Détail de l'auteur
Auteur Amel BOUVYER |
Documents disponibles écrits par cet auteur


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En 2007, je passe au bio
A travers la description de produits biologiques de base, l'article donne des conseils pour faire son marché et passer au bio de façon progressive. Ainsi, est évoquée la qualité des fruits et légumes bio, des céréales complètes, du sucre de canne intégral, du sel marin non raffiné, de l'huile végétale première pression à froid, des produits laitiers sans antibiotiques, des oeufs de poules élevées en plein air. L'article n'hésite pas à conclure sur un comportement général qui consisterait à "penser bio".
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L'aspartame : une drogue qui vous tue en douceur
Découvert par hasard dans les années 60, mis sur le marché puis suspendu pour être de nouveau autorisé en 1981, l'aspartame est une bombe à retardement dont les effets sur la santé peuvent se déclencher après plusieurs années.
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Bébé bio & sa maman : Le guide
Amel BOUVYER, Auteur ; Hélène BINET, Auteur ; Emmanuelle VIBERTDe la grossesse au soin à porter au nouveau-né, ce hors-série est conçu comme un guide : - Neuf mois pour se convertir ; - Rencontre avec Pascal Leibundguth, docteur en biochimie et nutrition humaine et Jean-Pierre Campagne, docteur en nutrition ; - 9 mois (conseils pour l'alimentation, la toilette, la beauté, le corps) ; - Dessine-moi une chambre écolo (choix des couches, des lingettes, du couffin, du lit...) ; - Bébé fait le bio (produits de bain, sortie de bain...) ; - Suivez la voie lactée (allaitement, ...) ; - Une cuillerée pour bébé... (choix des biberons, du lait, des petits pots) ; - Comme dans un cocon (éléments de couchage : matelas, lange, coussin..., co-sleeping, massages, portage en écharpe) ; - Bébé victime de la mode éthique (garde-robe du nouveau-né, créations bio) ; - 1,2,3... Jouez ! (choix du "doudou", suspensions...).
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Chocolat bio : Pour fondre de plaisir
Les qualités d'un chocolat bio (chocolat "supérieur", amer, extra-amer) dépendent de sa composition en beurre et pâte de cacao, de la variété des fèves utilisées. 95% de ses ingrédients doivent provenir de l'agriculture biologique et les chaînes de production et de conditionnement doivent également répondre à une série de normes strictes exigées par le label AB. Cependant, les chocolatiers bio s'imposent des règles plus sévères comme le refus d'émulsifiants non issus de l'agriculture biologique (autorisés par la réglementation). Certifiées par les labels Ecocert, Max Havelaar, Bio Equitable, les marques indépendantes sont présentées : François Pralu, Bonneterre, Moulin des Moines, Alter Eco...
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Cosmétiques bio
Amel BOUVYER, Auteur ; Hélène BINET, Auteur ; Clément HUBERT, Auteur ; ET AL., AuteurCe hors-série de "Quelle santé" n° 63 (septembre 2011) présente plusieurs aspects relatifs aux cosmétiques : Vote par le parlement d'une proposition de loi de Yann Lachaud visant à interdire l'utilisation des phtalates, des parabènes et des alkylphénols (trois catégories de perturbateurs endocriniens) ; Entretien avec Ghislaine Beilin, notamment spécialiste en médecine esthétique anti-âge à Paris ; Marché des cosmétiques bio (secteur en perpétuelle évolution avec l'apparition de nouveaux labels) ; Tendances de la cosmétique bio (emploi de végétaux, de fruits...) ; Supermarchés et cosmétique bio ; Entretien avec Vincent Bourgeteau, cosmétologue, à propos des marques de distributeurs (MDD) ; Conversion des marques conventionnelles au bio ; Entretien avec Nicolas Ruth, président des laboratoires Durance ; Eco-responsabilité des entreprises bio ; Labels ; Cosmétiques bio pour hommes ; Shampoings bio ; Entretien avec Fannay Marouani, fondatrice de Pomarium (vertus cosmétiques des pommes et débouchés inédits pour les agriculteurs) ; Cosmétiques bio et équitables ; Entretien avec Daniel Joutard, fondateur de Aïny ; Simplification des soins. Sont également présentés différents points : Cosmétiques (marque, produit testé, label, commentaire sur le produit, prix de vente) ; Produits convertis au bio ; Laboratoires bio et écolos ; Fragrances...
