- Titre :
- REUSSIR FRUITS ET LEGUMES N° 297 - Juillet / Août 2010
- Type de document :
- Bulletin
- Paru le :
- 01/07/2010
Dépouillements
Le collectif moteur de la bio
RÉUSSIR FRUITS ET LÉGUMES, Auteur
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A l'occasion de la semaine nationale Printemps Bio, et via l'opération Manger bio en restauration collective - Gard Durable (Plan d'actions départemental de développement de l'agriculture biologique gardoise "Gard durable"), le Conseil général du Gard a souhaité valoriser le bio dans les unités de restauration collective et les mettre en relation avec les producteurs et les fournisseurs. Pour les 45 structures participantes, il s'agit notamment de réaliser un menu 100 % bio à base de produits gardois de saison. Ces 45 structures représentent un potentiel de 21 000 repas bio. L'opération a été réalisée avec le partenariat des associations comme "Un plus bio", qui accompagne les collectivités et établissements dans la mise en place de leur projet de restauration collective bio, et le Centre d'initiative pour valoriser l'agriculture et le milieu rural (Civam). Elle a été aussi l'occasion de la visite de l'exploitation agricole bio Audema et de son point de vente de produits bio Aux plaisirs naturels.
Premier Siad réussi
RÉUSSIR FRUITS ET LÉGUMES, Auteur
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Avec 6 000 visiteurs et 247 exposants, les organisateurs du Siad, Salon international de l'agriculture durable et bio, tirent un bilan positif de la première édition qui s'est déroulée début juin 2010, à Agen. Ce salon a réuni toutes les filières agricoles sur des thèmes novateurs : l'agri-durable, l'énergie, le bio..., et a favorisé les échanges entre agriculteurs et entreprises de l'agroalimentaire pour répondre aux demandes des consommateurs. Des passerelles ont été créées entre les agriculteurs bio et conventionnels pour se retrouver autour d'un seul concept : le métier de paysan. Le salon a été toutefois l'occasion d'échanges parfois vifs notamment sur la thématique de l'eau ; les échanges ont aussi montré les divergences entre intérêts agricoles et contraintes environnementales, jusqu'aux pratiques agricoles où le maïs irrigué tient la place principale dans l'assolement. Le comité d'organisation intensifiera ses démarches pour internationaliser le salon en 2011.
Choux : Le désherbage mécanique devient intégral
Guillaume LARRIEU, Auteur ;
Vianney ESTORGUES, Auteur
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Une synthèse des techniques de désherbage mécanique applicables sur le chou est présentée. Le sarclage intégral devient possible avec certains matériels (exemple : bineuse à doigts de caoutchouc) qui permettent le travail sur rang. Ainsi, sont présentés divers matériels utilisables, les améliorations possibles à apporter (exemple : guidage), ainsi que des précisions sur leurs périodes d'utilisation, leurs réglages ou encore leurs coûts. Cet article s'adresse autant aux agriculteurs bio que conventionnels, car il y est fait aussi mention du désherbage chimique. Deux autres points peuvent aussi être retenus : i) le désherbage mécanique doit être raisonné, aussi bien en terme de période d'intervention (il doit être vu comme prioritaire) qu'en terme d'investissement, ii) mais cette pratique s'avère efficace et pouvant être deux fois moins chère à l'usage que le désherbage chimique.
La mycorhization en observation
Maët LE LAN, Auteur
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Une expérimentation est en cours sur la technique de la mycorhization en maraîchage (les mycorhizes étant des champignons vivant en symbiose avec la plante et agissant sur le développement de cette dernière). Cette expérimentation pluriannuelle est menée en Bretagne, en station expérimentale et sur diverses espèces légumières. Les résultats de 2008 et 2009 montreraient un effet positif de cette technique, mais avec de fortes variations. Si l'étude semble montrer qu'une mycorhization précoce est préférable, elle soulève aussi de nombreuses questions et hypothèses, appelant à la poursuite des essais.
Ne pas mettre les œufs dans le même panier
Aude COULOMBEL, Auteur ;
Cécile CHAPUT, Auteur ;
Catherine MAZOLLIER, Auteur
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Portrait d'une exploitation maraîchère bio, proche de Paris (historique, chiffres clés, conditions pédoclimatiques, conduite culturale…). L'article présente notamment de façon détaillée les choix de circuits de commercialisation de cette exploitation, les conséquences au niveau technique et organisation du travail. En effet, cette exploitation réalisait initialement de la vente en gros sur le marché de Rungis. Aujourd'hui, sa distribution s'oriente de plus en plus vers la vente directe via les AMAP et un point de vente à la ferme. Néanmoins, le producteur souhaite conserver cette mixité des circuits.
Exemplaires (1)
| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité | Ancienne Cote |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 1120640 | REU | Périodique | Salle de lecture | Périodiques | Disponible |
