Détail de l'auteur
Auteur Julia WRIGHT |
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BasIC Bas Intrant Cuivre : Lutte contre le mildiou : Utilisation du cuivre en viticulture biologique - Synthèse de lanalyse des pratiques de viticulteurs bio performants dans la lutte contre le mildiou
Julia WRIGHT, Auteur ; Marc MIETTE, Auteur ; Paul-Armel SALAUN, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2022Dans le cadre du projet BasIC (Bas Intrant Cuivre, projet piloté par la FNAB et financé par le plan Ecophyto II), une quarantaine de domaines viticoles biologiques ont été enquêtés sur leur manière de lutter contre le mildiou et sur leur utilisation de traitements à base de cuivre, durant les campagnes 2020 et 2021. Ces domaines sont répartis sur lensemble des bassins de production viticoles français. Ils représentent ainsi les différentes zones climatiques métropolitaines sachant que, dans le cadre de cette analyse, trois grands ensembles climatiques ont été déterminés : continental, méditerranéen et océanique. Les résultats montrent que les pratiques de lutte contre le mildiou diffèrent suivant les régions. Cela sexplique, en grande partie, par des différences liées au climat (température, pluviométrie, vent, etc.), aux cépages, aux types de palissage, à la densité de plantation des vignes, et au niveau de connaissance des viticulteurs sur le mildiou. Cette enquête a aussi mis en évidence que la dose de cuivre appliquée n'est pas corrélée au rendement obtenu, ni aux dégâts causés par le mildiou sur les grappes au moment de la vendange. De plus, contre toute attente, les viticulteurs qui ont le mieux maîtrisé le mildiou ont utilisé des doses de cuivre plus faibles que leurs collègues qui nont pas réussi à maîtriser cette maladie. L'hypothèse est que les viticulteurs qui utilisent plus de cuivre sont moins précis dans le positionnement et la fréquence des traitements, et que les viticulteurs qui ont subit des contaminations de mildiou traitent plus régulièrement et augmentent les doses. Un focus est également réalisé sur lutilisation de cuivre en raisin de table.
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Analyse des pratiques de gestion des couverts végétaux semés en viticulture bio drômoise
Mathilde GIBAUD, Auteur ; Julia WRIGHT, AuteurAgribiodrôme a mené une étude sur les couverts végétaux semés dans les parcelles de vignes. Pour cela, des entretiens semi-directifs ont été réalisés avec 16 viticulteurs bio afin de connaître leur mode de gestion des couverts végétaux. Les performances des couverts implantés par ces viticulteurs ont également été évaluées dans 27 parcelles grâce à la méthode MERCI. Les couverts végétaux ont, avant tout, été implantés dans un objectif de fertilisation, mais aussi pour favoriser la vie du sol, améliorer la structure, limiter lérosion Ils ont été semés après les vendanges, entre la fin septembre et la fin octobre. Un quart a été semé en semis direct, sans travail préalable du sol. Dans 23 parcelles (sur les 27), les couverts ont été implantés un rang sur deux, avec une rotation tous les ans. La majorité des couverts comptaient maximum trois espèces (mélange graminées-légumineuses), mais certains couverts pouvaient en compter jusquà onze. Le coût des semences varie fortement selon les mélanges implantés. Pour gérer les couverts à la fin du printemps, 50 % des agriculteurs effectuent un roulage, 38 % passent le broyeur et 12 % réalisent un roulage et un broyage. En moyenne, le temps total consacré aux couverts est de 4 h 55 par hectare en cas de broyage et de 4h15 en cas de roulage.
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Bilan d'un projet de valorisation du tilleul des Baronnies Provençales
Julia WRIGHT, AuteurLa filière tilleul est en crise depuis les années 80. Cette crise est notamment liée à leffondrement des prix du marché et à la disparition des foires au tilleul. Actuellement, il manque 10 tonnes de tilleul bio français pour subvenir aux besoins des grossistes. Ces derniers sont obligés de sapprovisionner à létranger. Depuis 2019, Agribiodrôme et le Parc Naturel Régional des Baronnies Provençales mènent des actions pour relancer une dynamique de cueillette de tilleul (Baronnies et Diois) et pour mieux valoriser cette production : 1 la mise en place dun outil pour cartographier les arbres « cueillables » (identification darbres et mise en relation des propriétaires et des cueilleurs) ; 2 la réalisation de deux formations : « Comment tailler un arbre abandonné pour le remettre en production de bractées » et « Réaliser une cueillette performante et qualitative » ; 3 la réalisation dune étude sur les variétés cultivées (identification et caractérisation dune vingtaine de variétés) ; 4 la mise en place dune expérimentation, avec lONF, pour créer des plants de Tilia Platyphyllos issus des forêts de tilleuls sauvages des Baronnies.
