Détail de l'auteur
Auteur Yuna CHIFFOLEAU |
Documents disponibles écrits par cet auteur (14)


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Impact économique des magasins de producteurs en Luberon
Julie LOMBION, Auteur ; Laurick COLLEWET, Auteur ; Yuna CHIFFOLEAU, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (6 Rue de la Rochefoucauld, 75 009, FRANCE) : TRAME (Association nationale de développement agricole et rural) | 2021En 2018, dans le cadre du projet multi-partenarial MAGPRO « clés de réussite et impacts territoriaux des magasins de producteurs », financé par le Casdar, Inrae de Montpellier - UMR Innovation a développé une méthodologie de mesure de limpact économique des magasins de producteurs. Elle consiste à mesurer l'« effet multiplicateur de lachat local », d'après l'observation de la redistribution locale de l'argent mis en circulation après une dépense dans un magasin de producteurs. Trame et Inrae - UMR Innovation, en collaboration avec le Réseau des magasins et le RMT Alimentation locale, ont mené cette étude sur 5 magasins de producteurs du Luberon : - Unis Verts Paysans, à Forcalquier (04) ; - Luberon Paysan, à La Tour dAigues (84) ; - Naturellement Paysan, à Coustellet-Maubec (84) ; - Côté Champs de Provence, à La Brillanne (04) ; - La Belle Ferme, à Manosque (04).
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Passer à laction : Les Tiers-Lieux Nourriciers engagés pour la transition agroécologique et alimentaire
Yuna CHIFFOLEAU, Auteur ; Julie DECHANCE, Auteur ; Juliette PERES, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 07 (147 Rue de l'Université, 75 338, FRANCE) : INRAE (Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement) | 2020Comment repenser nos systèmes alimentaires, mobiliser les citoyens dans les transitions agroécologiques, créer des ponts entre les consommateurs et les producteurs, initier des partenariats entre acteurs de la recherche, associations de territoire et institutions ? Les tiers-lieux nourriciers, jusqualors peu connus, peuvent apporter des solutions à ces différentes questions. Cest le sujet de cet ouvrage qui est le fruit dune exploration menée entre 2019 et 2020 par FABLIM, INRAE Montpellier UMR Innovation et InCitu, en partenariat avec la Chaire AgroSYS Institut Agro et la DRAAF Occitanie. L'ouvrage sappuie sur un recensement de 125 tiers-lieux nourriciers en France et une vingtaine dentretiens auprès de fondateurs, de gestionnaires et d'usagers de ces lieux. Il a été pensé comme un outil au service des porteurs de projets de tiers-lieux nourriciers. Il compile six fiches défis permettant de sinscrire, étape par étape, dans un processus de transition : 1 - Sensibiliser et autonomiser les usagers autour de la transition agroécologique du territoire ; 2 - Participer à linstallation dagriculteurs hors cadre familial ; 3 - Changer le système agricole local ; 4 - Changer les pratiques alimentaires ; 5 - Faire vivre une communauté apprenante ; 6 - Agir pour la résilience alimentaire de son territoire.
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Les circuits courts alimentaires : Entre marché et innovation sociale
Les circuits courts alimentaires préfigurent-ils une transition vers une " autre " économie ? Cet ouvrage, appuyé sur de nombreuses données de terrain, décrit un phénomène foisonnant encore largement méconnu, qui contribue à construire une économie plus solidaire. Les circuits courts alimentaires, en France, sont en plein renouvellement depuis la fin des années 1990. Que se joue-t-il dans ce renouveau ? Que nous apprend la diffusion actuelle de ces circuits, au-delà des militants qui ont contribué à les remettre sur le devant de la scène ? Étayé sur une longue expérience de recherche-action et de médiation, cet ouvrage, ancré dans la sociologie économique et des réseaux, constitue avant tout une synthèse scientifique qui met en lumière différents chemins de transition vers une "autre" économie, dans laquelle l'économie sociale et solidaire peut jouer un rôle clé.
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Dossier : Bio et local, c'est l'idéal !
Gaëlle RUBEILLON, Auteur ; Yuna CHIFFOLEAU, Auteur ; Florent GUHL, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, consacré à la consommation bio et locale, comporte les articles suivants : - Manger local, la nouvelle tendance ; - Amap, Ruche et Cie : les circuits courts sont de retour ! ; - Bio et local : quelles politiques agricoles ? ; - Du jardin à l'assiette : l'autonomie alimentaire ; - Consommer équitable, pour marier éthique et écologie ; - Produire local, un atout économique ; - Santé : redécouvrons les plantes de chez nous.
