Détail de l'auteur
Auteur J. HUCHETTE |
Documents disponibles écrits par cet auteur


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Les auxiliaires, des amis qui vous veulent du bien
Tous les ravageurs de la vigne ont leurs ennemis naturels. Reste à mieux les connaître pour mieux les protéger et pouvoir bénéficier de leur rôle régulateur. Ce dossier, consacré aux auxiliaires, est composé de différents articles : - Lutte biologique : Il n'y a pas que les typhlodromes ! - Les différents types d'auxiliaires : Les parasitoïdes et les prédateurs. - Lutte contre les cochenilles : La lutte biologique porteuse d'espoirs. - Découverte de parasitoïdes de Scaphoideus titanus : Auxiliaire exotique contre la flavescence dorée.
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Biodynamie : A quelle dose d'irrationnel êtes-vous prêt ?
Il y a les convaincus, les sceptiques et les absolus réfractaires. Les uns invitent à une "véritable compréhension de la vie", les autres rejettent ce qu'ils dénoncent comme étant de l'obscurantisme. Qui sont ces viticulteurs biodynamistes qui reçoivent les honneurs des guides des vins et qui comptent parmi eux de très grands noms ? Des farfelus, des prosélytes d'une théorie jugée par certains fumeuse voire dangereuse, des marketeurs accomplis ou de fins observateurs d'une nature qui n'a pas fini de dévoiler tous ses secrets ? Ils ne sont pourtant pas nombreux mais savent faire parler d'eux.
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Changements climatiques : Que réserve l'avenir ?
Le climat se réchauffe, mais que sait-on exactement sur les véritables causes de cette évolution ? Loin des propos parfois alarmistes, les scientifiques invités à Felscope ont tenté de répondre aux interrogations. Les certitudes s'effondrent. Restent les hypothèses, plus ou moins optimistes...
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Cuivre : des doses toujours plus faibles
Le cuivre peut se présenter sous différentes formes chimiques : hydroxyde de cuivre, oxychlorure de cuivre, oxyde cuivreux, sulfate de cuivre (aussi appelée bouillie bordelaise), etc... Pour lutter contre le mildiou, les nouveaux produits cupriques sont plus performants avec des doses de matière active de plus en plus réduites. Mais le cuivre s'accumule dans les sols et y entraîne un effet dépressif sur la vie micro-biologique ; dans le cadre de la réévaluation des matières actives, qui aura lieu en 2008 pour le cuivre, ce produit pourrait disparaître, ce qui aurait de lourdes conséquences pour la viticulture en général, et la viticulture biologique en particulier. Toutefois, il est possible qu'au terme de cet examen, son utilisation soit autorisée sur dérogation. Ce sera peut être le cas pour la viticulture avec nécrose bactérienne et pour la viticulture biologique avec le mildiou.
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Cuivre et flore du vignoble : Le "bio" sélectionne les levures
L'IUT et l'ITV de Colmar ont réalisé des essais pour évaluer l'influence des traitements phytosanitaires sur les souches de levures présentes au vignoble. Quatre modalités ont été testées, et il ressort que les traitements continus à base de cuivre favorisent l'apparition d'une souche de levure qui se distingue nettement de celles issues de stratégies plus conventionnelles. Compte-rendu.
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Les mauvaises herbes sont utiles !
Les adventices sont des bio-indicatrices. Présentes dans les parcelles de vigne ou leurs abords, elles fournissent une multitude d'informations sur le milieu et sur l'état du sol. Aujourd'hui, 150 plantes connues peuvent servir en tant que bio-indicateurs, une soixantaine se développe dans les vignobles.
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Les OGM aux portes des chais
Le problème est soulevé depuis une dizaine d'années, les OGM ne sont pas encore dans les caves, mais les choses pourraient s'accélérer. Avec certaines rumeurs qui font état d'avancées politiques probables en faveur des OGM, l'Organisation internationale de la vigne et du vin devrait faire des OGM en viticulture et oenologie un thème phare de son assemblée générale. En France, l'Union des oenologues parle de lancer dans les prochains mois une vaste enquête auprès de ses adhérents pour savoir s'ils sont prêts à utiliser des MGM, microorganismes génétiquement modifiés. Pour l'heure, alors que les scientifiques affirment que les choses ont évolué, l'INAO et des associations de vignerons invoquent le principe de précaution. Analyse dans ce dossier, avec trois articles : - Levures et bactéries génétiquement modifiées : MGM : état des lieux, - Santé, Environnement : Faut-il avoir peur ? , - Produits issus d'un procédé MGM : Les enzymes "purifiées".
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Opérations en vert : gare aux effets secondaires
Eclaircissage, effeuillage, ébourgeonnage et rognage, les opérations en vert peuvent avoir des effets secondaires à l'opposé de ce que l'on recherche. Alors qu'un effeuillage modéré ne semble pas avoir d'influence sur la vigne, l'éclaircissage manuel peut, dans certaines conditions, donner lieu à des phénomènes compensatoires l'année même, mais également les années suivantes. Réussir Vigne expose dans ces deux pages les conséquences de ces opérations en vert.
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Le sol, cet inconnu...
Le sol ne bénéficie pas de toutes les attentions qu'il mériterait. Sa connaissance permet pourtant de faire des économies. Trop compliqué, trop cher, résultats d'analyses trop lents et trop variables : tels sont les arguments mis en avant pour expliquer ce manque d'intérêt. Pourtant, connaître son sol est un outil indispensable pour raisonner la plantation, le travail du sol et la fertilisation. Réussir Vigne propose ainsi un dossier de six pages pour expliquer l'intérêt des profils et des analyses.
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Travail du sol, la troisième voie
Les restrictions croissantes d'utilisation des herbicides, et le développement de l'enherbement amènent une part croissante de viticulteurs à opter pour le travail mécanique pour l'entretien de leur sol. Ce dossier fait donc le point sur le sujet, en abordant successivement les étapes à respecter pour progressivement abandonner les produits chimiques, les différents outils disponibles et leurs conditions d'utilisation, inter-rangs ou interceps.