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Auteur Florence MAUPERTUIS |
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Actualité technique - La ferme des Trinottières teste les performances de truies à base de Duroc dans les conditions du naissage plein air biologique
Florence MAUPERTUIS, AuteurEn élevage porcin de plein air biologique, la plupart des truies sont issues de la sélection ayant misé sur la prolificité. Or, une prolificité importante conduit à un nombre de porcelets plus important par portée, et donc à des porcelets plus légers à la naissance, qui survivent parfois mal aux conditions du plein air. Conduit en AB, l'élevage des Trinottières, dans le Maine-et-Loire, a évalué les performances de reproduction d'autres croisements, en introduisant la race Duroc. Ainsi, deux lots ont été comparés à un lot témoin (Large White x Landrace) : un lot de truies Duna (50 % de sang Duroc) et un lot de truies Trina (25 % de sang Duroc). Les truies Trina restent suffisamment prolifiques (15,4 nés totaux par portée contre 16 pour le lot témoin), tout en garantissant un meilleur taux de survie des porcelets à 72 h (81 % contre 73 % pour le lot témoin). Une 3ème année de suivi permettra de confirmer ces résultats en limitant le biais lié à des rangs de portée différents entre les lots. Les performances des porcs charcutiers issus de ces croisements ont aussi été étudiées.
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Des aliments porcelets 100% bio sans tourteau de soja
Florence MAUPERTUIS, AuteurEn vue de l'obligation de passer à une alimentation 100 % bio pour les animaux d'élevage biologique, à l'horizon 2018, les programmes ProtéAB et MonAlimBio se sont penchés sur les apports en protéines dans les rations de porcelets bio. Les impacts techniques et économiques de deux stratégies sans tourteau de soja, éprouvées par des expérimentations au Lycée Nature de la Roche-sur-Yon et dans trois élevages des Pays-de-la-Loire, ont été étudiés. La première stratégie cherche à se passer de levures de brasserie, ce qui implique des apports limités en lysine. Le niveau de croissance est alors plus faible que la référence avec 95 % de produits d'origine biologique, mais il n'y a eu aucune perte de porcelets en post-sevrage. Par ailleurs, les performances en termes de croissance et de coût alimentaire sont globalement meilleures qu'avec la formule témoin 100 % bio, sans lysine mais avec tourteau de soja. La seconde stratégie a étudié l'utilisation combinée de concentré protéique de luzerne Extrabio® et de levures de brasserie. Les performances zootechniques sont alors comparables à celles obtenues avec une alimentation classique à 95 % bio. La disponibilité en concentré protéique de luzerne et l'inexistence de levures de brasserie en bio représentent des freins au développement de cette seconde stratégie d'alimentation.
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Apport densilage de luzerne dans lalimentation des porcs biologiques : appétence et résultats zootechniques
Entre lobligation en AB dapporter des fourrages grossiers aux porcs charcutiers et la recherche dune alimentation 100 % bio, des questions se posent sur lintérêt en élevage porcin biologique de lensilage de luzerne. Ce document présente les résultats de trois essais sur lappétence de Massaï (ensilage particulier de luzerne pouvant être distribué de façon automatique) et les performances zootechniques obtenues, lun à la ferme expérimentale des Trinottières (porcs à lengraissement) et deux à lINRA de Rouille sur des porcelets. Lessai à la ferme des Trinottières portait sur deux lots de 100 porcs, lun témoin et le second avec une ration intégrant du Massaï P8B2 (associant du blé à la luzerne) à hauteur de 20 % de la ration. Les animaux ont été abattus à en moyenne 121 kg de poids vif. Par rapport au lot témoin, la ration avec Massaï amène à plus de gaspillage, une moindre vitesse de croissance, des poids carcasses plus faibles (liés à des organes digestifs plus développés), mais à des carcasses moins grasses, doù une meilleure plus-value de ces dernières. Les essais sur les porcelets à l'INRA concernaient un Massaï intégrant de lorge avec la luzerne. Le premier de ces essais comparait différents taux dincorporation du Massai (15 ou 30 % de la ration brute) et, le second, deux formes de présentation du Massaï (purée ou brins longs). Les résultats obtenus montrent notamment une capacité dingestion insuffisante des porcelets quand le taux de matière sèche (MS) de la ration est inférieur à 77 %, une meilleure appétence des rations avec un Massaï à 27 % de MS, quel que soit son taux dincorporation, et pas deffet sur lappétence selon la forme de présentation du Massaï. Ces résultats amènent à préconiser de distribuer le Massaï à part, (au sol ou à lauge) sans le mélanger à laliment (notamment pour moins de gaspillage). Dans ce cas, cette pratique serait plutôt pour des éleveurs ayant des équipements de manutention de fourrages. Reste à mieux connaître les coûts et le temps de travail liés à cette pratique.