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Cosmétiques bio : Le guide 2010
Amel BOUVYER, Auteur ; Hélène BINET, Auteur ; Emmanuelle VIBERTLe guide 2010 sur les cosmétiques bio, conçu en plusieurs parties, présente le marché de la cosmétique, ainsi que les marques pionnières ou novatrices : - Prélude (progression du marché, exigence du consommateur, qualité des produits...) ; - Paroles d'expert (entretien avec le docteur Françoise Rodhain-Rebourg, dermatologue) ; - Les pionniers ; - Les derniers-nés ; - Les bio-convertis ; - Les orfèvres du bio ; - Ils viennent d'ailleurs ; - Côté jardin ; - Les orientales ; - La revanche des simples ; - Les petits prix font le maximum ; - Le luxe version bio.
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Cosmétiques bio : Le guide 2011
Amel BOUVYER, Auteur ; Hélène BINET, Auteur ; Emmanuelle VIBERT, AuteurLe Hors-série "Quelle santé" n° 52 porte sur les cosmétiques bio, adaptés à tous les âges, ainsi qu'à tous les besoins. Des personnages fictifs, âgés de 6 mois à 65 ans, servent de repères pour présenter toutes les gammes de produits cosmétiques : lait bébé, huile de massage, soin nourrissant des Alpes, eau nettoyante à l'orange... ; eau micellaire, mousse nettoyante, savon exfoliant, masque cheveux, déodorant, masque à l'argile, shampooing, gel douche ; gel fermeté corps, shampoing brillance, gel moussant, lotion de réveil, déodorant, gel coiffant ; ...
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La crème des crèmes au banc d'essai
Grâce à un tableau et à une description détaillée des crèmes hydratantes bio disponibles sur le marché, il est possible d'identifier des produits de qualité et certifiés par Cosmébio, BDIH, Ecocert. Sont indiquées les bonnes raisons d'en faire usage et est rappelée la toxicité des substances issues de la chimie de synthèse.
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La cuisine des quatre saisons
Alexandre IMBERT, Auteur ; Amel BOUVYER, Auteur ; QUELLE SANTE, AuteurAprès un édito sur le rôle de la nature comme "nutritionniste géniale" et une mise au point sur la cuisine diététique mais gourmande, à base d'ingrédients issus de l' agriculture biologique, ce hors-série présente la cuisine des quatre saisons en quatre chapitres : printemps, été, automne, hiver. Pour chaque saison sont notamment présentés l'intérêt nutritionnel de tels légumes ou fruits, ainsi que de nombreuses recettes de cuisine.
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La datte, le fruit de vie des nomades
L. FOURCADE, Auteur ; Amel BOUVYER, AuteurLa datte était la source d'énergie principale des nomades dans le désert et occupe aujourd'hui une place de choix dans la cuisine traditionnelle du Moyen-Orient. Ses vertus sont nombreuses. Elle est pourvue en vitamines C, provitamines A, calcium... Déshydratée, sa teneur en minéraux, fibres... est décuplée, mais sa teneur en calories augmente et elle se trouve dépourvue de vitamines C et de provitamines A. En cuisine, il est possible aussi bien d'utiliser les dattes séchées que les dattes fraîches. Deux recettes sont proposées.
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Dossier : Les dessous du commerce équitable
Aujourd'hui, de plus en plus de consommateurs s'intéressent au commerce équitable. D'ailleurs, chaque printemps, le commerce équitable s'invite chez différents médias et supermarchés afin de sensibiliser les consommateurs à la signification de leurs achats. Une hausse importante des ventes de produits issus du commerce équitable se fait sentir depuis quelques années. C'est dans le grande distribution que l'on retrouve une part importante des ventes. Certaines marques comme Ethiquable et Alter Eco ont vu dans la grande distribution la solution pour offrir un débouché économique à leurs produits. Aujourd'hui, ces pionniers sont confrontés aux marques de distributeurs qui s'imposent sur le marché grâce à des prix plus bas. Selon Christian Jacquiau (économiste, auteur des "Coulisses du commerce équitable" aux éditions Mille et Une Nuits), le commerce équitable est incompatible avec la vente en grande surface où l'on essaie à chaque étape de réduire les coûts. D'autre part, il dénonce les abus qui peuvent être faits sur cette labellisation. En effet, ce ne sont que les matières premières qui sont labellisées, mais aucune des étapes de transformation...
