Détail de l'auteur
Auteur Jean-Luc PETIT |
Documents disponibles écrits par cet auteur (117)


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Guide technique : Produire des petits fruits biologiques
Jean-Luc PETIT, Auteur ; Philippe PIARD, Auteur ; Marc MIETTE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2023
Le guide technique "Produire des petits fruits biologiques", édité par l'ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques), a pour objectif dêtre l'ouvrage de référence sur la production de petits fruits et leur transformation en agriculture biologique. Il s'adresse aux producteurs, qu'ils soient déjà en agriculture biologique ou quils envisagent de s'y convertir, aux candidats à l'installation, mais également aux conseillers agricoles, aux techniciens, aux enseignants et aux étudiants. Il prend en compte la richesse et la diversité du métier et intéresse tant le producteur spécialisé en petits fruits que celui qui souhaiterait se diversifier avec un atelier de production, voire de transformation. Il est basé sur l'expertise d'ingénieurs et de producteurs et sur la synthèse de la plupart des fiches techniques, des articles scientifiques et des ouvrages existant à ce jour, en France et en Europe, sur la production de petits fruits biologiques. Ce guide de production détaille 6 espèces principales (framboise, fraise, cassis, groseille à grappes et à maquereau, mûre, myrtille) et 4 espèces de diversification (grenadier, aronia, goji, sureau noir).
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Des médecines douces pour vos fruitiers : Phytothérapie, homéopathie, aromathérapie...
Les ennemis des fruits sont nombreux et le « zéro traitement » a ses limites, si lon veut être sûr davoir des arbres en bonne santé et obtenir de belles récoltes. Ce livre a pour objectif de donner au jardinier les clés pour traiter le plus naturellement possible les fruitiers. Différentes possibilités soffrent ainsi au jardinier pour soigner les arbres fruitiers en utilisant des médecines douces : extraits de plantes, argiles, macérats, homéopathie, gemmothérapie, isothérapie, huiles essentielles, kanné, neem, thé de compost, EM, LiFoFer, élixirs floraux Les procédés utilisés pour les fabriquer sont simples, économiques, bien expliqués, avec de nombreuses photos : séchage à température ambiante, extraction par pression, dissolution dans leau (décoctions, infusions, macérations) ou dans lalcool, distillation par la vapeur deau, etc. Les modes dadministration sont également détaillés.
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Introduire de lélevage dans les vergers
Jean-Luc PETIT, AuteurLassociation darbres (ou vignes) et d'élevage est devenue rare. Cependant, elle offre de nombreux avantages (tonte de lenherbement, destruction des formes hivernantes de ravageurs ou de maladies, lutte contre le campagnol, fertilisation ) et revient aujourdhui au goût du jour. Cet article fait le point sur les motivations (aspects sanitaires, gestion de lherbe, amendement du sol, motivation philosophique, plaisir de travailler avec des animaux ) et les freins rencontrés (attaque des écorces, surcharge de travail, aménagement de clôtures, abris...) et apporte des témoignages de producteurs et de techniciens. Larboriculteur qui veut introduire des animaux dans son verger doit avoir conscience des enjeux techniques et de la surcharge de travail à supporter. Avoir une certaine sensibilité déleveur semble être aussi la clé de la réussite.
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Drosophila suzukii
Jean-Luc PETIT, Auteur ; Claudia DANIEL, Auteur ; Jean-Luc TSCHABOLD, Auteur ; ET AL., AuteurA partir de diverses sources documentaires, sont repris des éléments sur la biologie, la prévention et la lutte relatifs à Drosophila suzukii. Cette drosophile de 2-3 mm de long peut s'attaquer à presque tous les fruits (liste non exhaustive) : cerises, pêches, petits fruits rouges, raisins, mais aussi des espèces sauvages comme le sureau. Elle préfère pondre dans les fruits non encore matures. Ses attaques provoquent des traces de piqûres et amènent les fruits à flétrir rapidement, d'autant plus qu'elles favorisent des pathologies secondaires (autres drosophiles, pourriture grise ). La femelle peut survivre dans le sol et pond environ 380 ufs dans sa vie. Mais, son cycle court (jusqu'à un mois) fait que l'on peut observer jusqu'à 13 cycles par an d'où un grand nombre d'insectes produits. Ces éléments expliquent pourquoi la lutte et la prévention sont difficiles. Divers moyens peuvent être mobilisés : la destruction de tous les déchets de fruits de la culture (à brûler, à enfouir à au moins 50 cm de profondeur ou à mettre en seaux ou sacs au soleil pendant plusieurs jours), les filets, le piégeage pour le suivi des cultures ou la lutte (mais alors avec un coût élevé, vu l'important besoin en pièges, ces derniers pouvant être achetés ou fabriqués). Les insecticides bio autorisés n'ont que très peu d'efficacité pour différentes raisons.
