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Auteur Claudia FRICK |
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Prairies riches en espèces grâce à des vaches Highlands extensives
Claudia FRICK, AuteurEn Suisse, Albert et Barbara Brawand élèvent en bio plusieurs dizaines de vaches Highlands, sur une ferme de 46 ha d’herbe, et 40 ha d’alpages en location. Les Higlands ont été introduites sur cette ferme dès 1995. Selon la famille Brawand, cette race est particulièrement adaptée à l’alpage. Elle est rustique, capable de rester sans abri toute une saison, suffisamment agile pour s’adapter aux pentes, et son régime alimentaire s’adapte aux prairies pauvres (graminées, chardons, etc.). Selon une étude d’Agroscope, cette race, dans les prairies d’alpages, permet de mieux préserver la biodiversité, comparée à d’autres races plus productives (Angus-Holstein, Brune d’Origine), notamment grâce à un piétinement faible, et à un régime alimentaire diversifié. Pour finir, le caractère docile des Highlands permet à la famille Brawand d’organiser des visites sur la ferme.
Contribuer à protéger le climat ; Ensemble contre le réchauffement ; Savoir pour pouvoir
Claudia FRICK, Auteur ; René SCHULTE, AuteurCe dossier regroupe trois articles qui traitent du lien entre agriculture et changement climatique en Suisse. Le premier article explique pourquoi il est nécessaire que l’agriculture réduise ses émissions de gaz à effet de serre (GES) et quel rôle peut jouer l’agriculture biologique dans cette réduction. Il décrit également comment la politique agricole peut aider à impulser des changements et comment les consommateurs peuvent eux aussi contribuer à cet effort. Le deuxième article dépeint plusieurs exemples de mesures mises en place par des membres de l’association AgroCO2ncept pour réduire leurs émissions de GES (AgroCO2ncept est une association suisse qui regroupe 24 fermes qui ont pour objectif de diminuer de 20 % leurs émissions de dioxyde de carbone, de méthane et de protoxyde d’azote) : favoriser l’humification en limitant le travail du sol (mulch, semis direct…), fertiliser les parcelles à l’aide d’engrais verts, réduire les émissions de méthane des bovins en leur donnant du charbon végétal… Enfin, le dernier article porte sur les formations professionnelles agricoles suisses. Actuellement, le changement climatique n’est pas inscrit au programme, il est toutefois abordé par des enseignants volontaires qui intègrent cette thématique dans leurs cours (comprendre les impacts du changement climatique, étudier des leviers pour diminuer les émissions de GES au sein de sa ferme…). Cependant, ceci pourrait bientôt changer : le plan de formation va être révisé et va probablement inclure cette notion.
Davantage qu’une source de nutriments
Claudia FRICK, AuteurEn production végétale, la sélection génétique est principalement orientée vers la recherche de gènes de résistance. Néanmoins, les interactions entre les plantes et les microorganismes du sol (champignons et bactéries) ne sont pas à négliger dans la quête de variétés résistantes. En Suisse, Pierre Hohmann, responsable scientifique du Groupe de Sélection végétale du FiBL, réalise des recherches sur ces interactions. Il les étudie plus particulièrement pour trouver des souches de pois résistantes à la fatigue du sol. Cette maladie, qui touche les légumineuses, est due à plusieurs agents pathogènes du sol du genre Fusarium et Aphanomyces. Au total, 300 souches de pois ont été testées et une dizaine d’entre elles se sont avérées tolérantes à la fatigue du sol. Les analyses ont également démontré que les souches peu touchées avaient nettement plus de champignons mycorhiziens sur leurs racines que les souches malades. Une autre expérimentation a consisté à épandre des spores de champignons mycorhiziens sur des parcelles, avec pour résultats une augmentation des rendements. Toutefois, les études sur ce sujet sont encore du domaine de la recherche, notamment fondamentale. Bien que des produits de ce genre soient déjà commercialisés, Marcel van der Heijden, chef de projet à Agroscope et à l’Université de Zurich, ne les recommande pas sans réserve.
