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Auteur Anne HAEGELIN |
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Projet « TRAPPAPAE » : TRAnsfert Par et Pour les Agriculteurs, Pour une transition Agro-Ecologique
Le projet TRAPPAPAE "TRAnsfert Par et Pour les Agriculteurs, Pour une transition Agro-Écologique", lauréat de l'appel à projets ARPIDA 2019, avait pour objectif de contribuer à l'accélération de la transition agroécologique des systèmes agricoles en misant sur la formation, en amont de l'installation, mais aussi tout au long de la vie professionnelle des agriculteurs, et sur le rôle central du "paysan-formateur" comme vecteur des changements de pratiques. Afin d'analyser les processus de transfert entre pairs, une fois l'installation faite, ce projet a permis d'étudier les pratiques de conseillers, d'animateurs et de techniciens organisant des formations en agriculture biologique, montrant la possibilité de les transposer à l'accompagnement d'agriculteurs conventionnels vers la transition agroécologique. Le projet a ainsi permis de démontrer le rôle central joué par les "paysans-formateurs" lors de formations (partage d'expériences, transfert de pratiques...) et, plus globalement, l'importance de la formation dans le parcours de changement des agriculteurs, bien qu'elle ne soit pas le seul élément (l'accompagnement individuel et les échanges entre pairs sont aussi importants, notamment pour mieux prendre en compte le temps nécessaire à chacun dans son parcours de transition). Les principaux enseignements et préconisations issus de cette étude sont présentés dans ces trois documents.
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La valorisation de la viande bio locale dans les différents circuits de distribution
Le projet BioViandes, qui a pour objectif de contribuer au développement de filières durables de viandes biologiques de ruminants sur le Massif Central, sest intéressé à la question de la valorisation des viandes bio locales dans différents circuits de distribution. Pour cela, des enquêtes qualitatives ont été menées en 2022 auprès dopérateurs basés dans le Massif Central. Des premières enquêtes ont été réalisées par un groupe détudiants de la MFR (Maison familiale rurale) d'Anneyron auprès de cinq magasins bio, trois boucheries, deux restaurants, deux GMS (grandes et moyennes surfaces) et une plateforme de distribution multi-produits. Lobjectif était didentifier les stratégies de commercialisation de la viande bio par ces distributeurs, la place des circuits-courts au sein de ces stratégies, ainsi que les attentes des consommateurs vis-à-vis de la viande bio. Une seconde série denquêtes a été réalisée par une élève ingénieure de lENSAIA (École d'ingénieurs de Nancy) auprès dune douzaine dopérateurs de la restauration hors domicile (RHD) et déleveurs bio. Lobjectif était alors didentifier leurs attentes respectives, ainsi que les besoins et les contraintes spécifiques à ce circuit commercial (RHD). Globalement, les résultats montrent quen magasin bio, la présence dun rayon traditionnel stimule les ventes de viande bio ; tandis que dans les GMS, la viande bio nest souvent disponible quemballée en libre-service (pas en rayon traditionnel), et un approvisionnement local ne semble pas forcément être une priorité pour les GMS. Les boucheries visent, quant à elles, une viande locale de bonne qualité organoleptique, et le bio est un plus pour les convaincus. En restauration collective, le surcoût lié à lachat de viande bio reste le premier frein à son introduction régulière dans les menus. Pour ce circuit de commercialisation, il faut tenir compte de la triple contrainte prix loi logistique.
