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Auteur Marie ARNOULD |
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Dossier : Zéro Phyto, année zéro
Antoine BOSSE-PLATIERE, Auteur ; Marie ARNOULD, Auteur ; Xavier MATHIAS, Auteur ; ET AL., AuteurLa loi Labbé a initié une dynamique qui touche au premier chef les jardiniers amateurs : - "Les mentalités évoluent" : ce sont les mots de Joël Labbé, élu écologiste à l'origine de la loi qui porte son nom. Adoptée par l'Assemblée nationale le 23 janvier 2014, cette loi interdit, depuis le 1er janvier 2017, l'usage des pesticides de synthèse par lÉtat, les collectivités territoriales et les établissements publics pour l'entretien des espaces verts, promenades, jardins et voiries, à l'exception des terrains de sport et des cimetières. Elle interdit aussi, à partir du 1er janvier 2019, la mise sur le marché, la délivrance, l'utilisation et la détention de produits phytosanitaires à usage non professionnel. Cette loi est une première en Europe, interdisant presque totalement les usages non agricoles des pesticides. Joël Labbé uvre maintenant pour prolonger cette dynamique à l'échelle européenne ; - Zéro phyto... ou presque : De nombreux espaces échappent pourtant à cette loi. Focus sur les évolutions en cours dans la gestion des mauvaises herbes ; - Et si nous ne tirions pas les premiers ? : Au jardin, il est nécessaire de prendre de nouveaux réflexes ; là où il était devenu automatique de pulvériser, il convient désormais de laisser faire la nature et d'observer ; - Ode au fait maison : Les préparations naturelles sont une solution économique et pratique pour protéger les plantes, mais comment les préparer et pour quels usages ? (purin de consoude , bicarbonate de soude, macérat d'oignon, badigeons aux huiles essentielles...).
Microfermes, une utopie ?
Marie ARNOULD, Auteur"Les microfermes maraîchères sont le créneau sur lequel il y a le plus de demandes d'installation en agriculture en France", affirme François Léger, enseignant-chercheur à l'Inra. Dans son rapport d'étude "Maraîchage biologique en permaculture et performance économique", publié en 2011, l'Inra fait état des résultats exceptionnels de la Ferme du Bec Hellouin, qui a servi de terrain d'étude. Même si ces résultats ne sont pas facilement reproductibles, l'étude indique que les points clés de la réussite résident dans la régularité des interventions, dans l'organisation générale du travail et dans l'amélioration des outils mécaniques. Dans sa microferme expérimentale de la Bourdaisière (37), Maxime de Rostolan, fondateur du réseau des Fermes d'Avenir, fait le constat que le métier de maraîcher est complexe et demande une grande polyvalence. A la Mare des Ruffaux (27), Linda Bedouet et Édouard Stalin sont installés sur 2,8 ha. Ils ne regrettent pas leur choix, mais confient déployer une énergie énorme, entre la production, la commercialisation, les investissements à réaliser... François Léger rappelle que le besoin d'autonomie, souvent mis en avant par les porteurs de projets, ne signifie pas isolement ou solitude. Travailler en réseau et en synergie est une véritable force. De plus en plus de jeunes et de moins jeunes rêvent de s'installer sur leur ferme pour créer une agriculture respectueuse de l'environnement, en étant proches de leurs clients. François Léger rappelle également que, si ses résultats ne peuvent effectivement pas être généralisés à tous les projets, le cas de la Ferme du Bec Hellouin montre qu'un autre monde est possible et surtout qu'il existe déjà, avec des performances économiques supérieures aux moyennes standard, et démontre que des progrès importants peuvent être réalisés avec l'agriculture biointensive et la permaculture. Des précautions sont à prendre, et un des enseignements consiste notamment à dire aux porteurs de projets de prévoir une installation progressive, de commencer par travailler à la main un petit espace, selon des méthodes d'intensification écologiques, de comprendre comment son sol va évoluer, ce qu'il faut lui apporter... de ne pas se fixer d'objectifs impossibles à tenir, et de ne pas négliger les difficultés d'un métier très dur.