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Des préparations à base de plantes limitant les dégâts de mildiou
Claude-Eric PARVEAUD, Auteur ; Julia WRIGHT, AuteurAfin de limiter les effets indésirables du cuivre, utilisé pour contrôler le mildiou en viticulture, des alternatives sont recherchées. Ainsi, depuis 2004, le GRAB (Groupe de Recherche en Agriculture Biologique) mène des essais en Auvergne-Rhône-Alpes, en collaboration avec Agrobiodrôme et la Cave de Die Jaillance. Des essais en conditions semi-contrôlées ont été réalisés, afin de tester l'efficacité d'alternatives. Depuis 2018, ces tests sont complétés par des essais participatifs, réalisés chez des vignerons. En 2021, trois vignerons ont choisi dévaluer un programme à base de plantes sur le cépage Muscat à petits grains (cépage fortement sensible au mildiou). Or, l'année 2021 était propice au développement du mildiou, la pression exercée par cette maladie était donc très forte. Les trois parcelles des viticulteurs ont reçu des préparations à base de plantes, plus ou moins complexes : deux parcelles ont reçu entre trois et neufs extraits de plantes différentes (préparations réalisées à la ferme), et une autre a reçu une décoction de prêle prête à lemploi du commerce. Les doses de cuivre habituelles, déjà très basses (de 1 à 2,3 kg de cuivre métal/ha en cas de forte pression en mildiou), ont été conservées afin de tester leffet additionnel des préparations à base de plantes. Les résultats montrent que ces diverses préparations ont permis de réduire significativement les dégâts sur feuilles et sur grappes en cas de forte pression en mildiou.
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Amendements : Pratiques dengrais verts en 2019 dans la Drôme
Julia WRIGHT, AuteurDans la Drôme, de plus en plus de viticulteurs bio mettent en place des engrais verts pour améliorer la structure de leurs sols et éviter le développement des adventices (ex : chiendent). Cet article offre une synthèse des techniques mises en place par 19 viticulteurs bio de ce département, en expliquant les différences de pratiques entre les divers territoires qui le composent : le Nord, le Sud et le Diois. A laide dun schéma, il commence par détailler les deux itinéraires techniques majoritairement employés : à lautomne, un tiers de ces viticulteurs pratiquent le semis direct, tandis que les autres effectuent un semis après enfouissement. Les engrais verts sont ensuite détruits entre mi-mars et début juillet par roulage, broyage, ou les deux. Les engrais verts sont souvent semés un rang sur deux, mais cette règle est adaptée selon les besoins de la parcelle. Les mélanges sont toujours constitués de légumineuses et de graminées (excepté dans le Diois où les viticulteurs privilégient lenherbement naturel pour mieux lutter contre lérosion). Les espèces majoritairement employées sont la vesce, le seigle, la féverole et la moutarde (leurs caractéristiques sont récapitulées dans un tableau). Pour faciliter lapprovisionnement des viticulteurs en semences, Agribiodrôme organise, depuis 2018, une commande groupée auprès de céréaliers bio drômois.
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Essais participatifs conduits avec les viticulteurs : Compte-rendu mildiou - 2020
Le Grab et Agribiodrôme coordonnent des essais réalisés dans le cadre du réseau dessais participatifs « plantes et vignes » au pays de la Clairette. En 2020, plusieurs essais, conduits dans des parcelles de « viticulteurs-expérimentateurs » avaient pour objectif de réduire les doses de cuivre utilisées dans la lutte contre le mildiou en AB. Les alternatives suivantes ont été testées : savon noir + dose réduite de cuivre ; infradoses de fructose + dose réduite de cuivre ; préparations naturelles peu préoccupantes (PNPP) + dose réduite de cuivre. Toutes ces alternatives ont été comparées à un témoin (dose classique de cuivre). Pour lessai avec les PNPP, diverses préparations ont été utilisées en fonction de la situation sanitaire : décoction de prêle, infusion dachillée, extraits fermentés (EF) de fougère, infusion de reine des prés, EF dortie, EF de consoude, EF de laminaire, miel... Concernant la pression en mildiou, elle a été assez faible au début de la saison, mais des contaminations tardives ont causé dimportants dégâts en fin de saison. Dans ces conditions, des résultats intéressants ont été observés sur grappe pour les modalités savon noir et PNPP (aucune différence significative na été observée entre la modalité cuivre classique et la modalité dose réduite de cuivre + PNPP). Pour les infradoses de sucre, les réponses sont plus mitigées, avec des différences de résultats selon les cépages.