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Nouvelle réglementation bio en élevages : les principaux changements à partir de 2022
Anne HAEGELIN, Auteur ; Solenn BRIOUDE, Auteur ; Marie REDON, AuteurLes nouveaux contours de la réglementation européenne biologique se dessinent : après la parution du règlement de base de mai 2018 (RUE 2018/848) qui pose les principes généraux du mode de production biologique et donne des règles globales, une quinzaine de textes réglementaires ont été, petit à petit, publiés pour constituer, ensemble, le nouveau cahier des charges européen. Concernant les productions animales, de nouvelles productions et produits seront couverts par le règlement européen : lapins, cervidés, poulettes pré-pondeuses, laine, peaux (brutes et non traitées), cire dabeille Le principe dautonomie alimentaire est également renforcé : 30 % de lalimentation des monogastriques et 70 % de lalimentation des ruminants devront être produits sur la ferme ou dans la « région ». La part daliments en C2 pouvant être achetés diminue de 30 à 25 %. Des évolutions sont également prévues concernant le bien-être animal : interdiction de la coupe des queues et des dents des porcs, de lépointage des becs, de lécornage Autre changement (plus transversal) : lINAO reprend la gestion des dérogations, exceptées celles qui concernent les semences et plants.
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Confinement : Des consommateurs en recherche de produits bio et de proximité
Coralie PIREYRE, Auteur ; Alice ODOUL, Auteur ; Anne HAEGELIN, Auteur ; ET AL., AuteurLe 1er confinement a bousculé les habitudes de consommation des Français (lieux dachat, fréquences, types de produits ). Ils ont notamment consommé plus de produits bio tout en soutenant les producteurs locaux. Cet article donne un aperçu de limpact du confinement sur les circuits de commercialisation des produits bio en France et en Auvergne-Rhône-Alpes. Il commence par quantifier lévolution de la consommation de produits bio à léchelle nationale. Il détaille également les conséquences du confinement sur plusieurs filières longues (viande, dont veaux, viande bovine et équilibre matière, agneaux ; lait ; aliments du bétail ; grandes cultures) et courtes (PPAM, fromages, vin, fruits et légumes, farine, ufs). Il décrit ensuite des solutions mises en place durant le confinement pour que les producteurs bio puissent continuer à commercialiser leurs produits, notamment en vente directe : des tableaux en ligne ont été créés pour mettre en relation des producteurs et des magasins, des « marchés éphémères » ont été accueillis par des producteurs ou des magasins bio, des Amaps ont assoupli leurs conditions pour que des consommateurs non adhérents puissent accéder aux paniers, et des outils facilitant la commercialisation ont été relancés (ex : outil web Bon Plan Bio). Lassociation Haute-Loire Bio, qui organise depuis 17 ans une foire bio à Langeac à la mi-mai, a su réinventer le déroulement de son évènement en proposant un drive collectif 100 % bio et local.
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Des journées pour découvrir "la bio en pratique"
Anne HAEGELIN, Auteur ; Florence CABANEL, Auteur ; Marie REDON, AuteurEn Auvergne-Rhône-Alpes, le réseau de la FRAB AuRA a organisé, entre 2019 et 2020, une série de journées "la bio en pratique", rendez-vous destinés à tous les agriculteurs, avec notamment : - une journée sur lengraissement des animaux en système autonome et économe, à destination des éleveurs du bassin versant de lAlagnon ; - le séminaire « La biodiversité en pratiques : nichoirs, abris, mares et pâturages » ; - une conférence de Jean-Martin Fortier, maraîcher bio québécois. En 2019, 47 évènements ont été organisés dans ce cadre, sous forme de témoignages dagriculteurs et dopérateurs économiques, de démonstrations de matériels, ou encore dinterventions dexperts.
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Retour sur la rencontre débat du 13 octobre 2020 : Quel avenir pour la filière viande bovine biologique dans le Massif Central ?
Anne HAEGELIN, Auteur ; Cloé MONTCHER, Auteur ; Rémi MASQUELIER, AuteurUne rencontre débat sur la filière viande bovine bio dans le Massif Central, organisée par Haute-Loire biologique, Agri Bio Ardèche et la FRAB AuRA, s'est déroulée, le 13 octobre 2020, à Freycenet la Tour (43). L'avenir de la filière viande bovine bio a été abordé à travers 3 angles majeurs. Premièrement, la question du renouvellement des générations se pose de façon cruciale. La nécessité d'améliorer l'interconnaissance entre repreneurs et cédants, entre autres, a été identifiée comme une piste d'actions adaptée. Deuxièmement, face au changement climatique, les systèmes fourragers doivent évoluer, avec des conséquences sur la gestion des troupeaux, sur les bâtiments, etc. Par ailleurs, pour que la contribution des exploitations au réchauffement climatique diminue, il est nécessaire de désintensifier les élevages et de maintenir les prairies. Pour soutenir ces changements, il faut que les aides PAC évoluent elles aussi. Troisièmement, l'avenir de la filière passe par la promotion, auprès des consommateurs, d'un produit bio, local et éthique. Jacques Caplat, agronome-ethnologue, qui était le grand témoin de cette journée de débat, livre son regard sur ces 3 dimensions et apporte des éclairages complémentaires.