Encore plus d’estime pour les cochons ; Plein d’autres couleurs que le rose
Claudia FRICK, Auteur ; Anna JENNI, AuteurCes deux articles sont dédiés à l’élevage porcin biologique en Suisse. Le premier commence par effectuer un point sur le marché de la viande porcine bio helvétique : en 2019, la filière avait dû se réorganiser car la demande était beaucoup plus faible que l’offre. Les élevages avaient alors été obligés de réduire leur cheptel de 10 % et de s’affilier à l’équivalent d’une organisation de producteurs afin de mieux quantifier les volumes produits. Actuellement, l’offre et la demande sont équilibrés et les prix remontent. Cet article aborde également les améliorations en matière de bien-être animal prévues dans le cahier des charges qui encadre cette production en Suisse. Le second article est consacré aux races porcines rustiques adaptées aux élevages biologiques (ex : Berkshire, Hampshire, Noirs des Alpes, Schwäbish Hall). Il s’appuie sur plusieurs exemples, dont le projet de sélection « Notre porc domestique » initié en 2018 par Demeter, Bio Suisse et le FiBL. Il cite également les différents avantages liés à l’élevage de races rustiques et explique la législation en termes d'importation de porcs dans ce pays.
Plantes médicinales pour les animaux de la ferme
Claudia FRICK, Auteur ; Michael WALKENHORST, AuteurEn Suisse, l'utilisation de plantes à usage médicinal est courante dans les élevages bio, souvent à partir de connaissances empiriques transmises de génération en génération. Un recensement des pratiques par le FiBL a permis d'interroger 445 agriculteurs bio et de rassembler environ 2000 utilisations. En parallèle, l'étude des connaissances scientifiques a montré que ces dernières confirment les connaissances empiriques des éleveurs. S'il est possible de cultiver et/ou de récolter soi-même des plantes médicinales, l'achat en pharmacie permet de s'assurer de la qualité de ces matières premières. Dans cet article, des recettes sont proposées pour la fabrication maison d'une tisane contre la diarrhée des veaux, d'une pommade cicatrisante et d'une teinture pour nettoyer les plaies, et les propriétés de six plantes fréquemment utilisées sont présentées (camomille matricaire, calendula, ortie, consoude officinale, café, rumex à feuilles obtuses). Les plantes peuvent également être affourragées directement.
Le projet « Taureaux bio d’IA » est en marche
Claudia FRICK, AuteurEn Suisse, dix veaux mâles ont été sélectionnés comme reproducteurs dans le cadre du projet « Taureaux bio d’IA » (quatre veaux de la race Brune, quatre de la race Tachetée rouge suisse et deux de la race Simmental). Ces veaux ont été sélectionnés selon des caractéristiques importantes en AB : bonne santé, longévité, grandeur moyenne, bonne productivité laitière même avec des rations à base de fourrages grossiers… L’année dernière, 400 mères et leur progéniture avaient été identifiées. Plusieurs critères ont permis de réduire ce nombre à 25. Par exemple, les veaux des vaches qui recevaient plus de 300 kg/an de concentrés ont été écartés. La valeur génomique des 25 veaux restants a ensuite été testée (ex : pas de défauts héréditaires, absence de transmission de la caséine kappa AA pour la race Brune…). Les premières doses pour pouvoir procéder à des inséminations artificielles pourront être commandées dès l’année prochaine auprès de la société Swissgenetics.