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Atelier naissage plein air des Trino : résultats technico-économiques 2014
Florence MAUPERTUIS, AuteurLa ferme expérimentale des Trinottières, dans les Pays-de-la-Loire, compte un atelier de naissage plein air porcin, converti à l'agriculture biologique en 2012. Dans cet article, les résultats 2014 de Gestion Technique des Troupeaux de Truies (GTTT) et de Gestion Technico-Economique (GTE) de la ferme sont comparés à la moyenne nationale des élevages naisseurs conventionnels (absence de références nationales disponibles en bio). Certains résultats (productivité numérique, nombre de sevrés par portée...) sont inférieurs à ceux de la moyenne des élevages conventionnels, du fait des spécificités de l'élevage biologique et de plein air, mais les résultats de gestion technico-économiques restent globalement satisfaisants : poids des porcelets plus élevé au sevrage, meilleur indice de consommation global, marge sur coût alimentaire supérieure... Une comparaison des performances de productivité numérique entre deux types génétiques présents sur la ferme des Trinottières, Adénia (Large White x Landrace) et Trina (50 % Large White, 25 % Landrace, 25 % Duroc), est présentée.
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En bio, les truies 3 voies Duroc sont plus performantes
Florence MAUPERTUIS, AuteurEn élevage porcin biologique, une trop forte prolificité peut s'avérer pénalisante. En effet, elle conduit souvent à des porcelets légers et peu vigoureux, qui peuvent avoir des difficultés à survivre en conditions d'élevage plein air. Dans le cadre du projet Duroc Plein Air Bio, la ferme expérimentale des Trinottières (49) s'est penchée sur les performances de truies 3 voies Duroc, autrement appelées Trina, issues du croisement des races Duroc (25 %), Landrace (25 %) et Large White (50 %). Elles ont donné naissance à des porcelets plus lourds et plus vigoureux, avec un meilleur taux de survie, que les truies Large White x Landrace couramment utilisées.
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Devautop calcule l'autonomie protéique des élevages
Florence MAUPERTUIS, AuteurDevautop est un outil simple pour calculer lautonomie protéique dans toutes les filières animales : bovins lait, bovins viande, ovins, caprins, porcs et volailles. Un diagnostic se réalise en une heure. En rentrant la consommation daliments, les performances de lélevage et les achats de matières premières, trois indicateurs sont calculés : lautonomie protéique, lefficacité protéique et la provenance géographique de la matière azotée totale (MAT). Devautop est disponible sur demande auprès des Chambres dagriculture des Pays de la Loire et de Bretagne. Il est issu du travail conjoint de lInstitut de lélevage, de Chambres dagriculture, dorganismes de contrôle laitier, des réseaux Civam et GAB.