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Dossier : Agriculture biologique : Les filières bio cherchent des producteurs en Auvergne
Régine TENDILLE, Auteur ; Anne HAEGELIN, Auteur ; Célia DUPETIT, Auteur ; ET AL., AuteurL'AB se développe en Auvergne, aussi bien en termes de conversions dagriculteurs que de développement de filières bio en lien avec une demande croissante en produits bio des consommateurs. Les filières bio cherchent donc de nouveaux producteurs dans cette région malgré la vague de conversions en cours (130 nouveaux producteurs auvergnats se sont engagés dans une conversion en 2015). Cest ce que montrent les divers témoignages dagriculteurs et dacteurs de laval repris dans ce dossier. Cette dynamique concerne aussi bien lélevage que les grandes cultures. Ainsi, en bovins lait, les deux principales laiteries qui collectent sur lAuvergne cherchent de nouveaux producteurs et, en bovins viande, les opérateurs sont en demande danimaux finis (à noter que pour cette production, laide au maintien à lAB est conditionnée en Auvergne au fait que plus de 50 % de la production soit valorisée en bio). En ovins viande, la demande est aussi forte et les abatteurs recherchent des agneaux toute lannée en quantité et de qualité suffisante. En grandes cultures, les transformateurs bio auvergnats privilégient au maximum un approvisionnement local, doù une forte demande. Ainsi, on estime que les besoins supplémentaires en céréales bio auvergnates se chiffraient à 9 500 tonnes en 2015. Dans un tel contexte, les acteurs du conseil sont en ordre de bataille pour accompagner les agriculteurs. Le Pôle de conversion Bio Auvergne, qui regroupe les acteurs du développement de la bio, sur la région, propose un parcours d'accompagnement pour tous les agriculteurs intéressés.
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Dossier : La conversion : La Bio par le chemin des écoliers
Anne HAEGELIN, Auteur ; N. PIBOULE, AuteurLe choix de passer en bio relève généralement d'un changement qui n'est pas spontané. Des éléments propres à chacun et des éléments extérieurs influencent la conversion. Un premier article relate l'expérience de Michel François, apiculteur lorrain. Ses rencontres et ses échanges avec les producteurs bio ont été essentiels dans le fait que, après 8 ans en conventionnel, son épouse et lui envisagent la bio sur la ferme et fassent appel à la Chambre d'agriculture pour réaliser un premier audit. Aujourd'hui, il exploite 109 ha en bio et son troupeau de race limousine comptabilise 83 UGB (Unité Gros Bétail). Sa réflexion continue, pour améliorer son système et essayer de se libérer du temps. Le deuxième article se penche sur les freins au passage en bio des céréaliers en Lorraine. Sur la base de 54 entretiens individuels, le CGA de Lorraine, en partenariat avec la Chambre régionale d'Agriculture, Coop de France Lorraine et l'Inra de Mirecourt, a réalisé une étude sur les freins et les motivations, dont les combinaisons permettent de caractériser deux grands groupes d'agriculteurs : des céréaliers préoccupés économiquement face à une filière en manque de structuration d'une part, et des agriculteurs inquiets face à de réelles limites techniques, d'autre part. Dans un troisième article, les auteurs examinent les facteurs de ralentissement ou d'accélération qui, en France, influencent la dynamique de conversion et le rythme des engagements en bio : crises, discours politiques, dispositifs d'aides...