Dossier : Le travail du sol : Pour ou contre le travail du sol ?
Marie ARNOULD, Auteur ; Antoine BOSSE-PLATIERE, Auteur ; Guylaine GOULFIER, Auteur ; ET AL., AuteurAvec, notamment, l'émergence de la permaculture, le débat sur la nécessité de travailler ou non le sol est relancé. De plus en plus de jardiniers s'intéressent aux techniques de non-travail du sol, comme les buttes ou le semis sous couvert. Ce dossier donne la parole sur le sujet à des experts et à des jardiniers, puis propose des articles techniques sur le paillage, ainsi qu'un reportage chez un maraîcher bio qui a opté pour la traction animale. Au sommaire du dossier : - Le travail du sol ne doit pas être systématique (éclairages d'Emmanuel Bourguignon, fils de Lydia et Claude Bourguignon, et directeur d'un laboratoire de microbiologie des sols, sur l'entretien et la fertilisation des sols) ; - La bêche ou le paillis ? (tour d'horizon des pratiques de jardiniers en matière de travail du sol) ; - Jardiner "sol vivant" (éclairages et conseils de Gilles Domenech, pédologue, pour préserver la vie biologique du sol) ; - Pour un labour agroécologique (préconisations d'Yvan Gautronneau, agronome spécialiste des problématiques liées au travail du sol) ; - Paillage : la clé du sol ; - Un âne pour mon sol (reportage chez Maxime Teneul, maraîcher bio dans les Combrailles, en Auvergne)
Hors-série n° 9 des 4 Saisons du Jardin Bio : 12 mois avec la lune
Omar MAHDI, Auteur ; Marie ARNOULD, Auteur ; Antoine BOSSE-PLATIERE, Auteur ; ET AL., Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2015Ce hors-série guide le jardinier bio dans ses travaux, mois après mois, en indiquant les opérations importantes à réaliser (préparer la terre, semer, désherber, pailler, prévenir et fortifier, arroser, bouturer, récolter, démarrer un compost, greliner, ranger et nettoyer, planifier). Le calendrier lunaire mensuel inaugure chacun des 12 chapitres, agrémentés de focus sur l'apiculture. De nombreux trucs et astuces, issus de l'expérience des jardiniers de Terre Vivante, permettent d'apprendre les bons gestes (mesurer le PH du sol, tailler les petits fruits, choisir les bonnes associations de plantes, faire un purin d'orties, etc.).
Dossier BRF : La part des choses ; Roses de peu
Guylaine GOULFIER, Auteur ; Marie ARNOULD, AuteurLe broyat de minces rameaux que découvraient les jardiniers avec le BRF était, il y a une dizaine d'années, paré de mille vertus. Après plusieurs années d'essais dans les jardins, Terre Vivante a sollicité des lecteurs-testeurs des 4 Saisons, géographiquement éloignés les uns des autres, qui appliquent généralement le broyat sur le sol sans l'enfouir, en paillage. S'ils ont observé une meilleure rétention de l'eau dans le sol, et une amélioration des propriétés de celui-ci (plus facile à travailler...), des essais réalisés par des centres techniques semblent montrer une baisse de rendement des fruits et, surtout, des légumes, issus des planches cultivées avec du BRF. Les expériences des jardiniers offrent des résultats très contrastés. Globalement, le BRF ne serait pas un meilleur paillage ou amendement qu'un autre (paille, tonte...). Par ailleurs, les sols réagissent de façon différente à l'apport de matière organique, en particulier à celui de BRF dont la dégradation est essentiellement le fait des champignons. Gilles Domenech, pédobiologiste, spécialiste des méthodes de culture favorables à la vie des sols, indique comment appliquer le BRF. A Torcieu, dans l'Ain, deux artistes ont installé une roseraie sur un terrain dénué de point d'eau. Trois ans plus tard, grâce aux BRF, rosiers (350 rosiers sur BRF) et potager prospèrent. Témoignage.