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Éclaircissage manuel
Jean-Luc PETIT, AuteurL'éclaircissage, qui consiste à éliminer certains fruits sur l'arbre, et la taille en vert vont favoriser la qualité des fruits qui seront récoltés. Pour un éclaircissage efficace et qui ne fragilisera pas le rendement, il est nécessaire de déterminer le nombre de fruits que l'arbre peut porter (pommiers, pêchers, pruniers, abricotiers), à l'aide d'une règle de calcul qui est présentée dans cet article. Pour les pommiers, l'opération devra être effectuée avant que le diamètre de la pomme ne dépasse 24 mm. En production biologique, il conviendra d'éclaircir le plus tôt possible, mais cette décision est à prendre parcelle par parcelle, suivant la variété et suivant l'année.
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Arboriculture fruitière : La taille : conduire plus que tailler
Jean-Luc PETIT, AuteurEn arboriculture fruitière, la taille des arbres est une étape importante de la conduite du verger. Elle vise à obtenir une production régulière, abondante et de qualité. Cet article apporte quelques conseils pour la taille des pommiers, poiriers, pêchers, abricotiers et cerisiers. Pour les pommiers, une analyse des différents ports existants permet d'effectuer une taille la plus adaptée à la variété cultivée.
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Des biopesticides pour remplacer les pesticides
Jean-Luc PETIT, AuteurOn appelle biopesticide un produit de protection des cultures fabriqué à partir d'organismes vivants ou de ses dérivés. Une de leurs vertus est la rapidité de leur dégradation dans le milieu naturel. Les universités de Lille, Liège et Gand ont accru les connaissances disponibles sur une catégorie prometteuse de biopesticides : les lipopeptides. Les bactéries, par exemple le genre Bacillus, ont déjà des usages agricoles, mais leur efficacité est très variable. L'enjeu est donc d'extraire les molécules d'intérêt des bactéries, ce qui est le cas des lipopeptides. Ces molécules sont tensioactives, fongicides et immunostimulantes. Elles sont testées au champ sur poireau et laitue. Outre la vérification des vertus agronomiques des lipopeptides, il s'agit de s'assurer que leur production industrielle est possible et rentable, grâce à des bioréacteurs qui fonctionnent en continu. Pour le moment, ces derniers ne peuvent produire que quelques milligrammes de lipopeptides quotidiennement, les recherches portent donc sur la possibilité de passage au stade semi-industriel. La toxicité pour l'homme et l'écotoxicité des lipopeptides doit encore être évaluée, mais elle est a priori très inférieure à celle des molécules synthétiques utilisées dans les pesticides classiques.
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Chute des feuilles causée par Marssonina, une nouvelle menace pour l'arboriculture fruitière biologique ?
Jean-Luc TSCHABOLD, Auteur ; Jean-Luc PETIT, AuteurApparue en Suisse en 2010, cette maladie fongique est causée par Diplocarpon mali et Marssonina coronaria. Elle touche notamment les vergers biologiques, et les pommiers résistants à la tavelure. La contamination a lieu à partir de la floraison. L'article décrit les symptômes sur feuilles et fruits, qui apparaissent après les longs épisodes de pluies en juillet et août. La maladie peut aboutir à une perte précoce des feuilles et le déclassement des fruits attaqués. Le champignon hiverne dans les feuilles mortes, une mesure préventive consiste donc à en favoriser la décomposition ou alors à les retirer du verger. Les différences de sensibilité variétale sont importantes, mais, malheureusement, les variétés résistantes à la tavelure (Topaz, Ottawa, Rubinola) sont sensibles au Marssonina. D'après des essais suisses, les produits à base d'argile, le cuivre et la bouillie sulfocalcique sont efficaces.
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La dynamisation
Jean-Luc PETIT, AuteurDepuis le début du vingtième siècle, de nombreux chercheurs et praticiens se sont intéressés à cette méthode qui vise à modifier la nature subtile de l'eau en lui infligeant un mouvement. L'article revient sur les trois grandes catégories de dynamisation : 1) Les vortex. Faire tourbillonner l'eau a été d'abord expérimenté pour la dépolluer, puis les biodynamistes se sont emparés de la technique pour en découvrir les effets bénéfiques sur les plantes, les hommes et les animaux ; 2) L'électrovibration grâce à des électrodes plongées dans l'eau. Selon Marcel Violet, la structure même de l'eau en serait modifiée, puisqu'elle peut prendre cinq états différents. Or, certains états sont plus intéressants que d'autres pour les êtres vivants ; 3) La Dynamisation Marcel Violet. Il s'agit d'une amélioration de la méthode précédente qui vise à simuler les conditions dans lesquelles se trouve l'eau de pluie lors d'un orage, associée à une transmutation d'une partie du métal de l'électrode en énergie. Ce transfert d'un oligo-élément à l'eau pourrait donc résoudre certains problèmes de carence. Quatre méthodes d'analyse bio-énergétique de l'eau sont brièvement décrites.