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Des idées pour transmettre sa ferme
Anne HAEGELIN, Auteur ; Anne HARIVEL, Auteur ; Mélanie THÉODORE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (c/ FNCIVAM, 7 bis Rue Riquet, 75 019, FRANCE) : InPACT (Initiatives Pour une Agriculture Citoyenne et Territoriale) | 2013Contenu du document : - Ma ferme est-elle transmissible ? (Transmettre une petite ferme ; Quand une structure agricole à 1 UTH devient 2 fermes à (bientôt) 4 UTH ; Outils : Le diagnostic « Agriculture paysanne » et le « Pass'Transmission ») ; - Se donner le temps pour réussir à transmettre (Anticiper la transmissibilité ; Transmettre à son salarié : une des clefs de la transmission progressive ? ; Le stockage foncier : Dissocier le temps de l'installation et le temps de la transmission ; Outil : Les formations pour bien anticiper sa transmission) ; - Comment faire correspondre l'offre à la demande ? (Transmettre sa ferme dans une région dominée par les grandes cultures et l'intensification ; Comment transmettre un GAEC ? ; Outil : Les « cafés Transmission » ; Outil : Un répertoire Départ-Installation alternatif) ; - Terre, habitation, bâti : patrimoine ou outil de travail ? (Où habiter quand je serai à la retraite ? ; Outil : Le contrat transmission ; Pérenniser un outil de travail pour plusieurs générations) ; - Transmettre, à tout prix ? (Les faibles retraites agricoles et les compléments possibles ; Un prix, ça se raisonne à deux ! ; Outil : Les formations « Construire son prix » ; Valeur d'usage : l'exemple du Larzac).
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Kit d'information : Installation en agriculture biologique : état des lieux et dispositifs pour accompagner les porteurs de projet
Anne HAEGELIN, Auteur ; Mélise WILLOT, Auteur ; Anne BENETOS, Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2013En 2013, la FNAB a réalisé un état des lieux de la dynamique d'installation en agriculture biologique et mis en avant les dispositifs et modalités d'accompagnement innovants pour les candidats à l'installation en bio. En s'appuyant notamment sur un vaste travail d'enquêtes auprès de son réseau et d'entretiens avec les autres acteurs intervenant dans l'accompagnement des projets d'installation en bio sur le terrain, la FNAB a édité un kit d'information « Installation en agriculture biologique : état des lieux et dispositifs pour accompagner les porteurs de projet » pour valoriser l'ensemble de ces résultats. Ce kit est destiné aux GRAB/GAB, aux différentes organisations agricoles et aux conseillers accompagnant des porteurs de projets candidats à l'installation (bio ou non), qu'ils interviennent ou non dans le cadre du Plan de Professionnalisation Personnalisé et des Points Information Installation. Il vise également tous ceux qui les appuient dans des cadres complémentaires. Il s'adresse enfin aussi aux différents acteurs publics (dont les collectivités territoriales) souhaitant intervenir pour faciliter les installations en agriculture biologique sur le territoire. Il se compose des fiches suivantes : - Fiche introductive ; - Fiche 1 : Dynamique d'installation en agriculture biologique et enjeux liés à l'accompagnement ; - Fiche 2 : Accompagnement des projets d'installation en agriculture biologique : Panorama de l'implication du réseau FNAB dans le cadre de partenariats de territoire ; - Fiche 3 : Installation en agriculture biologique et Plan de Professionnalisation Personnalisé : quelle présence des GAB ? ; - Fiche 4 : Faciliter l'accès au foncier pour les porteurs de projet en bio : leviers et outils.
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État des lieux sur la transmission et l'installation en agriculture biologique : Rapport de synthèse : Analyse globale, perspectives et recommandations
Ce rapport visait à identifier des freins à l'installation et à la transmission des exploitations agricoles bio en estimant et en caractérisant les profils des fermes et des exploitants susceptibles de laisser leurs fermes dans les 5 ans à venir. Une première partie, qui concerne les éléments de contexte et de méthodologie, propose des pistes d'amélioration destinées à optimiser la recherche d'informations à des fins statistiques et/ou typologiques sur l'agriculture biologique à l'échelle nationale. Trois parties proposent un état des lieux de la transmission et de l'installation en AB : - Caractérisation des exploitations à transmettre ; - Caractérisation des freins et des leviers pour sécuriser l'installation en agriculture biologique ; - Recommandations pour améliorer la transmission des exploitations biologiques.
