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Auteur Claudine GERARD |
Documents disponibles écrits par cet auteur


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300 mètres carrés de panneaux photovoltaïques sur le hangar
Claudine GERARD, AuteurTémoignage d'un éleveur naisseur-engraisseur de porcs dans le Finistère. François Palut a construit un hangar (pour loger le matériel de l'exploitation) comportant 225 panneaux photovoltaïques intégrés à la couverture (soit 300 m² de panneaux photovoltaïques). Cela permet de produire environ 34 000 kW/an. L'investissement sera rentable dès la 11ème année.
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L'aliment hyper diminue les rejets azotés
Les rejets azotés peuvent être plus faibles avec un aliment unique en engraissement qu'avec un programme biphase. C'est ce que défend l'équipe de Coréal, entreprise bretonne qui fabrique et commercialise 170 000 tonnes d'aliment complet, dont 97% pour le porc. Les résultats chiffrés d'un naisseur-engraisseur des Côtes d'Armor appuient cette position. L'aliment affiche un taux de 17,5% de protéines, une concentration en nutriments et une composition en matières premières conduisant à une rétention par l'animal de 38% de l'azote ingéré.
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Ces nitrates qui fâchent
La troisième campagne nationale de suivi de la qualité de l'eau étant en cours, nous pouvons analyser les chiffres des précédentes évaluations qui montrent que les eaux superficielles sont globalement de meilleure qualité que les eaux souterraines. Face à cette lente dégradation, l'Office International de l'Eau présente la mise en place de taxation des produits fertilisants.
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Combattre le stress : instaurer des relations de confiance
Le stress des porcs a des conséquences néfastes sur le plan technique et économique (croissance, âge de la puberté, fécondité, productivité, etc.), c'est pourquoi Porcs Sud Bretagne a tenu à sensibiliser ses éleveurs sur leurs comportements avec leurs animaux. Après une présentation des dégâts causés par le stress, des conseils sont donnés pour établir une relation éleveur-animal "plaisante".
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Dans les porcheries : La lutte biologique contre les mouches trouve sa place
Aujourd'hui, la lutte biologique contre les mouches domestiques des porcheries connaît un succès grandissant. Le principe de cette lutte consiste à introduire des mouches Ophyra prédatrices des mouches domestiques. Cette méthode présente plusieurs avantages : pas de main d'uvre, pas de toxicité pour l'homme et l'animal, pas de résistance et une garantie sanitaire des mouches introduites. A ces avantages s'ajoute le prix qui reste compétitif même sans intégrer le temps de travail économisé. Cette lutte reste toutefois très ciblée et d'autres insectes peuvent continuer leur propagation. Des études sont en cours pour pallier à celà.
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Dossier : Méthanisation, c'est parti !
Le dossier est organisé en plusieurs parties : - Par fermentation anaérobie : La méthanisation produit de la chaleur et de l'électricité ; - Avec des investissements lourds : Les économies d'échelle favorisent la rentabilité ; - Déclaration ou autorisation : Le cadre réglementaire dépend des intrants ; - En Centre Bretagne : Une unité de méthanisation de lisier va voir le jour ; - Le pays compte 3 900 unités : Tirer profit de l'expérience allemande.
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Dossier : La percée du photovoltaïque
Claudine GERARD, Auteur ; Dominique POILVET, Auteur ; Bernard GRIFFOUL ; ET AL.Ce dossier est constitué de plusieurs articles : - "Photovoltaïque, les précautions techniques à prendre" : emplacement des panneaux, types de bâtiments, capteurs cristallins ou amorphes, tolérance du panneau, garantie de rendement, étanchéité. En élevage de porcs, l'idéal est d'avoir un bâtiment équipé d'une ventilation centralisée, avec un lavage d'air intégré ; - "Les bonnes questions à se poser avant d'investir" : rentabilité du projet, cadre juridique et fiscal, aides pour l'investissement, vente de l'exploitation ; - "Pierre Puault a perçu son premier règlement de EDF" : témoignage d'un éleveur de bovins des Deux-Sèvres ; - "Un projet collectif de 77 toitures" mis en uvre par des éleveurs d'une filière bovine dans l'Aveyron ; - "Des panneaux solaires sur le toit d'un poulailler" : témoignage de l'Earl Lenoble dans la Sarthe ; - "Vu au Space : Les entreprises prennent place au soleil" : une quinzaine d'entreprises travaillant dans le secteur solaire photovoltaïque ont exposé au Space.