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Dossier : La place de Biolait dans les circuits courts
Jacques CHIRON, Auteur ; Yuna CHIFFOLEAU, Auteur ; Clément GUÉRIN, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier explique pourquoi et comment le collecteur Biolait soutient ses adhérents qui effectuent de la transformation laitière. Une ferme qui transforme une partie de son volume vend moins de lait à la laiterie et les volumes vendus sont souvent plus variables. Toutefois, Biolait fait le choix de soutenir ces producteurs car la transformation laitière participe au développement de la bio et peut permettre de nouvelles installations. Ce dossier débute par les propos dYuna Chiffoleau, directrice de recherche à lINRA et co-animatrice du RMT Alimentation locale, qui définit ce que sont les circuits courts, ainsi que leurs impacts positifs (sous certaines conditions) pour les exploitations et les consommateurs. À la suite, Jean-Michel Péard, adhérent à Biolait et cofondateur, président et adhérent du réseau « Initiative À La Ferme » (SAS, à l'échelle nationale, de producteurs qui effectuent de la transformation laitière), explique en quoi consiste ce réseau et comment lui-même allie circuits courts et circuits longs sur sa ferme. Viennent ensuite les témoignages de plusieurs fermes laitières, aux situations diverses, toutes adhérentes de Biolait : La ferme des Jarouilles (Gironde) transforme une grande partie de son lait et réalise des livraisons anecdotiques à Biolait, elle décrit en quoi cette souplesse de collecte lui est favorable ; La ferme de Pincheloup (Eure) a, jusquà présent, valorisé tout son lait en direct, mais le fils qui va prochainement sinstaller va mettre en place la traite au champ et commercialiser le lait à Biolait ; Le GAEC du Pis Vert (Perche) transforme tout mais fait quand même le choix dadhérer à Biolait ; Le GAEC des Rieux (Haute-Marne) vend une partie de son lait sous STG Lait de Foin Dix autres témoignages sont apportés. Enfin, ce dossier est clôturé par un article sur Biocoop (partenaire de Biolait), qui fait également co-exister circuits courts et filières longues dans ses magasins.
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Et si on mangeait local ? : Ce que les circuits courts vont changer dans mon quotidien
Patrick PHILIPON, Auteur ; Yuna CHIFFOLEAU, Auteur ; Frédéric WALLET, Auteur ; ET AL., Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2017
Depuis une quinzaine d'années, les « circuits courts » de commercialisation de produits alimentaires font leur grand retour en France. Crises alimentaires aidant, les consommateurs veulent aujourd'hui savoir d'où viennent leurs aliments et comment ils ont été produits. Louvrage répond aux questions pratiques qu'ils se posent : où puis-je trouver des produits locaux ? Sont-ils plus chers, sont-ils meilleurs en goût ? Quelle différence entre une Amap et la vente à la ferme ? Quel est l'impact sur l'environnement ? Manger local : une « bonne idée » ou pas, finalement ? Repli sur soi ou acte citoyen ? Quels futurs pour les circuits courts ? 2 réflexions complémentaires concluent cet ouvrage : « Contribuer à un renouveau démocratique autour de lalimentation locale » et « Innover pour perpétuer la vie de nos territoires ».
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De l'Ideotype au Realtype : une gestion dynamique des innovations variétales
Aurélie BELLEIL, Auteur ; Dominique DESCLAUX, Auteur ; Yuna CHIFFOLEAU, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2014Avec l'évolution du monde agricole, les principes de sélection variétale ont changé. Jusqu'au XIXe siècle, la sélection se faisait surtout par les agriculteurs eux-mêmes. Ils sélectionnaient, dans leurs parcelles, des plantes-modèles ou idéotypes, qui possédaient un ensemble d'attributs pour lesquels la plante était reconnue. Généralement, les plantes les mieux adaptées à leur milieu de culture étaient ainsi sélectionnées. Le développement de l'agriculture, après la seconde guerre mondiale, a induit une spécialisation de ses différentes activités, notamment du secteur semencier. Dès lors, les idéotypes produits sont issus de l'action directe de l'homme via les croisements, mais aussi via son action sur les milieux de culture par l'utilisation d'engrais et pesticides. Certains mouvements contestataires sont alors apparus, prônant notamment une écologisation de l'agriculture. En agriculture biologique, quatre modèles se sont développés, entraînant l'existence de quatre idéotypes contrastés : - un idéotype défini par la réglementation ; - un idéotype de marque, défini par un cahier des charges ; - un idéotype patrimonial, visant la préservation de variétés locales ; - un realtype, qui consiste à mettre l'idéotype face à la réalité de terrain et à sa diversité.
