Détail de l'auteur
Auteur Hélène BINET |
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100 réflexes bio : Alimentation, cosmétiques, mode, maison, enfants : Vivre bio, c'est facile !
Après une introduction sur les bonnes raisons de "vivre bio", ce livre qui donne des indications sur les réflexes à adopter est organisé comme suit : - Bio dans l'assiette (je suis les labels à la trace, je traque les OGM, je m'abonne à un panier de fruits et légumes hebdomadaire, le mange local et de saison...) ; - Tout beau, tout bio (je parle l'Inci - International Nomenclature of Cosmetic Ingredients - couramment, je repère les labels cosmébio...) ; - Bio du sol au plafond (j'aère ma maison, je purifie l'atmosphère avec les difuseurs d'huiles essentielles...) ; - Le bio dès le berceau (mon régime femme enceinte, je m'habille coton bio...) ; - Chic et bio (j'apprends par coeur les chiffres de la culture du coton, je suis les labels, je choisis les bonnes matières...) ; - s'informer bio (je passe au salon bio, je m'inscris dans un café vert...).
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Bébé bio & sa maman : Le guide
Amel BOUVYER, Auteur ; Hélène BINET, Auteur ; Emmanuelle VIBERTDe la grossesse au soin à porter au nouveau-né, ce hors-série est conçu comme un guide : - Neuf mois pour se convertir ; - Rencontre avec Pascal Leibundguth, docteur en biochimie et nutrition humaine et Jean-Pierre Campagne, docteur en nutrition ; - 9 mois (conseils pour l'alimentation, la toilette, la beauté, le corps) ; - Dessine-moi une chambre écolo (choix des couches, des lingettes, du couffin, du lit...) ; - Bébé fait le bio (produits de bain, sortie de bain...) ; - Suivez la voie lactée (allaitement, ...) ; - Une cuillerée pour bébé... (choix des biberons, du lait, des petits pots) ; - Comme dans un cocon (éléments de couchage : matelas, lange, coussin..., co-sleeping, massages, portage en écharpe) ; - Bébé victime de la mode éthique (garde-robe du nouveau-né, créations bio) ; - 1,2,3... Jouez ! (choix du "doudou", suspensions...).
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La campagne, ça nous gagne
Après une brève présentation d'un gîte Accueil Paysan, situé à Terraba (Costa Rica) et des formules de location existant en France (Gîtes de France suivis d'initiatives proposant une offre davantage en prise avec le monde rural comme Accueil Paysan, Bienvenue à la ferme, Huttopia), la rédaction de "Quelle Santé" retient sept pistes vertes pour ceux qui seraient attirés par des vacances à la campagne. C'est ainsi qu'existent le réseau Bienvenue à la ferme, développé par les chambres d'agriculture, qui compte aujourd'hui 5 700 adhérents dont 1 500 proposent de l'hébergement ; 43 relais labellisés Chouette Nature répartis sur l'ensemble de l'hexagone, issus de la fédération Cap France ; le label Panda, mis au point par les Gîtes de France, les parcs naturels régionaux et le WWF, pour distinguer les gîtes ruraux, les chambres d'hôtes ou les gîtes de séjour les plus engagés dans l'environnement. 90% se trouvent dans les parcs naturels régionaux, 10% dans les parcs nationaux ou sites exceptionnels ; Huttopia, formule initiée pour les campeurs écolos, qui compte 4 sites (Rambouillet, Versailles, Rillé, Font-Romeu) ; les gîtes Accueil Paysan, formule qui regroupe 800 agriculteurs du monde entier refusant l'agriculture intensive ; La Clef verte, label dû à la Fondation pour l'éducation à l'environnement (FEE),qui, chaque année depuis 1998, distingue les campings, hôtels, gîtes, pour leur dynamisme en matière d'environnement ; le réseau Rando Accueil qui rassemble 300 hébergeurs proposant des activités de pleine nature et de découverte du patrimoine rural. Deux encarts sont réservés aux éco-hôtels et éco-villages, avec l'estampille qui les caractérise.