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Dossier : Porc bio : La filière bio se structure
Dominique POILVET, Auteur ; Florence MAUPERTUIS, Auteur ; Claudine GERARD, AuteurCe dossier regroupe divers articles portant sur l'évolution de la structuration de la filière bio en production porcine. Le premier article porte sur le contexte actuel et souligne certains points clés : une demande en porcs biologiques soutenue, une production encore marginale (0,4 % de la production de porc est du porc bio en France), 15 % de cette production commercialisée en vente directe, un prix de vente des porcs charcutiers bio déconnecté du marché du porc breton et fixé essentiellement en fonction du coût des aliments Un second article présente les grandes lignes du nouveau cahier des charges bio en application depuis le 1er janvier 2009, notamment le lien au sol, la part possible d'aliment non-bio, les traitements, l'utilisation partielle de caillebotis, l'âge d'abattage, la mixité bio/non-bio, la durée de conversion des parcours, l'origine des porcelets et des cochettes, l'âge du sevrage, les surfaces minimales en bâtiment, la surface de l'aire d'exercice extérieure ou par truie en lactation. Les autres articles présentent les témoignages de divers acteurs de la filière porc Bio, notamment ceux d'exploitants qui relatent leur propre expérience en terme d'installation, de maîtrise de coût de production ou de commercialisation en circuit court ou long.
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Dossier : Porc bio, nouvelle vague
Claudine GERARD, Auteur ; Dominique POILVET, Auteur ; Emmanuelle BORDON, AuteurComme pour de nombreux produits issus de lagriculture biologique, la demande en porcs bio est croissante. Avec seulement 9000 truies certifiées bio en 2015 (0,9 % du cheptel national), la production française reste insuffisante, mais des éleveurs sintéressent à ce marché. Parmi eux, un certain nombre se positionnent en tant quentrepreneurs, avec des investissements importants, notamment dans les bâtiments. Par ailleurs, les débouchés sont de plus en plus sécurisés via des partenariats et/ou des contrats. Dans ce dossier, les témoignages de quatre exploitations du Grand Ouest de la France illustrent cette nouvelle tendance. La SCEA de Kerlu, dans les Côtes-dArmor, vient dinvestir dans un bâtiment post-sevrage-engraissement et une fabrique daliments à la ferme. Au GAEC les Villers, dans les Deux-Sèvres, latelier vaches laitières a été remplacé par un atelier post-sevrage-engraissement sur paille lors de la conversion, avec des travaux dadaptation de la stabulation pour les porcs. Gaël et Violaine Ouvrard, en Vendée, ont marqué leur passage à lAB avec la construction dun bâtiment naissage pour 77 truies. Florent Isambard, en Ille-et-Vilaine, a repris lélevage naisseur-engraisseur familial. Son installation saccompagne dune conversion à lAB, dune complète transformation des bâtiments, et de la signature dun contrat avec prix garanti sur dix ans.
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Dossier : Et si vous deveniez producteur d'énergie...
