Détail de l'auteur
Auteur Florence MAUPERTUIS |
Documents disponibles écrits par cet auteur (39)


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Cinq protocoles testés pour castrer les porcs mâles bio ; La castration sous lidocaïne à l'épreuve du plein air
Valérie COURBOULAY, Auteur ; Aude DUBOIS, Auteur ; Florence MAUPERTUIS, Auteur ; ET AL., AuteurDans le cadre du projet Casdar Farinelli, des travaux sont menés pour trouver des solutions alternatives à la castration à vif en élevage de porcs biologiques. Parmi ces travaux, une étude comparative en conditions expérimentales a été conduite, avec plusieurs protocoles de castration (comparaison avec la castration à vif) : - anesthésie générale avec de lisoflurane (+injection dun anti-inflammatoire) ; - anesthésie locale par injection intra-testiculaire de lidocaïne, associée à un anti-inflammatoire ou à un traitement phyto-thérapeutique à visée anti-stress administré 3 jours avant et 3 jours après lintervention, soit dans le lait maternel, soit directement dans la gueule des porcelets ; - anesthésie locale par injection de Tri-solfen (mélange en attente dautorisation de mise sur le marché de 2 anesthésiques, dun antiseptique et dadrénaline), associée à une injection danti-inflammatoire. Lapplication du Tri-solfen se faisait au niveau du cordon spermatique après incision du scrotum, selon 2 modalités : avec ou sans application préalable dun spray de bombe à froid sur la zone dincision. Pour chaque modalité, ont été relevés la durée dintervention, les signes de stress et de souffrances au cours de lopération, lévolution des plaies opératoires et le comportement des porcelets après castration. Les résultats obtenus ont permis de retenir 2 protocoles, testés ensuite en conduite délevage : anesthésie locale avec injection danti-inflammatoire, lune à base de Lidocaïne et lautre de Tri-solfen sans bombe à froid. Les résultats obtenus permettront de rédiger des protocoles de castration qui seront diffusés auprès des professionnels.
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Jusqu'à 35 % de lupin bleu dans les rations
Florence MAUPERTUIS, AuteurLe lupin bleu, qui, tout comme le lupin blanc, a de faibles teneurs en alcaloïdes mais, en sus, contient moins de facteurs antinutritionnels, pourrait être utilisé à hauteur de 35 % maximum dans la ration de porcs à l'engraissement. C'est ce que montre une étude comparative réalisée par le département de l'agriculture et de l'alimentation australien et par l'université de Murdoch. Cela pourrait être particulièrement intéressant en élevage bio, comme alternative au tourteau de soja.
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Naissage en plein air de porcs bio : Résultats technico-économiques 2021
Florence MAUPERTUIS, AuteurLes résultats technico-économiques 2021 de latelier de naissage plein-air biologique de la ferme expérimentale porcine des Trinottières (Maine-et-Loire) montrent que la prolificité a progressé pour atteindre 15,9 porcelets nés vivants par portée, du fait principalement de lutilisation de nouveaux croisements dans la sélection génétique animale. De plus, le pourcentage de pertes sous la mère a diminué (30 % en 2021). En conséquence, la productivité a progressé et atteint 11,1 porcelets sevrés par portée et 23,9 porcelets sevrés par truie productive et par an. En revanche, le taux de fécondation sest dégradé pour sétablir à 76,6 % et le nombre de portées par truie réformée a reculé (3,8, contre 4,3). Le prix de vente du porcelet au sevrage a augmenté très légèrement (92,7 en 2021, contre 92,0 en 2020). La marge sur coût alimentaire sétablit à 882 par truie en 2021, vs 823 en 2020. Laugmentation de la marge sexplique principalement par la hausse des produits, générée par laugmentation du nombre danimaux vendus. Un tableau regroupe les principaux résultats techniques et technico-économiques.
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Projet GENETRUIBIO : recherche d'une lignée femelle mieux adaptée à l'élevage biologique plein-air
Florence MAUPERTUIS, AuteurL'élevage porcin en plein-air présente un risque de mortalité des porcelets par écrasement par les mères plus élevé qu'en bâtiment. Ainsi, dans le cadre du projet GENETRUIBIO, deux lignées femelles ont été comparées : une lignée témoin (Large-XWhite x Landrace français) et une lignée en croisement avec la race Danbred (témoin x Danbred). Celle-ci est réputée pour ses qualités maternelles. Les essais menés sur la ferme expérimentale des Trinottières, dans le Maine-et-Loire, n'ont pas permis de mettre en évidence de différence significative en matière de mortalité des porcelets. Si les morts par écrasement sont effectivement plus rares avec la race Danbred, les autres causes de mortalité des porcelets sont plus élevées (porcelets plus chétifs).
