Détail de l'auteur
Auteur INSTITUT DE L'ELEVAGE
Commentaire :
|
Documents disponibles écrits par cet auteur


![]()
![]()
Agriculteur biologique : un métier en devenir...
L'agrobiologie met en oeuvre des techniques différentes de l'agriculture conventionnelle et requiert des savoir-faire nouveaux. Cette manière de produire soulève de multiples questions : peut-on tirer un revenu suffisant et à quelles conditions ? Quelles sont les conditions d'une conversion réussie ? L'observation de systèmes en "vitesse de croisière" est pour cela extrêmement riche d'enseignements. Depuis 1992, une dizaine d'exploitations bio ont donc été intégrées au réseau de fermes de références de Franche-Comté et bénéficient d'un suivi. Ce travail a permis l'élaboration de cet ouvrage qui présente six cas concrets (polyculture-élevage) et cinq témoignages d'éleveurs en cours de conversion.
![]()
![]()
L'agriculture biologique à l'Institut de l'Elevage
L'Institut de l'Elevage travaille, depuis 1994, sur le thème de l'agriculture biologique, notamment grâce aux stations expérimentales et au réseau de fermes de référence. Aujourd'hui, ses travaux mobilisent une équipe de 15 personnes et couvrent de nombreuses problématiques de l'élevage biologique. Présentation : - L'agriculture biologique au sein de l'Institut de l'Elevage ; - Une organisation opérationnelle ; - Cinq axes de travaux et recherches (répondre à la demande de références techniques et économiques concernant les modes de conduite des élevages d'herbivores en agriculture biologique, mettre au point les outils et les méthodes pour accompagner les candidats à la conversion en agriculture biologique...) ; - L'Institut de l'Elevage présent dans les principales instances de l'agriculture biologique (RMT Dev'AB, Conseil scientifique de l'agriculture biologique...) ; - Une équipe de 15 experts qui couvrent un large domaine (connaissance des systèmes lait, viande, ovins et caprins, alimentation des bovins laitiers, qualité du lait et santé animale...) ; - Les principaux travaux en cours (projet Casdar CEDABIO qui concerne les Contributions environnementales et la durabilité socio-économique des exploitations bovines en agriculture biologique, projet Casdar MONTAGNE BIO qui vise à construire des méthodes et des outils pour développer le lait biologique en montagne et zones de piémonts...).
![]()
![]()
Les agrocarburants et l'élevage : Atout ou menace pour les ruminants : 3 - Quels impacts sur l'élevage des ruminants ?
Il s'agit là du 3ème chapitre du document "Les agrocarburants et l'élevage : Atout ou menace pour les ruminants ?" (Dossier Economie de l'Elevage n°373, décembre 2007). Il s'intitule "Quels impacts sur l'élevage des ruminants ?". La production d'agrocarburants génère les drêches de blé et le glycérol. Sur les données actuellement connues, les drêches de blé issues de la production d'agro-carburants sont des aliments pour animaux équilibrés, comparables à des drêches de maïs pour les teneurs en amidon, protéines et fibres. Elles conviennent aux vaches laitières ou aux bovins viande, mais aussi aux caprins et ovins. Des éléments limitants existent (disponibilité en lysine, éventuels excès de minéraux). Leur emploi nécessite des analyses chimiques et essais zootechniques complémentaires. Le glycerol issu de la production de biodiesel devrait intéresser les fabricants d'aliments du bétail (en tant que liant). L'Afssa a donné un avis favorable à cet usage à condition qu'elle titre "au minimum à 80 % de glycérol et au maximum 0,5 % de méthanol" et qu'elle n'excède pas "10 % d'un aliment complémentaire standardisé à 88 % de la MS". Ces produits pourraient aider à contenir un peu les hausses de prix. L'étude souligne par ailleurs que le débat sur la concurrence entre les différents usages des terres agricoles (agrocarburants ou élevage) sera exacerbé avec l'arrivée éventuelle des agrocarburants de deuxième génération si leur bilan énergétique est plus favorable. Examinant ensuite la situation aux Etats-Unis, l'étude relève que les très grandes exploitations laitières des Etats de l'Ouest pourraient être davantage fragilisées par la forte demande de maïs pour les agrocarburants. Quant au Brésil, il sera de plus en plus confronté à la concurrence entre cultures pour les agrocarburants d'un côté, et cultures vivrières et élevage bovin de l'autre, qui débouche sur une augmentation des prix des produits alimentaires. L'étude souligne également que le cours du pétrole influence fortement le prix des principales matières agricoles.
