Détail de l'auteur
Auteur Gaëlle POYADE |
Documents disponibles écrits par cet auteur (111)


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Pomme d'Api'zz : Des pommes à la récré
Gaëlle POYADE, AuteurLe verger Pomme d'Api'zz, dans le Finistère, écoule sa production en vente directe sur les marchés et à la ferme, dans les magasins bio, mais aussi auprès des établissements scolaires de la région. Ce débouché a été rendu possible en partie par le programme européen Un fruit pour la récré, qui prend en charge 76 % du prix des fruits et légumes offerts aux élèves du primaire et du secondaire (contre 50 % auparavant).
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Coopératives, GIEE : Se réunir pour réussir
Gaëlle POYADE, AuteurA l'occasion du forum « Produire des Ppam bio, c'est un métier », organisé en décembre 2014 par le Comité des plantes à parfum, aromatiques et médicinales (Cpparm), plusieurs acteurs de la filière ont mis en avant l'importance du collectif dans le développement de la filière. Parmi les intervenants, se trouvaient des coopératives, comme Aromates de Provence, des sociétés en commandite par actions (SCA), comme la SCA3P (pour Plantes à Parfum de Provence), des GIEE, comme Biolopam 17, ou encore des sociétés d'intérêt collectif agricole, comme la Sica Biotope des Montagnes. Si tous ne travaillent pas exclusivement en bio, ils ont vu leurs surfaces certifiées se développer.
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Le défi sous 10 ans : Plus d'expériences terrain
Gaëlle POYADE, AuteurEn plantes à parfum, aromatiques et médicinales, 13 % des surfaces cultivées sont conduites en agriculture biologique, ce qui en fait la culture la plus bio de France. Il reste toutefois des freins techniques importants au développement de ces plantes, en particulier en ce qui concerne la gestion des adventices, des maladies et des ravageurs. Ces points sont d'autant plus sensibles dans cette filière pour laquelle l'exigence en termes de qualité est forte. Dans ce contexte, le regroupement des producteurs et leur accompagnement par des techniciens et des chercheurs se développe, pour produire, mais aussi pour vendre.
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Dépérissement de la lavanderaie : Couvert végétal et argile à l'essai
Gaëlle POYADE, AuteurLes cultures de lavande et lavandin peuvent subir un dépérissement induit par le phytoplasme du Stolbur. Ce pathogène est transmis par la cicadelle Hyalesthes obsoletus. Le Crieppam, Centre régionalisé interprofessionnel d'expérimentation en plantes à parfum, aromatiques et médicinales, étudie, depuis quelques années, plusieurs méthodes de lutte préventives : la mise en place de couverts dans les inter-rangs des lavanderaies et l'utilisation d'argile. Avec un couvert végétal semé ou spontané, les symptômes de dépérissement sont généralement moins importants, mais cette pratique nécessite du matériel spécifique. L'application d'argile kaolinite en prévention, testée de 2010 à 2013, a aussi permis une diminution des dégâts liés au dépérissement, à condition que la pression du ravageur ne soit pas trop importante. Chez les agriculteurs, les résultats pour cette deuxième solution ont été moins concluants. Là encore le matériel utilisé est remis en question (nécessité d'un pulvérisateur relativement précis).
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Dossier - Changement d'échelle : Quel avenir pour la bio ?
Christine RIVRY-FOURNIER, Auteur ; Vianney LE PICHON, Auteur ; Gaëlle POYADE, AuteurEn 2014, les surfaces bio ont atteint le million d'hectares en France. A travers ce dossier, Biofil revient sur le développement passé de la filière, avec quelques-uns de ses pionniers. Une vision prospective est également proposée à travers les témoignages de plusieurs acteurs de la bio. Ils abordent les voies de développement de la bio en termes de recherche et d'expérimentation avec l'Inra, l'Itab et la ferme expérimentale de Thorigné-d'Anjou, en termes de certification avec Ecocert, et en termes de développement de la filière avec Agribio Union, Terrena et Unébio.
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Dossier Innovations Matériel
Frédérique ROSE, Auteur ; Gaëlle POYADE, Auteur ; Jean-Martial POUPEAU, AuteurCe dossier fait le point sur les innovations des équipements : bineuses, herses étrilles, houes rotatives, portes-outils, robots . Les outils ne cessent de se perfectionner et permettent d'être plus précis (caméras, GPS ), de travailler en conditions difficiles (présence de cailloux, sols trop humides, battants ), d'améliorer le confort d'utilisation, d'aider à la décision, de réduire la consommation d'énergie Les outils polyvalents ont également du succès chez les bio. Différents outils innovants utilisables en maraîchage, cultures légumières et grandes cultures bio sont présentés et des producteurs bio témoignent.
