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Auteur Florence MAUPERTUIS |
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Efficacité comparée de différentes méthodes de lutte contre les ascaris en élevage porcin biologique. Deuxième volet : comparaison de différentes solutions alternatives
En élevage porcin biologique, laccès à l'extérieur des animaux demande une bonne gestion du parasitisme, notamment à cause de limpact des ascaris, vers ronds intestinaux, qui peuvent amener à des saisies de foies à labattage. Le projet Ascaris Porc Bio, piloté par la Chambre dAgriculture des Pays de la Loire, en partenariat avec la CAVAC, vise à mener une étude comparative sur différentes méthodes de lutte contre les ascaris, en sappuyant sur l'élevage post-sevreur engraisseur du Lycée agricole Nature (85) qui compte des parcours enherbés accessibles aux porcs, doù une plus forte pression parasitaire qu'en courettes bétonnées. Les résultats présentés portent sur le second volet du projet et concernent la comparaison de quatre traitements alternatifs : farine de sainfoin, teinture mère dail, complexe dhuiles essentielles B14PR3 et un complexe dhuiles essentielles Fytofree. Chaque lot traité avec lun de ces traitements alternatifs est comparé à un lot témoin ayant reçu un produit à base de Fenbendazole. Dans tous les cas, les lots de l'essai et les lots témoins montrent un important parasitisme, avec notamment la saisie de 100 % des foies à labattoir. Ceci sexplique par la forte pression parasitaire liée à ces parcours enherbés. Ainsi, pour lélevage porteur de lessai, la gestion parasitaire passera par la mise en place, en parallèle des traitements, de solutions pour réduire linfestation parasitaire dans le milieu. Cependant, lessai a montré que les animaux traités avec des solutions alternatives présentaient de meilleures performances zootechniques que les lots témoins traités au Fenbendazole (ex : taux de pertes sevrage-vente en moyenne 7 fois plus faibles), malgré la forte charge parasitaire. Une exception : la poudre de sainfoin, mais sa moindre appétence dans la ration peut expliquer ce résultat.
Ensilage de luzerne dans l'alimentation des porcs charcutiers biologiques : faisabilité et intérêt
Florence MAUPERTUIS, AuteurLe cahier des charges de la production porcine bio impose la distribution de fourrages grossiers aux porcs charcutiers. Le projet LUZPORC, piloté par la Chambre dAgriculture des Pays de la Loire, étudie la faisabilité de la distribution densilage de luzerne en élevage de porcs, en cherchant à valoriser au mieux lincorporation de ce fourrage dans la ration. Cet article présente le protocole de lessai réalisé à la ferme des Trinottières et les premiers résultats obtenus. Des résultats plus complets, dun point de vue économique notamment, seront disponibles ultérieurement. La réalisation dun ensilage de luzerne (partie feuillue) et de céréales est techniquement faisable, son incorporation à lalimentation des porcs lest aussi, mais, au vu de ses valeurs alimentaires, celui-ci ne peut pas remplacer entièrement laliment de croissance. Un article détaillant de manière plus développée tous ces aspects est disponible sur le site de la Chambre dAgriculture des Pays de la Loire, rubrique publications AB.
Faisabilité et intérêt de lapport densilage de luzerne dans lalimentation de porcs charcutiers
Dans le cadre du projet LUZPORC, conduit par la Chambre dAgriculture des Pays de la Loire, un essai a été mené sur la ferme expérimentale des Trinottières (49), en partenariat avec la société TrustIng. Cet essai visait à évaluer la faisabilité de lapport densilage de luzerne dans lalimentation de porcs charcutiers. La luzerne a été récoltée avec une machine de récolte fractionnée (MRF), qui sépare les feuilles et parties aériennes des tiges (parties aériennes riches en protéines ou parèp), des tiges de la luzerne (riches en fibres). Les parèp sont ensuite mélangées à une autre matière première afin de constituer un aliment appelé massaï (majeure alternative simple au soja actuellement importé), qui subira une fermentation anaérobie lactique (ensilage). Dans cet essai, le massaï réalisé contenait 80 % de parèp et 20 % de blé broyé (en poids bruts). Ses caractéristiques et conditions de conservation, ainsi que ses valeurs nutritionnelles après trois mois de conservation en silo, sont détaillées dans cet article. Des aspects liés au temps de travail et à lapproche économique sont également présentés. Il reste notamment des solutions à trouver concernant la mécanisation de la reprise et de la distribution du massaï, produit très humide (39 % MS), afin que les éleveurs porcins puissent lutiliser dans des conditions de travail acceptables.