![]()
Appréciation de la qualité du lait et maîtrise des infections mammaires dans les élevages agrobiologiques
Afin de mieux connaître le niveau de qualité du lait, et de maîtriser les infections mammaires des troupeaux conduits en AB, une étude a été réalisée sur 3 ans auprès d'élevages laitiers certifiés ou en cours de conversion AB. Les résultats obtenus dans le cadre du paiement du lait et du contrôle laitier ont été analysés. Des enquêtes sur les pratiques préventives et curatives mises en place vis-à-vis des mammites ont été réalisées. Dans 9 élevages, un diagnostic complet a été effectué et la faisabilité des modifications des pratiques évaluée. La qualité du lait est globalement comparable à celle de l'ensemble des producteurs des régions étudiées. L'analyse montre que la conversion est une phase délicate puisqu'un éleveur sur deux voit sa situation se dégrader. Cependant, un tiers de ces élevages réussit à rétablir la situation après conversion. Les infections sont en majorité dues à des germes à réservoir mammaire : S. aureus et C. bovis. Les élevages de taille modeste sont plus nombreux à maîtriser la prévalence des mammites. Les élevages où l'on constate des dérives sont plus fréquemment en système aire paillée, avec salle de traite équipée d'un décrochage automatique, ou traite au pot s'ils sont en système étable entravée. Enfin, l'implication et l'investissement des éleveurs dans le suivi sanitaire des troupeaux apparaissent importants.
![]()
![]()
Lautonomie en élevage de bovins biologiques
PÔLE AB MASSIF CENTRAL, Auteur ; INSTITUT DE L'ELEVAGE, AuteurLe 24 mai 2018 était organisée, au Lycée Agricole de Tulle-Naves, une journée technique sur lautonomie alimentaire en élevages biologiques, en particulier en bovins. A cette occasion, trois éleveurs de bovins viande en AB, dont deux Corréziens et un Normand, ont parlé de lautonomie alimentaire de leur système, ainsi que de la stratégie et des leviers quils mettent en uvre pour consolider/améliorer cette dernière. Cette journée a aussi été loccasion de visiter des parcelles du lycée et de présenter divers résultats du projet CasDar Optialibio sur lautonomie des systèmes bovins en AB, en particulier les niveaux dautonomie alimentaire de ces derniers, les déterminants de cette autonomie et divers livrables et outils issus de ce projet (ex. : Guide technique sur les mélanges céréales-protéagineux). Certains de ces livrables et outils ont été construits en lien avec le projet Mélibio, comme un jeu de cartes, outil danimation à mobiliser par exemple avec un groupe déleveurs, afin de travailler sur les stratégies et les leviers dautonomie. Ces derniers peuvent être classés en trois grandes familles : augmenter ses ressources alimentaires (plus de pâturage, introduire des mélanges céréales-protéagineux ), réduire ses besoins (pratiquer la monotraite...) et enfin, adapter son troupeau aux ressources (ex. : via le croisement de races).
![]()
![]()
Concilier bâtiment d'élevage et photovoltaïque : Mener une réflexion d'ensemble pour bâtir un projet réaliste
Les projets photovoltaïques sur les bâtiments des exploitations sont, soit portés directement par des agriculteurs, soit proposés par des sociétés. L'opportunité financière de la production d'électricité est telle que l'élaboration du projet photovoltaïque prime souvent sur toute autre considération. L'objectif de ce document est de donner aux éleveurs des repères techniques pour mettre en place des bâtiments avec panneaux photovoltaïques adaptés à l'activité de l'élevage. Les règles d'urbanisme spécifiant en zone agricole que toute construction doit garder une destination agricole, il est doublement important de concilier les deux usages du bâtiment : production d'énergie photovoltaïque et activité d'élevage.
![]()
![]()
La conversion à l'agriculture biologique en élevage laitier
Dans les régions Alsace, Lorraine et Champagne-Ardenne, les surfaces certifiées en AB ou en conversion ont progressé de 40% depuis 1996, pour atteindre 16 000 ha en 1998. Ce sont 282 exploitations, dont 70 laitières, qui se sont engagées dans cette voie. Mais la conversion ne s'improvise pas ; elle demande, outre une bonne dose de motivation de la part de l'exploitant, des références techniques et économiques. Celles-ci existent grâce aux pionniers de l'agrobiologie qui, depuis des années, échangent sur leurs savoir-faire et leurs pratiques. Ce document, fruit d'une collaboration entre agrobiologistes confirmés et techniciens, se veut un outil d'aide à la décision destiné aux producteurs qui se posent des questions quand à une conversion et aux techniciens qui les accompagnent.
![]()
![]()
La conversion à l'agriculture biologique en élevage laitier de montagne : études et simulations à partir de systèmes conventionnels ; adaptations techniques et résultats économiques
Pour accompagner les agriculteurs du Massif Central, souhaitant se reconvertir, cet ouvrage étudie la faisabilité technique et l'intérêt économique de la conversion à l'agriculture biologique de quelques uns des systèmes bovins de la région. Les simulations à partir de systèmes conventionnels sont commentées et mettent en évidence que la conversion nécessite une réflexion préalable, même pour des systèmes proches du "bio". Ces simulations ont porté sur les systèmes laitiers spécialisés et les systèmes laitiers diversifiés. Un chapitre est consacré à l'étude de projets de conversion réels.
