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Auteur Jacqueline FORSTER-ZIGERLI |
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Bientôt un Bourgeon avec la Croix Suisse
En 2008, les premiers produits Bourgeon dont l'étiquette sera enrichie par divers compléments de la marque ("Suisse", "Ferme" et "Gourmet") seront mis en vente. Cela permettra de mieux se démarquer des autres produits bio et de s'adresser à de nouveaux clients. Qu'est-ce que ces compléments de la marque représentent pour les producteurs, les transformateurs et les commerçants ? Entretien avec Jürg Schenkel, le responsable du marketing de Bio Suisse.
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Un Citoyen du monde à cinq curs
L. PFIFFNER, Auteur ; Jacqueline FORSTER-ZIGERLI, AuteurLe lombric (Lumbricus terrestris) a été élu Animal de l'année 2011 par Pro Natura. Après la description de leur fonctionnement, d'un point de vue physiologique, cet article présente les intérêts des vers de terre dans la fertilité des sols : aération et décompactage, augmentation de la teneur en eau du sol, fertilité de leurs déjections, enfouissement et recyclage de la matière organique. Diverses mesures sont également proposées aux agriculteurs pour favoriser la présence de vers de terre dans les terres labourées, et concernent le travail du sol, la mécanisation, la rotation des cultures et la fumure.
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Croissance du marché et freins politiques
Jacqueline FORSTER-ZIGERLI, AuteurLors de la conférence de presse annuelle de Bio Suisse, son directeur s'est exprimé sur les intentions de la Confédération de développer le système des paiements directs qui rémunèrent l'ensemble des agriculteurs pour les prestations qu'ils fournissent à la collectivité tels que : - la sécurité de l'approvisionnement ; - l'entretien du paysage ; - l'occupation décentralisée du territoire Ceci entraînerait la suppression de la prime bio, qui représente actuellement 1% du montant total des paiements directs. Cette suppression exposerait la confédération à deux gros risques : - le développement d'une agriculture spécialisée plutôt qu'une agriculture biologique formant un tout ; - l'arrêt de la récompense aux paysans biologiques dont l'impact sur l'environnement est plus faible avec un risque d'augmentation des coûts pour le traitement de l'eau et la santé publique. De plus, en ne soutenant plus l'agriculture biologique, la Suisse s'isolerait puisque de nombreux pays voisins ont des objectifs ambitieux de développer et de soutenir ce mode de production. Il est par ailleurs rappelé que le marché bio est en forte croissance, aussi bien en circuits long que court, et que le nombre de fermes bio est en légère progression (+0,6%) pour atteindre 11,9% des entreprises agricoles suisses, alors que les surfaces restent constantes avec 112 000 ha, soit 11,4% de la surface agricole totale.
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Le long chemin de l'Albanie vers le bio commence par des labels régionaux
Jacqueline FORSTER-ZIGERLI, AuteurLe FiBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique), en Suisse, soutient le développement régional en Albanie, un pays du sud des Balkans. L'article revient sur la création de deux labels de provenance (un pour le sud, l'autre pour le nord du pays) qui garantissent la provenance des produits, l'absence d'OGM et la qualité contrôlée des denrées alimentaires. Il aborde également la notion de qualité garantie, encore largement inexistante en Albanie, et précise l'engagement du FiBL. En accord avec les deux bailleurs de fonds, la DDC (Direction du Développement et de la Coopération) et le SECO (Secrétariat d'état à l'économie), le FiBL a décidé de concentrer le projet SASA (Sustainable Agricultural Support for Albanica) avant tout sur le marché (démarche qui a permis d'assurer la promotion des produits bio en même temps que celle des spécialités régionales). Le projet SASA soutient aussi l'organisation de producteurs bio (Bio Adria, Institut pour l'agriculture biologique) et la société albanaise de certification Albinspekt... Le marché étant au premier plan, SASA suit une double stratégie pour laquelle l'établissement du marché bio dans le pays doit aller de pair avec l'augmentation des exportations de produits biologiques albanais... Le lancement d'"Albanian Guarantee", durant l'automne 2010, dans le cadre de la principale exposition agricole d'Albanie, Kash Fair, a été accueilli positivement par le gouvernement albanais. Des encarts précisent certains points sur l'agriculture en Albanie et sur le projet SASA.