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Dossier : Porc bio : La filière bio se structure
Dominique POILVET, Auteur ; Florence MAUPERTUIS, Auteur ; Claudine GERARD, AuteurCe dossier regroupe divers articles portant sur l'évolution de la structuration de la filière bio en production porcine. Le premier article porte sur le contexte actuel et souligne certains points clés : une demande en porcs biologiques soutenue, une production encore marginale (0,4 % de la production de porc est du porc bio en France), 15 % de cette production commercialisée en vente directe, un prix de vente des porcs charcutiers bio déconnecté du marché du porc breton et fixé essentiellement en fonction du coût des aliments Un second article présente les grandes lignes du nouveau cahier des charges bio en application depuis le 1er janvier 2009, notamment le lien au sol, la part possible d'aliment non-bio, les traitements, l'utilisation partielle de caillebotis, l'âge d'abattage, la mixité bio/non-bio, la durée de conversion des parcours, l'origine des porcelets et des cochettes, l'âge du sevrage, les surfaces minimales en bâtiment, la surface de l'aire d'exercice extérieure ou par truie en lactation. Les autres articles présentent les témoignages de divers acteurs de la filière porc Bio, notamment ceux d'exploitants qui relatent leur propre expérience en terme d'installation, de maîtrise de coût de production ou de commercialisation en circuit court ou long.
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Efficacité comparée de différentes méthodes de lutte contre les ascaris en élevage porcin biologique. Deuxième volet : comparaison de différentes solutions alternatives
En élevage porcin biologique, laccès à l'extérieur des animaux demande une bonne gestion du parasitisme, notamment à cause de limpact des ascaris, vers ronds intestinaux, qui peuvent amener à des saisies de foies à labattage. Le projet Ascaris Porc Bio, piloté par la Chambre dAgriculture des Pays de la Loire, en partenariat avec la CAVAC, vise à mener une étude comparative sur différentes méthodes de lutte contre les ascaris, en sappuyant sur l'élevage post-sevreur engraisseur du Lycée agricole Nature (85) qui compte des parcours enherbés accessibles aux porcs, doù une plus forte pression parasitaire qu'en courettes bétonnées. Les résultats présentés portent sur le second volet du projet et concernent la comparaison de quatre traitements alternatifs : farine de sainfoin, teinture mère dail, complexe dhuiles essentielles B14PR3 et un complexe dhuiles essentielles Fytofree. Chaque lot traité avec lun de ces traitements alternatifs est comparé à un lot témoin ayant reçu un produit à base de Fenbendazole. Dans tous les cas, les lots de l'essai et les lots témoins montrent un important parasitisme, avec notamment la saisie de 100 % des foies à labattoir. Ceci sexplique par la forte pression parasitaire liée à ces parcours enherbés. Ainsi, pour lélevage porteur de lessai, la gestion parasitaire passera par la mise en place, en parallèle des traitements, de solutions pour réduire linfestation parasitaire dans le milieu. Cependant, lessai a montré que les animaux traités avec des solutions alternatives présentaient de meilleures performances zootechniques que les lots témoins traités au Fenbendazole (ex : taux de pertes sevrage-vente en moyenne 7 fois plus faibles), malgré la forte charge parasitaire. Une exception : la poudre de sainfoin, mais sa moindre appétence dans la ration peut expliquer ce résultat.
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Efficacité comparée de différentes méthodes de lutte contre les ascaris en élevage porcin biologique. Premier volet : différentes modalités de traitement utilisant un produit allopathique biocompatible
En élevage porcin biologique, laccès à l'extérieur des animaux demande une bonne gestion du parasitisme, notamment à cause de limpact des ascaris, vers ronds intestinaux, qui peuvent amener à des saisies de foies à labattage, ce qui empêche de les intégrer à la charcuterie. Le projet Ascaris Porc Bio, piloté par la Chambre dAgriculture des Pays de la Loire, en partenariat avec la CAVAC, vise à mener une étude comparative sur différentes méthodes de lutte contre les ascaris. Il sappuie sur l'élevage post-sevreur engraisseur du Lycée agricole Nature (85) qui compte des parcours enherbés accessibles aux porcs, doù une plus forte pression parasitaire qu'avec des courettes bétonnées. Les résultats présentés portent sur un essai conduit en 2015 sur lutilisation dun antiparasitaire allopathique, soluble dans leau et dont la molécule active est le Fenbendazole. Les résultats obtenus montrent lintérêt de traiter les animaux à lentrée dengraissement sur une durée de 5 jours (effet larvicide). Ils montrent aussi quun tel traitement mené en routine saccompagne dune diminution régulière de la pression parasitaire, le traitement amenant à une baisse du nombre danimaux excréteurs et donc une moindre contamination du milieu. Il est probable que, dans le cas du Lycée Nature, pratiquer un tel traitement sur plusieurs bandes de porcs permettrait de réduire le niveau dinfestation parasitaire et, à terme, denvisager de maintenir une faible pression parasitaire par des traitements alternatifs.