Dominique POILVET, Auteur ; Claudine GERARD, Auteur ; Bernard GRIFFOULLa majorité de l'énergie aujourd'hui utilisée dans le monde provient de gisements de combustibles fossiles ou d'uranium. Mais ils sont épuisables tandis que les énergies renouvelables issues du soleil, du vent, des chutes d'eaux... représentent des alternatives d'avenir. Dans un contexte où l'accroissement des besoins en énergie se fait sentir (évolution de la démographie mondiale) et où le prix du baril peut être élevé (140 dollars en juillet 2008), le développement des énergies renouvelables a le vent en poupe et les agriculteurs sont particulièrement bien placés pour en profiter (considérable potentiel en surfaces de toiture pour l'installation de panneaux photovoltaïques, installation d'éoliennes aux dimensions adaptées à l'exploitation, valorisation des fumiers et lisiers, ressource en bois et installation de chaudières à bois déchiqueté) et développer une activité complémentaire qui leur permettra de diversifier leurs revenus. Le dossier comprend différentes parties : - Photovoltaïque, les précautions techniques à prendre : encore peu de références ; - Principes et rentabilité de la méthanisation à la ferme : du fumier jusqu'au gaz ; - Le "petit éolien" est taillé pour les exploitations : énergie éolienne ; - De l'énergie sous-exploitée : bois plaquettes.
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L'élevage de porcs se chauffe au bois
Claudine GERARD, AuteurA Planguenoual (Côtes d'Armor), le Gaec Quéré s'est équipé d'une chaudière à bois polyvalente pour chauffer les bâtiments de l'exploitation. Elle accepte tout type de végétaux et sera alimentée d'ici trois ans à partir des haies qui viennent d'être plantées dans le cadre du plan de gestion des haies et de reboisement des exploitations, initié par le Conseil général. L'investissement pour l'ensemble de l'installation s'élève à 40 000 , financé à 42% par l'Ademe et les Conseils généraux et régionaux, et sera rentabilisé grâce aux économies d'énergie réalisées. Une page de photos illustre cet article.
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Les éleveurs allemands encouragés à produire de l'énergie renouvelable
Une politique tarifaire attractive et des primes spécifiques expliquent l'engouement des éleveurs allemands à investir dans la production d'énergies renouvelables. L'article apporte le témoignage de Carsten Brüggeman et de la Chambre d'Agriculture de Hanovre et relate l'expérience de Walter Grever qui, à partir d'une unité de biogaz, vend de l'électricité et de la chaleur, ainsi que celle de la famille Reinke qui double son unité de méthanisation.
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Les éleveurs plébiscitent la lutte biologique contre les mouches
"La lutte biologique contre les mouches des porcheries s'appuie sur une autre mouche, Ophyra, dont la larve attaque celle de la mouche domestique. Exemple de deux éleveurs qui ont choisi ce procédé qui révèle de multiples avantages. Ils ne sont pas plus ""bio"" que d'autres, ils exploitent un atelier porcin conventionnel, mais on opté pour la lutte biologique depuis plus d'un an pour de multiples raisons. "
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Des extraits de plante, une alternative à la vitamine E
Jean-Baptiste PERCHERON, Auteur ; Claudine GERARD, AuteurLa fonction antioxydante de la vitamine E de synthèse peut être substituée par des antioxydants naturels dans l'alimentation animale, notamment dans les élevages de porcs. L'enjeu est physiologique et économique. L'usage de polyphénols végétaux comme alternative à la vitamine E de synthèse se répand donc dans le monde de la nutrition humaine et animale, tels que les tanins du vin rouge, les catéchines du thé vert. L'utilisation d'extraits d'olive ou de romarin se développe pour cet usage. Dans l'avenir, les polyphénols pourraient rendre en alimentation animale, en plus de leur rôle antioxydant, d'autres services, comme la régulation des fonctions anti-inflammatoires. Cet article se poursuit par le témoignage d'un fabricant d'aliments pour porcs qui a fait le choix d'inclure dans ses produits des huiles végétales riches en vitamine E naturelle, plus active que sa cousine de synthèse, et des polyphénols végétaux.
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Front commun contre l'antibiorésistance
L'usage des antibiotiques en production animale est de plus en plus controversé, d'abord quand ils sont utilisés comme facteurs de croissance, mais aussi comme médicaments. La crainte vient du risque de sélection de bactéries résistantes aux molécules utilisées en santé humaine. Face à l'apparition de bactéries multirésistantes en dehors du cadre hospitalier, la collaboration entre médecins et vétérinaires se renforce.