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Auteur Claude AUBERT (Consultant AB indépendant) |
Documents disponibles écrits par cet auteur


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Quelles semences pour l'agriculture biologique ? (Suite du n° 49)
Claude AUBERT, AuteurDe nombreux agriculteurs doivent racheter, chaque année, aux multinationales qui les produisent, les semences de plantes brevetées, les plus connues étant les OGM. De même, les hybrides F1 (deux lignées pures d'une espèce sont croisées pour obtenir un hybride de première génération) ne peuvent être resemés sous peine de mauvaise récolte. Présentation de la façon dont certains agriculteurs réagissent, "face à cette offensive des multinationales et des gros sélectionneurs", avec les semences paysannes (Inde, France) et de la façon dont, concrètement, procèdent les agriculteurs et maraîchers biologiques. Un encart présente le catalogue officiel des espèces et des variétés (créé en 1932).
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Quels arômes dans les produits bio ?
Dans son livre intitulé "Arômes dans notre assiette, la grande manipulation", Hans Ulrich Grimm dénonce une lacune du cahier des charges biologique : la mention "arômes naturels". Si on en croit cet auteur, les arômes n'ont en fait rien de naturel : ils sont recréés à partir de matériaux artificiels comme par exemple les copeaux de bois. Enquête et explications.
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Le sucre dans le colimateur
Manger moins sucré est aujourd'hui une priorité. Faut-il donc bannir le sucre de l'alimentation ? En dehors des calories, quels sont réellement les inconvénients du sucre ? Pourquoi autant de polémiques autour du fructose, du sucre roux et du sucre complet ? Les édulcorants de synthèse, le miel, les sirop d'agave et d'érable, la stévia, les fruits sont-ils une alternative intéressante ? Eléments de réponse.
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Le vin en bio : état des lieux
Claude AUBERT, AuteurLa viticulture bio applique le cahier des charges commun à toutes les productions végétales. Comparée à des cultures annuelles, elle présente deux particularités principales : l'enherbement entre les rangs de vigne, qui peut être temporaire ou permanent, et l'utilisation fréquente de fongicides à base de cuivre, pour lutter notamment contre le mildiou. Pourtant, certains sont amenés à remettre en question l'utilisation du cuivre. En effet, s'il n'est pas toxique pour le consommateur, le cuivre peut s'accumuler dans le sol, risquant d'en perturber l'activité biologique. L'article fait un point rapide sur l'utilisation du cuivre en viticulture bio.