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Ensilage de luzerne dans l'alimentation des porcs charcutiers biologiques : faisabilité et intérêt
Florence MAUPERTUIS, AuteurLe cahier des charges de la production porcine bio impose la distribution de fourrages grossiers aux porcs charcutiers. Le projet LUZPORC, piloté par la Chambre dAgriculture des Pays de la Loire, étudie la faisabilité de la distribution densilage de luzerne en élevage de porcs, en cherchant à valoriser au mieux lincorporation de ce fourrage dans la ration. Cet article présente le protocole de lessai réalisé à la ferme des Trinottières et les premiers résultats obtenus. Des résultats plus complets, dun point de vue économique notamment, seront disponibles ultérieurement. La réalisation dun ensilage de luzerne (partie feuillue) et de céréales est techniquement faisable, son incorporation à lalimentation des porcs lest aussi, mais, au vu de ses valeurs alimentaires, celui-ci ne peut pas remplacer entièrement laliment de croissance. Un article détaillant de manière plus développée tous ces aspects est disponible sur le site de la Chambre dAgriculture des Pays de la Loire, rubrique publications AB.
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Faisabilité et intérêt de lapport densilage de luzerne dans lalimentation de porcs charcutiers
Dans le cadre du projet LUZPORC, conduit par la Chambre dAgriculture des Pays de la Loire, un essai a été mené sur la ferme expérimentale des Trinottières (49), en partenariat avec la société TrustIng. Cet essai visait à évaluer la faisabilité de lapport densilage de luzerne dans lalimentation de porcs charcutiers. La luzerne a été récoltée avec une machine de récolte fractionnée (MRF), qui sépare les feuilles et parties aériennes des tiges (parties aériennes riches en protéines ou parèp), des tiges de la luzerne (riches en fibres). Les parèp sont ensuite mélangées à une autre matière première afin de constituer un aliment appelé massaï (majeure alternative simple au soja actuellement importé), qui subira une fermentation anaérobie lactique (ensilage). Dans cet essai, le massaï réalisé contenait 80 % de parèp et 20 % de blé broyé (en poids bruts). Ses caractéristiques et conditions de conservation, ainsi que ses valeurs nutritionnelles après trois mois de conservation en silo, sont détaillées dans cet article. Des aspects liés au temps de travail et à lapproche économique sont également présentés. Il reste notamment des solutions à trouver concernant la mécanisation de la reprise et de la distribution du massaï, produit très humide (39 % MS), afin que les éleveurs porcins puissent lutiliser dans des conditions de travail acceptables.