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Cosmétiques bio
Amel BOUVYER, Auteur ; Hélène BINET, Auteur ; Clément HUBERT, Auteur ; ET AL., AuteurCe hors-série de "Quelle santé" n° 63 (septembre 2011) présente plusieurs aspects relatifs aux cosmétiques : Vote par le parlement d'une proposition de loi de Yann Lachaud visant à interdire l'utilisation des phtalates, des parabènes et des alkylphénols (trois catégories de perturbateurs endocriniens) ; Entretien avec Ghislaine Beilin, notamment spécialiste en médecine esthétique anti-âge à Paris ; Marché des cosmétiques bio (secteur en perpétuelle évolution avec l'apparition de nouveaux labels) ; Tendances de la cosmétique bio (emploi de végétaux, de fruits...) ; Supermarchés et cosmétique bio ; Entretien avec Vincent Bourgeteau, cosmétologue, à propos des marques de distributeurs (MDD) ; Conversion des marques conventionnelles au bio ; Entretien avec Nicolas Ruth, président des laboratoires Durance ; Eco-responsabilité des entreprises bio ; Labels ; Cosmétiques bio pour hommes ; Shampoings bio ; Entretien avec Fannay Marouani, fondatrice de Pomarium (vertus cosmétiques des pommes et débouchés inédits pour les agriculteurs) ; Cosmétiques bio et équitables ; Entretien avec Daniel Joutard, fondateur de Aïny ; Simplification des soins. Sont également présentés différents points : Cosmétiques (marque, produit testé, label, commentaire sur le produit, prix de vente) ; Produits convertis au bio ; Laboratoires bio et écolos ; Fragrances...
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Cosmétiques bio : Le guide 2010
Amel BOUVYER, Auteur ; Hélène BINET, Auteur ; Emmanuelle VIBERTLe guide 2010 sur les cosmétiques bio, conçu en plusieurs parties, présente le marché de la cosmétique, ainsi que les marques pionnières ou novatrices : - Prélude (progression du marché, exigence du consommateur, qualité des produits...) ; - Paroles d'expert (entretien avec le docteur Françoise Rodhain-Rebourg, dermatologue) ; - Les pionniers ; - Les derniers-nés ; - Les bio-convertis ; - Les orfèvres du bio ; - Ils viennent d'ailleurs ; - Côté jardin ; - Les orientales ; - La revanche des simples ; - Les petits prix font le maximum ; - Le luxe version bio.
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Cosmétiques bio : Le guide 2011
Amel BOUVYER, Auteur ; Hélène BINET, Auteur ; Emmanuelle VIBERT, AuteurLe Hors-série "Quelle santé" n° 52 porte sur les cosmétiques bio, adaptés à tous les âges, ainsi qu'à tous les besoins. Des personnages fictifs, âgés de 6 mois à 65 ans, servent de repères pour présenter toutes les gammes de produits cosmétiques : lait bébé, huile de massage, soin nourrissant des Alpes, eau nettoyante à l'orange... ; eau micellaire, mousse nettoyante, savon exfoliant, masque cheveux, déodorant, masque à l'argile, shampooing, gel douche ; gel fermeté corps, shampoing brillance, gel moussant, lotion de réveil, déodorant, gel coiffant ; ...
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Dossier : Les dessous du commerce équitable
Aujourd'hui, de plus en plus de consommateurs s'intéressent au commerce équitable. D'ailleurs, chaque printemps, le commerce équitable s'invite chez différents médias et supermarchés afin de sensibiliser les consommateurs à la signification de leurs achats. Une hausse importante des ventes de produits issus du commerce équitable se fait sentir depuis quelques années. C'est dans le grande distribution que l'on retrouve une part importante des ventes. Certaines marques comme Ethiquable et Alter Eco ont vu dans la grande distribution la solution pour offrir un débouché économique à leurs produits. Aujourd'hui, ces pionniers sont confrontés aux marques de distributeurs qui s'imposent sur le marché grâce à des prix plus bas. Selon Christian Jacquiau (économiste, auteur des "Coulisses du commerce équitable" aux éditions Mille et Une Nuits), le commerce équitable est incompatible avec la vente en grande surface où l'on essaie à chaque étape de réduire les coûts. D'autre part, il dénonce les abus qui peuvent être faits sur cette labellisation. En effet, ce ne sont que les matières premières qui sont labellisées, mais aucune des étapes de transformation...
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Dossier : Exhausteurs, ils travestissent le goût
Les additifs alimentaires se substituent aux plats préparés et mijotés. Mais ce recours aux exhausteurs de goût est dénué d'intérêt nutritif. Leur forme codée s'échelonne de E620 à E650. Leur utilisation est strictement réglementée selon le principe dit "de la liste positive". Un nouvel additif ne peut être utilisé qu'après l'avis de l'AFSSA (Agence française de sécurité sanitaire des aliments), du Comité scientifique de l'alimentation humaine et doit être accompagné d'un arrêté d'autorisation. Certains exhausteurs font l'objet de restrictions. Les exhausteurs autorisés sur le marché ne devraient pas porter atteinte à la santé, cependant le plus nocif et décrié est le glutamate monosodique (connu sous le nom de glutamate de sodium, de GMS ou de E621). Même si les agences alimentaires (Organisation mondiale de la santé (OMS), Organisation sur l'alimentation et l'agriculture (FAO)...) le présentent comme un additif non dangereux. Les autres exhausteurs de goût de la famille des glutamates sont tout ausi toxiques, de même que ceux de la famille des acides guanyliques, des acides inosiniques et des ribonucléotides. L'article est notamment acompagné d'une interview du docteur Jean-Claude Houdret, d'une liste noire des exhausteurs et des produits à dénoncer d'urgence.