Résultats technico-économiques 2016 de latelier de naissage plein-air biologique de la ferme porcine des Trinottières
Les résultats technico-économiques 2016 de lélevage naisseur plein-air biologique des Trinottières ont été impactés par deux éléments majeurs : la canicule estivale et une disponibilité moindre en cochettes dauto-renouvellement, amenant à une augmentation de lâge du cheptel. Les diverses données chiffrées présentées montrent, notamment, une productivité numérique plus faible de 1.9 porcelets par truie productive ou encore un nombre danimaux sevrés par portée ramené à 9.3 en moyenne. Malgré tout, la productivité par truie présente reste stable. Une étude est aussi menée sur cet élevage sur leffet du type génétique de la truie sur les performances. Les truies 3 voies auto-renouvelées (50 % Large White 25% Landrace 25 % Duroc) sèvrent en moyenne 0.9 porcelets en plus que les truies Large White croisées Landrace. Ceci sexplique par les « plus » de la race Duroc : meilleures qualités maternelles des mères et meilleure vigueur des porcelets à la naissance.
Efficacité comparée de différentes méthodes de lutte contre les ascaris en élevage porcin biologique. Premier volet : différentes modalités de traitement utilisant un produit allopathique biocompatible
En élevage porcin biologique, laccès à l'extérieur des animaux demande une bonne gestion du parasitisme, notamment à cause de limpact des ascaris, vers ronds intestinaux, qui peuvent amener à des saisies de foies à labattage, ce qui empêche de les intégrer à la charcuterie. Le projet Ascaris Porc Bio, piloté par la Chambre dAgriculture des Pays de la Loire, en partenariat avec la CAVAC, vise à mener une étude comparative sur différentes méthodes de lutte contre les ascaris. Il sappuie sur l'élevage post-sevreur engraisseur du Lycée agricole Nature (85) qui compte des parcours enherbés accessibles aux porcs, doù une plus forte pression parasitaire qu'avec des courettes bétonnées. Les résultats présentés portent sur un essai conduit en 2015 sur lutilisation dun antiparasitaire allopathique, soluble dans leau et dont la molécule active est le Fenbendazole. Les résultats obtenus montrent lintérêt de traiter les animaux à lentrée dengraissement sur une durée de 5 jours (effet larvicide). Ils montrent aussi quun tel traitement mené en routine saccompagne dune diminution régulière de la pression parasitaire, le traitement amenant à une baisse du nombre danimaux excréteurs et donc une moindre contamination du milieu. Il est probable que, dans le cas du Lycée Nature, pratiquer un tel traitement sur plusieurs bandes de porcs permettrait de réduire le niveau dinfestation parasitaire et, à terme, denvisager de maintenir une faible pression parasitaire par des traitements alternatifs.
Porc bio : résultats technico-économiques 2015 de l'atelier de naissage plein-air biologique de la ferme porcine des Trinottières
Florence MAUPERTUIS, AuteurLa ferme expérimentale des Trinottières, dans le Maine-et-Loire, possède un atelier naissage plein-air porcin en agriculture biologique. Les résultats technico-économiques concernant la Gestion Technique des Troupeaux de Truies (productivité numérique, nombre de sevrés par portée, taux de pertes sur nés totaux, intervalle sevrage-saillie fécondante, nombre de portées par truie réformée, âge de la première mise-bas), et la Gestion Technico-Economique (productivité par truie présente, taux de pertes des truies, consommation annuelle d'aliment par truie, marge sur coût alimentaire et renouvellement, prix de vente du porcelet au sevrage) sont présentés dans cet article. Les résultats de la campagne 2015 sont comparés à ceux de la campagne 2014 et aux résultats nationaux des élevages porcins biologiques (ITAB/IFIP 2014). Par ailleurs, le cheptel des Trinottières compte deux types génétiques principaux : - des truies Adenia (Large White × Landrace) ; - et des truies Trina (50 % Large White × 25 % Landrace × 25 % Duroc). Les principales performances de productivité numérique pour ces deux types génétiques sont également comparées.
Des aliments porcelets 100% bio sans tourteau de soja
Florence MAUPERTUIS, AuteurEn vue de l'obligation de passer à une alimentation 100 % bio pour les animaux d'élevage biologique, à l'horizon 2018, les programmes ProtéAB et MonAlimBio se sont penchés sur les apports en protéines dans les rations de porcelets bio. Les impacts techniques et économiques de deux stratégies sans tourteau de soja, éprouvées par des expérimentations au Lycée Nature de la Roche-sur-Yon et dans trois élevages des Pays-de-la-Loire, ont été étudiés. La première stratégie cherche à se passer de levures de brasserie, ce qui implique des apports limités en lysine. Le niveau de croissance est alors plus faible que la référence avec 95 % de produits d'origine biologique, mais il n'y a eu aucune perte de porcelets en post-sevrage. Par ailleurs, les performances en termes de croissance et de coût alimentaire sont globalement meilleures qu'avec la formule témoin 100 % bio, sans lysine mais avec tourteau de soja. La seconde stratégie a étudié l'utilisation combinée de concentré protéique de luzerne Extrabio® et de levures de brasserie. Les performances zootechniques sont alors comparables à celles obtenues avec une alimentation classique à 95 % bio. La disponibilité en concentré protéique de luzerne et l'inexistence de levures de brasserie en bio représentent des freins au développement de cette seconde stratégie d'alimentation.
