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Arbres : l'art du "bien planter"
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La plantation ou transplantation est un moment critique dans la vie d'un arbre. Ce phénomène n'a pas lieu dans la nature et c'est la raison pour laquelle il faut l'éxécuter avec grand soin. En effet, chaque plantation modifie et perturbe l'harmonie et l'équilibre de l'arbre. Principaux points de ce dossier : Prendre un bon départ (assainissement, ameublissement, défoncement) - Le défoncement par trou isolé - Comment creuser son trou - Nourrir vos arbres - Quelques conseils de fertilisation - Fertilisants : faites le bon choix - Le tuteurage - Planter au bon moment - Choix des arbres - La plantation étape par étape - Faut-il tailler la première année ? - Plantations des espaliers, contre-espaliers et haies fruitières - Protection contre les rongeurs.
Arquer plus pour tailler moins et récolter plus tôt !
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Hâter, favoriser et régulariser une production maximale de fruits de qualité, tels sont les critères tant convoités. De nombreux systèmes de taille et de conduite des arbres existent. En arboriculture biologique, l'un des grands principes est d'éviter de tailler ou, du moins, de tailler le moins possible. En effet, la taille peut être synonyme de traumatisme et d'affaiblissement pour l'arbre, de gaspillage de substances vives, de retard de fructification, de porte ouverte aux maladies. L'arcure et l'inclinaison de jeunes rameaux, techniques très anciennes s'opérant naturellement sur tout arbre fruitier se mettant à fruits, semblent être des procédés adaptés pour une mise à fruit plus rapide, un ralentissement de la végétation des rameaux trop vigoureux... Dans cet article, l'auteur décrit ces deux techniques, leurs avantages et inconvénients pour le plus grand bonheur de ceux qui attendent impatiemment la première fructification.
Le chou n'a pas que des amis
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Roi du potager, le chou n'a pas que des amis. Pour mieux s'en prémunir et avant de les combattre, il est important de bien connaître les ennemis du chou. Certains sont très petits, et risquent de passer totalement inaperçus si l'on ignore leur existence. Dans un premier temps, l'auteur énumère les ennemis invisibles, c'est à dire les insectes et les champignons, qui s'attaquent au choux. Dans une seconde étape, il propose des moyens de lutte préventive et de lutte directe communs à plusieurs parasites. Par contre, la lutte directe ne sera utilisée qu'en dernier recours.
Des choux-fleurs dans le jardin plusieurs mois par an
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Produire des choux-fleurs, cela classe un jardinier amateur. Considérée comme une prouesse, cette culture est pourtant réalisable en plein air sans matériel sophistiqué à condition de bien choisir ses races et variétés, de bien échelonner les semis et surtout de connaître la façon de "chouchouter" du début à la fin cet aristocrate du potager qui ne souffre aucun manquement dans ses exigences royales.
Comment créer vos propres couches chauffées au fumier ?
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Comme au bon vieux temps et grâce à la confection d'une couche thermogène, vos légumes ou autres plantes auront les pieds au chaud cette fin d'hiver. Avec du soin et aussi beaucoup d'attention, vous parviendrez à réaliser des cultures de primeurs qui feront, à juste titre, votre fierté. La production de plants de légumes ou fleurs à repiquer en pleine terre dès les premiers beaux jours vous sera permise, et vous éviterez ainsi l'introduction de résidus de pesticides apportés par les plants non bio du commerce.
Le concombre
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"La culture du concombre remonte à la plus haute antiquité. De la famille des cucurbitacées, il est originaire d'Inde où il était déjà cultivé 5000 ans avant J.C. Il fait partie, avec la tomate et la courgette, du triumvirat incontournable des légumes-fruits de l'été. Sa croissance est relativement rapide : il se récolte 10 à 15 semaines après le semis, pourvu qu'il ait à satiété chaleur, eau et compost. Il existe deux grandes espèces de concombres : les races à petits fruits (surtout utilisées pour la production de cornichons) et celles à gros fruits. Tout ce qu'il faut savoir pour réussir la culture de ce ""légume-minceur"" (il contient 96% d'eau aux 100g) : fertilisation, semis, soins, récolte,..."