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Essais tomates : 20 variétés à la loupe
Gaëlle POYADE, AuteurLa réduction des dérogations pour les semences non traitées incite les plateformes d'essai à travailler sur une offre variétale bio. C'est le cas de la Plateforme Agrobiologique d'Initiative Bio Bretagne (Pais) à Morlaix, dans le Finistère. 20 variétés de tomates sont testées, dont des hybrides (17) ou des populations (3). L'article livre les premiers résultats des essais sous serre de 2014 (avec répétitions) dont le rendement moyen est de 4 kg de fruits par an avec une récolte hebdomadaire. Cependant, la qualité organoleptique des variétés biologiques est difficile à comparer à celles des variétés non traitées, car le dispositif de test gustatif est trop lourd à mettre en place. Il faudra donc réduire le nombre de variétés pour approfondir les tests.
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Ile-de-France : Un yaourt régional
Gaëlle POYADE, AuteurYves de Fromentel est éleveur laitier à Pécy, en Seine-et-Marne, en bio (conversion en 2009). Dans sa région, aucun lait biologique n'est collecté. En 2011, l'association de producteurs « Fermes bio d'Ile-de-France » est créée et livre des restaurants collectifs en légumes bruts, 4ème gamme, fruits et yaourts. Depuis septembre 2014, c'est Yves de Fromentel qui fournit le lait de ces yaourts par le biais d'une laiterie artisanale mixte de Seine-et-Marne. Cependant, les prix sont trop bas, ce qui fait que le prix moyen du lait est en-dessous du coût de production (estimé par l'éleveur à 480 /1000L). Ce dernier décide donc de construire sa propre fromagerie et d'embaucher un salarié afin de valoriser le lait qui était collecté en conventionnel. En outre, l'éleveur projette de réduire sa production laitière et d'incorporer des Jersiaises dans son troupeau de Holstein pour gagner en qualité.
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Manger sain pour boire sain : Rennes se jette à l'eau
Gaëlle POYADE, AuteurLe dispositif Eau et Bio vise à développer l'agriculture biologique sur les zones de captage dans le but de préserver la ressource en eau. Depuis 2010, plusieurs sites pilotes se sont mis en place. Parmi eux, celui de la collectivité Eau du Bassin Rennais, avec le projet Rest'Eau, est en cours de construction en 2015. Ainsi, un cahier des charges à destination des agriculteurs a été rédigé autour de la construction d'une marque, Eau en Saveurs. Cette dernière permettra de sensibiliser les consommateurs à la problématique de la qualité de l'eau en lien avec leurs choix de consommation, et ce, dans un premier temps, à travers la restauration collective.
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Restauration collective : Quid des plates-formes bio ?
Gaëlle POYADE, AuteurLes plates-formes gérées par les producteurs bio détiennent 10 % du marché de la restauration collective bio. L'accompagnement des structures et des personnes est une clé du succès. Le fait de regrouper les commandes, les livraisons et les factures est également un atout important à condition de proposer un catalogue étoffé. C'est pourquoi des partenariats sont souvent noués avec Biocoop Restauration. Pour assurer la logistique et l'administration des ventes au niveau de la plate-forme, il est nécessaire d'avoir du personnel et un bon outil informatique (logiciels adaptés). La planification est importante pour gérer les commandes des établissements. Les entreprises de restauration (Elior, Sodexo ) détiennent la moitié du marché national, aussi il s'avère important d'avancer avec eux. A ce titre, une convention vient d'être signée entre Elior, la FNAB et Manger Bio Ici et Maintenant.
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Biodynamie : Témoignages et résultats
Myriam GOULETTE, Auteur ; Gaëlle POYADE, AuteurLes agriculteurs qui font le choix de la biodynamie cherchent, en général, à atteindre une qualité maximale pour leurs produits, à pratiquer une agriculture évolutive, dans laquelle ils sont amenés à réfléchir et à expérimenter, à travailler avec l'ensemble des forces de la nature Certains d'entre eux témoignent de ces choix et de leurs pratiques dans ce dossier : - Isabelle et Patrice Drai, producteurs de plantes aromatiques et médicinales en Dordogne depuis 1982 en biodynamie ; - Benoît Massé, producteur de grandes cultures dans l'Yonne, en biodynamie depuis 4 ans après 20 ans en agriculture biologique ; - Loïc Villemin, éleveur allaitant dans les Vosges, converti à la biodynamie en 2012 après une vingtaine d'années en bio ; - Antoine Lepetit-de la Bigne, nologue en Côte-d'Or, qui a comparé biodynamie, agriculture bio et agriculture conventionnelle ; - Thérèse et Daniel Mevel, maraîchers dans les Hautes-Alpes, installés en biodynamie en 1985. François Delmond, gérant de Germinance, dont un quart des semences commercialisées sont issues de la biodynamie, témoigne également. Côté recherche, les thématiques phares sont la qualité alimentaire, les préparations biodynamiques, la fertilité du sol et le compostage, comme l'explique Jean-Michel Florin, coordinateur et formateur au Mouvement de l'agriculture biodynamique (MABD). Par manque de moyens pour la recherche fondamentale, les acteurs de la biodynamie se tournent vers la recherche-action en mobilisant notamment le réseau de l'agriculture biologique. Enfin, ce dossier fait un point sur le matériel et les conditions optimales pour dynamiser et pulvériser les préparations et sur les apports de la cristallisation sensible.