![]()
![]()
Désaisonnement : Les effets secondaires du traitement lumineux
Technique largement utilisée dans les élevages, le désaisonnement lumineux peut cependant avoir des effets secondaires qui suscitent des interrogations. Quels sont ces effets ? Que peut-on en dire aujourd'hui ? Cet article, extrait de la brochure "Le désaisonnement lumineux en production caprine" de l'Institut de l'Elevage, tente de faire le point sur ces questions.
![]()
![]()
Diagnostic d'aptitude à la conversion à l'agriculture biologique d'une exploitation viande bovine
Afin d'aider les conseillers et les éleveurs souhaitant s'engager dans une démarche de conversion, l'Institut de l'Elevage a réalisé un ensemble de fiches (prise d'informations, diagnostic et synthèse). Elles représentent un guide de diagnostic d'aptitude à la conversion et sont spécifiques aux exploitations viande bovine.
![]()
![]()
Le diagnostic pastoral « vulnérabilité »
Cette brochure présente le diagnostic pastoral « vulnérabilité » qui est une méthode d'expertise pour identifier les dysfonctionnements provoqués par la présence du loup sur les systèmes pastoraux et un outil pour accompagner les éleveurs et bergers dans la protection de leurs troupeaux et l'élaboration d'un nouveau plan de gestion des unités pastorales concernées. Ce diagnostic est construit à partir de l'expérience acquise dans les Alpes du Sud et les Pyrénées-Orientales, dans une logique d'unité pastorale ovine d'altitude confrontée au loup. La plaquette développe trois grands points : - le contexte et les modalités d'application de la méthode ; - la méthode d'analyse du système pastoral en place pour la construction d'un nouveau plan de gestion ; - les modalités de mise en uvre et les limites des scénarii proposés par la méthode.
![]()
![]()
Diagnostics d'aptitude à la conversion à l'agriculture biologique
Afin d'aider les conseillers et les éleveurs souhaitant s'engager dans une démarche de conversion, l'Institut de l'Elevage a réalisé un ensemble de fiches (prise d'informations, diagnostic et synthèse). Cette méthode de diagnostic permet d'apprécier les handicaps et les aptitudes d'une exploitation pour se convertir à l'agriculture biologique. Basée sur des diagnostics testés et validés dans plusieurs régions, elle vise à mesurer les écarts qui séparent la situation de départ de la situation finale. Les fiches sont disponibles pour les productions suivantes : bovins lait, bovins viande, ovins lait, ovins viande et caprins.
![]()
![]()
Exploitations laitières biologiques
Ce document est le suivi d'exploitations réalisé dans le cadre des Réseaux d'Elevage de Basse-Normandie. Les résultats présentés regroupent 9 exploitations sur la conjoncture 1998/1999, toutes certifiées AB, recrutées dans ce réseau pour la cohérence de leurs systèmes et leurs bons niveaux de performances. Depuis leur entrée dans le réseau, les exploitations montrent une remarquable stabilité dans leurs structures, mais également dans leurs résultats tant techniques que économiques. Toutes les exploitations du groupe commercialisent leurs productions dans les circuits biologiques.
![]()
![]()
Litière : Quelles alternatives à la paille ?
INSTITUT DE L'ELEVAGE, Auteur ; David FALAISE, Auteur ; Soizick JOSSE, Auteur ; ET AL., AuteurQuand les conditions climatiques sont sèches comme cette année, il est difficile pour les éleveurs de trouver de la paille et, qui plus est, à un prix raisonnable. Ce dossier propose d'apporter des alternatives de paillage en substitution ou en complément de la paille. Le premier article présente un tableau de synthèse extrait d'un dossier spécial Sécheresse 2011, de l'Institut de l'élevage ; ce tableau présente les différents produits utilisables en litière en fonction du type de couchage, avec les atouts et contraintes pour chaque produit. Le deuxième article est le témoignage d'un éleveur de Vendée qui utilise des déchets verts comme sous couche pour la litière accumulée. Dans le troisième article, Pierre-Yves Plessis, éleveur en Ille-et-Vilaine, est interviewé sur son utilisation de chaux comme litière. Enfin, le dernier article traite des plaquettes de bois utilisées en complément de la paille et de l'expérience dans le domaine de Francis Nicolaÿ, éleveur de bovins allaitants dans la Sarthe.
![]()
![]()
Maladies des bovins
Cet ouvrage présente l'ensemble des maladies métaboliques, infectieuses et parasitaires des bovins, leurs causes, les médicaments et leurs règles d'emploi. Il s'adresse aux professionnels de la viande bovine et du lait, éleveurs, vétérinaires, ingénieurs, techniciens, ainsi qu'à des étudiants.
Numéro de téléphone : 01.40.04.51.50
Numéro de fax : 01.40.04.49.60