Créez votre haie fruitière
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Planter une haie fruitière chez vous ? Pourquoi pas. Sa culture s'avère être à la portée de nombreux novices. Avec leur feuillage aux coloris changeants, leurs fleurs qui valent celles de bien des arbustes ornementaux, ces haies vous amèneront en plus une profusion de fruits d'une valeur d'autant plus inestimable que vous les aurez produits vous-mêmes, sans traitements nocifs d'aucune sorte. A vous de privilégier les variétés locales ou régionales, bien sûr plus savoureuses et agréables que les sempiternelles espèces du commerce dont le seul avantage est le rendement.
Défendons nos arbres fruitiers !
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Algues, mousses, lichens, insectes lignicoles, chenilles, pucerons, cochenilles et carpocapses sont autant de nuisibles qui causent des tracas à nos arbres fruitiers. Quelques conseils et traitements sont donnés dans cet article pour lutter contre ces ennemis, le tout dans le respect de l'environnement.
Des fruits pour tout l'hiver
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Des conseils avisés pour vous aider à conserver naturellement vos fruits pendant tout l'hiver et une partie du printemps.
La haie fruitière Bouché-Thomas : c'est décidé, on la plante !
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Il s'agit de la suite d'un article paru dans le numéro 38 de Valériane, traité dans la notice 76-072 de Biopresse. Une fois le terrain préparé dans les règles de l'art, il faut planter à la bonne époque (à la chute des feuilles), vérifier les écartements de la plantation (une distance moyenne existe pour chaque type d'arbre), appliquer une inclinaison de trente degrés dès la plantation pour une meilleure mise à fruit. Quant au point de greffe, il est préférable de planter sans enterrer la greffe et avoir recours plus tard à l'affranchissement. De plus, pour la formation, il faut toujours respecter l'oeil terminal des rameaux. Et cette méthode a une quasi-absence de taille à l'hiver. Mais quelques inconvénients existent tels que la nécessité constante d'apporter des soins ou encore le caractère aléatoire de l'affranchissement. Dès la quatrième année, on peut escompter un rendement compris entre 150 et 300 Kg à l'are. Il s'agit donc d'une production saine et abondante en un temps record.
Haie fruitière Bouché-Thomas au jardin familial
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Réaliser une plantation fruitière n'est pas de tout repos. Parmi les problèmes rencontrés figure le choix de la forme. Monsieur Bouché-Thomas a laissé son nom à une technique de plantation qui consiste à planter les arbres en haie tout en respectant une inclinaison de 30° entre le sol et le scion. Cette technique semble intéressante à plusieurs égards. Tout d'abord, elle présente tous les avantages de la haie fruitière (pollinisation, mélange de variétés, peu de soins, facilité d'approche...) mais en plus, en maintenant une inclinaison régulière, prolonge la phase adulte et maintient la vigueur et la mise à fruit. Elle présente également des avantages d'ordre économique puisqu'elle nécessite un investissement matériel (fil, piquet) peu onéreux et une rapidité de la fructification. Si la réussite dépend du travail du sol et de la fertilisation, la qualité gustative finale dépend du choix des variétés.
Un jardin en ville
En ville, posséder un jardin, si modeste soit-il, constitue toujours une grande chance... Il est permis, même en milieu urbain, d'être amateur de plantes, de vouloir créer un petit coin de paradis et de contribuer ainsi au maillage écologique. L'exploit consiste à surmonter des conditions très défavorables aux cultures : atmosphère polluée, manque de luminosité, encaissement entre de hauts immeubles, sol de mauvaise qualité... Le jardin doit aussi avoir son caractère propre et doit donner une impression de confort et de détente. L'ouvrage est organisé comme suit : composition et disposition générales du jardin ; circuler et s'abriter ; les arbres et arbustes ; pelouse et décor floral ; les ornements ; les fruits et les légumes.