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Elevage bio : des cahiers des charges français à la réglementation européenne
J. LEROUX, Auteur ; M. FOUCHET, Auteur ; Anne HAEGELIN, Auteur ; ET AL.L'apparition de cahiers des charges nationaux de l'élevage biologique dés les années 90 a permis un premier développement de ces élevages variable selon les productions. Le règlement européen a ensuite pris le relais en 2000, d'abord avec un complément national (le CC REPAB F), puis, à compter du 1er janvier 2009, avec un nouveau dispositif sans possibilité de subsidiarité. Le règlement européen de l'agriculture biologique décline chaque grand principe de ce mode de production en un certain nombre de règles détaillées, et, dans certains cas, de dérogations. Ces principes sont les suivants : choix de races appropriées, naissance et élevage des animaux en bio, réduction des pollutions et du surpâturage, accès permanent à l'extérieur, densité et organisation des bâtiments permettant le bien-être, interdiction de l'attache des animaux, réduction des mutilations, méthodes de reproduction naturelles privilégiées, élevage extensif, lien sol-plante-animaux sur l'exploitation, alimentation adaptée et biologique, absence d'OGM, santé animale passant d'abord par la prévention via les conditions d'élevage, et des traitements homéopathiques et phytothérapiques,... Les auteurs se sont attachés à mettre en relief les changements réglementaires récents et les enjeux techniques, économiques ou d'image qu'ils soulèvent. En conclusion, il est souligné l'importance du travail à réaliser sur trois grands axes : les questions techniques liées à la production biologique, les verrous techniques ou économiques liés à la mise en place des filières, et l'analyse des systèmes de production dans leur globalité.
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Dossier : Présentation des projets menés en Agriculture Bio sur le Massif Central
Trois demandes de financement ont été déposées auprès de la DIACT Massif Central en juin 2008. Elles concernent : un projet sur la sécurisation des systèmes fourragers en AB face aux aléas climatiques, un projet sur l'analyse du fonctionnement et des performances des systèmes d'élevage bio et enfin un projet sur le développement des filières bio pour répondre aux besoins de la restauration collective. Un autre projet sur la santé animale et la qualité des produits est en cours de réflexion également. Ces projets sont prévus pour démarrer dès fin 2008, sous réserve d'obtention des financements des Régions et de l'Etat dans le cadre de la CIMAC.
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Dossier : Travaux et pistes de partenariats avec le FiBL (Suisse)
Le 8 juillet 2003, l'ITAB a organisé une mission auprès du FiBL (Institut de Recherche de l'AB en Suisse) afin de renforcer les liens entre les 2 instituts, voire établir des axes prioritaires de travail en collaboration. Associé à cette rencontre, le Pôle fait ici le point sur le fonctionnement du FiBL, les résultats de travaux concernant la santé animale, la sélection animale et la qualité des produits bio et les pistes possibles de travail à mener en collaboration avec cet institut.
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Des légumes bio bien maîtrisés
Patrice Pouget s'est installé en 1994 sur 6 hectares à Clérac, Charente-Maritime. Sur les 6 hectares, 3,5 sont consacrés aux cultures légumières et l'exploitation compte 3 personnes à plein temps. Le production est destinée essentiellement à la vente directe. Avec une excellente maîtrise technique et sept marchés hebdomadaires, Patrice Pouget a réalisé un chiffre d'affaires de 600 000 F en 1998. C'est dans ce contexte qu'ont démarré les expérimentations de l'ACPEL (Association Charentes-Poitou d'Expérimentation Légumière). La demande des maraîchers étant importante et les premiers résultats satisfaisants, elles devraient se poursuivre pour la campagne 1998-1999.