Dossier : Pépiniériste ; Profession : "éleveur" de plantes
Marie ARNOULD, Auteur ; Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, AuteurAu travers de nombreux témoignages, ce dossier présente la situation des pépiniéristes. Les pépinières sont confrontées aux aléas de la crise, de la concurrence ou de la situation de la filière horticole française. Selon Dominique Boutillon, présidente de la FNPHP, Fédération des producteurs de végétaux d'ornement, l'une des causes pour laquelle la filière horticole est atomisée, c'est la nécessité d'une main d'uvre nombreuse. Si la grande distribution est de moins en moins un débouché pour les pépiniéristes, la vente directe et la diversification des activités sont des soupapes bienvenues. Des encarts donnent des conseils pour mieux choisir les plants ; acheter sur Internet ; Faire des économies (en termes d'achat d'arbres d'ornement et de plants bio).
Incroyables comestibles
Marie ARNOULD, AuteurA Todmorden, non loin de Manchester et de Leeds (Angleterre), l'association Incredible Edible Todmorden a été fondée par Pam Warhurst, Mary Clear et Estelle Brown. Elles ont eu pour idée, suite à une conférence sur la production alimentaire mondiale, de lancer une expérience autour de la nourriture et, par ce biais, de connecter les gens les uns aux autres. Elles ont choisi, pour leurs actions, de rester dans le bénévolat L'objectif ambitieux que s'est fixé Incredible Edible Todmorden est de rendre Todmorden autosuffisante en nourriture en 2018. Les écoles de Todmorden ont, par exemple, toutes des plantations. L'association a également aidé à monter un projet de ferme aquaponique qui associera un élevage de poissons et une production maraîchère sous tunnel. Un jardin forestier (permaculture), des ruches sont également prévus. Des tableaux noirs ont été offerts aux commerçants du marché couvert pour mettre en valeur les produits locaux en vente En France, le mouvement des "Incroyables comestibles" est pris en exemple, et l'exposition "Carrot City", au chai de Bercy (automne 2012), a montré comment l'agriculture urbaine gagne du terrain.
Dossier : Verger : L'ancêtre des pommes a de l'avenir ! ; Le pommier revisité ; Belles et bonnes
Elisabeth LECIAK, Auteur ; Alain PONTOPPIDAN, Auteur ; Marie ARNOULD, AuteurLe premier article aborde l'origine de la pomme. En 1929, le biologiste russe Nicolaï Vavilov a émis, pour la première fois, l'hypothèse selon laquelle les forêts d'Almaty, au Kazakhstan, seraient à l'origine de la pomme. Cette intuition a longtemps été débattue. C'est seulement en 2010 que le séquençage complet du génome de la pomme domestique a définitivement prouvé son origine kazakhe... Le Malus sieversii, ancêtre des pommes, a eu comme protecteur Aymak Djangaliev, académicien et agronome kazakh, de 1945 jusqu'à sa disparition en 2009. L'article revient sur : l'origine de Malus sieversii (il y a plus de soixante-cinq millions d'années) ; sa domestication (il y a 2000 ans) ; la résistance de la pomme kazakhe à plusieurs maladies du pommier ; son patrimoine génétique ; la recherche (résistance à la tavelure) et la priorité à donner à la conservation de la diversité génétique de Malus sieversii (menacée par l'urbanisation et la modernisation de l'agriculture) dans les montagnes du Tian Shan, entre la Chine et le Kazakhstan. Le second article aborde l'entretien du pommier : la taille de formation ; les sols, le climat ; les maladies et ravageurs (les pucerons, la tavelure, le chancre à nectria, le carpocapse) ; la taille d'entretien ; bien récolter, bien conserver. Le troisième article donne quelques conseils pour s'y retrouver parmi les milliers de variétés de pommes existant en France : pour Thierry Wohlgemuth, de la pépinière de Bernay, dans l'Eure, rien de tel que les pommes de terroir ; dans le Sud-Est, en Ardèche, le pépiniériste Frédéric Cochet fournit une clientèle répartie sur un territoire complexe, qui va de la montagne jusqu'au pays de l'olivier ; dans le quart Nord-Est, Christine Mangin, des pépinières Dumont, dans l'Aube, a un faible pour les pommes de garde et de caractère.