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Filière porcine biologique française : état des lieux et perspectives
Florence MAUPERTUIS, AuteurUne journée technique sur la production porcine biologique française, co-organisée par lITAB et lIFIP, sest tenue le 15 novembre 2018 à Paris. Elle a été loccasion de dresser un état des lieux de la filière et daborder les perspectives à court terme. La France comptait 10 201 truies bio en 2017 (contre 4 015 en 2005), réparties dans 441 élevages. La première région de production est la Nouvelle-Aquitaine (2 922 truies), suivie de près par les Pays de la Loire (2 662 truies). Concernant la structure des élevages, seulement 4 % dentre eux possèdent plus de 100 truies, mais ceux-ci détiennent 35 % du cheptel national (au contraire, 72 % des élevages ont moins de 20 truies et ne détiennent que 16 % du cheptel national). Le nombre de porcs bio abattus en 2017 était de 115 260. Les abattages prévisionnels sont estimés à 200 000 pour 2019, soit une hausse de 25 %. En 2018, de nouveaux acteurs sont entrés dans la filière avec le développement des systèmes de contractualisation (Leclerc, Intermarché ). Le principal débouché reste les GMS (44 %), loin devant les magasins spécialisés (28 %) et les artisans bouchers charcutiers (13 %). Après une période de forte croissance, le développement de la filière biologique porcine risque dêtre freiné avec lapplication, en 2019, des mesures contre la fièvre porcine africaine et la remise en conformité du parc bâtiment porc bio français (modalités de l'accès au plein-air et application du nouveau règlement bio européen en 2021).
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Des formules pour porcs charcutiers sans tourteau de soja
Florence MAUPERTUIS, AuteurLa ferme expérimentale porcine des Trinottières, à Montreuil-sur-Loir (49), a expérimenté deux types d'aliments d'engraissement conventionnels dont l'un sans tourteau de soja. Les résultats montrent que, d'un point de vue technique, les formules sans soja conduisent à un gain moyen quotidien plus faible et un indice de consommation plus élevé du fait de leur richesse en énergie moindre, mais le poids froid moyen de la carcasse était de 87,2 kg pour les deux régimes. En effet, l'âge de l'abattage est légèrement plus élevé (+2,2 jours) pour les porcs nourris avec les formules sans soja. D'un point de vue économique, la plus value globale Uniporc est supérieure pour les porcs nourris sans soja mais, concernant le coût d'achat de l'aliment, la volatilité des prix ne permet pas de conclure sur l'intérêt économique des formules sans soja.
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Impact d'une formule 2ème âge 100 % AB sans tourteau de soja sur les performances d'élevage et les résultats d'abattage des porcs
Florence MAUPERTUIS, AuteurLe projet Monalim a pour objectif d'étudier l'impact d'une formulation 2ème âge 100 % biologique sans tourteau de soja dans trois élevages porcins bio des Pays de la Loire. Les formules utilisent 10 à 13 % de Concentré Protéique de Luzerne (CPL, il contient 50 % de matière azotée totale) en substitution partielle ou totale du soja. En post-sevrage, les lots alimentés au CPL ont de meilleures performances dans deux élevages sur trois, alors que le coût de cet aliment n'est que de 2 % supérieur à une formulation classique à 95 % bio. L'enjeu principal est la disponibilité du CPL si ce type de ration vient à se généraliser.
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Incidence de différents dispositifs d'ombrage sur le comportement des truies gestantes biologiques élevées en plein air en période de fortes chaleurs
Florence MAUPERTUIS, AuteurPour améliorer le bien-être des truies élevées en plein air, la Ferme des Trinottières a mené une réflexion sur laménagement de leurs parcours. Un essai a permis de comparer leffet de différents dispositifs dombrage (parasols, voiles dombrage, cabanes, et haies arborées) et d'un dispositif de rafraîchissement (bauge) sur le comportement de truies gestantes en cas de fortes chaleurs. Les résultats montrent que les truies vont très peu sous les parasols : la température ny est pas aussi fraîche quescomptée, la toile du parasol ne permet pas une ventilation optimale et lombre quelle produit est relativement petite, ce qui limite le regroupement des truies alors quelles aiment se reposer en groupe. La bauge est par contre très utilisée, même lorsquelle est au soleil : après sêtre humidifié le corps, les truies retournent à lombre se reposer en groupe. Concernant les haies, les relevés de températures laissent entrevoir des perspectives prometteuses : elles diminuent la température, augmentent lhygrométrie et permettent une ventilation optimale. Lune des perspectives est dailleurs de réitérer ces observations dans un parcours arboré.