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Résultats technico-économiques 2021 de l'atelier de naissage plein-air biologique de la ferme porcine des Trinottières
Cet article présente les résultats de Gestion Technique des Troupeaux de Truies (GTTT) et de Gestion Technico-Économique (GTE) obtenus, en 2021, sur la ferme expérimentale des Trinottières, dans le Maine-et-Loire. L'atelier de naissage porcin plein-air biologique a vu les types génétiques des truies évoluer, afin de mieux s'adapter à l'élevage en plein-air intégral, et donc aux aléas climatiques, tout en conservant des qualités maternelles et de docilité. Ces évolutions dans la génétique du troupeau ont permis d'améliorer les résultats de prolificité (15,9 porcelets nés vivants par portée en 2021, contre 13,8 en 2019). En revanche, les performances de fécondation et l'âge à la première mise-bas se sont dégradés, impactant négativement les résultats de gestion technico-économique basés sur le nombre de truies présentes (productives ET non-productives).
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Un éleveur expérimente le pâturage des porcs
Florence MAUPERTUIS, AuteurCarl Sheard, éleveur de porcs en agriculture biologique dans le Maine-et-Loire, pratique, sur sa ferme, le pâturage par les porcs en finition. Il est accompagné, dans la mise en place de cette pratique innovante, par l'Itab, l'Idele et la Chambre d'agriculture des Pays de la Loire. Dans cet article, sont présentés les aménagements qui ont été nécessaires sur les parcelles (clôtures, paddocks...), la ration (réduction des quantités d'aliments), les cultures fourragères implantées, ainsi que les premiers résultats obtenus sur les performances des animaux.
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Lélevage des truies biologiques en plein air
Florence MAUPERTUIS, Auteur ; Aude DUBOIS, Auteur ; Denis OLIVIER, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 02 (9 Rue André-Brouard, BP 70510, 49 105, FRANCE) : CHAMBRE RÉGIONALE D'AGRICULTURE DES PAYS DE LA LOIRE | 2020Ce guide technique a été conçu pour accompagner les éleveurs de truies biologiques en plein air. Il rassemble 15 fiches techniques qui peuvent être lues séparément et qui abordent les thèmes suivants : 1 - Lélevage de truies biologiques en plein air intégral : quels avantages et quels points de vigilance ? ; 2 - Choisir lélevage en plein air : quelles sont les questions à se poser ? ; 3 - Lorganisation du travail : quelle conduite en bandes et quelles conditions de travail ? ; 4 - Laménagement de la parcelle : quelle disposition des parcs et des couloirs ? ; 5 - Choisir ses abris : pour quels modèles de cabanes opter ? ; 6 - Choisir ses équipements : quels équipements pour lalimentation, labreuvement ou la contention des animaux ? ; 7 - Lutter contre la chaleur et le froid : comment garantir le confort des truies en toutes saisons ? ; 8 - Maintenir le couvert végétal toute lannée : comment limiter le recours aux anneaux de groins ? ; 9 - Lalimentation des truies : quels besoins nutritionnels et quelle conduite alimentaire ? ; 10 - Pâturage et fourrages grossiers : quels apports alimentaires par le pâturage ou la distribution de fourrages ? ; 11 - Renouveler le cheptel reproducteur : quels types génétiques et quelle méthode dauto-renouvellement ? ; 12 - Réussir la reproduction : comment synchroniser les strus par des méthodes naturelles ? ; 13 - De la mise-bas au sevrage : comment intervenir en sécurité sur les porcelets sous la mère ? ; 14 - Hygiène et pathologies en élevage plein air : quelles règles dhygiène et quelle gestion du parasitisme ? ; 15 - Biosécurité et protection contre la faune sauvage : quels dispositifs pour garantir la biosécurité ? Toutes ces fiches ont été réalisées à partir de conseils dexperts et des 25 années dexpérience en plein air intégral de la ferme expérimentale porcine des Trinottières.
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Résultats technico-économiques 2019 de la ferme porcine des Trinottières
Les résultats technico-économiques 2019 de latelier de naissage plein-air biologique de la ferme expérimentale porcine des Trinottières (49) montrent un taux de fécondation et une prolificité des truies très légèrement dégradés, en lien avec la canicule estivale. Cependant, lintervalle sevrage-saillie fécondante sest amélioré, ainsi que la productivité par portée (9,6 porcelets sevrés pour 14,3 nés en moyenne par portée), soit un taux de mortalité de 33 %, au plus bas depuis 3 ans. Il n'en demeure pas moins que le niveau de productivité par truie et par an, avec 16,8 porcelets, sest dégradé en 2019 à cause dune augmentation du nombre davortements durant lété (doù la mise en place dune campagne de vaccination contre la leptospirose en automne 2019). Ceci explique la baisse observée de la marge sur coût alimentaire (647 par truie versus 762 en 2018). Par ailleurs, sur cette ferme expérimentale, dans le cadre du projet GENETRUIBIO, une recherche est menée sur des types génétiques de truies mieux adaptées à lélevage plein-air (pour baisser le taux de pertes sous la mère), dont les premiers résultats seront disponibles en 2021.