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DinABio 2013 : Session Semences et sélection
Dominique DESCLAUX, Auteur ; Yuna CHIFFOLEAU, Auteur ; Jean-Marie NOLOT, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 07 (147 Rue de l'Université, 75 338, FRANCE) : INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) | 2013Les résumés des interventions de la session "Semences et sélection" du colloque DinABio 2013 indiquent que le développement de l'agriculture biologique nécessite de disposer d'une offre large de semences et variétés adaptées. Il est donc nécessaire de mettre en place une démarche dynamique et participative d'amélioration des plantes. C'est ce qui est fait dans le cadre d'un travail entre le Réseau Semences Paysannes et l'INRA, qui a débouché sur des innovations génétique (création de variétés populations), sociétale (co-conception et décentralisation de la sélection) et statistique (mise en place d'outils de gestion et analyse de données). La création d'une Maison de la Semence à l'AVEM est un autre exemple de démarche de sélection participative. La production de semences biologiques est peu attractive, mais la combinaison de conduites en bas intrants et biologique semble être une voie prometteuse de sélection de blés pour l'agriculture biologique. Le goût des pains artisanaux au levain est principalement influencé par le fond génétique du blé. La sélection variétale pourrait aussi permettre d'améliorer la gestion durable des nématodes à galles via la création de variétés résistantes.
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Impacts sociaux des circuits courts alimentaires sur les exploitations agricoles - Diversité des modèles et analyses croisées
Yuna CHIFFOLEAU, Auteur ; Agnès GAUCHE, Auteur ; Denis OLLIVIER, Auteur | CHATEAU-CHINON (6 Place Saint Christophe, 58 120, FRANCE) : C.E.R.D | 2013
Le document est issu d'une large étude réalisée dans le cadre du projet lauréat Casdar 2010 : « Élaboration d'un référentiel pour évaluer la performance technique, économique, sociale et environnementale et favoriser le développement des circuits courts de commercialisation ». Ce projet s'est déroulé d'octobre 2010 à décembre 2013 et a réuni 61 partenaires (recherche, instituts techniques, organisations professionnelles agricoles, fédération d'AMAP ), dont 11 contributeurs en continu sur l'ensemble du programme : le Centre d'Études et de Ressources sur la Diversification (CERD), la Fédération nationale d'agriculture biologique (FNAB), l'Institut de l'élevage, l'Institut du porc (IFIP), l'Institut Technique de l'Aviculture et de l'Élevage des Petits Animaux (ITAVI), TRAME, la FRCIVAM Bretagne, l'APCA/RESOLIA, la Chambre régionale d'agriculture de Rhône-Alpes, l'INRA UMR Cesaer/AgroSup Dijon et l'INRA UMR Innovation. Le présent document rend compte de l'aspect social associé aux circuits courts, à l'échelle des exploitations. L'étude a reposé sur deux approches complémentaires : traitement de données spécifiques aux aspects sociaux collectées via une enquête par questionnaire auprès de producteurs de 6 familles de produits, et approfondissement de certains aspects par des entretiens avec une diversité dans les acteurs concernés. L'étude souligne notamment la contribution des circuits courts au développement territorial et à la cohésion sociale. Au sommaire : - Méthodologie ; - Typologie des producteurs en circuits courts à partir des entretiens approfondis ; - Analyse transversale sur l'échantillon total du projet ; - Approfondissement des aspects sociaux : Éléments de réponse aux hypothèses de travail ; - Synthèse.
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Partenariats - Fiche n° 2 : Les circuits courts de commercialisation des produits alimentaires biologiques
Le Réseau Mixte Technologique pour le Développement de l'Agriculture Biologique (RMT DévAB) est composé d'instituts techniques agricoles (dont l'ACTA, tête de réseau), de chambres d'agriculture (dont l'APCA, tête de réseau), d'organismes de recherche, de structures spécifiques de l'AB (dont l'ITAB), de lycées agricoles (du réseau Formabio) et d'écoles d'ingénieurs en Agriculture. Il a pour ambition d'identifier des stratégies de développement de ce mode de production agricole et de consolider un réseau de compétences, en recherche, développement et formation, spécifiques à l'AB, permettant de construire des projets intégrateurs pour l'AB et développer la visibilité européenne de la France. L'axe 1 du programme du RMT vise à accompagner l'AB comme mode de production innovant et performant pour l'ensemble de l'agriculture. L'objet du chapitre introductif et des fiches qui l'accompagnent (organisées en 4 chapitres : Systèmes de production ; Agronomie ; Santé des plantes et des animaux ; Partenariats) est de caractériser des systèmes de production innovants et performants et d'identifier leurs clés de réussite. Ainsi, cette fiche (Partenariats - Fiche n° 2 : Les circuits courts de commercialisation des produits alimentaires biologiques) a été réalisée dans le cadre du RMT DEVAB et a pour objectif de fournir quelques éléments sur les circuits courts de commercialisation des produits alimentaires biologiques.