Du grain au pain, le blé pour passion
Marie ARNOULD, Auteur ; Aourel CABRERA, AuteurDans les Côtes-d'Armor, deux femmes et un homme ont décidé de vivre avec le métier de paysan-boulanger. Guénaelle le Gloahec, originaire du Morbihan, s'est installée en juin 2010. Elle produit 150 kg de pain par semaine, vendu à la ferme et sur des marchés. Elle pratique une rotation de cultures blé-herbe-sarrasin, en accord avec un autre paysan. Hervé Guidou, s'est établi paysan-boulanger, à Tréduder. Il produit sa farine lui-même et s'intéresse aux variétés anciennes pour lesquelles il préfère parler de variétés paysannes (issues de la sélection « massale », soit du choix des épis intéressants directement dans les champs). Pour trouver ses variétés, il échange avec d'autres paysans-boulangers, et expérimente. Les variétés telles que le blé "Rouge de Bordeaux", le "Concorde", le "Talisman", et le "Redon" lui conviennent. Virginie Guézennec, installée à Louargat, a appris l'art de la « boulange » dans une boulangerie bio. Elle prépare, une fois par semaine, son levain.
Hors-série n° 3 des 4 Saisons du jardin bio : 12 mois au potager bio
Didier BIEUVELET, Auteur ; Marie ARNOULD, Auteur ; Antoine BOSSE-PLATIERE, Auteur ; ET AL., AuteurCe Hors-série n° 3 des 4 Saisons du jardin bio comprend 132 pages bourrées d'informations, de conseils techniques, de trucs et astuces, de tours de mains pour lutter contre les maladies et ravageurs, de conseils nature pour attirer faune et flore..., pour aborder sereinement une année au jardin. Avec en particulier les conseils des jardiniers du Centre Terre Vivante : Pascal Aspe et Geneviève Nicolas, qui expliquent comment ils procèdent pour faire prospérer un magnifique potager à 700 mètres d'altitude. On y retrouve aussi l'indispensable calendrier lunaire : avec les lunaisons, ainsi que les jours fleur, feuille, fruit et racine, et les jours de nud lunaire, où il faut surtout ne rien faire. Par quinzaine, un mémo dit tout ce qu'il faut faire au jardin, avec des repères phénologiques, pour guider le lecteur en fonction des floraisons. Par exemple, la floraison du forsythia, en général fin février, marque le début de la saison des semis. Chaque mois, une recette liée aux productions du jardin est proposée par des cuisinières fans de légumes. On y découvre aussi : des bricolages éprouvés, dont certains ont été réalisés au Centre Terre Vivante (silo à compost, hôtel à insectes, bac anti-mal de dos, banc), des pas-à-pas pour détailler des gestes techniques, comme le semis ou le repiquage ; la carte climatique de la France pour se situer par rapport aux différentes zones climatiques, et savoir évaluer quand faire ses travaux de printemps ; des tableaux récapitulatifs qui détaillent les besoins en eau des différents légumes, les exigences en compost des légumes, les purins de plantes, les remèdes contre les principaux ravageurs et maladies, les jardins bio à visiter et une sélection de bonnes adresses.
Dossier verger : Pêches, poires, cerises, notre sélection
QUATRE SAISONS DU JARDIN BIO (LES), Auteur ; Marie ARNOULD, Auteur ; Antoine BOSSE-PLATIERE, AuteurAlain Pontoppidan, spécialiste des arbres à la revue Les 4 Saisons du Jardin Bio, propose d'abord des conseils pour choisir son fruitier en pépinière. Un encart donne les coordonnées de pépiniéristes en France. Dans la suite du dossier, ces pépiniéristes conseillent sur le choix de variétés en pêchers, en poiriers et en cerisiers.