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Devautop calcule l'autonomie protéique des élevages
Florence MAUPERTUIS, AuteurDevautop est un outil simple pour calculer lautonomie protéique dans toutes les filières animales : bovins lait, bovins viande, ovins, caprins, porcs et volailles. Un diagnostic se réalise en une heure. En rentrant la consommation daliments, les performances de lélevage et les achats de matières premières, trois indicateurs sont calculés : lautonomie protéique, lefficacité protéique et la provenance géographique de la matière azotée totale (MAT). Devautop est disponible sur demande auprès des Chambres dagriculture des Pays de la Loire et de Bretagne. Il est issu du travail conjoint de lInstitut de lélevage, de Chambres dagriculture, dorganismes de contrôle laitier, des réseaux Civam et GAB.
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Filière porcine biologique française : état des lieux et perspectives
Florence MAUPERTUIS, AuteurUne journée technique sur la production porcine biologique française, co-organisée par lITAB et lIFIP, sest tenue le 15 novembre 2018 à Paris. Elle a été loccasion de dresser un état des lieux de la filière et daborder les perspectives à court terme. La France comptait 10 201 truies bio en 2017 (contre 4 015 en 2005), réparties dans 441 élevages. La première région de production est la Nouvelle-Aquitaine (2 922 truies), suivie de près par les Pays de la Loire (2 662 truies). Concernant la structure des élevages, seulement 4 % dentre eux possèdent plus de 100 truies, mais ceux-ci détiennent 35 % du cheptel national (au contraire, 72 % des élevages ont moins de 20 truies et ne détiennent que 16 % du cheptel national). Le nombre de porcs bio abattus en 2017 était de 115 260. Les abattages prévisionnels sont estimés à 200 000 pour 2019, soit une hausse de 25 %. En 2018, de nouveaux acteurs sont entrés dans la filière avec le développement des systèmes de contractualisation (Leclerc, Intermarché ). Le principal débouché reste les GMS (44 %), loin devant les magasins spécialisés (28 %) et les artisans bouchers charcutiers (13 %). Après une période de forte croissance, le développement de la filière biologique porcine risque dêtre freiné avec lapplication, en 2019, des mesures contre la fièvre porcine africaine et la remise en conformité du parc bâtiment porc bio français (modalités de l'accès au plein-air et application du nouveau règlement bio européen en 2021).
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Incidence de différents dispositifs d'ombrage sur le comportement des truies gestantes biologiques élevées en plein air en période de fortes chaleurs
Florence MAUPERTUIS, AuteurPour améliorer le bien-être des truies élevées en plein air, la Ferme des Trinottières a mené une réflexion sur laménagement de leurs parcours. Un essai a permis de comparer leffet de différents dispositifs dombrage (parasols, voiles dombrage, cabanes, et haies arborées) et d'un dispositif de rafraîchissement (bauge) sur le comportement de truies gestantes en cas de fortes chaleurs. Les résultats montrent que les truies vont très peu sous les parasols : la température ny est pas aussi fraîche quescomptée, la toile du parasol ne permet pas une ventilation optimale et lombre quelle produit est relativement petite, ce qui limite le regroupement des truies alors quelles aiment se reposer en groupe. La bauge est par contre très utilisée, même lorsquelle est au soleil : après sêtre humidifié le corps, les truies retournent à lombre se reposer en groupe. Concernant les haies, les relevés de températures laissent entrevoir des perspectives prometteuses : elles diminuent la température, augmentent lhygrométrie et permettent une ventilation optimale. Lune des perspectives est dailleurs de réitérer ces observations dans un parcours arboré.
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Résultats technico-économiques 2018 de latelier de naissage plein-air biologique de la ferme porcine des Trinottières
Florence MAUPERTUIS, AuteurCet article présente les principaux résultats 2018 de la ferme des Trinottières pour l'atelier de naissage plein-air biologique. Malgré la canicule de l'été 2018, le taux de fécondation et la prolificité des truies se sont améliorés, atteignant une productivité numérique de 20 porcelets sevrés par truie productive par an. Seule la fertilité des truies sest dégradée avec un rallongement de lISSF (intervalle sevrage saillie fécondante) de six jours par rapport à 2017. Enfin, la productivité par portée reste décevante avec seulement 9,4 sevrés pour 15,2 nés totaux, soit un taux de pertes sous la mère qui atteint un record de 38 %. Au niveau de la gestion technico-économique, on observe une amélioration de la marge sur coût alimentaire et renouvellement qui sétablit à 791 par truie en 2018. Un projet, TRUIALOMBRE, est en cours à la ferme des Trinottières, il vise à évaluer limpact de 2 types d'ombrage sur les performances techniques des truies.