Atelier naissage plein air des Trino : résultats technico-économiques 2014
Florence MAUPERTUIS, AuteurLa ferme expérimentale des Trinottières, dans les Pays-de-la-Loire, compte un atelier de naissage plein air porcin, converti à l'agriculture biologique en 2012. Dans cet article, les résultats 2014 de Gestion Technique des Troupeaux de Truies (GTTT) et de Gestion Technico-Economique (GTE) de la ferme sont comparés à la moyenne nationale des élevages naisseurs conventionnels (absence de références nationales disponibles en bio). Certains résultats (productivité numérique, nombre de sevrés par portée...) sont inférieurs à ceux de la moyenne des élevages conventionnels, du fait des spécificités de l'élevage biologique et de plein air, mais les résultats de gestion technico-économiques restent globalement satisfaisants : poids des porcelets plus élevé au sevrage, meilleur indice de consommation global, marge sur coût alimentaire supérieure... Une comparaison des performances de productivité numérique entre deux types génétiques présents sur la ferme des Trinottières, Adénia (Large White x Landrace) et Trina (50 % Large White, 25 % Landrace, 25 % Duroc), est présentée.
En bio, les truies 3 voies Duroc sont plus performantes
Florence MAUPERTUIS, AuteurEn élevage porcin biologique, une trop forte prolificité peut s'avérer pénalisante. En effet, elle conduit souvent à des porcelets légers et peu vigoureux, qui peuvent avoir des difficultés à survivre en conditions d'élevage plein air. Dans le cadre du projet Duroc Plein Air Bio, la ferme expérimentale des Trinottières (49) s'est penchée sur les performances de truies 3 voies Duroc, autrement appelées Trina, issues du croisement des races Duroc (25 %), Landrace (25 %) et Large White (50 %). Elles ont donné naissance à des porcelets plus lourds et plus vigoureux, avec un meilleur taux de survie, que les truies Large White x Landrace couramment utilisées.
Production porcine biologique : Peut-on fabriquer des aliments porcelets 100% AB sans tourteau de soja ?
Florence MAUPERTUIS, Auteur ; Anna BORDES, AuteurQuelles alternatives au tourteau de soja importé dans l'alimentation des porcelets, dans un contexte de passage à l'alimentation 100 % AB à venir ? Les résultats de trois essais d'aliments 2ème âge 100 % AB, avec la même formule témoin 100 % AB contenant du tourteau de soja importé, sont présentés. Tous ces aliments ont été formulés sans levures conventionnelles. Les trois formules testées contenaient, soit 15% de féverole et 12 % de graines de soja extrudées, soit 10 % de féverole et 12 % de concentré protéique de luzerne (CPL), soit 10 % de graines de soja extrudées et 10 % de CPL. Les résultats montrent que ces formules permettent de meilleures performances de croissance en post-sevrage par rapport à la formule témoin, pour un coût alimentaire comparable, voire inférieur. Par ailleurs, malgré des performances moindres avec ces formules 100 % AB en post-sevrage (par rapport à un aliment 95 % AB), les performances sevrage-vente sont comparables. En effet, les retards pris en post-sevrage sont partiellement, voire totalement rattrapés en engraissement. De nouveaux essais sont prévus sur une conduite alimentaire sevrage-vente simplifiée, supprimant l'aliment 2ème âge, difficile à équilibrer en 100 % AB.
Actualité technique - La ferme des Trinottières teste les performances de truies à base de Duroc dans les conditions du naissage plein air biologique
Florence MAUPERTUIS, AuteurEn élevage porcin de plein air biologique, la plupart des truies sont issues de la sélection ayant misé sur la prolificité. Or, une prolificité importante conduit à un nombre de porcelets plus important par portée, et donc à des porcelets plus légers à la naissance, qui survivent parfois mal aux conditions du plein air. Conduit en AB, l'élevage des Trinottières, dans le Maine-et-Loire, a évalué les performances de reproduction d'autres croisements, en introduisant la race Duroc. Ainsi, deux lots ont été comparés à un lot témoin (Large White x Landrace) : un lot de truies Duna (50 % de sang Duroc) et un lot de truies Trina (25 % de sang Duroc). Les truies Trina restent suffisamment prolifiques (15,4 nés totaux par portée contre 16 pour le lot témoin), tout en garantissant un meilleur taux de survie des porcelets à 72 h (81 % contre 73 % pour le lot témoin). Une 3ème année de suivi permettra de confirmer ces résultats en limitant le biais lié à des rangs de portée différents entre les lots. Les performances des porcs charcutiers issus de ces croisements ont aussi été étudiées.