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Nous voulons produire des oeufs qui fassent plaisir à tout le monde
Köbi Treichler possède une ferme de 37 ha avec plusieurs productions dont 2000 pondeuses. Considéré aujourd'hui comme un spécialiste dans le domaine des pondeuses, il siège à diverses commissions. Il ne se soucie pas seulement des problèmes des aviculteurs mais aussi des divers partenaires : commerciaux, fabricants d'aliments. Il propose que l'oeuf devienne le support publicitaire de Bio Suisse.
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Pas - ou pas encore - de Bioboom, mais un potentiel grandissant
L'opinion que la Suisse produit assez de produits bio est encore largement répandue. Ce n'est pourtant que partiellement vrai. Il y a actuellement trop peu d'oeufs, de plantes aromatiques, de fruits à noyau, de petits fruits, de sucre et de colza. Et on pourrait vendre davantage de légumes. Même la viande est un peu juste dans certains secteurs. Et, à cause de l'augmentation des prix du marché mondial (ou grâce à elle !), les céréales Bourgeon suisses sont toujours plus convoitées.
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Prix d'encouragement : L'agriculture contractuelle romande primée
Jacqueline FORSTER-ZIGERLI, AuteurLe prix d'encouragement de 5 000 de Bio Suisse vise à soutenir des projets novateurs et durables de l'agriculture biologique suisse. Il a été décerné en 2008 à la Fédération Romande de l'Agriculture Contractuelle de Proximité (FRACP), créée au printemps 2008 par le regroupement de 19 initiatives. Les producteurs, de la petite ferme à la grande coopérative, et les consommateurs, soit environ 7 500 personnes en Romandie, concluent un contrat qui fixe le prix et la fréquence de livraison de produits biologiques, ce qui garanti à tous des prix fixes et équitables. Le jury a estimé que cette forme de vente est porteuse de solutions d'avenir pour relever les défis auxquels l'agriculture est confrontée. Elle rapproche en effet les paysans et les consommateurs et elle est basée sur la souveraineté alimentaire, la durabilité et le commerce équitable. Ces points sont d'une importance capitale, surtout en cas d'un accord de libre échange agricole. L'argent du prix sera utilisé pour des promotions et pour la création d'un site Internet, afin que le concept se fasse connaître.
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Regina Fuhrer : "Notre politique d'entreprise tient la route"
Comment BIO SUISSE est-elle réellement gérée ? Sur quoi se basent les décisions de la fédération ? Concept directeur, politique d'entreprise et objectifs triennaux, tels sont les noms des principaux instruments de gestion avec lesquels travaillent le Comité et la direction du secrétariat. Regina Fuhrer, la présidente de BIO SUISSE, explique ce qui se cache derrière ces expressions techniques et sur quels fondements elles reposent. Elle insiste notamment sur l'importance de la marque BOURGEON, sous laquelle sont commercialisés les produits des adhérents.
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En super forme : plus légère, plus transparente, plus claire
Lors de l'Assemblée générale extraordinaire du 17 novembre, les délégués de BIO SUISSE voteront une réforme des structures. Ils auront le choix entre deux modèles qui auront une chose en commun: il est prévu d'élire une commission de gestion et de donner plus de compétences décisionnelles stratégiques aux délégués. Christian Voegeli, le coordinateur de la fédération BIO SUISSE, présente les deux modèles.
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"La vente directe est la colonne vertébrale de Bio Suisse"
Un entretien avec Jürg Schenkel, responsable du marketing de la fédération Bio Suisse, permet d'observer la nouvelle stratégie et les évolutions à venir du label Bourgeon : apparition d'une marque Bourgeon, développement de la vente directe.