Vaches nourrices : Des coopérations pour plus de bien-être animal
Claudia FRICK, AuteurLes veaux issus de fermes laitières biologiques sont souvent vendus à des exploitations conventionnelles car leur engraissement n’est pas rentable en bio. En Suisse, pour augmenter la cohérence de la filière laitière bio, le FiBL travaille sur la mise en place de partenariats entre des fermes qui se concentrent sur la production de lait et d’autres qui se spécialisent dans l’élevage des veaux à l’aide de vaches nourrices. Pour cela, une enquête a été menée sur six fermes bio qui élèvent des veaux avec des vaches nourrices (et qui ont arrêté la production laitière). La santé de 64 veaux a ainsi été évaluée. Les résultats montrent que les veaux ont moins de diarrhées et que ces élevages utilisent très peu d’antibiotiques et d’antiparasitaires. Les recommandations des éleveurs sont d’utiliser des vaches nourrices de race laitière (elles acceptent mieux les veaux qui ne sont pas les leurs), capables de nourrir au moins quatre veaux. Il est également recommandé de n’acheter les veaux qu’à une ou deux fermes, afin de limiter les risques sanitaires.
Les variétés de pois sont décisives pour la réussite des mélanges
Claudia FRICK, AuteurDans le cadre du projet européen Remix, en Suisse, le FiBL a réalisé et suivi des essais de cultures associées de pois protéagineux de printemps et d’orge à deux rangs. Ces essais ont combiné, au total, 32 variétés de pois et 8 d’orge, sous forme de 64 mélanges, cultivés en agriculture biologique, sur deux sites. Le rendement moyen des essais, observé sur 2018 et 2019, est de 39 q/ha, avec un rendement en protéines compris entre 6,0 et 6,1 q/ha. Les différences entre les variétés étaient moins marquées pour les orges que pour les pois protéagineux, précise Benedikt Haug, du FiBL. Ce chercheur préconise d’associer des variétés égales sur le plan de la force de concurrence ; par exemple, d'utiliser la variété de pois fortement concurrentielle Protecta et une orge aussi fortement concurrentielle ; ou, à l’inverse, la variété de pois moins vigoureuse Kayanne avec l’orge Atrika.
Nourrices pour veaux en bonne santé
Claudia FRICK, AuteurDepuis six ans, Meinrad Betschart, éleveur laitier bio en Suisse, nourrit ses veaux à l’aide de vaches nourrices. Il réalise également des vêlages groupés : une fois par an, il loue un taureau qu’il laisse avec son troupeau de 15 vaches. Son objectif est d'avoir 13 à 14 veaux entre mars et mai. Meinrad garde ensuite quatre vaches à l’étable pour nourrir ces veaux qui ont presque tous le même âge. Chaque vache nourrice allaite trois veaux, dont le sien, ce qui favorise l’adoption des autres. Avant la tétée, les veau sont attachés, puis Meinard les libère individuellement pour qu’ils aillent téter, en commençant toujours par les plus jeunes. Il faut compter, pour l'allaitement des veaux, environ 30 minutes soir et matin. À trois mois, Meinrad sèvre les veaux lentement, en ne les faisant téter qu’une seule fois par jour. Lorsqu’ils sont âgés de quatre à six mois, ils sont vendus à 200 kg pour être engraissés. Les vaches nourrices retournent alors à la traite avec le reste du troupeau. Grâce à ce système, les veaux ne présentent aucun problème de diarrhées et ne se tètent pas entre eux.
Téter à la mamelle est bon pour la santé et la croissance des veaux
Claudia FRICK, AuteurDans le cadre de son stage de master au FiBL, Rennie Eppenstein a cherché à savoir si les veaux laitiers qui tètent directement à la mamelle sont en meilleure santé ou non que les veaux qui tètent au bidon. Pour cela, elle a conduit une étude bibliographique (36 publications) et a mené des enquêtes dans treize fermes laitières bio suisses, qui élèvent leurs veaux sous la mère ou à l’aide de vaches nourrices. Les résultats de sa recherche bibliographique montrent clairement que les veaux qui tètent à la mamelle ont une meilleure croissance. De plus, avec cette technique, les veaux ne se tètent pas mutuellement et ils auraient moins de diarrhées. Concernant les enquêtes en élevage, les éleveurs ont été interrogés sur la santé de leurs veaux. Rennie et Claudia Schneider, du FiBL, sont aussi allées sur place évaluer la santé des veaux. Elle ont ainsi récolté des informations sur 153 veaux et les ont comparées à des données similaires issues d'exploitations conventionnelles qui élèvent les veaux au bidon. Les chiffres montrent que les élevages bio visités utilisent moins d’antibiotiques, moins d’antiparasitaires et que leurs veaux sont en général en très bonne santé. Toutefois, Rennie ne peut pas affirmer si cela est dû à l’allaitement à la mamelle ou simplement à la conduite biologique.