Impact d'une formule 2ème âge 100 % AB sans tourteau de soja sur les performances d'élevage et les résultats d'abattage des porcs
Florence MAUPERTUIS, AuteurLe projet Monalim a pour objectif d'étudier l'impact d'une formulation 2ème âge 100 % biologique sans tourteau de soja dans trois élevages porcins bio des Pays de la Loire. Les formules utilisent 10 à 13 % de Concentré Protéique de Luzerne (CPL, il contient 50 % de matière azotée totale) en substitution partielle ou totale du soja. En post-sevrage, les lots alimentés au CPL ont de meilleures performances dans deux élevages sur trois, alors que le coût de cet aliment n'est que de 2 % supérieur à une formulation classique à 95 % bio. L'enjeu principal est la disponibilité du CPL si ce type de ration vient à se généraliser.
Quels besoins de recherche en élevage porcin bio ?
Stéphane FERCHAUD, Auteur ; Florence MAUPERTUIS, Auteur ; Antoine ROINSARD, AuteurLa filière porcine biologique reste marginale en France, avec 432 exploitations en 2012 (0,6 % du cheptel national). Cette filière possède pourtant un potentiel fort, bloqué aujourd'hui par divers freins techniques. Afin de mieux identifier ces freins, l'unité GenESI de l'Inra (Génétique, Expérimentation et Système Innovants) et les Chambres d'agriculture des Pays-de-la-Loire ont réalisé des enquêtes auprès d'une vingtaine d'éleveurs porcins bio. Les besoins identifiés concernent : - la reproduction (mieux gérer l'hyperprolificité, synchroniser les chaleurs de manière compatible avec l'AB, limiter l'écrasement des porcelets) ; - les soins (trouver des alternatives à la castration, mieux gérer le parasitisme, proposer des solutions pour une alimentation 100 % bio et développer de nouvelles matières premières) ; - et la production de références technico-économiques. D'autres programmes de recherche, des groupes d'échanges mis en place par la Chambre d'agriculture des Pays-de-la-Loire, et la commission élevage de l'Itab travaillent également sur ces besoins en recherche/développement pour la filière porcine biologique.
Vers une alimentation 100 % AB en élevage porcin biologique
Le sujet de l'alimentation 100% biologique des porcs est actuellement au centre de nombreux débats : il mobilise et questionne tous les acteurs de la filière porcine biologique, en quête de solutions, de l'éleveur au distributeur, en passant par les fabricants d'aliments du bétail et les transformateurs. Il inquiète également, car l'enjeu, qui consiste à remplacer les 5 % de matières premières conventionnelles riches en protéines actuellement utilisables par dérogation, par des matières premières biologiques, est prépondérant pour le développement de cette filière dans les années à venir. Pour aider à cette transition, plusieurs programmes de recherche ont été initiés à partir de 2010. Les programmes CASDAR ProtéAB (IBB), PorcBio (IFIP), le programme régional Pays de la Loire Monalim Bio (CRA Pays de la Loire), et le programme européen Core Organic ICOPP (ITAB) ont fait l'objet d'une 1ère restitution, à Rennes, le 20 mai 2014, organisée par l'ITAB, IBB, l'IFIP et les Chambres d'Agriculture des Pays de la Loire. Le document correspond aux actes de cette journée, il est organisé en 6 parties : - Quelles matières premières biologiques pour équilibrer les rations ? ; - Quelles stratégies de formulation pour quelles performances ? ; - Pratiques alimentaires et autonomie protéique dans différents pays d'Europe ; - La production porcine biologique en Autriche. Les défis actuels et les travaux de recherche ; - Produire des légumineuses à graines pour l'alimentation porcine biologique. Atouts et contraintes ; - Développer l'autonomie protéique des élevages porcins en FAF grâce aux légumineuses à graines. Les apports du programme ProtéAB.
Usage du kéfir en élevage porcin et laitier
Florence MAUPERTUIS, AuteurLe kéfir est un produit originaire du Caucase, qui contient une trentaine de germes aux effets probiotiques. En élevage, il peut être utilisé chez les jeunes animaux. Une formation et une expérimentation sont menées par les Chambres d'agriculture de Mayenne et de Loire-Atlantique sur le sujet, respectivement en élevage de bovins lait et de porcins. Chez le jeune veau, le kéfir permet un ensemencement précoce pour une flore intestinale à effet positif. Chez les porcelets, l'administration de kéfir au sevrage a permis d'atteindre des performances de post-sevrage plutôt meilleures que sans utilisation de ce produit : niveau de consommation plus élevé et poids de sortie supérieur de 0,70 kg. La recette de la solution de kéfir, disponible dans le commerce sous forme de poudre, est donnée dans cet article.