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La fertilité du sol : Le sol est un organisme vivant
Jean-Luc PETIT, AuteurLe sol est un facteur de production clé pour les systèmes agricoles. Composé d'éléments minéraux, de matière organique, et de macro- et micro-organismes, sa composition et sa structure sont des caractéristiques de sa bonne qualité agronomique. Cet article présente, dans une première partie, les différents éléments d'un sol, leur importance et leur rôle. La seconde partie de cet article cite les critères pouvant être modifiés par les pratiques agricoles. En utilisant le sol comme substrat, celles-ci impactent fortement sa qualité. Enfin, l'importance de la matière organique dans les sols est mise en exergue : l'auteur explique comment elle est formée, notamment à partir de l'action des macro- et micro-organismes, comment elle retient et libère des substances nutritives pour les plantes, et comment il est possible d'augmenter sa quantité dans les sols. En agriculture biologique, il est important de pouvoir combiner production de biomasse et production de cultures pour limiter les pénuries en matière organique.
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Viticulture : La lutte anti-mildiou sur vigne
Jean-Luc PETIT, AuteurDans la lutte contre le mildiou sur vigne, le cuivre est communément utilisé en agriculture biologique. Cet article préconise une première application dès le stade deux feuilles et avant l'apparition des premiers symptômes. Cela permet d'habituer la plante à la présence de cuivre et de créer un terrain inhospitalier pour le champignon pathogène. Différents types de produits à base de cuivre et différentes doses d'application sont conseillés, notamment en fonction de la météo à venir. En effet, le cuivre appliqué s'active en présence d'eau, ce qui nécessite une pluie. Celle-ci doit toutefois être modérée pour limiter le lessivage.
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Viticulture : La lutte biologique contre l'oïdium et le botrytis de la vigne
Jean-Luc PETIT, AuteurParmi les produits phytosanitaires autorisés en viticulture et arboriculture biologiques, trois fongicides ont fait leur entrée : - l'Armicarb®, spécialité à base de bicarbonate de potassium préconisée pour une application en prévention ; Son mode d'action, complémentaire à celui du soufre, possède également une action « stoppante » sur les champignons pathogènes. - Buran composé principalement de poudre d'ail ; Son action est préconisée contre la tavelure sur pommier et poirier et contre l'oïdium sur vigne. - Prev-AM (anciennement Prev B2), produit naturel à base d'essences d'orange pour la lutte contre l'oïdium en vigne, également utilisable contre le mildiou. Contre les ravageurs de la vigne, Basf Agro a mis en place un service d'accompagnement à l'installation et au suivi de ses diffuseurs à hormones Rak, utilisés contre les cicadelles eudémis et cochylis.
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Les acides aminés, les briques de toutes les cellules ?
Jean-Luc PETIT, AuteurVingt-deux acides aminés sont dits essentiels car ce sont eux qui forment les protéines. Les acides aminés, aussi bien que les protéines et les autres dérivés qu'ils forment, interviennent dans l'ensemble des processus biologiques des organismes vivants, végétaux et animaux. Dans les plantes, les différents acides aminés sont présents en différentes proportions et vont remplir différents rôles, comme l'explique Benoît Planques, concepteur des produits de la société Italpollina. Toutefois, ils sont tous importants et une carence peut avoir des conséquences notables. En production végétale, les traitements à base d'acides aminés doivent donc être pensés en fonction des besoins de la plante (phase de croissance, situation de gel ou sécheresse ). Les produits disponibles dans le commerce sont souvent composés d'acides aminés d'origine animale ou obtenus par synthèse chimique. Ils sont alors moins assimilables par la plante et peuvent, dans certains cas, entraîner des phytotoxicités. La société Italpollina a développé Trainer, le premier fertilisant foliaire certifié exclusivement à base d'acides aminés d'origine végétale, avec un triple effet nutritionnel, phytostimulant et/ou anti-stress abiotique.
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L'arboriculture biodynamique
Jean-Luc PETIT, AuteurL'arboriculture est une production difficile à conduire en agriculture biologique et biodynamique et elle requiert alors une grande connaissance technique de la production fruitière. La biodynamie, par sa vision holistique, aide l'agriculteur à comprendre les mécanismes qui entrent en jeu dans la production et à réfléchir à la gestion des problèmes de maladies et ravageurs. L'auteur donne, dans cet article, 16 clés pour aborder le verger biodynamique, inspirées des 16 recommandations de Volkmar Lust, conseiller allemand spécialisé en arboriculture biodynamique : - choix des portes greffes, variétés, formes fruitières et méthodes culturales ; - analyses de sol ; - mulch estival ; - compost avec les préparats biodynamiques ; - amendements complémentaires à base de matière organique azotée ; - apport de poudre de roche ; - la question du calcaire ; - établissement de haies et de brise-vent ; - protection et nutrition des oiseaux ; - protection des plantes selon la méthode biodynamique ; - plus de désherbage chimique ; - préparation, épandage et quantité du compost ; - badigeonnage ; - bouse de corne et silice de corne ; - respect des rythmes cosmiques ; - introduction de l'apiculture.
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Gelées de printemps : Comment s'en protéger ?
Jean-Luc PETIT, AuteurL'auteur fait ici le tour des solutions permettant de protéger les vergers et les vignes bio contre le gel de printemps : les bougies et chaufferettes, l'aspersion, les tours anti-gel, le Frost-buster, les radiants à gaz, le PEL 101 GV® (molécule antigel pas encore homologuée) et la valériane en biodynamie. Pour chacune de ces solutions, il présente les avantages et les inconvénients et donne parfois quelques conseils d'utilisation.