Tuer les poussins : Il n’y a pas encore d’alternative praticable
Claudia FRICK, AuteurEn Suisse, l’ensemble des acteurs de la bio, dont Bio Suisse, cherchent une alternative viable à l’abattage des poussins mâles de poules pondeuses. À ce jour, cette pratique est encore autorisée en bio mais soulève des questions d’éthique. Des alternatives voient le jour, mais aucune n’est encore valable à court terme. La première possibilité serait l’engraissement de ces « frères coqs » bien qu’ils soient plus petits et plus maigres que les poulets de chair. Aussi, le secteur de la transformation serait sollicité afin d’adapter ses outils. Les fermes Demeter et quelques fermes Bourgeon ont déjà l’obligation d’engraisser au moins un « frère coq » par poule pondeuse. Une seconde alternative serait d’adapter la race. En effet, les poules à deux fins pondent certes un peu moins, mais l’engraissement des mâles est satisfaisant. La Coop est déjà engagée dans cette démarche et vend les œufs et les poulets de cette race. Enfin, une troisième alternative serait le tri des œufs après détermination du sexe. Le but serait de pouvoir déterminer très tôt le sexe des embryons afin de ne pas faire éclore les œufs mâles. Mais cette possibilité questionne, car, à ce jour, le cahier des charges Bio Suisse interdit le spermasexing en bovin. En attendant de trouver une solution viable, Bio Suisse compte sur le soutien des consommateurs pour faire valoir ces alternatives.
Des céréales anciennes pour de nouveaux défis
Claudia FRICK, AuteurDes agriculteurs passionnés ont continué, depuis des décennies et malgré l'avènement de la révolution verte, à cultiver des blés anciens, de l'engrain et de l'amidonnier. En Suisse, ce patrimoine céréalier oublié bénéficie d'un regain d'intérêt et l'on assiste, en particulier en Suisse romande, à sa renaissance, comme en témoignent les deux articles présentés : - La passion des céréales anciennes au champ, au four et au moulin ; Rencontre avec Elie Grosjean et Olivier Hofmann, agriculteur et boulanger ; - Grains de blé de toutes les couleurs ; Hanspeter Saxer agit pour la conservation de variétés anciennes de céréales.
Un défi pour la sélection animale bio et les cultures fourragères
Claudia FRICK, AuteurLe cahier des charges biologique de Bio Suisse a évolué en ce qui concerne l’alimentation des ruminants. A compter du 1er janvier 2022, ces ruminants ne devront recevoir que des fourrages biologiques suisses et au maximum 5 % de concentrés. Cette diminution de la part des concentrés va dans le sens d’un des principes du cahier des charges Bourgeon de Bio Suisse : « l’affouragement du bétail ne doit pas concurrencer directement l’alimentation humaine ». Ces évolutions ont donné lieu à des débats et des pétitions importantes. En effet, cela représente un important défi pour nombre d’éleveurs biologiques, notamment en zone de montagne. Il faudra accompagner ces éleveurs et diffuser les connaissances nécessaires à de tels changements. Par contre, l’impératif de n’utiliser que des fourrages suisses peut être une opportunité pour les fermes biologiques suisses sans élevage qui doivent, selon le cahier des charges Bourgeon, cultiver 20 % d’herbage.
