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Auteur Michael GOTZ |
Documents disponibles écrits par cet auteur (5)


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Fini chimie et semences OGM
Michael GOTZ, AuteurMahendra Singh cultive du coton et des pois chiches sur sa ferme de deux hectares, située dans lEtat de Madhya Pradesh, en Inde. Cet agriculteur a fait le choix de convertir sa ferme à lagriculture biologique, il y a trois ans. Lidée lui a été donnée lors dune formation organisée par lEtat. Suite à cette formation, il sest demandé pourquoi acheter des produits chimiques, alors quil pouvait fabriquer lui-même des engrais et des préparations pour protéger ses cultures. Il a essayé pendant un an : son rendement en coton était plus bas, mais il avait acheté moins dintrants, et il a pu augmenter son revenu de 5 %. Il a ensuite décidé de convertir toute sa ferme en bio. Pour cela, il a bénéficié dun accompagnement de la part du FiBL, dans le cadre dun programme nommé SysCom. Son coton est acheté par Biore India, une succursale de lentreprise suisse de textile bio Remei. Mahendra Singh réalise lui-même des préparations pour protéger son champ de coton des maladies et des ravageurs. Biore India lui fournit des semences de coton non génétiquement modifiées et certifiées par un organisme de certification indépendant (plus de 90 % du coton produit en Inde viendrait de semences génétiquement modifiées). Mahendra Singh ne peut, toutefois, pas réutiliser ses propres semences, puisque ses champs sont menacés par le pollen des cotons génétiquement modifiés des champs voisins.
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Des pommes de terre pour les cochons
Michael GOTZ, AuteurEn élevage porcin, les pommes de terre sont un très bon aliment : rassasiant et pas cher (notamment les pommes de terre qui ne peuvent pas être vendues en raison de leur calibre trop petit, de leur couleur verte ou parce quelles sont abîmées...). Elles doivent, en revanche, obligatoirement être étuvées avant dêtre distribuées aux cochons afin déliminer la solanine quelles contiennent (elles ne peuvent pas être données crues). Ce type daffouragement est devenu rare et plutôt réservé aux élevages à petit effectif. Dans cet article, deux éleveurs bio basés en Suisse, qui incluent encore des pommes de terre dans leurs rations, expliquent comment ils procèdent. Matthias Vögele conduit une ferme de 48 ha (dont 3,5 ha de pommes de terre) et élève 30 truies mères, ainsi que 40 vaches Angus. Chaque année, il obtient six à huit tonnes de tubercules invendables quil donne à manger à ses truies de fin septembre à mi-décembre (environ 4 kg/j/truie). Cet aliment remplace les bouchons de maïs et lui permet de réaliser des économies. Il a acheté une étuveuse de 160 L doccasion pour les cuire et les distribue à la main à laide dune pelle et dune brouette. Il estime le temps de travail supplémentaire à 20 minutes par jour. Autre témoignage, celui d'Andreas Bracher qui élève 40 truies. Il sest tourné vers cet aliment pour réaliser des économies : il estime économiser 18 francs suisses par jour (soit environ 16,62 ) comparé à lachat de concentrés bio.
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Cuiseurs solaires : Auto-construction et recettes
Rolf BEHRINGER, Auteur ; Michael GOTZ, Auteur | SÈTE (8 Rue du Parc, 34 200, FRANCE) : EDITIONS LA PLAGE | 2009
Même dans les pays du nord, les cuiseurs solaires offrent la possibilité de faire la cuisine de 100 à 150 jours par an. Voici une initiation complète à la gastronomie solaire. Cette technique de cuisson préserve la saveur et les vitamines des aliments... et quelle satisfaction de n'utiliser que l'énergie solaire pour cuisiner, stériliser des conserves ou cuire son pain ! Après une présentation des différents types de cuiseurs disponibles aujourd'hui en Europe, le lecteur est invité à construire lui-même son cuiseur solaire en bois. Explications détaillées, schémas et photos, matériaux très simples à trouver, recettes... la fabrication et l'utilisation de ce cuiseur performant est, pour l'auteur, une expérience à la portée de tous.
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La confiance est bénéfique à l'homme et à l'animal
Ceux qui traitent bien leurs bêtes en retirent des avantages directs. Les animaux ne devraient pas devoir se méfier des personnes qui s'occupent d'eux mais les apprécier. A Vienne, lors du 14ème séminaire de l'élevage en plein air, le professeur Susanne Waiblinger a donné une conférence sur les relations entre l'homme et l'animal et a abordé le quotidien des élevages agricoles. L'article fait un résumé de la conférence.
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Pondoirs sur litière mécanisés
L'article propose deux volets concernant l'élevage de pondeuses et de poulettes. L'un, "Un nouveau système sépare les oeufs de la litière des nids", traite des nids garnis de balles d'épeautre, installés dans les grands poulaillers, depuis qu'il est possible de mécaniser la séparation de la litière et des oeufs ; L'autre, "Seul le meilleur est assez bon", aborde des conditions de vie optimales et des aliments de très haute qualité nécessaires dès la naissance des poussins.