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Carottes : haut les couleurs !
Gaëlle POYADE, AuteurLa carotte nantaise n'est pas le seul horizon des maraîchers biologiques. Différentes variétés offrant un large panel de couleurs et de saveurs sont testées par la Chambre d'Agriculture du Gard et en région Centre. La sensibilité à l'oïdium est également testée. Les itinéraires techniques des carottes colorées sont identiques aux autres variétés, mais le rendement est légèrement inférieur (surtout pour la variété violette). La plupart des variétés testées ne sont pas disponibles en bio (semences Nunhems et Bejo). Bien que les clients des marchés ne soient pas habitués à un tel choix, ces carottes commencent à rencontrer un écho dans les magasins spécialisés et dans les paniers.
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Persévérance et marketing en Savoie : « Plus c'est transformé, mieux c'est valorisé »
Gaëlle POYADE, AuteurDans le massif des Bauges, à plus de 1000 mètres d'altitude, les deux associés d'une ferme de plantes aromatiques et médicinales diversifiées réfléchissent à l'optimisation du temps de travail en modulant les temps passés entre la culture et la transformation des plantes. Les plantes trop difficiles à cultiver sont désormais cueillies en milieu naturel (arnica). Des terrasses et des buttes sont érigées pour améliorer le confort de travail et limiter le lessivage. Les plantes dont la récolte est trop chronophage sont mieux valorisées lorsqu'elles sont commercialisées en mélange pour des tisanes, ou alors transformées en macérâts huileux. Parfois, l'optimisation du conditionnement permet de mieux vendre pour un coût d'emballage plus faible.
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Pucerons contre melons : L'intérêt des bandes fleuries
Gaëlle POYADE, AuteurLes produits homologués et efficaces pour lutter contre les pucerons en cultures de melons biologiques sont inexistants. Ainsi, l'Inra et le Grab d'Avignon se sont intéressés à l'intérêt de bandes enherbées et/ou fleuries en bordure de parcelles. Ces aménagements agro-écologiques pourraient, en effet, jouer le rôle de réservoirs à auxiliaires. Deux essais, en conventionnel et en bio, et réalisés dans le cadre des programmes CTPS Parcel-R et Casdar Agath, ont été présentés à l'occasion des journées Légumes bio, organisées en mars 2014, par le Ctifl et l'Itab. Malgré une certaine hétérogénéité, les résultats des deux essais montrent que les bandes fleuries attirent un nombre important d'auxiliaires généralistes mais aussi spécifiques aux pucerons. Au sein des cultures de melons, la population d'auxiliaires côté bandes fleuries était 50 % plus importante que dans la culture côté sol nu (essai Parcel-R). Malgré des attaques de pucerons trop faibles cette année pour évaluer réellement l'efficacité de telles pratiques, les résultats sont prometteurs.
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Salon Natexpo : Marché porteur, promesses tenues
Gaëlle POYADE, Auteur ; Christine RIVRY-FOURNIER, Auteur550 exposants étaient présents au salon Natexpo, à Paris, en octobre 2013, ainsi que 14000 visiteurs, dont 12% issus de l'international. Le salon a récompensé 12 produits innovants, provenant des 4 domaines suivants : Bio et bon, Beauté au naturel, Forme et équilibre, Ecologie au quotidien. Les conditionnements réduits (portions individuelles ) se développent, ainsi que des « super » compléments alimentaires regroupant de nombreux ingrédients et le haut de gamme. Les ingrédients exotiques côtoient les recettes conventionnelles. Deux encarts présentent, l'un le témoignage de trois entreprises (Pain de Belledonne, les Coteaux nantais, Arcadie), l'autre le Petit Bio et son jus de cactus (figuier de Barbarie).