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Dossier : Halte à la surconsommation
Hélène BINET, AuteurFace à la crise, aux dégâts de la consommation de masse, à l'épuisement des ressources, des individus ont fait le choix d'un autre mode de vie et s'engagent dans des initiatives positives. Qu'elles se nomment Décroissants, Locavores ou Slow Fooders, de nouvelles tribus promettent un avenir plutôt radieux. L'article a identifié chacune d'entre elles, revenant sur leur identité et l'origine de leur mouvement. Les Décroissants ont décidé de se débarrasser de leur biens matériels. Leur mouvement est né du concept de décroissance d'abord porté par un mathématicien économiste Nicholas Georgescu-Roegen, puis repris par certains économistes ou intellectuels. Les Locavores sont des consommateurs adeptes des circuits courts, fréquentant notamment les AMAP. Le mouvement vient de Californie où l'étudiante Jessica Prentice et son groupe de copines décident, en 2005, de dénoncer l'absurdité du commerce des fraises en hiver. Les Slow fooders sont des écogastronomes qui défendent la diversité des saveurs, l'agriculture paysanne, l'agriculture biologique et durable. L'idée de slow food a germé en 1986 dans la tête du sociologue italien Carlo Petrini, en réaction à l'ouverture d'un Mc Donald's au coeur de Rome. Le Slow Food est désormais un mouvement international.
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Dossier : Passeport vert pour traversées en solidaire
L'Organisation mondiale du Tourisme (OMT) estime qu'il y aura 1,1 milliard de touristes en 2010. Le secteur est florissant et a dégagé 733 milliards de dollars en 2006, soit 11% du PNB mondial. Cependant, pour Achim Steiner, sous-secrétaire général des Nations-Unies et directeur exécutif du Programme des Nations-Unies pour l'Environnement (PNUE) "aujourd'hui, le défi est de gérer le tourisme durablement". Plusieurs constats sont faits notamment sur les conséquences environnementales du tourisme avec, en particulier, les émissions de CO2 : à raison de 80 000 vols par jour dans le monde, 1,3 milliards de tonnes de CO2 sont émises annuellement, soit environ 5% du total mondial (la France accueille 79 millions de touristes par an et, tous les ans, 8 millions de Français partent à l'étranger. Parmi eux, moins de 150 000 ont voyagé de manière solidaire, équitable ou responsable). En 1995, une conférence mondiale du Tourisme durable, organisée aux îles Canaries, faisait valoir une charte de 18 articles, définissant ses principaux enjeux. En 1999, cette charte se change en code mondial d'éthique du tourisme lors d'une assemblée générale de l'OMT au Chili. Sont alors définies différentes règles que doivent respecter les acteurs du tourisme : voyagistes, compagnies aériennes... Selon l'article 5, les populations locales doivent être associées aux activités touristiques et participer équitablement aux bénéfices qu'elles génèrent. L'article 3 estime qu'il est "du devoir de l'ensemble des acteurs du développement touristique de sauvegarder l'environnement et les ressources naturelles...". En France, première destination touristique, une quinzaine de prestataires ont ratifié la charte. En quelques années, les initiatives se sont multipliées pour changer les pratiques touristiques : en 1997, les espaces protégés de l'Union européenne se penchent sur la question de la compatibilité entre développement touristique et préservation naturelle ; depuis le 12 mars 2000, les tour-opérateurs du monde entier se retrouvent au sein du réseau Tour Operators Initiative (TOI) pour développer des prestations favorables à l'environnement et aux populations locales ; en 2003, l'Union nationale des associations de tourisme et de plein air (UNAT) définit les critères du tourisme équitable et solidaire et labellise une vingtaine de structures. Toutes sont regroupées aujourd'hui sous l'égide de l'Association pour le Tourisme équitable et solidaire (ATES). En 2005, l'Association pour un tourisme responsable (ATR) lui emboîte le pas et tente de clarifier l'appellation tourisme responsable cette fois en optant pour la voie de la certification officielle.
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Dossier : Pesticides, tous aux abris !
