, évoque la consoude. La plante médicinale est vantée pour ses mérites (fourrage apprécié des animaux, ornementale décorative, engrais naturel, légume à découvrir). L'article fait mention de l'aspect, des propriétés de la plante et des façons de l'accommoder en cuisine.
La plante sauvage du mois... Le cornouiller mâle
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan est ethnobotaniste et auteur de nombreux ouvrages sur les utilisations des plantes et sur la nature. L'article consacré au cornouiller mâle (à ne pas confondre avec le cornouiller sanguin) fait une description des feuilles et des fleurs de l'arbuste, ainsi que de son fruit : la cornouille. Les cornouilles sont d'abord vertes, puis passent successivement par différentes couleurs : orange (à ce stade, fruits jadis utilisés comme des olives), rouge clair (on peut en faire des compotes...), puis rouge foncé. C'est à ce dernier stade qu'elles sont bonnes à déguster crues.
La plante sauvage du mois... Le houblon
François COUPLAN, AuteurFréquent dans les lieux frais, les haies, les lisières et les bords de rivières, le houblon est une plante grimpante vivace de plusieurs mètres de longueur qui se développe sur la végétation avoisinante. La plante est décrite, puis des indications sont données sur la consommation des jeunes pousses, sur l'arôme du houblon servant à parfumer différentes boissons, ainsi que sur les propriétés des cônes de houblon.
La plante sauvage du mois... La mauve sylvestre
François COUPLAN, AuteurLa mauve sylvestre est une grande plante bisannuelle ou vivace. Après sa description, sont détaillés l'emploi des jeunes feuilles et des fleurs en cuisine, une recette de cuisine, ainsi que ses principales propriétés thérapeutiques (adoucissante, expectorante, laxative...).
La plante sauvage du mois... : Le pourpier
François COUPLAN, AuteurEthnobotaniste et auteur de nombreux ouvrages sur les utilisations des plantes et sur la nature, François Couplan présente ici le pourpier (Portulaca oleracea). Il existe plusieurs variétés de pourpier cultivé, mais on en connaît surtout le "pourpier doré à larges feuilles", la seule que l'on trouve dans le commerce. Toute la plante se consomme : tiges et feuilles sont croquantes, charnues et mucilagineuses et ont une saveur douce et acidulée. Elle est le plus souvent consommée en salade, même si elle est également bonne cuite. François Couplan présente aussi des propriétés médicinales de la plante.
La plante sauvage du mois... : Le serpolet
François COUPLAN, AuteurSouvent nommé à tort "thym", le serpolet (Thymus serpyllum) est un cousin du véritable thym (Thymus vulgaris), sauvage dans le Midi de la France et couramment cultivé dans les jardins. Il existe plusieurs espèces et sous-espèces voisines, toutes odorantes mais de façon bien différente, généralement regroupées sous ce nom. La plante vivace (qui se rencontre communément sur les talus secs, sur les rochers ou au bord des chemins) est décrite, ainsi que ses utilisations (feuilles et sommités fleuries, parfumées, sont ajoutées aux salades, aux légumes... ; infusions) et ses propriétés (tisanes pour stimuler l'organisme ; essence extraite par distillation très caustique provoquant des rougeurs, des brûlures).
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, dans cette nouvelle rubrique, présente plusieurs plantes sauvages, certaines que l'on nomme encore parfois "mauvaises herbes", afin que l'on apprenne à mieux les connaître et à mieux les apprécier : l'ail des ours (Allium ursinum), l'égopode (Aegopodium podagraria), l'aspérule (Galium odoratum), l'ortie (Urtica dioica). Pour chacune, il en donne une petite description, les diverses utilisations possibles (cuisine, médecine,...) et des recettes.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan présente plusieurs plantes sauvages comestibles : l'amaranthe (Amaranthus retroflexus), la bistorte (Polygonum bistorta), le Bon-Henri (Chenopodium bonus-henricus), le cerfeuil musqué (Myrrhis odorata). Les présentations sont agrémentées de recettes utilisant ces plantes.
Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan présente plusieurs plantes sauvages comestibles : l'angélique (Angelica sylvestris), l'aubépine (Crataegus monogyna), la bardane (Arctium lappa), le chêne (Quercus robur). Les présentations sont agrémentées de recettes utilisant ces plantes.
La reine-des-prés
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan présente la reine-des-prés (Filipendula ulmaria), ses utilisations (notamment en cuisine) et ses propriétés médicinales : les feuilles et les fleurs sont utilisées contre la fièvre, les rhumatismes et les refroidissements, elles sont aussi sudorifiques et calmantes. La plante renferme une substance, le salicylate de méthyle, et, une fois sèche, elle contient de l'acide salicylique, dont a été tiré l'acide acétylsalicylique, c'est-à-dire l'aspirine.
La nature nous sauvera : Réponses préhistoriques aux problèmes d'aujourd'hui
Pour François Couplan, la nature sauvage est un immense garde-manger, et non un mélange de mauvaises herbes et de plantes vénéneuses. Sa vision du monde en est imprégnée. Devenu docteur ès-sciences et premier spécialiste mondial des plantes sauvages comestibles, François Couplan prouve que l'on peut vivre en s'en nourrissant. En contact avec les cultures les plus anciennes, il développe une solution choc pour sortir de la crise écologique : un art de vivre "paléolithique". Il ne s'agit pas de retourner dans les cavernes, mais de saisir l'intérêt à aimer la nature spontanée. Parmi les premiers à l'avoir compris, certains grands cuisiniers, tels Marc Veyrat, sont devenus les amis de l'étonnant voyageur et n'hésitent plus à introduire des plantes sauvages dans leurs créations culinaires. L'ouvrage invite à revenir aux sources d'une alimentation proposée comme idéale et intégrant cette nature sauvage.
La plante sauvage du mois... L'alliaire
Après une description de l'alliaire, il est fait état des qualités, des usages possibles et des conditions de récolte de ses feuilles, de ses fleurs et des nombreuses graines contenues dans ses fruits. Quatre saveurs des feuilles sont particulièrement évoquées dont l'amertume.
La plante sauvage du mois... L'amarante
Après une évocation des origines de l'amarante et des régions où elle est régulièrement consommée, des informations sont apportées sur la manière d'apprêter la plante (tiges, feuilles, jeunes inflorescences), ainsi que les graines. Il est également fait mention de ses principales vertus : riche en protéines, en vitamines A et C et en sels minéraux...
La plante sauvage du mois... Le cirse potager
François COUPLAN, AuteurLe chardon peut être consommé. Le meilleur est le cirse potager (cirsium oleraceum) car c'est le seul qui ne pique pas. L'auteur en fait une description, indiquant la possibilité de déguster ses racines, ses feuilles et ses tiges. Il donne également une recette de cuisine.
La plante sauvage du mois... L'égopode
L'égopode, qui compte parmi les meilleurs légumes sauvages, est une plante vivace. Après sa description détaillée, l'article revient sur son histoire, son usage en cuisine, ses vertus thérapeutiques et indique quelques précautions à prendre au moment de sa cueillette.
La plante sauvage du mois... Le millefeuille
Quelques détails sont apportés sur l'origine du nom et la forme du millefeuille. Les feuilles de cette plante vivace ont des propriétés cicatrisantes et sont utilisées en cuisine. Autrefois, certaines de ses composantes pouvaient servir à aromatiser ou conserver certains alcools.
La plante sauvage du mois... L'ortie
François COUPLAN, AuteurAprès une description de l'ortie, sont rappelés les usages possibles en cuisine, la manière de profiter au mieux de sa saveur (cueillette des jeunes pousses) et ses qualités nutritionnelles (richesse en protéines complètes, en fer...).