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Filière : Tilleul Biologique : Professionnaliser la filière de cueillette et initier une filière de production agricole
Julia WRIGHT, AuteurLa filière « bractées de tilleul bio » repose principalement sur la cueillette de plantes sauvages et ne suffit pas à approvisionner les filières longues. Le manque est estimé à 10 tonnes sèches par an. Actuellement, une dizaine dentreprises sapprovisionnent directement chez les producteurs. Cette filière est en crise depuis leffondrement des foires au tilleul. A ceci, il faut ajouter le fait que la cueillette est souvent réalisée par des amateurs (cueilleurs historiques du tilleul) dont la population est vieillissante : beaucoup dentre eux cessent leur activité. Les agriculteurs cueillent également moins de bractées de tilleul, car la main duvre familiale est en déclin sur les fermes, et la période de récolte est en concurrence avec des productions principales (foin, cerises, travaux dans la vigne ). Cest pourquoi Agribiodrôme travaille activement avec sept entreprises grossistes pour trouver de nouveaux producteurs. Depuis deux ans, des formations ont été organisées pour apprendre la taille et la stratégie de conduite de larbre, ainsi que les différentes étapes de séchage et le conditionnement avant la vente.
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Se mettre à la culture de racines
Julia WRIGHT, AuteurLes débouchés en herboristerie pour les racines sont en croissance. Il existe de nombreuses plantes cultivées pour leur racine : angélique, chicorée, pissenlit, guimauve, etc. En matière de rotation, il est préférable d'alterner les familles et les types de racines : pivotantes et fasciculées. Pour la culture des plantes racines, il existe deux types ditinéraires techniques : la récolte tous les 3/4 ans ou chaque année. Le semis doit être fait au printemps pour éviter que la plante ne monte en fleur et afin quelle optimise sa racine. Les plantes racines ont besoin de potasse et doivent être bien irriguées, mais elles doivent aussi parfois manquer deau pour que la racine aille en profondeur. La récolte se fait de novembre à février, à laide dune lame souleveuse (à au moins 30 cm de profondeur). La racine est ensuite lavée, séchée dans un séchoir à air chaud, et triée. En moyenne, le rendement atteindra 1 à 3 t/ha pour un prix dachat de 10 /kg.
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Couverts végétaux en PPAM bio, un laboratoire à ciel ouvert
Julia WRIGHT, Auteur ; Mégane VÉCHAMBRE, Auteur ; Sébastien BONDUAU, AuteurLes couverts végétaux font l'objet d'expérimentations, en particulier dans les plantations de lavande, dans le but de lutter contre les adventices, maintenir la fertilité des sols, favoriser la biodiversité, faciliter l'organisation du travail... Trois producteurs de PPAM bio témoignent sur leur pratique des couverts végétaux : Lionel Petigas (Vendée) envisage de réaliser un essai à base de flore spontanée et de luzerne dans une culture d'hélichryse ; Laurent Bouvin (Alpes-de-Haute-Provence) explique l'intérêt du sainfoin dans les couverts permanents en inter-rangs des lavandes ; Étienne Mabille (Drôme) souligne l'avantage du mélange ray-grass, fétuque et sainfoin.
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Lettre Filières FNAB - Apiculture n° 7
LETTRE FILIÈRES FNAB - APICULTURE, Auteur ; Julia WRIGHT, Auteur ; Christophe RINGEISEN, Auteur ; ET AL., AuteurLa Lettre Filières FNAB - Apiculture n° 7 est composée des articles suivants : - État des lieux sur les cires à usage apicole utilisées en France ; - Cire issue de lapiculture biologique : ce que dit le règlement ; - Qualité des cires : le point de vue dun cirier ; - Gestion des contaminants de la ruche : quels retours dexpérience en Allemagne ? ; - Cire contaminée : symptômes sur les colonies ; - Le cadre à bâtisse libre : vers une autonomie en cire ; - Journée technique : La qualité toxicologique de la cire en apiculture ; - Produire bio en apiculture, un guide technique.
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Des pistes pour la réduction et la substitution du cuivre en viticulture
Fleur MOIROT, Auteur ; Arnaud FURET, Auteur ; Julia WRIGHT, AuteurCet article propose une synthèse des résultats de différents essais visant à tester d'éventuelles alternatives au cuivre en viticulture bio. Un tableau synthétique permet de connaître les intérêts et les limites de chacune de ces préparations ou pratiques innovantes (polyphénols issus de sarments de vigne, phosphanate de potassium et de dissodium, cépages résistants, rayonnement UV, absinthe/armoise/menthe poivrée/saule blanc, bourdaine, prêle des champs, Prév B2, huile essentielle de tee trea, fructose, lithothamne, vinaigre, chitosan, Trichoderma harzianum). A noter que, parmi les alternatives à base dextraits végétaux, la modalité la plus efficace reste celle où le traitement est associé à une dose réduite de cuivre (100 à 150 g/ha). Les alternatives les plus utilisées par les vignerons restent la décoction de prêle, le vinaigre, le fructose combiné à de lhydroxyde de cuivre, et la décoction de bourdaine (qui nest cependant pas autorisée actuellement).