Hélène BINET, AuteurAlors que le gouvernement vient d'annoncer que 1 500 produits pesticides préoccupants seront retirés de la vente d'ici à la fin de l'année, dans le même temps, les autorités européennes, sous prétexte d'uniformiser les normes alimentaires dans l'ensemble de l'Union, ont choisi d'aligner les limites maximales en résidus (LMR) dans les aliments, sur les pays ayant la plus "mauvaise" limite de sécurité. Or les pesticides se retrouvent partout dans l'environnement (air, sol, eau...), dans les aliments et par voie de conséquence dans le corps humain. Des recherches démontrent la responsabilité des pesticides dans le développement de cancers et de malformations congénitales. Face à l'urgence de la situation, à l'automne 2007, le Grenelle de l'environnement s'est particulièrement attaché à ce problème. François Veillerette, président du Mouvement pour le droit et le respect des générations futures, voit une avancée dans cette décision du Grenelle. Malgré tout, les préoccupations des associations et des professionnels se retrouvent dans le plan Ecophyto 2018 présenté par Michel Barnier, ministre de l'Agriculture et de la Pêche, le 10 septembre 2008, en Conseil des ministres. Une des actions phares de ce plan est de diffuser les bonnes pratiques agricoles économes en pesticides via un réseau de 3 000 fermes pilotes. Une expertise scientifique menée par l'INRA (Institut National de Recherche Agronomique) et le CEMAGREF (Institut de recherche pour l'ingénierie de l'agriculture et de l'environnement) en 2005, prouve, en effet, qu'il est possible de baisser drastiquement le niveau actuel d'utilisation des pesticides sans réduire pour autant les rendements. Pour les agronomes tiers-mondistes, l'agriculture écologique, sans chimie, a le potentiel nécessaire pour nourrir le monde.
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Homo-destructor : l'homme à la conquête de l'espèce
Ce dossier nous montre la fragilité des espèces animales ou végétales à travers le monde. Elles sont des millions à former la grande chaîne de la biodiversité mais une poignée d'entre elles s'éclipse chaque jour, sous la pression de l'homme, plus grand prédateur de tous les temps.
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Hors-série n° 30 : Cosmétique bio : Le guide
Dans ce document, une introduction sur l'évolution du secteur de la cosmétique bio, ainsi que des rappels sur l'efficacité d'une nutrition saine sont ponctués de deux entretiens, l'un avec Thierry Recouvrot (nouveau président de Cosmebio et PDG de Florame), l'autre avec Pascal Leibundguth (docteur en biochimie et nutrition humaine). Puis les rubriques : visage, corps, hygiène, cheveux, soleil, homme, bébé, maquillage traitent des soins appropriés pour la santé de la peau et des marques qu'il est possible d'employer.
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Industriels, ne nous donnez plus notre poison quotidien
Le lait, le sel, le sucre, la farine, l'huile, l'eau sont les ingrédients de base de l'alimentation humaine. Pour chacun de ces produits, des indications sont données sur la manière de les consommer et sur leurs réels atouts nutritionnels lorsque le choix se porte sur un produit bio ou non raffiné.
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Pollution intérieure, les plantes contre-attaquent
Hélène BINET, AuteurL'Observatoire de la qualité de l'air intérieur, missionné par les pouvoirs publics depuis 2001 pour évaluer la qualité de l'air dans les maisons d'habitation, a trouvé de nombreux polluants : composés organiques volatils (COV), monoxyde de carbone, oxyde d'azote... soit une centaine de substances plus ou moins toxiques. Ce mauvais air a des effets sur la santé, allant de la simple gêne au développement de pathologies. La parade consiste à aérer et à mettre des plantes vertes dans toutes les pièces car les végétaux ont le pouvoir d'éliminer les polluants nocifs contenus dans l'air. Plusieurs travaux en attestent dont ceux de Bill Wolverton, de la NASA, dans les années soixante dix. En France, Plant'Air pur est une association qui reprend les thèses développées et qui étudie le fonctionnement des plantes dépolluantes. Grâce à l'effet de la photosynthèse, les polluants en suspension dans l'air sont captés soit par la surface des feuilles, soit par les racines. Par une série de processus chimiques les polluants cheminant à l'intérieur de la plante sont transformés en nutriments. Parmi les dix plantes reines de la dépollution, présentées sous forme de tableaux, se trouvent le chlorophytum (plante araignée) ; le pothos (arum grimpant) ; le dracéna marginé qui éliminent notamment le monoxyde de carbone, le formaldéhide, le toluène... ; le spathiphyllum (lis de la paix) qui est la plante championne de l'absorption des composés organiques volatils... ; le cactus colonnaire qui absorbe les ondes émises par les appareils électroniques...