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Pluralité des agricultures biologiques : Enjeux pour la construction des marchés, le choix des variétés et les schémas d'amélioration des plantes
Dominique DESCLAUX, Auteur ; Yuna CHIFFOLEAU, Auteur ; Jean-Marie NOLOT, AuteurLe volume 4 de la Revue Innovations Agronomiques de l'INRA est spécialement dédié à l'agriculture biologique. Il présente des communications sélectionnées parmi les exposés et posters du colloque Dinabio organisé en mai 2008 à Montpellier. Ce document est une de ces communications. Dans le contexte actuel de diversification des systèmes agricoles, l'agriculture biologique (AB) est souvent réduite à une voie de diversification parmi d'autres, ou à un prototype innovant d'agriculture. Or, des observations, enquêtes et expérimentations menées dans le cadre de recherches participatives, fondent la nécessité de considérer l'AB comme plurielle. Inspirés des travaux de Sylvander et al. (2006), cette pluralité peut être illustrée à travers 4 modèles d'agriculture, définis selon un axe socioéconomique opposant les logiques individuelles à une gouvernance collective, et un axe agroécologique distinguant approches analytiques et systémiques. La considération de cette pluralité modifie t-elle la manière d'envisager les innovations variétales, l'amélioration des plantes et de penser la construction des marchés ? Interrogés, des chercheurs en génétique, agronomie, biométrie, sociologie et anthropologie répondent par l'affirmative en différenciant les 4 modèles d'agriculture par (i) la relation au marché (de l'adaptation à la co-construction) (ii) les variétés recherchées : de la ressource patrimoniale jusqu'à la variété multifonctionnelle démontrant un progrès technique, éthique et social, (iii) les objectifs : simple progrès génétique ou renforcement du rôle des agriculteurs, (iv) les acteurs de la sélection : de l'agriculteur aux grandes firmes semencières, (v) la perception de l'environnement : du simple milieu biophysique à l'intégration de composantes socio-économiques.
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La sélection participative pour élaborer des variétés de blé dur pour l'agriculture biologique
Dominique DESCLAUX, Auteur ; Jean-Marie NOLOT, Auteur ; Yuna CHIFFOLEAU, AuteurLes auteurs relatent 8 ans d'un programme de sélection participative du blé dur et en extraient des réflexions synthétiques sur les verrous rencontrés et étapes franchies en matière de concepts, postures et méthodes de travail. Face au désintérêt du secteur semencier formel pour l'AB, les acteurs du projet, confrontés à la spécificité et la diversité des situations d'AB (pédoclimatiques et socioéconomiques), collaborent dans une démarche de sélection participative et ré-interrogent la notion d'idéotype et les critères d'évaluation variétale, les structures variétales et méthodes de sélection adaptées, les compétences et moyens requis, les composantes de l'environnement interagissant avec les génotypes. Ces questionnements contribuent à faire évoluer le paradigme de "progrès génétique" en intégrant celui du "progrés social". L'enjeu n'est plus de rechercher la variété la plus productive et la plus stable sur un réseau large, mais bien d'élaborer conjointement et localement des variétés et des systèmes écologiquement durables (mode de culture), socialement acceptables (organisation partenariale des acteurs qui participent à son élaboration) et économiquement viables (débouchés, réglementation). L'AB participe à la Haute Performance Économique et Environnementale, à laquelle la sélection participative contribue à en ajouter le S de la Haute Performance Sociale.
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Production et valorisation en partenariat de blé dur biologique dans la zone Grand Sud
Depuis 2000, des chercheurs de l'INRA se sont engagés aux côtés d'agriculteurs dans un programme de sélection variétale en conditions biologiques mené chez et avec les producteurs de blé dur (en Lauragais et Camargue). 2 lignées intéressantes ont été identifiées d'une part pour leur qualité agronomique et morphologique, et d'autre part pour leur qualité dans des conditions de carence azotée : teneur élevée en protéines et absence de mitadin. Aujourd'hui, les acteurs de ce projet s'interrogent sur 3 points : - Comment valoriser le travail de l'agriculteur-sélectionneur ? ; - Ces lignées peuvent-elles être inscrites au catalogue officiel ? ; - Quels débouchés pour ces variétés ?
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Culture légumière biologique : Le défi variétal : Exemple des choux et choux-fleurs bio en Bretagne
L'agriculture biologique doit franchir une nouvelle étape, qui présente des enjeux stratégiques importants : produire bio avec des semences bio. Parmi les projets développés par l'INRA pour l'AB, l'étude des ressources génétiques des choux et choux-fleurs en Bretagne soulève les principaux défis à relever pour la filière AB (de la production de semences à la consommation) : culturel, scientifique, technique, économique et sociologique.