Moustiques, tenez-vous à carreau !
Marie ARNOULD, AuteurL'un des principaux problèmes rencontrés par les chauves-souris est la disparition des ouvertures et des gîtes nécessaires à leur survie. Un accès au grenier, un soupirail, un fenestron... conviennent, ainsi que les façades de vieux édifices qui recèlent une multitude de cavités. Ces espaces constituent des gîtes très prisés par les espèces de chauves-souris "fissuricoles", comme la pipistrelle. En France, sur les 34 espèces de chauves-souris présentes, une est en danger critique d'extinction, trois sont vulnérables et sept quasi menacées ; on manque de données pour quatre espèces, tandis que les effectifs des 18 autres espèces semblent stables. Mais toutes sont sur la liste des espèces protégées depuis 1976... Seule la pipestrelle commune reste abondante. En Europe, les chauves-souris ne sont pas touchées par le terrible « syndrome du nez blanc » (SNB), qui a déjà décimé plus d'un million de chauves-souris, depuis 2006, aux Etats-Unis. Les baisses d'effectifs ont plusieurs causes : perturbation des gîtes, diminution d'insectes due à l'usage intensif des pesticides, ainsi qu'à la suppression des haies (qui appauvrit la faune entomologique). Petits mammifères volants, pesant entre 4 g environ - la pipestrelle commune - et 40 g pour la plus grande - le grand murin - , elles dévorent en insectes près du tiers de leurs poids, chaque nuit, absorbant notamment des milliers de moustiques, de papillons de nuit, voire, à l'occasion, des pucerons.
Solidarité en bouquets
Marie ARNOULD, AuteurLe réseau de jardins d'insertion Cocagne a décidé de produire des "fleurs de Cocagne" bio, solidaires et locales. L'idée s'est concrétisée avec l'un des seuls jardins Fleurs de Cocagne en France, Mosaïque, à Saint-Pierre-de-Boeuf, dans la Loire. L'autre jardin est le jardin Semailles, à Avignon (84). Des bouquets sont confectionnés par des personnes en insertion. A Avignon, le pari de la commercialisation est presque réussi. Les débouchés reposent sur deux jardineries Botanic, deux magasins Auchan, le circuit des magasins bio, quelques marchés pour se faire connaître et une quarantaine d'adhérents du jardin Semailles qui ont accepté de compléter leur panier de légumes avec des bouquets. Au jardin Mosaïque, le bilan est plus mitigé, avec une moyenne de 20 à 25 bouquets vendus par semaine. Seuls trois adhérents des paniers de légumes ont opté pour les fleurs, et ils n'ont été que trois magasins et quelques entreprises à se montrer intéressés. Au delà de la commercialisation, l'objectif premier est la réinsertion. A Avignon, quatre des personnes de l'équipe veulent se réorienter vers une formation de fleuriste, quatre vers la production horticole... Le parcours de chacun est différent, mais aucun ne restera plus d'un an dans ces jardins.
Dossier : Réchauffement climatique : Du rififi dans la nature !
Le réchauffement climatique fait de plus en plus de dégâts chaque année, que ce soit sur la faune comme sur la flore. L'Observatoire des saisons se propose donc d'étudier de plus en plus précisément son influence et explique l'engouement de plus en plus important des gens pour la phénologie. Le dossier se compose des articles suivants : - Faune, flore, climat : tout change ! ; - Jean-Paul Thorez, l'assidu des agendas ; - Angleterre : royaume de la phénologie ; - La science au chevet des saisons.
Ravageurs en quête de nouveaux espaces
L'évolution actuelle du climat, et plus particulièrement le réchauffement climatique, pourraient être à l'origine de l'apparition de nouvelles espèces de ravageurs au jardin : identification, portrait, moyens de lutte et avancées de la recherche dans ce domaine.