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Produire des PPAM bio : Recueil d'expériences des productrices et producteurs bio de plantes à parfums, aromatiques et médicinales
Julia WRIGHT, Auteur ; Sébastien BONDUAU, Auteur ; Clément JOLY, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2018Catherine Mahé, productrice de plantes à parfums, aromatiques et médicinales bio en Pays de la Loire et secrétaire nationale PPAM de la FNAB, déclare que, pour cette production, « il ny a pas de modèle de production bio idéal, aucun nest mieux quun autre si ce nest celui qui répond aux attentes du producteur ou de la productrice. Pour ce métier passionnant mais difficile et demandant une grande implication, la porte est ouverte à la créativité et à linvention. » Dans ce recueil, 10 exploitations de plantes à parfums, aromatiques et médicinales bio sont présentées. Elles sont situées dans 4 régions (Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie, Pays-de-la-Loire et Provence-Alpes-Côte d'Azur) et 7 départements différents. Chaque ferme sest adaptée à ses conditions pédoclimatiques, à sa possibilité dinvestissement et aux opérateurs et outils de transformation disponibles sur le territoire. La diversité des profils des productrices et des producteurs, ainsi que leurs expériences, sont riches en enseignements et constituent une source dinspiration pour les porteurs de projets. Pour chaque ferme, de nombreuses informations sont fournies : surface agricole, conditions de production, objectifs, organisation du travail, gestion de la culture, autonomie de l'exploitation, circuits de commercialisation... Ce recueil pourra ainsi les accompagner dans leur réflexion et les aider à se projeter dans un modèle de production biologique.
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Qualité des plants de vignes
Arnaud FURET, Auteur ; Céline VENOT, Auteur ; Julia WRIGHT, AuteurLa problématique du dépérissement des pieds de vigne est de plus en plus prégnante depuis une vingtaine dannées. La DGAL (Direction Générale de lAlimentation) a mis en place des observatoires des maladies du bois (ESCA, BDA, jaunisses). Deux causes ont pu être mises en évidence : les cépages sont de plus en plus sensibles et des modes de conduites sont plus impactants. Pour pallier le dépérissement, la SICAVAC sest penchée sur des modes de taille plus respectueux de la vigne, ainsi que sur la qualité des plants. Lilian Bérillon (pépiniériste dans le Vaucluse) a également constaté une recrudescence de ces maladies sur de jeunes plants. Afin de fournir des plants de qualité, il a travaillé sur sa technique de greffage : une greffe oméga est plus rentable mais nest pas daussi bonne qualité quune greffe anglaise (plus coûteuse) qui maximise les flux de sève. Il a également fait évoluer sa technique de production des porte-greffes : il a opté pour une production en palissade pour obtenir des bois plus forts et pour pouvoir désherber mécaniquement toute la saison. Ses méthodes de sélection ont également été revues : sélection massale et non par clone. Enfin, il utilise le traitement à leau chaude (TEC) pour limiter lexpansion de la Flavescence Dorée.
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Distillerie à la ferme : un outil à dimensionner techniquement et économiquement
Julia WRIGHT, AuteurCarole Roux s'est installée en bio dans la Drôme, en 2001, sur 137 ha, dont 18 ha cultivables (montagne sèche). Une dizaine d'années auparavant, elle a eu l'idée d'installer une distillerie sur la ferme, pour pouvoir valoriser elle-même les petits volumes de plantes issus de ses cueillettes. Son mari, Manu, s'occupe de la distillerie, qui fonctionne aujourd'hui avec 5 vases. En matière d'investissement, l'ensemble de la distillerie a représenté autour de 15 000 à 20 000 euros, sans compter la main-duvre pour l'autoconstruction. La question de la rentabilité est centrale dans leur projet et motive un certain nombre d'améliorations en réflexion, comme réintroduire l'eau chaude issue du refroidissement dans le circuit. Mais, qu'elle soit neuve ou pas, une distillerie à la ferme demande d'acquérir de nouvelles compétences, y compris pour être en capacité d'entretenir et de réparer soi-même le plus possible.
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Pratiques et approvisionnements pour le nourrissement en apiculture biologique
Julia WRIGHT, Auteur ; Fleur MOIROT, AuteurUne journée technique a eu lieu, le 12 octobre, au GAEC "Miellerie des Gorges de la Loire" (42), consacrée aux pratiques de nourrissement des abeilles et à l'approvisionnement en sucre bio. Une trentaine d'apiculteurs y ont participé. Cet article fait le point sur l'utilisation du sucre, du sirop et du candy pour nourrir les abeilles à des périodes clés. Gilles Deshors (GAEC de Roche la Molière) a réalisé, avec ses associés, une cuve pour fabriquer le sirop. Il explique comment ils s'en servent, directement sur le rucher. Michel Isnard, de la Maison Alp'Abeille, a témoigné sur sa fabrication de candy.