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Point sur l'essai de pâturage tournant pour les truies gestantes
Florence MAUPERTUIS, AuteurUn essai sur le pâturage tournant des truies gestantes a été conduit à la ferme expérimentale des Trinottières, au cours des printemps 2016 et 2017. Les truies, par groupe de 7 à 8, ont tourné sur des paddocks de 270m², tous les 3 à 5 jours selon la pousse de lherbe et selon leur capacité dingestion. Les observations montrent que le pâturage de légumineuses a permis de compenser la restriction alimentaire (les truies au pâturage recevaient un aliment concentré pauvre en protéines en quantité limitée, 80 % d'une ration normale) : les niveaux de réserves corporelles constituées des truies au pâturage sont comparables aux truies témoins. Cependant, leur gain de poids vif en gestation est moindre (55kg contre 65kg pour les lots témoins). Pour le corriger, une piste serait de distribuer une ration complète daliment concentré sur les trois dernières semaines de gestation, afin de garantir un apport alimentaire suffisant pour le développement des ftus.
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Résultats technico-économiques 2017 de latelier de naissage plein-air biologique de la ferme porcine des Trinottières
Les résultats technico-économiques 2017 de latelier de naissage plein-air biologique de la ferme expérimentale porcine des Trinottières ont été impactés par la canicule estivale. Cette dernière a notamment entraîné une baisse de la fertilité des truies ou encore un plus fort taux de pertes de ces dernières. Cependant, une charge alimentaire diminuée a limité limpact négatif de ces indicateurs sur la marge sur coût alimentaire par truie, qui sétablit à 586 euros. Cette baisse de la consommation daliments sexplique en partie par la mise en place dun essai pâturage tournant, dans le cadre duquel des truies gestantes ont eu à consommer, pendant 3 mois, une herbe riche en légumineuses. Pour les inciter à pâturer, elles recevaient un aliment plus pauvre en protéines (10.1 % de MAT contre 13.6 %) et en quantité plus réduite. Lanalyse du gain dépaisseur de lard dorsal en gestation a montré que le pâturage de légumineuses a compensé la restriction alimentaire. Par contre, une baisse du gain de poids vif en gestation a été observée sur les femelles ayant pâturé, en lien avec un moindre appétit en fin de gestation. Ce résultat montrerait lintérêt de distribuer, pour les truies au pâturage, une ration complète en aliments concentrés pendant les 3 dernières semaines de gestation.
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Apport densilage de luzerne dans lalimentation des porcs biologiques : appétence et résultats zootechniques
Entre lobligation en AB dapporter des fourrages grossiers aux porcs charcutiers et la recherche dune alimentation 100 % bio, des questions se posent sur lintérêt en élevage porcin biologique de lensilage de luzerne. Ce document présente les résultats de trois essais sur lappétence de Massaï (ensilage particulier de luzerne pouvant être distribué de façon automatique) et les performances zootechniques obtenues, lun à la ferme expérimentale des Trinottières (porcs à lengraissement) et deux à lINRA de Rouille sur des porcelets. Lessai à la ferme des Trinottières portait sur deux lots de 100 porcs, lun témoin et le second avec une ration intégrant du Massaï P8B2 (associant du blé à la luzerne) à hauteur de 20 % de la ration. Les animaux ont été abattus à en moyenne 121 kg de poids vif. Par rapport au lot témoin, la ration avec Massaï amène à plus de gaspillage, une moindre vitesse de croissance, des poids carcasses plus faibles (liés à des organes digestifs plus développés), mais à des carcasses moins grasses, doù une meilleure plus-value de ces dernières. Les essais sur les porcelets à l'INRA concernaient un Massaï intégrant de lorge avec la luzerne. Le premier de ces essais comparait différents taux dincorporation du Massai (15 ou 30 % de la ration brute) et, le second, deux formes de présentation du Massaï (purée ou brins longs). Les résultats obtenus montrent notamment une capacité dingestion insuffisante des porcelets quand le taux de matière sèche (MS) de la ration est inférieur à 77 %, une meilleure appétence des rations avec un Massaï à 27 % de MS, quel que soit son taux dincorporation, et pas deffet sur lappétence selon la forme de présentation du Massaï. Ces résultats amènent à préconiser de distribuer le Massaï à part, (au sol ou à lauge) sans le mélanger à laliment (notamment pour moins de gaspillage). Dans ce cas, cette pratique serait plutôt pour des éleveurs ayant des équipements de manutention de fourrages. Reste à mieux connaître les coûts et le temps de travail liés à cette pratique.