La sélection pour l’agriculture bio
Claudia FRICK, Auteur ; Katharina SCHEUNER, Auteur ; Franziska HÄMMERLI, AuteurL’importance d’une sélection pour l’AB est de plus en plus reconnue. Il faut des variétés et des races adaptées à la diversité des fermes en mode de production biologique. Il faut aussi des méthodes de sélection compatibles avec l’AB qui excluent notamment toute manipulation du génome. Cependant, les moyens manquent, notamment financiers. De plus, la sélection demande des financements sur plusieurs années, peu compatibles avec des financements publics souvent annuels. Par ailleurs, le marché de l’AB étant encore limité, les semenciers bio ne peuvent pas financer totalement leur travail de sélection via leurs bénéfices sur les ventes aux agriculteurs bio. Dans ce contexte, les acteurs suisses s’organisent pour favoriser les collaborations (notamment entre la recherche et les semenciers) ou pour faciliter l’accès aux fonds publics. Néanmoins, les besoins sont tels qu’il faut d’autres sources de fonds. L’ensemble des acteurs, de la production à la consommation en passant par la transformation, pourraient participer. Selon le directeur de Sativa, sélectionneur bio suisse en légumes, « si chaque produit bio était par exemple cinq centimes plus cher, la sélection bio serait entièrement financée ». Un tel système existe en partie pour la sélection du blé bio panifiable : les producteurs Bourgeon sont automatiquement prélevés d’un franc par quintal de céréales panifiables bio livrées. Il faudrait aussi privilégier l’achat de semences de variétés bio qui soutient les sélectionneurs bio via les droits de brevet, au contraire de l’achat de variétés conventionnelles multipliées en AB. Pour ce qui est des techniques de sélection, la transparence sur les méthodes utilisées est essentielle. Ainsi, Bio Suisse a caractérisé les variétés de légumes selon leur modalité de sélection et le travail est en cours pour d’autres espèces. Pour ce qui est de la sélection animale, qui en est à ses débuts en AB, le producteur a un rôle important à jouer pour sélectionner des animaux adaptés à ses besoins. Enfin, ce dossier fait un tour d’horizon des projets de sélection développés en Suisse ou impliquant des acteurs suisses (pour les projets européens ou internationaux).
Le lupin a le vent en poupe
Claudia FRICK, AuteurEn Suisse, le taux d'autoapprovisionnement en protéines est à peine de 5 % pour les aliments fourragers biologiques. La fenaco GOF, grande centrale agricole, a trouvé, comme alternative aux importations de soja, le lupin à feuilles étroites, adapté à l'agriculture biologique. Il viendrait compléter le pois et la fèverole comme sources de protéines. Ses grains contiennent plus de 30 % de protéines et conviennent surtout pour l'alimentation des ruminants. La fenaco GOF cherche pour 2013 des agriculteurs bio pour cultiver sous contrat du lupin à feuilles étroites. Sa culture réclame un pH du sol idéal de 6,5 et, cette variété ne couvrant le sol que pendant une brève période, un essai doit être réalisé sur une parcelle à faible pression des mauvaises herbes (comme l'a remarqué Hansueli Dierauer du FiBL lors d'un essai effectué il y a quelques années). Agroscope recommande de ne cultiver en Suisse que du lupin à feuilles étroites - du moins jusqu'à ce que des variétés de lupin blanc résistantes à l'anthracnose soient disponibles sur le marché. La variété de lupin à feuilles étroites recommandée en Suisse pour l'agriculture biologique est une variété ramifiée à fleurs bleues nommée Borlu. Mais, Laila Fischer, cheffe de projet pour le secteur des céréales, des oléagineux et des aliments fourragers de la fenaco GOF, précise qu'il serait bon que des cultures d'essai testent une ou deux autres variétés. Une variété non ramifiée (donc de type déterminé) serait particulièrement intéressante en altitude ou dans les régions sans sécheresse estivale, par exemple, la variété « Haags Blaue » sélectionnée en Allemagne.