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Dossier : Panique sur les plastiques
Suivant l'exemple du Canada qui envisage de classer le bisphénol A (BPA) dans la catégorie des produits toxiques et dangereux, l'Europe, après les conclusions d'experts et une éventuelle consultation publique, pourrait revoir les normes appliquées à l'utilisation du BPA dans les plastiques à usage alimentaire. Cinq polymères représentent à eux seuls 90% du marché des plastiques d'emballage à usage alimentaire. Bien que la réglementation recommande d'indiquer la classe à laquelle appartient la matière dont est composé un objet en plastique, il arrive que certains objets ne portent aucune mention. En outre, les fabricants n'hésitent pas à ajouter des substances douteuses au coeur des plastiques dont il n'existe pas de liste exhaustive. Des scientifiques pointent du doigt les possibles répercussions sur la santé des matières plastiques issues des monomères (unités à partir desquelles la matière plastique est fabriquée) et des substances intégrées qui entrent en interaction avec les aliments. Si le BPA est nocif, le PVC, le polystyrène, les polycarbonates, ainsi que les phtalates le sont tout autant. Dans cette catégorie, le DEHP posséderait un fort pouvoir toxique. Par ailleurs, des recherches sont menées quant à la possible utilisation d'un agent tensioactif à la surface du polypropylène ou la production de copolymères de styrène (l'un visant la réduction des risques de contamination des aliments par des souches bactériennes, l'autre visant l'incorporation de ions argentiques progressivement libérés en vue d'un effet bactéricide). La recherche en toxicologie manquant de moyens d'investigation, les conséquences des usages des plastiques et de certains de leurs composants sont sous-estimées. Les biopolymères (fabriqués à partir de substances végétales) sont une voie qui mériterait d'être explorée.
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Dossier : Passeport vert pour traversées en solidaire
L'Organisation mondiale du Tourisme (OMT) estime qu'il y aura 1,1 milliard de touristes en 2010. Le secteur est florissant et a dégagé 733 milliards de dollars en 2006, soit 11% du PNB mondial. Cependant, pour Achim Steiner, sous-secrétaire général des Nations-Unies et directeur exécutif du Programme des Nations-Unies pour l'Environnement (PNUE) "aujourd'hui, le défi est de gérer le tourisme durablement". Plusieurs constats sont faits notamment sur les conséquences environnementales du tourisme avec, en particulier, les émissions de CO2 : à raison de 80 000 vols par jour dans le monde, 1,3 milliards de tonnes de CO2 sont émises annuellement, soit environ 5% du total mondial (la France accueille 79 millions de touristes par an et, tous les ans, 8 millions de Français partent à l'étranger. Parmi eux, moins de 150 000 ont voyagé de manière solidaire, équitable ou responsable). En 1995, une conférence mondiale du Tourisme durable, organisée aux îles Canaries, faisait valoir une charte de 18 articles, définissant ses principaux enjeux. En 1999, cette charte se change en code mondial d'éthique du tourisme lors d'une assemblée générale de l'OMT au Chili. Sont alors définies différentes règles que doivent respecter les acteurs du tourisme : voyagistes, compagnies aériennes... Selon l'article 5, les populations locales doivent être associées aux activités touristiques et participer équitablement aux bénéfices qu'elles génèrent. L'article 3 estime qu'il est "du devoir de l'ensemble des acteurs du développement touristique de sauvegarder l'environnement et les ressources naturelles...". En France, première destination touristique, une quinzaine de prestataires ont ratifié la charte. En quelques années, les initiatives se sont multipliées pour changer les pratiques touristiques : en 1997, les espaces protégés de l'Union européenne se penchent sur la question de la compatibilité entre développement touristique et préservation naturelle ; depuis le 12 mars 2000, les tour-opérateurs du monde entier se retrouvent au sein du réseau Tour Operators Initiative (TOI) pour développer des prestations favorables à l'environnement et aux populations locales ; en 2003, l'Union nationale des associations de tourisme et de plein air (UNAT) définit les critères du tourisme équitable et solidaire et labellise une vingtaine de structures. Toutes sont regroupées aujourd'hui sous l'égide de l'Association pour le Tourisme équitable et solidaire (ATES). En 2005, l'Association pour un tourisme responsable (ATR) lui emboîte le pas et tente de clarifier l'appellation tourisme responsable cette fois en optant pour la voie de la certification officielle.
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Dossier : Végétariens, ne vous prenez plus le chou
Des raisons d'ordre éthiques et écologiques conditionnent le choix du végétarisme. Ce dossier a pour objet de redéfinir les bienfaits réels d'un régime végétarien à condition qu'il respecte certaines règles. Il n'existe d'ailleurs pas un, mais plusieurs types de végétarisme (végétariens stricts, ovo-lacto-végétariens, lacto-végétariens, veganisme), selon les aliments exclus.
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Epicez, c'est bon pour le moral
Amel BOUVYER, AuteurToniques, diurétiques, digestives... les épices composent depuis des millénaires une puissante pharmacopée. Un étal d'épices à fort pouvoir thérapeutique est présenté et concerne : la baie de genièvre, la cannelle, la cardamone, le carvi, le clou de girofle, la coriandre, le gingembre, la noix de muscade, le piment, le poivre, le safran.